Elle... Il... en duo

Nous venions souvent passer quelques jours chez ma belle-mère.
Ma femme aimait se retrouver là où elle avait grandi, retrouver son environnement, évoquer avec sa mère (divorcée depuis 5 ans) ses souvenirs, ainsi que prendre un moment avec ses amies d'enfance.bleu

Ce matin je n'ai plus sommeil, je lis tranquillement dans la chambre alors qu'Estelle, ma femme, est partie tôt pour un rendez-vous shopping "entre filles".
Bien que passionnant, mon roman finit pas me lasser et je décide de ma lever pour profiter de la véranda, et prendre un petit déjeuner.
En passant devant la chambre d'Annie, ma belle-mère, je suis surpris car, entrouverte, celle-ci laisse échapper un soupir étrange.
Je m'arrête donc et, curieux, je jette un œil dans la pièce éclairée simplement par un lampe de chevet.
Le spectacle est surprenant !
Ma belle-mère est allongée, entièrement nue, un genou relevé, et son visage forme un masque extatique de plaisir.
Elle a une main posée sur un sein, l'autre entre ses cuisses.
Je ne vois pas son geste, masqué par sa jambe relevée, mais je le devine à ses ondulations lentes.
Cela ne laisse aucun doute sur sa coupable activité.
Dans le même temps elle presse sa poitrine.
De forte taille elle comprime ses tétons, longs, au centre d'auréoles brunes, pour les pincer et les étirer.
Je n'en crois pas mes yeux, belle-maman, si sage, se masturbe dans son lit !
J'hésite... puis je reste pour me rincer l'œil.
Après tout, je suis dans l'ombre et elle est tellement occupée qu'elle ne prête pas attention à moi.
Sas seins sont voluptueux, cela je le savais, mais c'est la première fois que je les vois "en vrai"... Quelle belle paire !
Ce sont deux gros globes pâles aux tétines sombres.
Elle semble aimer se les malmener car elle les malaxe fortement, étirant ses tétines sublimes, plus que de raison.
Ses hanches, larges, révèlent une souplesse que je ne lui aurais pas imaginé.
Sa bouche s'ouvre pour laisser exhaler un petit gémissement.
Dans un mouvement lent, sa jambe se pose sur le drap froissé.
Je peux alors admirer son sexe qui s'offre à ma vue.
Une frange brune, de poils courts, qui me semble impeccablement entretenue, se fait caresser par ses doigts aux multiples bagues, donnant des reflets précieux à son trésor intime.
Il me semble apercevoir 2 de ses doigts, qui glissent, recourbés, dans son antre.
Elle se cambre un peu et l'index et le médius disparaissent entièrement en elle.
Lorsqu'ils ressortent, elle s'attarde sur son clitoris dans de petits cercles qui la font se trémousser comme un serpent.
Elle change de main et elle étale sa cyprine sur son téton au moyen de ses doigts salis alors que son autre main vient la pénétrer à son tour.
La lumière faible et rasante me la rendre presque spectrale.
Son sirop de femme est luisant sur ses corolles mammaires.
Elle se révèle, frémissante, soupirante, sous un aspect que j'ignorais d'elle.
Ses dents qui mordent sa lèvre inférieure alors que, jambes grandes ouvertes, elle s'enfonce de plus en plus vite ses doigts dans sa fissure féminine, elle m'apparait comme une femme ayant des envies, et pas simplement la mère de mon épouse.
Perdu dans mes pensées, hypnotisé par sa masturbation, je me rends compte qu'elle a le visage tourné vers la porte.
Je me recule vivement.
Je rougis d'un coup, espérant que, dans l'obscurité, elle ne m'ait pas vu.
Mon cœur bat si fort que j'ai l'impression qu'elle doit l'entendre de son lit.
Elle soupire de nouveau, un mouvement sur le lit et puis... un gémissement étouffé.
Je ne devrais pas mais je me penche de nouveau pour observer.
Elle est de côté, dos vers moi.
Elle ne semble pas m'avoir repéré !
Je respire, soulagé, et continue de la mater.
Ses doigts glissés entre ses jambes, j'ai un superbe point de vue sur sa vulve et son fessier.
Son cul est large, et lorsqu'elle hasarde un doigt dans sa raie, je me surprends à espérer qu'elle se fasse du bien de façon contre nature.
Je suis agréablement surpris car elle étale le jus de son sexe sur sa rosette et, dans un petit cri étouffé, elle s'enfonce son majeur dans l'anneau.
Devant mes yeux... une cuisse relevée... elle se doigte le fondement.
Je n'en reviens pas.
C'est si osé... si sensuel... et à la fois si délicieusement pervers... que je me rends compte que je bande tel un taureau.
Mon caleçon est littéralement distendu, mon sexe dressé dans une érection douloureuse tant le tissu me contraint.
Je flatte ma bosse...
Hummm...
Ma caresse m'apaise un peu.
Mes doigts filent sous le tissu, mes bourses sont presque à l'air du fait de mon sexe qui relève mon dessous.
Je les palpe, douces, lisses, chaudes...
Me masser me fait du bien.
Et je reprends mon observation de belle-maman.
Elle s'est tournée, vers moi.
Sa main écarte ses lèvres rose sombre.
Elle se titille la perle, une longue langue de chair rouge qui contraste avec ses courts poils bruns.
Mes yeux sont écarquillés vers elle.
Elle s'enfonce 3 doigts, très rapidement et les agite avec de plus en plus de frénésie.
Son corps se cabre, elle se tend, ses seins lourds s'agitent, généreusement posés l'un sur l'autre.
Elle regarde en ma direction...
Et elle jouit dans un doux râle.
D'un mouvement instinctif de recul, je me coule derrière la porte.
Le cœur battant...

