Elle... Il... en duo

[...]

Mon mari est revenu de son déplacement.b&wperle3
Pendant le repas ma fille ne dit rien de ce qu'elle a surpris.
Marc me raconte ses nouvelles missions, j'écoute, distraite, anxieuse.
"Et toi alors ? Tu ne t'es pas trop ennuyée ?" me demande t-il.
Un coup d'œil à Céline, elle me fait un petit sourire, signe qu'elle va garder le silence sur ma coupable infidélité.
Je réponds par la négative, affirmant que rien ne particulier n'est à signaler.
Un frisson glacial le long de ma colonne vertébrale.
Dans une apparente décontraction le repas s'achève enfin.
Je souffle en me couchant, ravi que son retour se soit bien passé et qu'il n'est rien découvert ni suspecté.
Lorsque sa main se pose sur moi je frémis.
"Veux-tu que nous fassions l'amour ?" me murmure t-il doucement.
Après un instant de contraction, je me détends.
Mon bassin ondule.
J'aurais envie qu'il ne me demande pas... qu'il me prenne comme un... son patron.
Je déglutis pour chasser ses pensées immorales de mon esprit.
"Oui. Bien sur".
"Ma chérie." fait-il en se tournant vers moi.
Il vient au dessus de moi.
J'écarte mes cuisses.
Comme d'habitude, sur le dos.
Son sexe me semble petit lorsqu'il me pénètre.
Sans un effort il est entièrement en moi.
Ses mots sont si doux, des mots d'amour qui me flattent.
Il s'agite, je contracte mon vagin et bascule un peu mon bassin pour le sentir me faire du bien, un peu plus loin.
Il accélère.
Son dard me perce d'avant en arrière.
Je revis les scènes d'avec... un autre... et je pousse un petit gémissement.
J'aurais envie qu'il me retourne, pour une fois, qu'il m'agrippe les cheveux... qu'il me force à le prendre en bouche... qu'il... soit cochon dans ses paroles.
Je pousse un petit "hooo" qui m'échappe.
Il se contracte, se retire vivement et se vide sur mon ventre.
Je regarde l'horloge aux chiffres rouges électriques.
3 minutes...
J'en ai les larmes aux yeux.
Il s'affaisse sur le côté après m'avoir embrassé délicatement du bout des lèvres.
Je reste immobile.
Allongée.
Si rapide.
Les envies que je viens d'avoir me semblent si perverses et pourtant si gorgées de plaisirs impolis, charnels, émoustillant.
Ma main effleure ma cuisse, le pli de l'aine.
Marc s'est déjà assoupi.
Je sens mes joues rougir alors que mes doigts effleurent mes nymphes humides.
Pour la première fois en 20 ans de mariage, je frôle mon sexe à côté de mon époux.
Le désir est trop présent.
Je me caresse.
Mes doigts jouent, écartent mes lèvres et j'appuie sur mon bonbon tout juste sorti de sa petite grotte.
De cercles lents, pour ne pas le déranger.
Devant mes yeux fermés passent les images de mes incartades.
A mes oreilles résonnent encore les mots cochons de mon amant.
Je pousse un petit gémissement comme j'entre mon index dans mon vagin en feu.
Marc se tourne vers moi.
"Tu ne dors pas ?" fait-il, endormi.
Je suffoque.
"Non...non je n'y arrive pas". balbutie-je, le doigt enfoncé en moi, sans un geste.
Il souffle et me lance un "Regarde un film si tu veux..." avant de replonger dans les bras de Morphée.
Je reste ainsi, sans bouger.
J'ai honte.
Puis je me lève.
Je passe ma robe de chambre sur ma nuisette.
L'air frais sur mon sexe ouvert me donne encore plus chaud au bas ventre.
Le tissu fin frotte mes tétons dardés comme des canons.
Je descends l'escalier, allume la télévision.
Rien... je regarde d'un air distrait.
Une publicité tardive et "osée" me vante les mérites d'un site Internet.
Une boule dans mon ventre, enfle de plus en plus.
Non... humm... non... et puis zut !
J'allume l'écran.
Les doigts fébriles, je lance le site.
Un chat.
Je ne sais quel pseudo utiliser, je mets mon prénom, après tout personne ne peut me découvrir dans l'anonymat de ce genre de salons.
Je suis vite abordée par des demandes toutes plus crues les unes que les autres.
Les hommes se ruent sur moi sans même me connaitre.
Je prends peur, j'ai envie de tout couper mais mon désir reste présent.
L'un d'eux, plus calme, retient mon attention.
Très vite il m'entraine dans un tourbillon de mots, de paroles, d'histoire où le plaisir est central.
Je laisse aller à suivre ses désirs, refusant par principe ce qu'il m'évoque.
Je me caresse à sa lecture.
Il apprécie mes commentaires, peu a peu j'ose quelques remarques.
Je m'aperçois que mes écrits me font aussi du bien.
Mes doigts sur mon sexe, impudique, trop impudique, je me masturbe sans contrainte.
Je suis brulante, transpirante.
Je gémis, je me tortille sur mon doigt.
Mon bassin s'agite en tous sens.
Je danse sur mes doigts, deux... enfoncés dans mon vagin gluant.
Ils remontent et étalent le sirop sur mon bourgeon excité.
Un cri sort de ma bouche, a demi étouffé.
L'orgasme me surprend alors que mon partenaire d'écriture me dit me prendre à 4 pattes... "comme une chienne".
Je souille mon fauteuil et ma main.
J'ai honte.
Ma respiration ralentit lentement.
L'homme me demande si je suis partie.
Je n'ose répondre.
Comment avouer que je viens de jouir ?
D'un geste rapide je coupe l'ordinateur.
Je ne crois pas encore que j'ai pu faire ça.
Mes joues sont rouges.
Mon cœur bat fort.
Avec une lingette, je nettoie le cuir du fauteuil.
Mon bas ventre est sale.
Ma vulve est sensible à l'extrême.

