Elle... Il... en duo

Pour vous faire patienter, quelques photos que je trouve particulièrement sensuelles et qui m'invitent à l'écriture...71448295

Une chute délicieuse...

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Une rondeur pimentée d'une tension envoutante...

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Voilà qui m'invite à reprendre la plume.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]duonb

Marc avait apporté des fleurs comme son patron le lui avait demandé.
J'avais passé un chemisier et une jupe et nous préparions le diner, presque naturellement, sans avoir échangé un seul mot sur ce que nous avions fait dans la journée.
Lorsque la sonnette tinta nous suspendîmes tout geste.
Mon époux me regarda, un sourire las sur son visage.
Mon cœur s'emballait.
Son patron, mon amant, venait chez nous.

Le bouquet de roses rouges qu'il me tend me surprend autant qu'il me plait, et me dérange... des roses rouges... sombres... ardentes...
Leur signification me séduit mais mon mari... ho...
"Je voulais être sur que vous auriez des fleurs ce soir charmante Béatrice" fait-il de sa voix douce.
Je baisse les yeux et le remercie.
Le repas se passe d'une façon courtoise, sans geste déplacé, sans allusion.
Je me détends et abordons divers sujets de manière détendue.
Son regard bleu, la forme de son visage, de sa bouche.
Je m'égare à l'admirer et le détailler.
Ses mains et ses doigts, un sursaut me rappel à l'ordre comme je les imagine sur ma peau.
J'apporte le dessert, puis nous prenons un café.
"C'était délicieux. Je vais prendre ma douche" fait notre invité le plus naturellement du monde en se levant.
Je rougis un peu.
Sa main flatte ma croupe.
"Je vous rejoins dans la chambre" achève t-il en laissant ses doigts glisser sur le tissu de ma jupe.
Mon mari ne dit rien.
Notre hôte s'éloigne, monte l'escalier... comme chez lui.

Nous débarrassons et je vois le regard triste de Marc.
Je m'approche de lui.
Il me prend dans ses bras.
"Ma chérie. Je t'aime".
"Moi aussi" murmure je en retour.
Il m'enlace délicatement.
Aurait-il l'audace de s'opposer à celui qui s'impose dans notre couple ?
"Nous devons monter..." me dit-il en m'embrassant la joue.
Non.
Il a renoncé.
Il laisse cet homme s'emparer de son épouse.
"Je... ce n'est pas... je t'aime tu sais." Parviens-je à lui murmurer, honteuse de mes envies.
Il hoche la tête.
Pourquoi l'accepte t-il ?
Par amour... par respect ?
Alors que mon amant est si pervers et me rend si immorale ?
Par aspiration pour ma liberté ?
Alors qu'il me vole, qu'il me soumets à ses caprices empreints de luxure ?
Par... plaisir ?
Peut-être... si j'en crois ses réactions lorsqu'il nous voit ensemble.
Et si j'en crois aussi les miennes. Comment pourrais-je lui en vouloir...
"Viens, nous devons faire mon lit" me lance t-il dans un sourire gentil et triste.
Son acceptation de notre relation, de nos liens me donne soudain très chaud.
Mes joues s'empourprent et je suis mon mari dans l'escalier.
Le bruit de la douche accompagne nos gestes pour que mon mari puisse dormir à côté du lit conjugal que je vais partager avec mon amant.
Sans un mot, complices de devenir le jouet de mon amant, nous installons les draps sur un matelas à même le sol.

Dans un coin de notre chambre mon mari enlève ses vêtements, il passe un tee-shirt et enfile un caleçon.
Je l'observe du coin de l'œil.
Son sexe est dressé !
Il est excité.
Mais me semble si petit.
Il est en érection ! Je n'ose le croire.
Je me retourne pour ne pas croiser son regard.
J'enfile ma chemise de nuit bleue à petites fleurs.
Je replie mon soutien gorge, ma robe.