Je m'éclipse rapidement, ne voulant pas tenter le diable par 3 fois... et espérant de nouveau qu'elle ne m'a pas vu.
Pourquoi suis-je resté si longtemps à regarder !? Quel idiot !
Mais... que je suis excité par ce que j'ai vu, et pourtant...
Pourvu que personne ne s'aperçoive de mon indélicatesse.
J'espère que mon érection va décroitre rapidement.
Il me faudrait me convaincre que je n'ai jamais vu cette scène si érotique.
Il ne faudra jamais que j'en parle.
Au lieu de cela, mes pensées coupables ne font qu'attiser le feu de mon désir.
Je cherche dans la véranda, un lieu plus calme.
Le jardin ne me rassérène pas, bien au contraire, la fraicheur de la pièce m'excite encore plus.
Le verre de jus de fruit que je me suis servi, au lieu de m'apaiser, lui aussi me rappelle sa bouche, son sexe, alors que je passe ma langue sur mes lèvres pour en recueillir les dernières gouttes.
Mon sexe est gonflé au maximum, prêt à exploser.
Je sursaute soudain.
"Alors Antoine ? Je vois que tu n'es pas parti avec Estelle."
La voix de ma belle-mère me surprend.
Je ne l'ai pas entendu arriver.
Peut-être le sang qui afflue à mes tempes est-il trop fort et me résonne t-il trop fortement dans le crâne jusqu'à m'assourdir et me faire surprendre.
Elle porte un déshabillé rose ourlé de fanfreluche rouge, maintenu serré par un nœud noir en satin.
Si transparent...
Il moule sa poitrine que je sais désormais si attirante.
Je détourne pudiquement mon regard.
- Non. Elle avait rendez-vous avec ses amies. Dis-je en tentant de reprendre mon calme.
Elle est un peu plus petite que moi et si proche que lorsque je la regarde je peux voir la vallée de ses seins disparaitre dans le satin carmin.
- Tu t'es bien rincé l'œil tout à l'heure. Me lance t-elle sans préambule d'une voix calme.
Je déglutis avec un peu de peine, incapable de dire un seul mot, mes yeux rivés sur ses seins, sur ce déshabillé qui est tendu de tant de poitrine.
- C'est du 100E si tu veux savoir.
Je remonte mon regard, horriblement gêné.
Sa main se plaque sur mon sexe.
Elle me fait sursauter.
- Annie ! Enfin... parviens-je à balbutier.
Ses doigts écartent mon caleçon et elle flatte ma verge bandée et dure comme une barre de fer chauffée à blanc.
- Tu ne t'es pas privé, espèce de voyeur.
Je gémis alors qu'elle entoure la base de mon sexe avec son pouce et son index et qu'elle m'incline avec de petits mouvements masturbatoires.
C'est si bon, si soudain, si osé que je la laisse ma flatter.
- Je ne voulais pas... mais ta porte était ouverte... je suis désolé.
- Ca t'a plu ?
Je tente de m'écarter mais son emprise sur moi est si forte que je ne peux reculer.
- Excuse-moi Annie.
- Il ne faudrait surtout pas que ma fille l'apprenne.
De sa main libre elle tire sur le lien noir et son déshabillé s'ouvre sur son corps nu.
Deux énormes seins aux tétons dressés me sont offerts.
J'ouvre mes yeux en grand.
Elle remonte ses doigts, bien haut sur ma tige masculine avant de redescendre à la base.
- Estelle m'avait dit que tu étais bien pourvu, elle n'avait pas tort.
Elle prend mon verre et le pose sur une tablette.
Ses doigts glissent sous mes bourses qu'elle masse à pleine main.
- Tu ne m'as toujours pas dit si ça t'avait plu. Sourit-elle en me regardant.
Ses yeux noisette sont brillant.
- Heu... Tu es très sensuelle. Mes mots ont du mal à sortir.
- Merci. Tu dis ça parce que tu veux t'excuser.
Sa tenue glisse au sol, dévoilant totalement son petit ventre et sa toison brune en forme de brosse.
- Non... Non... c'est vrai.
De sa main libre elle caresse un de ses seins.
- Depuis mon divorce, tu sais ce qui m'a le plus manqué ?
Je hoche négativement la tête.
Incrédule devant tant d'assurance et l'esprit en ébullition.
Elle s'agenouille et ouvre la bouche, d'un coup elle gobe mon gland.
Elle l'aspire et le caresse de sa langue.
Je pousse un petit cri de surprise.
Ma verge dodeline devant elle.
Mon bout est pourpre.
Elle m'astique lentement la verge.
- Une queue... c'est ce qui me manque le plus. Minaude t-elle en me regardant avec des yeux coquins.
Sa bouche s'ouvre de nouveau et elle engloutit littéralement mon vit avant même que je me sois remis de ce langage si cru qu'elle vient d'utiliser.
Elle s'agite et me suce avec une énergie et une application qui me donne l'impression que son existence en dépend.
Je pose alors ma main dans ses cheveux.
Pour seule réaction elle m'avale totalement, allant jusqu'à se coller mon gland au fond de sa gorge.
Sa lèvre inférieure vient flirter avec mes bourses.
Elle grimace en s'octroyant une gorge profonde.
Sa tête s'incline de gauche à droite, et elle m'avale le membre de manière obscène.
Après quelques aspiration gourmandes elle me relâche.
J'ai envie qu'elle continue tellement sa maitrise de la fellation est grande.
Elle se redresse et s'éloigne.
- Tu sais où me trouver...
Son fessier large se balance, pâle, aguicheur.
Je reste figé, le sexe en l'air.
C'est tellement improbable... que je m'empare de sa tenue qui git au sol et je m'avance vers sa chambre.