La douche va me faire du bien.
Enfin... si le jet ne m'excite pas encore... ho !

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]sslt

Un mois s'est écoulé depuis mon incartade.
Mon mari ne sait pas.
Je lui cache que son patron m'a... possédé.
J'en ai trop honte, jamais je ne pourrais lui avouer et m'avouer ce manquement moral à ma fidélité.
Marc est si doux, si tendre... alors que son patron est si...
Hooo je rougis rien qu'en repensant aux mots osés qu'il m'a dit et aux positions qu'il m'a fait prendre.
Mon sexe, lui, a apprécié et il en vibre encore à ce simple souvenir.

Depuis Marc a eu une augmentation, une promotion.
Sans aucune raison particulière je me garde bien de lui dire le fond de ma pensée.
Il est parti depuis 2 jours car désormais son emploi l'emmène à se déplacer et découcher.
Je suis donc seule avec ma fille, devant mon café matinal.
Elle englouti un bol de lait avant de reprendre part à ses révisions.

La sonnette retentit.
Céline se lève d'un bon et va ouvrir.
Je l'entends dire "oui, entrez donc".
Dans l'embrasure de la porte se profile le patron de Marc.
Je deviens rouge et je me sens trembler.
D'un mouvement un peu maladroit, je ressers ma robe de chambre de satin sur ma nuisette.
Je me lève avec peine et lui serre la main.
Ma fille me regarde étrangement avant de s'éclipser vers sa chambre.