Un regard dans la glace me fait frissonner.
Je mesure 1m58 pour 44kg. Ma petite poitrine (un 85B un peu profond) est tendue et mes tétons forment deux bosses qui plissent le tissu.
Je me sens si fragile, perdue alors que la douche s'est tue.

Mon amant entre dans la chambre.
Torse nu, légèrement velu, il a ceint une serviette autour de sa taille.
Campé sur ses jambes musclées il nous sourit.
Les cheveux encore humides, bruns, courts, quelques gouttes d'eau roulent sur ses épaules larges. Il dépasse Marc de 10 bons centimètres.
Son regard bleu gris me transperce jusqu'à l'âme et mon cœur s'accélère.
C'est un bel homme, il le sait.
Mes joues sont écarlates.
Il pose ses mains sur mes épaules et me masse la nuque.
"C'est Marc qui t'a offert cette chemise de nuit ?"
Je hoche la tête, affirmative.
Ses doigts glissent sous mes cheveux blonds pour caresser mon cou.
Je suis nouée, et ses gestes me font du bien.
" Enlève là."
Son ton est dur, ferme et sans appel.
Hésitante, fébrile, je fais glisser le tissu sur mes épaules.
Il embrasse mon cou et s'éloigne, me laissant seule au milieu de la pièce.
Le tissu tombe, et je me retrouve dénudée, devant lui.
Mes pointes de seins sont tendues et mes joues se sont empourprées.
Marc a relevé la tête et me regarde également, allongé derrière le lit.
Son patron retire sa serviette et nous dévoile son sexe.
Mes dents se posent sur ma lèvre inférieure pour ne pas pousser un sifflement d'admiration.
Elle est dressée vers le ciel comme un mat de bateau.
Epaisse elle me surprend à chaque fois par sa largeur.
Je sens l'humidité me gagner.
Il s'allonge sur lit.
J'ai le regard fixé sur sa verge, comme hypnotisée.
"Viens".
J'obéis, ravie de me couler dans les draps et me cacher à mon mari.
Mon amant me caresse.
Je frémis au contact de ses mains si douces sur moi.
Il passe de mes bras à mes hanches, de mes cuisses à ma poitrine... et je me laisse faire.
Mon cœur bat la chamade.
"Viens sur moi" m'ordonne t-il.
Je l'enjambe, trop empressée, incapable de résister à mon envie.
Mes cuisses écartées, je m'immobilise lorsque je sens la raideur de son vit contre mon séant et contre mon Mont de Vénus.
Il appuie sur mes hanches et sa verge se presse contre mon bas ventre.
J'ai l'impression d'être en feu.
Ses doigts jouent avec mes auréoles.
Il me pince les tétons.
J'ondule.
Je me frotte sur son sexe chaud.
Il triture mes bouts.
Mes auréole s'élargissent, me brulent presque.
Oubliant Marc, mon mari me perd... je me cambre pour sentir son membre contre le haut de ma fente.
Mon clitoris palpite, presque douloureux d'envie.
"Ca me rappelle quand tu t'es frottée dans la salle de bain" me murmure t-il.
Je rougis... et j'appuie sur son sexe pour le sentir tout contre le mien, excitée.
"Ma petite garce..."
Je lâche un gémissement.
"Ma belle salope..."
Mes doigts se crispent sur sa poitrine.
Il me mord l'oreille.
"Petite gouine..."
Un cri m'échappe.
"Non... non... " parviens-je à lui dire, honteuse de ce souvenir.
Mais ses mains sont venues sur mes fesses et c'est lui qui dirige maintenant ma vitesse.
"Humm... Béatrice... quelle adorable pute tu fais. Si délicieusement... salope."
Mes yeux clos, je suis en sueur.
Ses gestes, ses mots si crus, si osés me font monter les échelons du plaisir.