La porte est entrouverte.
Allongée sur le côté, face à la porte, sur son lit, une jambe repliée sur sa féminité, elle se caresse un sein, une main soutenant son visage souriant.
- Tu avais oublié ton vêtement... dis-je, analysant que ma piètre excuse ne tient pas deux secondes face à cette femme d'expérience.
De son doigt elle me fait signe d'avancer.
Je viens sur le lit à côté d'elle sans quitter des yeux se corps généreux.
- Enlève ton caleçon. Me murmure t-elle sans changer de position.
Je le fais glisser, piètre couverture de ma masculinité tellement je bande, et le laisse tomber au sol.
Elle regarde ma verge en érection.
- Ma fille a de la chance... tu as une belle queue.
Elle porte sa main a sa bouche et crache dans sa paume avant de me prendre en main.
Sa salive s'étale sur mon manche lorsqu'elle me masturbe à force gestes lents et habiles.
Son attitude est si éloignée de ce que je connais d'elle habituellement.
Elle relève sa cuisse et me révèle son sexe.
Je laisse flâner mes yeux sur son corps.
- Ca te plait toujours ?
- Bien sur.
- Mes gros seins te plaisent ?
- Ho... oui...
- Caresse-les si tu veux... Tu en as envie on dirait.
J'y pose mes doigts et j'entame une caresse.
- Enormément.
Elle rit doucement.
- Il ne va vraiment pas falloir que ma fille soit au courant.
Je reste muet, mon ongle effleure son auréole sombre.
- Moi je ne lui dirais rien.
- Moi non plus.
Un silence s'installe, uniquement troublé par le bruit de nos caresses sur nos corps.
- Tu as toute la journée pour baiser ta belle-mère mon cochon... j'espère que tu es en forme.
Je la regarde un peu surpris d'un tel discours.
Elle vient alors se mettre à califourchon sur moi.
De sa main elle se caresse au moyen de ma verge, agitant mon membre pour exciter son con trempé.
Dressée sur ses genoux, sa forte poitrine se balance devant moi.
J'y pose mes mains et lui caresse les seins.
Elle se mord la lèvre et gémit en se frottant mon gland contre sa vulve ouverte.
- Haa oui... presse moi les seins...
J'appuie sur ses deux globes lourds et je m'attarde sur les tétons, les faisant rouler entre mes doigts.
- Continue... n'arrête pas... plus fort !
Je pince et étire ses bouts durs.
Elle se tortille.
- Humm... salaud... tu me fais du bien...
Je les allonge lentement et lorsqu'elle se penche vers l'avant, j'y pose ma langue pour lui lécher le bout des tétons.
- Tête-moi... oui... mordille moi les seins... mes gros seins... ils t'excitent mon cochon...
Je les aspire, englobant l'auréole entièrement pour la faire se tendre dans ma bouche en suçant comme une sangsue.
Elle se tortille et s'empale de plus en plus sur mon pieu.
Un cri rauque lui échappe.
Mon manche de chair est entouré de sa matrice liquide.
Elle me masse de façon intime, agite son corps et balance son bassin sur moi.
Une danse lascive et suggestive, elle se cambre, m'oblige à voir s'éloigner ses seins de ma bouche.
Je la maintiens par les hanches et me propulse en elle.
Elle souffle, soupire...
- Ho mon salaud... hooo... tu me fais du bien...
Ses mouvements de bassin sont irréguliers et je me retiens de crier à mon tour tant le plaisir monte.
Elle se retire et vient en 69.
Je pose ma bouche sur son sexe pendant qu'elle me pompe méthodiquement.
Je lèche cette fente trempée et dégoulinante de cyprine.
Son bassin se presse sur ma bouche, grande ouverte, langue tirée pour la laper et l'explorer.
Je sens à ses ahanements qu'elle jouit sur mon visage.
Soudain son jus arrive en un flot poisseux.
- Avale !  Hooo ouiiiiii...
J'aspire et j'ingurgite son jus de femme.
Elle est abondante et je suis ruisselant de mouille.
- Ahhh... tu me fais jouiiiir ! Hummm...
La masturbation qu'elle le pratique est alors plus rapide.
Ses coups de langue sur mon méat ne sont pas longs à me faire éjaculer à mon tour.
Elle me boit, elle me tête le gland jusqu'à ce que je me sois vidé entre ses lèvres, emplissant ses joues de mon foutre chaud.

