Partager l'article ! La passe - chapitre 1/2: Mon Alphae est devant moi. Le sourire mutin et les yeux étincelants d'envies lorsqu'elle m'a entendue l'appeler. ...
Mon Alphae est devant moi.
Le sourire mutin et les yeux étincelants d'envies lorsqu'elle m'a entendue l'appeler.
Son regard noisette se plonge dans le mien.
Elle passe une main dans ses cheveux bruns pour les remonter sur une de ses épaules.
L'effet qu'elle a sur moi est immédiat... le désir, l'envie... une vague de sensations et de sentiments forts.
Je lui désigne du doigt la malle, ce coffre dans lequel, elle le sait, se trouve la tenue que je désire qu'elle porte.
Elle me sourit et ouvre le couvercle.
Elle en sort les différentes pièces de vêtement contenues.
Pudiquement, elle se retourne pour enlever ce qu'elle porte actuellement.
J'admire la courbe de ses reins, ses hanches qui s'évasent après le resserrement de sa taille.
Ses doigts font glisser son dessous au sol.
Je me délecte du charme de sa nuque et la douceur de sa peau pâle, la sinuosité de son dos.
Je dévore son fessier à loisir, le galbe de ses cuisses, l'entre-jambe que j'aperçois furtivement.
Elle se vêt selon ce que je lui ait ordonné de porter.
Ses mains attachent le porte-jarretelles puis, délicatement, déroulent les bas fins, noirs, qui opacifient sensuellement ses jambes.
Elle glisse la petite jupe rouge, légère autour de sa taille. Si courte qu'elle ne masque pas les attaches des bas.
Enfin, en se retournant, elle boutonne le chemisier blanc, presque transparent, si moulant que sa poitrine généreuse parait encore plus opulente,
que ses aréoles roses tendent le tissu à le déchirer.
Elle est un plaisir pour les yeux. Pour mes yeux.
Je lui prends la main, porte ses doigts à mes lèvres et les embrassent délicatement.
La texture de sa peau, ses ongles brillants... elle me rend dingue.
Je sors de ma poche un rouge à lèvre vif, et un liner noir.
Elle s'exécute devant la glace. Orne ses yeux d'un trait un peu appuyé. Sa bouche devient carmin.
J'ouvre la porte de la voiture, et elle se glisse sur le siège passager.
Nous roulons sans un bruit.
Je la sens gênée. Elle ne sait pas où nous allons et il est rare que je la fasse sortir dans une telle tenue.
Ses mains sont placées sagement sur ses cuisses ombrées de nylon.
Elle me fait confiance, comme moi avec elle, totalement, indéfectiblement.
Lorsque je me gare sur le parking d'un petit hôtel de bord de voie rapide, elle me sourit, elle sait à quoi nous allons "jouer".
Nos sourires sont nombreux, souvent échangés, toujours complices, dans chaque geste de la vie.
La clochette d'entrée tinte.
Ses talons hauts claquent sur le carrelage du hall.
A la réception un jeune homme nous regarde approcher, la bouche ouverte et les yeux posés sur Mon Alphae.
Il la détaille des pieds... à la poitrine. Incapable de monter plus haut, comme hypnotisé.
- Je voudrais... nous voudrions, une chambre. Pour une heure.
Ma phrase le fait de suite comprendre la situation.
A mes côtés, elle baisse le visage et ses joues s'empourprent comme rarement.
Le jeune homme me délivre une clé magnétique et m'indique le premier étage.
Nous nous dirigeons vers l'escalier et je place ma main immédiatement sur sa croupe.
Mes doigts relèvent la jupe courte et je palpe la peau nue, douce, de sa fesse droite, bombée et pâle.
Elle réagit immédiatement en se cambrant et en ondulant un peu plus des hanches.
Nous savons tous les deux que, lorsque nous gravissons les marches, une à une, lentement, le regard du liftier ne quitte pas le fessier somptueux
que je lui offre à admirer... et l'orée de sa vulve qui doit apparaître plus nous nous élevons vers le couloir où se situe notre chambre temporaire.
La pièce est fonctionnelle. Impersonnelle.
Mon Alphae me regarde, ses joues sont roses, ses yeux gourmands d'envies.
Elle ouvre la bouche pour dire une phrase mais je la stoppe net, dans son élan.
J'ai envie de la faire vivre ce moment jusqu'au bout, et ma main sort un billet.