"Chevauche-moi".
Je me redresse sur les genoux.
Mes seins orgueilleusement pointés vers l'avant.
Jambes écartées je le vois me regarder, offerte.
Mes lèvres entrouvertes, ruisselantes... lisses.
Le bout de son gland pourpre, bien rond, s'immisce entre mes nymphes lubrifiées.
Je me... l'enfonce doucement, lentement, dans le vagin.
Quelle grosseur !
Il m'écartèle le sexe.
Ma fente semble devoir s'ouvrir au delà de ce que je crois pouvoir possible.
Je grimace.
Je crie.
Il malaxe mes seins.
Mes mains sur ses genoux, cambrée vers l'avant, je me plante sur lui.
Bientôt je m'immobilise, son sexe presque entièrement enfoncé en moi.
Ses mains relâchent ma poitrine, gonflée et douloureuse pour venir soulever mes fesses.
Il me fait remonter sur son pieu dressé.
D'un mouvement sec il me force à redescendre sur son vit chaud.
Ma bouche s'ouvre, incapable d'émettre le moindre son, il vient de me forcer jusqu'à la garde.
Empalée sur son énorme sexe je parviens à émettre le râle bloqué dans ma gorge.
Il me rempli.
Il me fait monter et descendre, assise sur son pylône trop large.
Le plaisir monte sans cesse en moi, je coule littéralement, oubliant la présence de Marc à côté du lit.
Mes gémissements s'intensifient.
De ses mains il m'oblige à me tourner, dos à lui.
Son membre me vrille le vagin.
Je me tourne sans qu'il ne me quitte l'intérieur, des sensations intenses me font tourner la tête.
Les mains sur ses genoux, je me surprends à onduler du bassin.
Je me dandine sur sa verge.
Dans cette position son sexe me déflore et me distend au maximum.
Je ne suis plus que soupirs, mouvements obscènes et cris de plaisirs.
Lascive... fourrée.
Il parcours ma croupe de ses mains.
Je m'offre sans retenue à son regard, à ses doigts qui me caressent.
J'entrouvre les yeux et je vois mon mari qui me regarde faire ces choses que je n'ai jamais fait avec lui.
Monsieur me soulève, et me laisse retomber sur son sexe.
A chaque intrusion, sa verge plonge dans le fond de mon ventre en me labourant les entrailles.
Un son... humide... accompagne les saillies lorsque mon bas ventre vient se poser sur son pubis.
Un gémissement, un cri, ponctue mes descentes sur son mat rude.
Je suis dégoulinante, de sueur et de cyprine.
II me place en travers du lit.
Mes mains agrippées au rebord, crispées sur le drap.
Ma poitrine frotte sur le tissu.
Tétons rouges.
Il maintient mon séant en l'air.
Sexe ouvert.
Fesses... offertes.
Je sais... je le sens...
Je voudrais refuser.
Et sa virilité couverte de mon jus se place contre mon plus petit orifice.
Ses mains m'écartent les globes fessiers.
Mes petites fesses blanches qui, il y a quelques temps encore, n'avaient jamais été outragées de la sorte.
Je le sens entrer.
Contre nature, son soc me perce.
Je feule, incapable de dire un seul mot...
Il me sodomise lentement sans me laisser la moindre échappatoire.
Ses mots deviennent crus, osés.
Et son rythme de vas et vient dans mon anus, s'accélère.
Il me fait tourner la tête.
Ses mains parfois tirent mes cheveux blonds avant de se poser sur mes épaules et m'attirer sur lui, faisant rentrer son gros manche trop loin en moi.
Il me prend par les hanches et poursuit de me " défoncer le cul " comme il me le dit.