Allongée à côté de moi, elle me caresse le torse.
- Tu es bien foutu. Me sourit-elle.
Ses doigts frotte mes petits tétons.
- Merci. Toi aussi.
- Parce que tu aimes les gros culs en plus des gros seins ?
Je rougis.
Ma main caresse son épaule.
Je lui dépose un baiser sur le front et me relève.
- Tu ne t'en vas pas déjà ?
J'hésite... tiraillé entre le désir de rester avec ma belle-mère et celui d'oublier cet écart à mon mariage.
- La journée n'est pas encore fini... et j'ai envie, encore.
Je la regarde.
Elle écarte ses jambes.
- Viens me bouffer la chatte.
Ses doigts ouvrent ses grandes lèvres molles.
Son sexe est rose, ses nymphes scintillantes de cyprine.
Je me place à côté d'elle et je me penche, incapable de résister à l'envie.
J'effleure de la langue.
Je caresse la dentelle intime et elle ondule lascivement presque immédiatement.
Mon muscle se fait étroit et plonge en elle pour la déguster et explorer le moindre de ses replis.
Plus large, ma langue lèche sa vulve qu'elle maintient béante.
Elle appuie sur ma tête.
- Broute-moi... oui... ho oui... comme ça...
Je plonge ma langue en elle et je m'applique à la masser, à aspirer ses lèvres.
Sa main vient se saisir de mon sexe.
Elle me fait me mettre à 4 pattes sur son lit.
Je me fais masturber par sa main agile.
- Tu as un beau soc... tu bandes encore comme un taureau...humm...
Mon vit enserré par sa main, ses gestes sont fluides, elle maitrise le plaisir que je lui donne, loin de la frénésie de nos premiers ébats, elle me témoigne son expérience du sexe.
- Lape. Comme un petit chien.
J'obéis et mes coups de langue son plus secs, plus rapides.
Elle se cambre vers moi, presse mon visage sur son sexe.
Je la maintiens ouverte à l'aide des mes doigts qui entourent sa fente.
De son pouce elle tourne sur mon gland tout en continuant de m'astiquer le manche.
Elle frotte mon méat et étale une goutte de plaisir sur ma peau lisse.
Son doigt étale le liquide tiède et me procure une légère brulure qui me fait gémir...
Très doucement ses doigts flattent tour à tour mes bourses sans cesser de me caresser de la paume de la main, puis me tend la verge vers le sol et l'agite vigoureusement, et enfin me caresse le gland, son col resserré, mes aspérités qui s'enflamment sous l'expertise de ses cercles insidieux.
J'en viens à mimer un coït, malgré moi, tant elle me fait du bien par cette masturbation hors normes.
Elle ralentit, je me sens perdu dans les vagues du désir.
Sa main abandonne mon sexe.
Une sensation de délaissement imprévisible me submerge.
Elle s'agenouille sur le lit.
Un temps immobile elle me fait lui faire face.
Sa bouche se rapproche de la mienne.
- Estelle n'en saura rien. Me murmure t-elle.
Nos lèvres se touchent.
- Tu vas me baiser autant que je le veux... et je garderais le silence.
Sa langue caresse mes lèvres.
Je devrais fuir mais au lieu de cela je lui offre ma langue.
Notre baiser scelle ce pacte d'infidélité.
Sa bouche est divine, sa langue s'enroule me flatte.
Sa poitrine sur mon torse, je sens ses pointes dures qui se frottent.
Mon gland est posé sur son pubis.
Elle se frotte tout en m'embrassant langoureusement.
Elle me sourit en s'éloignant un peu, déposant de légers baisers sur les commissures de mes lèvres.
Sa main descend et flatte mon vit.
- Tu as déjà trompé ma fille ?
- Non ! Jamais.
Elle minaude et me jauge.
- Je t'assure Annie... jusqu'à aujourd'hui... avec toi.
Elle palpe mes boules glabres.
- Tu es déjà allé voir une pute ?
Je rougis instantanément.
- Non !
- Tu deviens écarlate... tu en as déjà eu envie petit salaud.
Je ne réponds rien.
- Ma fille ne te suffit pas ?
- Si bien sur.
- Mais un autre petit cul, ou un gros comme le mien, de temps en temps, tu ne dirais pas non...
- J'avoue que... parfois l'idée me traverse l'esprit.
Je caresse son fessier si ample.
Sa voix est un murmure sensuel.
- Alors tu as l'occasion de pouvoir donner libre cours à tes penchants... mon gros cochon. Vas-y... ne te prive pas. Baise-moi autant que tu veux...

Au soir, lorsqu'Estelle est revenue, nous étions encore au lit quand sa voiture s'est garée.
Nous nous sommes habillé rapidement.
Annie n'a rien laissé paraitre, même lorsqu'elle m'a caresser la verge alors que ma femme tournait le dos.
Son murmure à mon oreille résonne encore dans mon crâne.
"Tu as intérêt à être bien sage et ma fille n'en saura rien".
Bien sage... avec belle maman... je venais de comprendre que cela voulait dire être un étalon à sa disposition...

A suivre ?

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

    [...]