"Votre fille ?"
J'acquiesce en hochant la tête.
"Charmante... Quel âge ?"
Je sursaute.
Sa voix me perce comme une aiguille chauffée à blanc.
"21 ans..."
Il la regarde s'éloigner.
"Très intéressant..." fait-il en caressant son menton, le regard accroché dans la direction de ma fille.
"Que venez-vous faire ici ?" parviens-je à articuler, une fois la surprise passée, pour changer de sujet.
Il pose un doigt sur le tour du bol de lait de Céline avec un petit sourire.
"Marc a du oublier quelque chose ici. Avec ses nouvelles fonctions qui le font s'éloigner de chez lui et du bureau, je suis bien obligé de venir palier à ses manques".
Le son chaud et profond, grave, de sa voix me fait tressaillir.
Les sous-entendus sont nombreux et ils m'échauffent le bas ventre.
Est-ce moi qui donne un sens particulier à cette réponse ou bien Est-ce lui qui est habile dans le choix de ses mots ?
Je cherche à conserver une certaine contenance.
Ses yeux se sont posés sur ma poitrine.
Je découvre que mes seins ont gonflés, que mes tétons sont très visibles par les déformations qu'ils marquent à la robe de chambre, trop fine.
"Vous... vous voulez voir dans son bureau si vous trouvez ce que vous cherchez ?" Fais-je en me tournant pour ne pas lui présenter les témoins de mon émotion.
Je suis morte de honte.
"Je vous suis".
Il doit voir mes hanches se balancer, mes jambes seulement couvertes jusqu'à mi cuisses, mes pieds dans des petits chaussons roses.
Je me sens ridicule.
J'essaie d'entraver le balancement de mes fesses mais j'ai l'impression de l'accentuer.
"Superbe" commente t-il en m'emboitant le pas.
Mes nymphes deviennent humides, je le sens à chaque pas.
Un petit bruit de succion me semble résonner aussi fort qu'un torrent de montagne.
Nous entrons dans la salle à manger où Marc a un espace bureau.
Il me pose alors les deux mains sur les hanches.
Et sa bouche vient embrasser mon cou.
Hooo... non... je revis la même scène... je veux me refuser mais mon séant se cambre insidieusement.
Il me mordille la nuque avant de me retourner face à lui à l'aide de ses mains puissantes.
Les fesses sur le bureau de mon mari je déglutis avec peine.
Son patron me serre, ses jambes collées aux miennes.
Ses doigts s'agitent en caresses.
Son odeur de mâle m'excite les narines.
Il remonte une main très lentement sur un de mes seins.
Il le presse doucement dans un crissement léger de satin.
Son sourire me fait tourner le visage.
Mon corps reste immobile.
Sa seconde main se place elle aussi en coupe autour de ma poitrine.
Il me malaxe avec une dextérité que j'imagine acquise avec beaucoup d'expérience.
Je gémis.
"Non... Pas ça. Pas ici... ma fille pourrait..." je me mords la lèvre inférieure pour ne pas crier.
Il est venu se placer entre mes jambes.
Mes cuisses se sont écartées, dévoilées.
Ses doigts roulent sur mes tétons visibles, il me les saisis et les fait tourner.
La double couche de satin les irrite, les fait rougir.
Je lâche un soupir impudique.
"Haaaan...."
Mes jambes s'ouvrent sous un réflexe de sensualité.
"Béatrice, décidemment vos refus sonnent comme des demandes très coquines".
Je voudrais tellement qu'il me laisse... autant que je voudrais qu'il... me prenne tout de suite, là, sur le bureau de Marc.
Mes pensées se télescopent.
Je ne me contrôle qu'avec peine.
D'un geste coulé, il tire sur le nœud de la ceinture qui me resserre la taille.
Il dénoue ma robe de chambre.
Elle s'ouvre, elle s'écarte sur ma nuisette.
"Un cadeau de Marc ?"
Je deviens aussi écarlate qu'un coquelicot.
"Elle vous met en valeur" fait-il en soupesant un de mes seins de sa main chaleureuse.
Ses doigts flirtent sur mes épaules, et font glisser les attaches de ma nuisette.
Les fines bretelles tombent à bas et ma poitrine est bien visible, la vallée sombre de ma peau pâle attire sa bouche.
Penché sur moi il dépose de doux baisers gourmands sur mes globes qui se tendent encore plus.
Je pousse un petit gémissement.
Il dénude un sein, la bretelle tombe sur mon bras.
Et sa bouche... hummm... m'embrasse... effleure mon mamelon... suce mon téton.
Un cri rauque m'échappe.
Il aspire ma tétine et la fait se distendre dans sa bouche.
Du bout de la langue il titille ma pointe, ses doigts appuient et mon sein est malaxé, pétri, tiré vers l'avant jusqu'à faire grossir mon auréole.
Il me bascule sur le bureau...
Le bureau... de mon époux...
Le bas de ma nuisette remonte sur mon ventre.
Mon intimité offerte à son regard.
Ma toison blonde est humide.
Ses mots crus me font frémir, rougir... désirer.