Chaque coup qu'il m'occasionne me fait crier.
Ses bourses cognent contre ma vulve.
Il me besogne comme un hussard.
Et Marc... juste devant moi... me regarde.
J'en ferme les yeux, je me mords la lèvre inférieure.
Je n'ose pas croire ce que je fais, et pourtant, la honte, si elle est toujours présente, s'efface...
Chaque fois que sa verge entre dans mon fondement, j'appartiens un peu plus à mon amant.
Chaque soupir lui est destiné.
Chaque mot cru qu'il exprime me donne chaud et m'enfièvre.
Marc le sait...
L'orgasme me submerge, la jouissance me terrasse, intense, fulgurante.
Les cuisses écartées, je jouis et les draps se salissent de ma souillure, pendant que l'homme derrière moi continue de me prendre sauvagement par les fesses.
Son explosion me donne l'impression d'être gorgée de foutre.
Ses giclées puissantes se fondent dans mon anus.
Je le sens, épais, chaud, me remplir puis couler le long de mes cuisses.
J'obéis à son "tourne-toi", sans même prendre le temps de réfléchir.
Les genoux sur le bord du lit, je me retrouve face à lui.
Mes seins pendent, se balancent.
Il parle à Marc, je ne comprends qu'avec deux secondes de latence qu'il l'oblige à "me nettoyer", lorsque la langue de mon mari vient lécher mon sexe grand ouvert, dégoutant de mon jus.
Il me caresse le visage.
J'ouvre la bouche... je gobe le sexe qu'il me donne à sucer.
Il oblige Marc à me nettoyer la raie... mon "petit trou bien dilaté".
J'entends mon mari, lécher, avaler le foutre de mon amant qui s'écoule de ma rosette béante et endolorie.
J'aspire le gros manche aux saveurs multiples.
La langue de Marc se faufile dans ma vallée intime et il lape le jus blanc que mon amant vient de déverser dans mon puits interdit.
Il nous complimente... nous ses "deux petites salopes".
Il se joue de nous, il joue avec nous, avec notre couple... et je suis dans un rêve.
J'ai tellement honte d'être si bien !
Je me retrouve lovée dans les bras de mon amant.
Nue dans le lit conjugal en bataille.
Je caresse le torse de celui qui me possède.
Un de ses bras autour de ma taille fine, il caresse ma cuisse qui est posée sur son sexe amollit.
De son autre main il effleure mes joues.
"Lève-toi" ordonne t-il à mon mari.
Celui-ci obtempère sans un mot.
Son sexe est tendu.
"Branle-toi".
Je le vois hésiter puis prendre son petit sexe en main et l'agiter.
Il est excité par nos ébats.
Je n'ose le regarder faire.
Sa verge me parait si mince comparée à celle de mon amant.
La voix douce et suave me murmure à l'oreille de tendre un mouchoir à Marc, et de le regarder faire, jusqu'à la fin.
Accompagné d'un baiser dans mon cou, je prends un mouchoir et je le tends à mon mari.
Il se crispe, son visage s'empourpre.
Sa main ralentit et il éjacule dans le mouchoir que je tiens.
Son sirop me colle aux doigts.
Son petit sexe dans une main, il se vide devant nous, soumis... comme je le suis aussi.
J'essuie son gland et notre... "maitre"... comment puis-je dire autre chose... l'envoie se laver.
Un sentiment de plénitude me gagne.
Et je m'endors sur le torse de mon amant, de mon... désir.
"Tu es à moi ma petite pute..." l'entends-je me murmurer.
Je souris...
"Oui... à vous... toute à vous... je suis votre pute Monsieur."
Morphée me tend les bras, je me laisse aller.
Heureuse.