"Tu es si beau quand tu baises".
Je rougis, encore sous l'effet de cette partie à 3, une nouveauté pour moi.
"Merci mais.. ce n'est pas mon habitude".duonb
"Tu n'avais jamais eu plusieurs partenaires en même temps ?"
"Non. Je vous l'avoue, c'est une première".
Je n'ose lui demander pour elle de peur d'être surpris de sa réponse.
"Pour mon cadeau j'aimerais aussi avoir plusieurs hommes" rit-elle sans me quitter des yeux sur le palier du dernier étage.
Je suis troublé par cette idée de la voir avec d'autres hommes...
Troublé et agité d'une envie de la voir dans cette situation que j'ai imaginé tant de fois.
"Tu m'as follement excitée, je coule tellement que mes bas ne tiennent plus".
Ses seins arrogants dans son pull moulant se balancent à chaque marche que nous descendons.
Derrière elle, je sens la fragrance de son sexe qui m'enivre.
Je respire avec plaisir ce parfum si sensuel.
"Elle te plaisait" me sourit-elle.
"Non."
"On aurait dit pourtant".
"C'était car j'étais avec vous".
"Hooo mon adorable bébé" fait-elle en me caressant la joue.
Son fessier va de gauche à droite à chaque pas.
Nous arrivons dans le sous-sol, là où la voiture est garée.
Je la saisis par les épaules et la plaque soudain contre le mur de parpaings.
"Que fais-tu ?"
Je passe prestement ma main sous sa jupe.
'Hoooo".
Elle geint alors que je masse vigoureusement son sexe.
Mon doigt entre dans sa grotte ruisselante.
"Que faites-vous jeune homme ?" ronronne t-elle en s'agrippant à mes épaules.
Je plonge un second doigt et la fouille.
Son vagin est inondé de jus.
Je défais ma braguette, ma verge encore tendue de la saillie précédente.
"Je pourrais crier..."
Mon pal extraie, je le place entre ses nymphes ouvertes.
"Voyou... vous voulez abuser de moi dans un sous-sol..."
Ses hanches se tortillent pour se frotter contre moi.
Sa bouche exhale un souffle de plaisir lorsque je rentre en elle.
"Haa..."
Je recule et la force de nouveau.
Sa jupe remontée sur ses fesses, sur ses hanches.
Mon bassin entre ses cuisses écartées.
Je lui relève une jambe pour mieux la pénétrer.
"Au secours..." murmure t-elle.
Je recule lentement.
"On me viole..." sa voix est susurrée.
Je lui plante alors mon pieu au plus profond de sa matrice, durement, sauvagement.
Elle crie.
Sa voix, ses soupirs résonnent dans le sous-sol sombre et gris.
Je la plante contre le mur, à grands coups de reins, rudes.
L'ambiance glauque du lieu me fait devenir animal.
Elle pousse des petits "oui.. ho oui... oui... ouiiii" tout au long de la saillie, debout.
Mon pieu coulisse dans sa cheminée intime de façon aisée tant elle est lubrifiée.
Autour de ma verge je sens les contractions de son vagin en fusion.
Elle gémit.
Je la perce.
Un éclairage de voiture balaie notre coin dans l'ombre.
Je m'immobilise, planté en elle.
Nos deux corps soudés l'un à l'autre.
Sa respiration dans mon cou.
Une portière claque.
Mon sexe palpite dans sa fente.
Elle y répond par des mouvements internes qui m'aspirent et me font un bien exquis.
"Je pourrais appeler à l'aide..." me murmure t-elle.
"Vous pourriez oui" lui réponds-je en l'embrassant dans le cou.
"Un homme pourrait venir me sauver..."
Je ne réponds rien, j'ondule en elle, doucement, sans bruit.
"Tu serais obligé de me partager mon bébé..."
Je donne un coup de reins un peu plus prononcé.
"Hum... Il me violerait en même temps que toi..."
Je la retourne brusquement.
Ma main sous son pull je masse sa poitrine dont le soutif est baissé sans ménagement.
Echauffé par ses allégations sulfureuses, je bande comme rarement.
Le sous-sol redevient silencieux.
"Hooo... au viol... on veut m'enculer..." fait-elle mine de dire en me lançant un regard enfiévré.
Mon gland force, entre, étroitement engoncé dans ce puits serré et résistant.
Un premier coup de butoir...
Je la sodomise sans douceur.
Elle pousse un cri plus fort et je vois son visage se crisper.
Ma longue tige s'enfonce et perce sa rondelle étroite.
Je recule.
Elle souffle... reprend conscience de son corps.
Un deuxième assaut, mon sexe comme un bélier pour défoncer la porte de son... cul.
Elle pousse un râle.
Mon pylône reflue et s'enfonce de nouveau.
Je lui ramone l'anus avec une rage folle, lui provoquant des cris entrecoupés de gémissements.
Le fait qu'elle m'ait utilisée, qu'elle me fasse autant fantasmer me rend ivre de désir et d'envies.
Mes coups de reins deviennent assauts de pilon.
Je la force contre nature avec une énergie chaque fois renouvelée par ses petits cris, entre douleur et bonheur.
Ses fesses enserrent mon piton en feu.
Je sens ses tétons durcir d'un coup.
Je les pince et elle pousse un soupir rauque.
Elle roule des hanches autant qu'elle peut, accompagnant la sodomie que je lui inflige.
A peine visible dans l'ombre, j'imagine son visage adorablement crispé dans le plaisir.
Je me vide en elle.
D'un seul coup le plaisir est venu.
Elle y répond avec un feulement que je connais... celui de son orgasme.
Nos jouissances simultanées sont fortes, violentes.
Je gicle en abondance dans son fondement, résultat de mon excitation durable.
Mon foutre lui dégouline sur les fesses, sur les cuisses, s'ajoute à la cyprine qu'elle expulse de son vagin inondé.
Ses cuisses maculées de jus.
Je me retire lentement.
Sa jupe se baisse sur son séant encore ouvert.
Elle reste en position, contre le mur, oscillant des hanches.
"Tu m'as violé comme une vulgaire femelle en chaleur mon bébé."
J'ai encore la verge tendue vers le ciel.
Sa croupe qui oscille devant moi m'empêche de débander tellement je l'ai imaginé dans mes rêves, tant je l'ai désiré et à quel point elle m'ensorcelle.
"J'en veux encore dans ma chatte."
Je prends ses hanches et le bascule vers moi.
Elle à les fesses vers moi, en arrière, elle se cambre.
Son visage si doux sur un bras replié contre le mur rugueux.
De sa main libre elle remonte sa jupe sur ses hanches.
Ses bas sont trempées de nos sucs.
Elle ouvre le compas de ses cuisses et tend ses fesses vers le ciel pour me révéler sa vulve lisse dans le clair obscur de ce sous-sol vide.
"Prends moi encore... comme une catin... comme ta putain".
Je m'introduis lentement.
Nos mouvements sont souples, coulés, à l'unisson.
Elle accompagne mes vas et vient en aspirant mon sexe de son vagin, en ondulant des hanches pour que je la prenne profondément.
Je lime en elle, calmement, je profite de son antre après l'avoir possédée comme un hussard.
"Vous êtes si bonne Sylvie".
Elle gémit.
"J'aime violer votre... fessier".
"Hooo... tu veux dire : mon cul ?"
"Oui..."
"Mon petit cul en feu"
"Oui... j'aime baiser votre petit cul en rut, ma... putain".
Je me surprends à lui parler ainsi mais je sais qu'elle aime ce langage car elle pousse vers moi pour se faire enfoncer plus loin.
Et le résultat ne se fait pas attendre.
Tout en continuant de la baiser, je lui caresse le clitoris.
Je rencontre ses doigts, la coquine s'amusait avec.
Elle a de petits soubresauts.
Ses doigts serrent les miens.
Nos mains se couvrent de mouille... tiède...
Elle jouit en silence.
Nos doigts souillés.
Je me retire doucement.
Elle se réajuste.
"Sylvie... vous..."
Son doigt gluant se pose sur ma bouche.
"Chut. Rentrons vite. Je suis toute sale".
Je lèche son doigt.
Il sent son sexe, il a le gout de son trésor.
"Et j'ai encore... très envie".