"Ta petite chatte est toute mouillée ma coquine".
Je ne veux pas y croire.
Sa bouche se pose alors sur mon sexe.
Il embrasse mon abricot dans un bruit totalement obscène.
Sa langue s'enfonce entre mes lèvres brunes, ruisselantes.
Il aspire et je l'entends boire mes écoulements de plaisir.
Son muscle agile tourne et me fouille la vulve.
Cet homme sait y faire avec une femme et lorsqu'il suçote mon clitoris, je ne peux m'empêcher de pousser des petits gémissements de plus en plus longs et bruyants.
Il est gourmand, il est vorace.
Sa bouche plaquée à moi me colle telle une sangsue sensuelle.
Je crispe mes doigts dans ses cheveux et lâche un cri lorsqu'il me fait jouir sous les actions coupables de sa langue.
"Haaaa ouiii ! Ouiiiii !"
Ses mains sur l'intérieur de mes cuisses, ses doigts viennent de part et d'autre de ma fente, il m'ouvre en deux, écarte mes muqueuses jusqu'à dévoiler l'intégralité de mon sexe.
Je coule en abondance.
Je me sens perdue... livrée à son regard... offerte à ses doigts inquisiteurs... soumise à la jouissance qu'il me donne.
Il remonte alors entre mes cuisses et déboutonne son pantalon.
Je respire avec peine.
Son sexe se pose sur ma cuisse.
Essoufflée, je tente de le repousser d'un faible mouvement de mains, mais il a déjà enfoncé son gland rond dans mon intimité.
Je grimace.
Aussitôt après cet orgasme qui vient de me couper les jambes, je suis hyper sensible...
Alors, lorsqu'il s'enfonce en moi, je pousse un râle et je m'effondre, allongée sur le dos sur le bureau de Marc.
Il empoigne mes jambes et m'attire vers lui.
Sa large hampe de chair me transperce.
Ma bouche grande ouverte, incapable d'émettre le moindre son, je subis un aller et retour qui me force profondément.
"Hannnnnn !!! Non... pas.... haaaaaann !"
Ses va et vient me donnent l'impression d'être littéralement prise par un sexe de taille monstrueuse qui me défonce le vagin.
Le plaisir croit, enfle, me fait trembler.
Il me fourre son pieu de chair, me l'enfonce jusqu'à la garde et me fait pousser des gémissements, des cris sans retenue.
Je le sens me triturer les seins, me donner des petites pichenettes sur les tétons.
Tout ceci me rend folle.
Mais ses mots... crus... me font fondre.
Ce sont des murmures si osés et pourtant si érotiques que je les accueille comme des délices sucrés salés.
Je m'offre alors totalement, je bascule mon bassin vers lui, j'accroche ses avants bras pour qu'il accentue sa saillie.
Je me sens... femme... désirée... sexuellement désirée.
Ma gorge devient sèche, ma vulve se contracte autour du manche raide qui me parcourt sans relâche.
Les orgasmes s'enchainent.
J'ai les yeux grands ouverts, le regard dans le vide...
Son foutre chaud se répand en moi.
Je l'accueille sans le repousser.
Il gicle dans ma matrice et sans cesser ses ondulations, nos sirops se mélangent, dégoulinent sur mes fesses et mes cuisses.
Quand il ressort son pal, la sensation de vide est atroce, je voudrais le retenir.
S'il savait... il pourrait m'avoir à lui, totalement en cet instant.
"Ma belle petite cochonne" sourit-il en me caressant le sexe.
Je suis ouverte, béante, souillée, et je me laisse caresser.
Il étale le jus gluant sur ma toison.
Ce "ma" me fait un effet fou.
Oui je suis à lui. Je suis Sa chose... sa coch.... hoooo c'est tellement incroyable.
Je referme difficilement mes cuisses, mon sexe est en feu, douloureux.
Il remonte son pantalon.
Je jette un œil discret sur son  entrejambe, sa verge épaisse qui dodeline, son pubis et ses bourses glabres. Autant de nouveautés qui me donnent le tournis.
Je me rajuste et me relève.
Il prend un petit dossier tombé du bureau dans nos ébats.
"Ce dossier devrait me satisfaire, pour le moment".
J'ai baissé les yeux pour ne pas croiser son regard métallique.
Le bureau de Marc est en désordre.
Je le raccompagne jusqu'à la porte sans un mot.
"A bientôt, très bientôt, charmante Béatrice" fait-il en déposant un baiser sur mon front.
Je referme précipitamment derrière lui.
Adossée à l'entrée je me sens apaiser, Marc n'est pas là... il n'en saura rien.
Je découvre alors que ma fille me dévisage.
Les larmes me montent aux yeux.
"Maman... la prochaine fois, tu pourrais faire moins de bruit ? Et puis préviens-moi, j'irais faire un tour avec la voiture." fait-elle en souriant.
Mes joues sont carmins, cramoisies de honte.
Une douche me fera le plus grand bien... sauf si le jet redouble mes désirs.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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bnb[...]