A suivre... pour le dernier chapitre.

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]

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Entre mes lèvres la chaleur intense de la verge de mon amant me fait saliver.
Elle est si épaisse que je dois ouvrir ma bouche en grand pour accueillir sa tige virile.
Je monte et je descends autour de son manche raide, je bave, je dois respirer par le nez.
Je déglutis avec difficulté, la bouche pleine de son gros vit, et je l'entends gémir.
Les jambes tendues, bien droites, encore habillée, je suis penchée sur son entrejambe, le fessier vers le ciel.
Sa main me tient par la nuque.
Je le suce au rythme qu'il m'impose, heureuse.

Comment en suis-je arrivée là... ?
Cela faisait deux semaines que je ne l'avais pas revu.
Mon mari avait oublié un dossier chez nous.
Lorsqu'il a téléphoné à la maison, mon cœur a bondi dans ma poitrine, et je suis venu lui apporter ces documents aussitôt sur son lieu de travail, qui est aussi celui de mon époux, puisqu'il en est son patron.
J'avais peur qu'il ne se soit lassé de moi alors lorsqu'il m'a été possible de le voir je n'ai pas réfléchi, je suis venu jusqu'à lui aussitôt.
Il m'a embrassé à pleine bouche, à peine avais-je refermé la porte derrière moi.
Entre honte et désir je me suis laissé faire, à l'abri de son bureau, de ses stores baissés.
Il a alors ouvert sa braguette et m'a incliné pour que mes lèvres touchent son sexe tendu.
"Je suis si content de te revoir ma belle Béatrice". M'a t'il dit sans plus de préliminaires.
J'ai souris... et mes joues ont rougies.
Moi aussi j'étais aux anges.
Et je me suis inclinée pour lui donner ce qu'il voulait.

Voilà pourquoi je m'applique.
Mes lèvres se resserrent autour de son gland bien rond, ma langue joue avec le pourtour, cette couronne d'aspérités  et le col plus étroit du bout de son sexe.
Je titille le méat, fine fente au centre d'une surface lisse, large.
Mes dents se posent et mordillent très délicatement son casque si délicieux.
Puis j'écarte mes mâchoires et je redescends le long de son pylône de chair qui s'évase vers son embase jusqu'à ce que mes lèvres viennent toucher son pubis et la naissance de ses bourses glabres, lourdes, roses.
Il appuie légèrement sur ma nuque et ma gorge est envahit par son membre.
Je grogne, mélange de suffocation et de plaisir intense, alors que je le pratique d'une façon qui ne me ressemble pas, moi qui était si sage et prude avant de le connaitre.