A suivre... 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

[...]

Lorsque j'ouvre la porte de mon studio, découvrant ma Muse, mon cœur s'emballe.PJ2
De plus de 15 ans mon ainée, cette blonde merveilleuse est devenue mon amante après avoir hanté mes fantasmes d'adolescent lorsqu'elle venait rendre visite à mes parents.
Juchée sur ses talons, elle fait ma taille.
Ses bas noirs galbent ses jambes et se perdent sous la jupe grise, étroite, qui met en valeur son séant séduisant.
Un pull blanc moule sa poitrine généreuse.
J'avale difficilement ma salive.
Je lui souris.
Ses yeux étincellent.
Elle me rend mon sourire.
"Bonjour mon bébé. Je suis venu faire des courses en ville. Tu m'accompagnes ?"
Sa voix est un torrent de douceur, une cascade sensuelle qui me donne instantanément chaud.
"Avec plaisir", dis-je en passant ma veste sur ma tenue décontractée tout heureux de pouvoir avoir un moment à ses côtés.
A peine dans l'ascenseur nos mains se frôlent, se saisissent, nos corps se rapprochent.
Je dépose un baiser sur sa bouche, pris d'une hardiesse peu commune.
Elle répond à mon envie en ouvrant ses lèvres délicates.
Nos langue se mêlent, s'enroulent.
Je sens ma verge gonfler...
Le tintement de l'arrêt nous ramène à la réalité.
"Tu m'as manqué" me sourit-elle.
"Oui... tellement" lui murmure-je.
Elle passe son index sur ma bouche.
"Tu embrasses divinement mon bébé".
Le balancement de ses hanches est un appel à l'envie.