Je n'étais pas retournée au bureau de mon mari depuis que son patron m'avait prise en ces lieux.
Je m'efforçais de ne plus y penser mais mes rêves étaient parfois agités et des images me revenaient, précises, persistantes... érotiques... perverses.
Il m'était ardu de résister à poser mes longs doigts fins sur ma toison courte et blonde.
Mes mamelons se gonflaient soudain de plaisir, en pleine journée, ou au réveil à la simple pensée de cette incartade aux principes de mon mariage.
C'était horrible, cela me mettait le feu au bas ventre.
Je ne lui avais rien dit, gardant mon coupable méfait pour moi, portant ce fardeau comme un boulet de forçat.
J'étais punie par mes remords.
Comment avais-je pu faire une telle chose alors que Marc était un époux aimant, doux, attentif ?
Depuis nous avions refait l'amour.
Cela n'avait aucun rapport avec la débauche de sens que j'avais connu, c'était beaucoup plus sensuel et réservé.
C'est à ce moment, perdue dans mes pensées, alors que je rangeais la chambre de notre grande fille, que la sonnette retentit.

J'ouvre la porte et je sursaute.
La directeur de mon mari me sourit.
Mes joues deviennent aussi rouges que des fleurs de coquelicot.
Mon premier réflexe est de claquer la porte, de barrer le verrou.
Au lieu de cela je l'invite à entrer.
Des idées en tous sens dans mon cerveau qui s'affole.
Le refus, l'envie, la honte, la surprise.
Je me sens perdue mais je garde contenance.
Le souvenir de la dernière fois où je l'ai vu me fait l'effet d'une gifle.
"Vous désirez ?" parviens je à énoncer sans avoir la voix trop chevrotante.
Il pose ses yeux sur moi.
Son regard de mâle, si sur de lui.
Plus grand que moi je sens ses yeux passer de mon cou à mes seins puis glisser sur mes hanches.
Je me sens si fragile dans cette robe légère.
Ma poitrine se soulève au rythme de ma respiration.
Il lève un sourcil, le coin de sa bouche en sourire.
Je croise mes bras et ses yeux de braise remontent se plonger dans les miens.
"J'avais à faire dans les alentours, je suis passé vous saluer".
Que sa voix est grave, forte. Si différente de Marc.
"Mon mari n'est pas là". Je tente de garder mon aplomb.
Je revois ses mains se poser sur moi et j'en frémis encore.
"Je sais" lâche t-il en s'avançant vers moi.
Je recule, légèrement apeurée.
Ho oui je suis effrayée... de ce qu'il peut me faire... mais tout autant de mes démons qui me tentent et m'incitent à la luxure.
Il s'approche.
Face à moi, son corps, sa bouche avide, son regard qui me fouille, son parfum qui m'enivre, son sourire qui me donne chaud.
Du dos de sa main droite il caresse ma joue.
J'ai un petit hoquet de surprise.
Ses doigts font filer mes cheveux pour remonter quelques cheveux blonds rebelles derrière mon oreille.
"Béatrice vous êtes... splendide".
Je rougis.
Mon dos rencontre le mur.
Sa main gauche se pose sur mon épaule et caresse mon bras.
Mon cœur s'emballe, je voudrais résister mais il est si proche, si présent, que je ne peux qu'émettre un faible gémissement négatif.
Ses mains jouent sur mes bras, sur mon cou.
Il caresse ma peau qui frisonne sous les sinuosités torrides que font ses doigts sur moi.
Lorsque ses doigts viennent déboutonner le devant de ma robe, je sens mon intimité d'humidifier instantanément.
Le son mat que font les boutons qui s'ouvrent, me semble un bruit de canon à chaque fois.
Ses mains se faufilent sous le tissu, il effleure le tissu de mon soutien gorge, passe sur mes seins, ouvre ma robe qui tombe sur mes hanches.
Je ferme les yeux.
"Non... s'il vous plait.. je suis une épouse sérieuse..." parviens-je à émettre entre mes lèvres sèches, la gorge nouée.
Il prend alors mes seins à pleines mains.
Ses mains, grandes ouvertes, appuient, malaxent mes petits seins dont les tétons qui se tendent, trahissent mes envies inavouables.
Il tire sur le soutien gorge, ma poitrine bondit en avant, le harnais de dentelle sur mon ventre comme un porte jarretelle placé trop haut.
Je gémis à chaque massage qu'il me pratique.
Mes seins nus subissent un délice de caresses.
Il tire délicatement sur mes tétines raides, les fait rouler dans ses mains.
Je m'abandonne à sa bouche qui vient se poser sur mon mamelon, l'aspirer.