Son téléphone sonne.
Il répond sans cesser de me faire monter et descendre sur son sexe.
Ma croupe est cambrée car il m'oblige à rester jambes droites.
Il raccroche et avant le déclic de fin d'appel me gratifie d'un "Oh oui comme ça ma petite salope".
Hoo ! Pourvu que son interlocuteur ne l'ait pas entendu.
Je sais que je devrais ne pas être là, comme cela, à lui faire cette fellation digne d'une fille de joie, mais je lui appartiens, je le sais, viscéralement.
Lorsqu'on frappe à sa porte j'ai un mouvement de recul.
"Ne bouge pas" m'ordonne t-il.
Immobile, j'avale avec peine ma salive, mes yeux grands ouverts, je relève le regard vers lui, je l'implore de me relâcher, je voudrais disparaitre sous terre.
Au lieu de cela son sourire me désarme, ses yeux bleus me brulent l'âme.
"Entrez".
Je panique.
Sa main me maintient la nuque, son sexe dans ma bouche, enfoncé jusqu'à la garde.
La porte se referme et les pas derrière moi claquent sur le sol.
Une voix féminine.
Sa secrétaire. La femme à laquelle je me suis présentée à mon arrivée.
Elle lui parle comme si je n'étais pas là.
Il me fait monter et descendre.
J'ai envie de pleurer... mais je continue de lui aspirer le sexe, envoutée par la situation.
Il me faut un temps de réflexion pour comprendre ce qu'ils disent, mes oreilles bourdonnent tant je suis perdu.
Les mains de la femme qui remontent ma robe me semblent tout d'abord irréelles.
Le contact avec la réalité arrive d'un coup.
"Allez-y Clémentine, je vous en prie. Dites-moi si elle est bien toujours intégralement lisse".
Sa voix grave et cette demande incongrue me figent.
Les mains de se secrétaire, une jeune femme brune aux fines lunettes et à la queue de cheval nouée d'une élastique rouge, se posent sur moi et remontent le tissu léger.
Je me redresse mais mon amant me force à rester dans cette posture.
Le souffle de l'air frôle mes cuisses nues, dévoilées, ma robe retroussée sur mes hanches.
Il y a quelques minutes je vivais un rêve, là... il tourne en cauchemar.
Jamais je n'ai eu envie de sentir des mains de femme sur moi.
Je ne suis absolument pas attirée par els femmes, je trouve cela répugnant, immoral.
"Baissez sa culotte".
Je ne parviens pas à lui dire "non s'il vous plait", mes mots se perdent en un gargouillis incompréhensible.
Il me sourit.
Les doigts fins de sa secrétaire font glisser ma culotte vers le sol.
"De là où je suis je peux admirer ton si joli cul ma coquine" me gratifie t-il tout en caressant ma cuisse et en maintenant ma nuque de ses mains.
Je me fige.
Elle me flatte...
C'est si dégoutant !
Ses doigts effleurent mes lèvres, me les pressent délicatement l'une contre l'autre.
"Oui, elle est toute lisse monsieur" lui confirme t-elle.
J'espère alors qu'il va faire cesser cette torture qu'il m'inflige.
"Je vous en prie Clémentine, vous avez bien mérité une petite récompense pour l'excellent travail que vous faites".
Elle pousse un soupir de plaisir et ses doigts me masturbent alors plus ouvertement.
Je lève de nouveau les yeux vers l'homme qui m'impose ce traitement honteux.
"Béatrice, ma belle salope, tu es à moi... si... désirable... si... cochonne."
Son sourire me désarme.
L'index qu'elle m'introduit dans la fente me fait l'effet d'un tison ardent.
J'ondule pour m'en soustraire mais elle s'attarde sur mon clitoris et...
"Elle est toute trempée" commente t-elle.
J'ai honte...
Elle me fouille délicatement, avec une expertise que seule une femme peut avoir.
Je sens mes fesses se lever vers le ciel, vers elle.
Je salive, la bouche remplit par le gros sexe de mon dominateur.
Et... elle me procure du plaisir... ho non... pas ça... pas avec une femme...
Son souffle se fait sentir sur mon intimité.
Je refuse de l'admettre.
Elle me lèche.
J'ai envie de crier, que tout ceci s'arrête.
Mon corps, lui, réagit différemment.
J'ondule bientôt sous les caresses buccales de cette femme qui me lape.
"Tu as l'air d'apprécier" me dit mon amant alors que me bouche recommence à le sucer avec envie.
Je suis trahis par mes actes.
Le plaisir d'avoir un sexe en bouche et une langue qui me lèche en même temps, peu importe qu'elle soit féminine, me donne chaud.
J'en oublie ses ongles manucurés qui m'écartent les chairs pour que sa langue s'enfonce loin en moi.
Elle aspire ma perle et la suçote tout en fourrant un doigt dans mon vagin pour cercler dans mon intérieur.