Elle interrompt sa phrase et se mord la lèvre inférieure.
Je roule la monnaie de papier en un tube et le dépose dans son chemisier.
- C'est bien ainsi qu'on paye... les putes ?
Ses yeux s'enflamment, elle baisse le regard et hoche la tête, affirmative.
Je sens la honte et le désir l'envahir intensément.
Elle est... désirable... immensément attirante... terriblement belle.
Je déboutonne mon pantalon, une fébrilité me gagne, que je ne cache qu'en apparence.
Mon jean tombe sur mes chevilles.
J'avale la boule que j'ai dans la gorge, tant la situation me rend ivre, tant sa présence me rend fou.
- Allez. Au travail.
Les mots sont injurieux, sensuellement torrides d'obscénité.
Elle s'agenouille aussitôt et fait descendre mon boxer d'un geste trop rapide.
Ma verge sort comme un diable de sa boite, grosse et raide.
Les petits doigts admirables se posent sur mon sabre, dressé pour l'assaut, et se referment autour après avoir caressé et apprécié la douceur et
l'ampleur de ce qui est, elle le sait, le résultat de l'effet qu'elle me fait.
Elle me masturbe fermement, presque durement.
Mon membre agité vigoureusement, elle dépose de la salive sur le bout de mon gland avant que sa paume ne vienne l'envelopper pour l'étaler sur toute
la longueur.
Son autre main s'approche de sa bouche, elle crache dans sa main et pose désormais ses dix doigts sur ma tige en feu.
Je souffle de plaisir sous ses gestes brusques.
Elle fait glisser sa main sous mes bourses et me les malaxe sans cesser de me branler, ses yeux posés sur mon sexe.
Je m'adosse au mur pour conserver mon énergie et... de la dignité... je dois l'admettre.
- Taille moi une pipe maintenant petite pute.
Il me faut faire des efforts pour parvenir à garder une voix posée.
Elle ralentis son action manuelle, ouvre sa bouche et enveloppe mon gland de ses superbes lèvres.
La succion est douce, puis elle avance son visage vers moi et je vois disparaître, centimètre après centimètre, ma grosse tige dans ses lèvres
étirées.
Sa tête va d'avant en arrière.
Elle se fait mécanique, efficace.
Ses lèvres sont serrées pour me procurer le maximum de plaisir avec un minimum d'effort de sa part.
Parfois cependant je la sens ralentir et profiter de la texture de mon sexe, dans sa bouche. Sa langue vient alors caresser le col, le frein, le
méat, ses aspirations se font lentes, elle me déguste... avant de reprendre une attitude en adéquation avec le rôle que je lui impose.
Mai main se pose alors derrière son crâne et j'appuie.
Elle résiste un peu, surprise, puis se laisse faire.
J'enfonce mon manche de chair, loin en elle, jusqu'à ce que je vois son visage grimacer, sa bouche s'ouvrir et le haut le cœur lui venir.
Je relâche alors la pression sur son visage, pour laisser reculer mon sexe un peu avant de recommencer.
Je me place au fond de sa gorge et je reste immobile.
Elle souffle par le nez, elle bave abondamment, son regard se lève vers moi... implorant.
Je recule alors doucement en la contemplant... merveilleuse de soumission.
Mon sexe dodeline devant son visage essoufflé.
Le rouge à lèvre a disparu pour laisser place à une bouche outragée et gonflée, rosie.
Elle ne bouge pas, respire en me regardant.
- Va sur le lit.
Elle se lève et s'allonge sur le lit blanc.
Elle remonte sa jupe de ses mains et ouvre le compas de ses cuisses, livrant à mon regard lubrique le spectacle de son sexe trempé.
Il est clair qu'elle me montre que la situation lui plait, au point tel qu'elle en mouille en abondance.
Je décide alors d'être encore un peu plus... dur dans mes paroles.
- On voit que tu as l'habitude de te faire tringler... petite pute..., à peine allongée tu écartes les cuisses.
Elle me regarde et tourne un peu le visage pour échapper à mes yeux inquisiteurs.
Je pose mes mains sur ses hanches et l'approche du bord du lit.
Mon sexe frotte sur sa fente totalement lisse.
Je l'enfonce sans ménagement.
Elle lâche un cri de surprise.
Je pousse en elle mon pal turgescent.
Elle gémit.
Je ne recule pas, et m'enfonce encore.
Elle crie.
A suivre...