Il me tête langoureusement, mon bout de seins aspiré dans sa bouche vorace, soupirant comme une midinette.
"Hooo... non... c'est fou...." ma voix est une plainte.
Sa main vient de glisser sur mon entre cuisse.
Il a remonté ma jupe, enfouit ses doigts entre mes jambes.
Il palpe le tissu de ma culotte, frêle rempart, et m'oblige à écarter les jambes.
"Tu mouilles dis donc" me murmure t-il de façon osée.
Mes yeux s'ouvrent et se referment aussitôt.
J'ai l'image de mon corps totalement à sa merci.
Il me masturbe avec une habileté qui me fait soupirer.
Ma culotte est tombée sur mes chevilles sans que je m'en sois aperçue.
Ses doigts dans ma toison courte, dorée, il presse mes grandes lèvres, son index écarte mes nymphes de haut en bas.
Mon dos contre le mur je ne lui oppose aucune résistance lorsqu'il entre son doigt en moi.
"Oui... tu es toute trempée... petite cochonne."
Je crispe mon visage pour réprimer un gémissement de plaisir qui s'étouffe dans ma gorge.
Cette façon si crue qu'il a de ma parler est toute à la fois un camouflet injurieux et un acte hautement érotique.
Il joue avec ma fente, s'amuse avec mon clitoris qu'il a extraie, qu'il appuie et tire alternativement.
Mes jambes sont molles, je manque de tomber assise au sol, sa main sur mes seins me masse la poitrine pour la soulever et pouvoir sucer mes tétons.
Il me redresse d'un geste, ses deux mains sur mes hanches... puis sur mes fesses.
Il fait glisser la fermeture éclair de son pantalon, sa braguette s'ouvre dans un sifflement obscène.
Un mouvement de côté, je cherche à m'esquiver mais sa main me rappelle à l'ordre en me soulevant une cuisse.
J'ai les jambes écartées et son gland vient se poser contre mon pubis.
Tel un serpent qui sait où est sa proie, son sexe vient trouver le mien.
Il me pénètre alors d'une traite.
Je pousse un cri.
Il a posé un de mes pieds sur une chaise.
Plaquée, il me cloue au mur au moyen de sa verge qui remplit ma matrice, déforme ma motte de femme mariée.
Ma jupe autour de la taille, retroussée en bouchon, mon soutien gorge défait, ma poitrine ballottant, je subis sa saillie.
"Haa ! Hoo... non... Haaa !"
A chaque mouvement de ses reins, son pal de chair me perce un peu plus loin et me fait crier.
Sa verge est si large comparée à celle de Marc, qu'il me donne l'impression de me déchirer.
Ma fente ruisselle, je ne résiste plus à l'acte d'infidélité qui me donne des frissons et... je refuse de me l'avouer... du plaisir.
Il accélère, mes fesses et mon dos frappent le mur dans un rythme de plus en plus rapide.
Sa verge coulisse dans mon vagin en fusion.
Mes doigts se crispent sur ses épaules, mon visage révulsé.
"Tient... petite cochonne... prend ça... allez... tu l'aimes ma bite... quand elle te défonce la chatte..."
Ses mots... hooo... des mots que jamais n'ira me dire Marc, des choses que je n'ai jamais entendue et qui m'affolent.
Je pousse alors un râle, submergée par ces sensations interdites.
L'orgasme que je ne voulais pas atteindre déferle sur moi dans un torrent de gémissements.
Je jouis et il me force encore, attirant ma croupe vers lui, mes cuisses ouvertes.
Longuement, sa grosse tige va et vient, je gémis, je me laisse aller, espérant que lorsque mes yeux s'ouvriront je n'aurais fait qu'un rêve...
Il se cabre en moi, il sort de ma vulve et son jus m'éclabousse le ventre et les poils pubiens.
Un liquide épais, chaud, poisseux qui s'étale sur ma peau d'épouse sérieuse...
Mon regard découvre ma tenue.
J'ai honte.
Ma poitrine se soulève au gré de ma respiration rapide, mes seins douloureux d'excitation.
Mon ventre et ma jupe, souillé de son sperme.
Mon sexe ouvert, rouge et luisant de mes sécrétions orgasmiques.
Il répond à son téléphone, son visage tourné vers la porte.
Je découvre alors son sexe qui dodeline entre nous.
Ho ! Cet engin est d'une épaisseur conséquente !
Son méat semble me regarder.
Je fais descendre ma jupe sur moi et je remonte mon soutien gorge.
Je veux oublier ce moment d'abandon.
Mais il en désire autrement... et sa main empêche le tissu de recouvrir mes seins.
Dans un sourire carnassier.
"Béatrice... nous avons encore du temps..."

A suivre...

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