Je gémis, étouffé par le membre viril qui m'empêche de refermer la bouche.
Je salive sur ses bourses.
"Alors ? Comment est ma petite Béatrice ?"
"Délicieuse monsieur."
Il sait, j'en suis sure, qu'en la faisant parler, je n'oublie pas qu'il s'agit d'une femme derrière moi.
Il me tire par les cheveux et me désembouche.
J'halète. Au bord de l'orgasme.
Sa secrétaire retire ses doigts de mon abricot.
"Tourne-toi ma belle salope" m'ordonne t-il de sa voix douce.
Je n'ose dire un mot, je n'ose bouger.
Il caresse ma joue, mes lèvres et essuie la salive qui coule sur mon menton.
Puis, lentement, je lui obéis.
J'accède à ses désirs comme je le fais depuis le début.
Je suis à lui.
Incapable de le résister et terriblement excitée par cet horizon qu'il m'a ouvert depuis quelques mois.
Il me positionne, un genou sur son bureau, une jambe droite et tendue au sol, en appui sur un bras au milieu de ses dossiers, l'autre libre bientôt saisit par sa main et maintenu dans mon dos.
Ma vulve et mes fesses entièrement à la disposition de sa vue, sa secrétaire ayant bien retroussé ma robe sur mes hanches.
En face de moi je découvre celle qui m'a fait devenir si humide.
Plus jeune que moi, elle se mord la lèvre inférieure et replace ses lunettes sur son nez.
Elle est jolie, j'en conviens.
"Monsieur... balbutie-je... je ne suis pas attirée par les femmes. Je ne suis pas lesbienne".
Elle me dévisage et ses dents se dévoilent, blanches, dans un sourire charmant.
"Clémentine ?"
"Oui Monsieur ? "minaude t-elle.
Je comprends que le courage que j'ai réuni pour pouvoir parler n'aura été d'aucune utilité si ce n'est avoir excité encore plus mon amant.
"Enlevez votre jupe".
Ebahis, je vois cette femme défaire son vêtement.
Elle ne porte rien au dessous.
Hypnotisée par sa fente rose, uniquement ornée d'une petite touffe brune tout en haut.
Ses longs ongles viennent l'entrouvrir.
Je découvre pour la première fois de ma vie un sexe de femme à moins de 10 cm de mon visage.
Elle se rapproche et je sens son odeur, je peux distinguer qu'elle a mouillée.
"Lèche Béatrice" m'ordonne la voix de mâle.
Je reste bouge close.
Mes yeux fermés.
Et la peau intime de sa secrétaire se colle sur mon visage.
Je perçois la fente sur ma bouche hermétique.
Dans mon dos, Monsieur vient également de placer sa langue sur mon con.
Il me lèche doucement.
Puis un peu plus appuyé.
Son muscle m'ouvre et sa langue me fouille l'intérieur.
Je gémis.
Ma bouche s'entrouvre et...
La pointe de ma langue touche ce sexe inédit.
La peau douce et chaude de sa cuisse gainée de nylon me frotte le visage.
Je pousse un second soupir et ma langue s'agite, elle vient chercher la fissure féminine.
Il m'écarte... deux doigts en moi pour me dilater.
L'excitation me gagne comme une folie douce.
Je lape lentement à mon tour.
Les mains délicates dans mes cheveux me plaquent sur l'entrejambe de cette secrétaire lesbienne.
Je découvre les nymphes intimes, les replis féminins, j'imagine mon sexe et lui prodigue ce que j'imagine me faire plaisir.
Elle pousse des petits gémissements qui m'encouragent.
Mon sexe a son tour léché et sucé, je me tortille entre les mains puissantes qui me caressent.
"Tu es une belle petite chienne" commente t-il sans cesser de me dévorer le sexe.
Oui... je lèche... je lape... comme une chienne, de plus en plus rapidement.
Elle lâche des petits "Hinn ! Hin ! Hinnn !" étouffés.
Un bouillonnement de pensées contradictoires me tourmentent.
Puis sa cyprine se répand sur moi dans une giclée puissante.
Je suis surprise.
Son suc inonde ma bouche.
Ce sont comme des petits jets de foutre féminin.
Une femme fontaine... mon visage est bientôt dégoulinant de sirop vaginal.
Lentement elle se frotte la fente sur mon visage, barbouillant ma peau du fruit de son orgasme fulgurant.
Elle se recule.
Mon amant me caresse la croupe.
Elle s'essuie le sexe devant mes yeux.
Je contemple ses lèvres rouges et poisseuses, encore incrédule, honteuse d'avoir eu cette pratique homosexuelle avec cette femme... et malgré moi très excitée.
"C'est bon Clémentine, vous pouvez disposer".
Elle remonte sa jupe et me sourit avant de sortir et nous laisser seuls, déposant un mouchoir sale sur le bureau du patron de mon mari.

A suivre...

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