Je prends place à ses côtés dans l'habitacle étroit de sa petite voiture.
Mon regard s'attarde sur ses cuisses dont la jupe dévoile la pleine beauté.
Sa poitrine fièrement dressée captive mon attention.
Elle me sourit et les minutes s'écoulent d'une si agréable façon que je ne vois pas le temps passer.
Nous prenons un café, puis faisons les magasins.
Elle place devant elle des tenues toutes plus ridicules les unes que les autres et nous rions de bon cœur.
Puis nous entrons dans une parfumerie.
Elle dépose quelques gouttes de parfum dans son cou.
"Il te plait celui-là ?" me demande t-elle en inclinant son visage pour m'offrir sa peau.
Je la hume... délicieuse.
Penché sur elle je suis à quelques millimètres de son corps.
"Il est parfait, envoutant".
Mêlé à son odeur de femme je sens l'effet immédiat de sa fragrance sur ma virilité.
Au comptoir la serveuse encaisse..
"C'est gentil à votre fils de vous accompagner" croit-elle bon d'ajouter.
Ma Muse la regarde, bat des cils, sourit de ce sourire ravageur qui me fait rougir et, en se penchant un peu sous l'air de la confidence, lui lance doucement :
"Ce n'est pas mon fils."
La femme me regarde, s'empourpre et baisse le regard.
Nous sortons du magasin sous l'œil envieux de cette femme qui n'en revient pas.
"Je suis sure qu'elle aurait aimé te croquer cette coquine" me dit-elle.
Nos rires s'unissent.
"Elle n'est pas assez bien pour vous éclipser".
"Hoo... mais tu sais que je pourrais être plus exigeante avec toi..." laisse t-elle planer.
Je n'ai pas le temps de la questionner plus qu'elle m'entraine dans un magasin de lingerie.
Elle me montre un pyjama rose en pilou.
A mon regard et mes sourcils froncés elle le repose.
Je lui montre alors des chaussons à oreilles de lapins.
Elle pouffe d'amusement.
Lorsqu'elle me présente un bustier de dentelles, notre réaction est radicalement différente.
Sans un mot elle le place sur son bras.
Elle s'empare de plusieurs ensembles de dessous, toutes aussi affriolantes les unes que les autres puis se dirige vers les cabines d'essayage.
Je laisse flâner mon regard sur la jeune femme aux cheveux roux qui veille et conseille les femmes qui viennent essayer leurs tenues.
Bien qu'agréable et ave un beau sourire, elle ne parvient pas à éclipser le simple souvenir de mon amante.
Lorsque je me retourne vers la cabine, son visage ovale, doux, dans lequel brille ses yeux, encadré de sa chevelure dorée est passée entre une cloison et un rideau sombre.
Elle me sourit.
Je rougis d'avoir été surpris en train de regarder une autre femme.
"Tu me donnes ton avis ?"
J'approche sans me le faire demander une seconde fois.
Elle écarte le rideau, recule d'un pas pour que je puisse mieux la contempler.
Divine !
Son clin d'œil me rappelle à l'ordre.
Généreusement engoncée dans son soutien gorge de dentelles transparente, sa poitrine laisse apparaitre ses auréoles brunes et des tétons longs qui déforment le tissu.
"Il te plait ?"
"Beaucoup"
Elle se tourne et le retire, faussement pudique.
Son dos est un plaisir pour les yeux.
Sa chute de reins que la robe moulante rend splendide me rend instantanément fou d'envie.
Elle passe un second harnachement, très décolleté où sa peau pâle est mise en valeur par le contraste avec les arabesques noires.
"Je vais être obligée de prendre les deux" me dit-elle "Si j'en crois ta mine".
Le rideau se tire sur mon fantasme féminin.
Une érection difficile à cacher me prend.
J'ai beau placer mes mains devant mon entrejambe je surprends le regard de la rouquine sur moi.
La jeune vendeuse me regarde sévèrement.
Lorsque nous sortons du magasin mon sexe me fait mal tant il est gonflé dans mon boxer.
"Elle te plaisait elle aussi ?"
Ben que je m'attendais à cette remarque, je la redoutais.
"Je... non !"
Elle pince sa lèvre inférieure.
Même fâchée elle est sexy.
"Elle n'est pourtant pas vilaine".
"Trop jeune pour moi"
"Tu dis cela pour me flatter mon coquin."
Nous déambulons jusqu'à entrer dans un restaurant.
Notre conversation se poursuit, seulement troublée par la prise de commande du serveur sur lequel elle jette un œil gourmand qui me laisse froid.
"Un jour tu me laisseras pour une autre mon bébé".
Du dos de sa main elle me caresse la joue.
"Je ne veux pas vous perdre madame".
Ma main trouve la sienne, elles s'étreignent.
Sa bouche dépose un baiser sur la mienne.
"Appelle-moi Sylvie, s'il te plait... ce "madame" m'excite surtout lorsque tu me prends comme tu sais si bien le faire".
Ma gorge se noue.
Lorsque je relève les yeux sur elle, son sourire me réchauffe.
"Vous êtes irremplaçable".
Mon pied trouve sa cheville.
Au milieu des autres convives nous nous effleurons tout au long de notre collation.
"Tu n'as même pas eu de partenaire depuis ma dernière venue ?"
Je m'empourpre.
"Je ne t'en veux pas... tu sais... tu as le droit, je trouve même cela... excitant".
Sa voix me transporte.
"Elle n'était pas à votre hauteur" murmure-je un peu honteux.
"Pas aussi cochonne que moi ?"
"Non... "
Elle sait lire en moi.
"Je te fais devenir difficile. C'est mieux, je n'aimerais pas que tu t'entiches d'une prude indécrottable".
Nos sourires, nos yeux qui se plissent...
La complicité est au cœur de notre repas.
Le dessert se poursuit sur des badineries plus sensuelles par un jeu de bouches sur nos cuillères.
Elle se penche soudain vers moi en reposant son couvert qu'elle a léché de façon érotique.
"J'ai envie de toi. Maintenant".
Ses yeux s'ouvrent, roulent, sa bouche se fait mutine.
"Je vais payer... rejoins moi aux toilettes".
Ses fesses se balancent et elle se retourne pour me faire un clin d'œil aguicheur.
Ramassant ma veste je me dirige vers les WC.
Une femme se lave les mains.
Je vais pour me diriger vers la porte des hommes et me ressaisie.
J'hésite.
J'attends.
La femme me regarde d'un air surpris.
Je me lave les mains à côté d'elle.
Son regard se baisse sur mon pantalon et je vois qu'elle vient de découvrir mon érection.
Elle se hâte de sécher ses mains, gênée, autant que moi surement, et se trouve nez à nez avec ma complice, toutes deux se croisant dans la porte.
Je pousse la porte à l'étiquette féminine.
Elle m'y suit et referme derrière elle le petit loquet d'argent.
Je la plaque alors au mur.
Ma main vient se glisser sous sa jupe serrée, entre ses cuisses.
"Haa oui... écarte-moi".
Je palpe son entre jambe.
Sa culotte est souillée.
Je la masse, découvrant à chaque fois avec délice ses lèvres qui se dessinent sous la dentelle.
"J'ai envie de vous madame".
"Moi aussi mon bébé... je mouille depuis que je sais que je viens te voir..."
"Vous êtes en chaleur."
Je pose ma main libre sur son pull moulant, je pétris le sein ample.
Elle flatte ma verge.
"Oui... hum... ta petite chienne est en chaleur mon bébé".
Je crochète son dessous et le tire à mi cuisses, retenu par ses bas résilles et le porte jarretelle que je découvre sous mes doigts.
Elle roule des hanches, mes doigts fouillent son sexe ouvert.
Ma verge sort de mon pantalon, de mon boxer qu'elle a dégrafé avec une expertise digne d'une illusionniste.
Je flatte son clitoris.
Sa perle gorgée de sang est déjà libre.
Elle grogne lorsque je tire doucement sur son bonbon intime, puis lâche un gémissement plus sourd, à moitié retenu par le plaisir trop rapide qui monte en elle.
Sa main ma masturbe lentement, elle me décalotte le gland et se frotte avec mon bout pourpre.
J'entrouvre ses grandes nymphes.
Elle positionne mon vit tendu sur son abricot dont le jus me coule sur les doigts.
D'un mouvement du bassin je la perce.
Elle soupire.
"Ho... madame... oui... vous êtes si... han !"
Je l'enfile plus profondément.
Mon sexe long s'enfonce en elle et je geins à mon tour, de plaisir.
"Je suis si... bonne ?" me murmure t-elle en se déhanchant pour s'empaler plus loin encore.
"Oui... si bonne à baiser".
Son visage se rejette vers l'arrière.
"Haaaa mon coquin... tu es long... tu me tapes au fond du vagin... aie... hummm..."
Ses grimaces, lorsque je cogne tout au fond de son intimité, se métamorphosent immédiatement en souffles extatiques et ses ongles me griffent le dos.
Ses mains sous ma chemise, elle s'agrippe à moi.
J'ai relevé ses cuisses, je la maintiens par les genoux, seulement tenue par ma verge sur laquelle elle ne peut que s'empaler jusqu'au fond de sa matrice.
"Sylvie... j'aime vous prendre".
Je sais qu'elle aime lorsque je suis dans cette retenue très osée.
Elle me laisse la posséder, sa vulve se contracte et me masse le sexe.
J'accélère.
"Haaa oui ! Encore ! Vas-y ! Baise-moi !! Haaaaa !!"
Mes assauts la font taper contre le mur.
Je fais aller et venir ma verge en elle, son jus tiède que je sens sur mes bourses me rend fou de désir.
Son cou, sa bouche, ses soupirs...
Son corps qui ondule, presque en transe sous mes coups de sexe.
Je gravis avec elle, les barreaux de l'échelle du plaisir.
Nous ne sommes plus que grognements et gémissements.
Gênée par sa culotte qui se distend sous l'écartement de ses jambes, par sa jupe droite qui remonte sur ses hanches, ses sensations en son accrues.
Nos bouches se trouvent, nos langues se lient.
Son orgasme arrive.
Elle se cabre telle une furie.
Je la rejoins quelques secondes plus tard.
Nos jouissances sont simultanées, violentes, rapides.
J'éjacule à grands jets dans son con détrempé de cyprine odorante.
Notre baiser s'éternise alors que nos corps ralentissent d'eux-même.
Je pends doucement, à peine amollis.
La plaisir vient de nous terrassé.
Nos regards plongés l'un dans l'autre.
Jamais femme n'a été plus belle qu'elle.
Cet endroit est le palais le plus somptueux, loin de moi l'exiguïté des lieux...
Un tapement à la porte nous rappelle à la réalité.
Elle remonte son string.
Je reboutonne mon pantalon, fourrant ma verge dans mon boxer.
Nous sortons des WC pour femme.
Celle qui vient de nous en déloger est furibonde.
Son visage est rouge.
Ma muse lui sourit et réajuste son soutien gorge puis sa jupe.
"Vous pouvez y aller madame... ces toilettes sont parfaites" lui dit-elle, ironique.
Je la suis, amusé par la malice qu'elle met dans ses paroles.
La traversée du restaurant se fait sous les observations stupéfaites des clients qui étaient proches des toilettes.
"Vous avez du crier Sylvie" lui dis je alors nos mains se captent et que nos doigts se croisent.
"Toi aussi. Tu ne t'en es pas aperçu ?"
Dans la rue l'air frais nous fait frémir.
"Moi ?"
"Oui... tu m'as lancé 2 mots... très crus... qui m'ont fait venir encore plus vite... hum mon délicieux coquin".
Mon souvenir en a été perturbé par mon plaisir et je n'en ai même pas eu conscience.
"Cela vous a plu ?" hésite-je.
"J'adore être ta "petite catin"..."ta salope", si tu veux vraiment le savoir". sourit-elle.
Je lui rends.
"Je suis trempée. Ton foutre me dégouline au fond du string et me coule sur les cuisses mon bébé." poursuit-elle en serrant ma main.
"Vous voulez rentrer ?"
"J'ai une autre idée. Nous sommes très proche de chez une amie."
"Mais, vous..."
"Tu m'avais dit que tu ferais "tout" pour moi. Tu vas voir que je suis une vraie... salope".
Dans mon boxer mon sexe se durcit de nouveau.
Le ronronnement de sa voiture, la fragrance de son entrejambe et ses paroles sibyllines me laissent dans l'expectative.
"Tu es d'accord pour me suivre ?"
Elle me lance ce sourire désarmant qui me fait bander instantanément.
"J'irais au bout du monde avec vous ma Muse".
La petite auto se lance.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • Le blog de M.
  • : Le blog de M.
  • : Récits érotiques sur les rives du plaisir.

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés