Elle... Il... en duo

[…] lacets
Les mains toujours liées aux barreaux de mon lit, les yeux bandés, allongé sur le ventre entièrement nue sur le lit, je les entends pousser à nouveau la porte de la chambre.
Ces deux hommes dans lesquels je ne parviens pas à identifier mon mari, entrent à nouveau dans la chambre où il m'a attaché.
Instantanément mon corps s’agite. Je suis prise d'un frémissement chaud qui me monte aux joues et aux tempes.
Malgré les assauts d’il y a quelques minutes, l’idée de mon mari et d’un inconnu me regardant onduler de la croupe m’excite déjà à nouveau. Alors je me trémousse... mon intimité frotte sur le tissu souillé du drap.
Je roule mon fessier, mes doigts resserrent leurs prises sur les barreaux du lit, je me cambre, pour leur offrir le spectacle d'une femme féline... d'un arrière train rond et disponible.
Toujours aussi silencieux dans l’ambiance feutrée de notre chambre ils s’approchent de moi et je sens un jeu de 4 mains venir me caresser.
Je frémis lorsque les mains glissent sur mon dos, descendent dans le creux de mes reins alors que d’autres mains remontent de mes genoux vers le haut de mes cuisses.
Incapable de discerner quels doigts sont ceux de mon homme, je me laisse faire lorsque les doigts me griffent légèrement.
Des lignes de feu embrasent ma peau sous ce contact charnel.
Je suis le piano sur lequel ils composent une symphonie affolante.
Je relève mon fessier comme une main vient le caresser, qu’une autre passe avec une extrême lenteur dans ma raie en effleurant ma rosette encore douloureuse.
Mes fesses rebondies sont massées.
Des doigts frôlent mon anus alors que la paume joue de mon postérieur.
Mes nymphes suintes au passage d'une main plus curieuse qui se faufile entre mes cuisses marbrées de jouissance.
J’étais loin d’imaginer mon mari aussi… pervers… mais j’en apprécie la révélation et j’ondule avec indécence.
Je me fais chatte, dans cette position terriblement excitante, à la vue de ces 4 yeux gourmands.
Je souris de bien être, du plaisir à venir.
Je souris d'imaginer leur phalus raide d'envies de me posséder.
Produisant quelques sons, quelques gémissements... mon être est un instrument de musique aux vibrations insolentes sous le toucher de leurs doigts.
Fermement je suis alors retournée.
Je pousse un léger cri, surprise.
Mes mains se croisent au dessus de ma tête.
J’ai l’impression d’être maintenue prisonnière de barbares assoiffés de sexe.
Ma respiration s’accélère, ma poitrine se soulève.
Je devine mes pointes dures se tendre vers le ciel au milieu de mes larges auréoles.
Les cuisses serrées, les deux hommes ont tout loisir d’observer ma fente épilée, seulement ourlée d’une mince et rase frange pileuse.
J'imagine le désir dans leur regard, je me trémousse, mes lèvres frémissent, je mouille déjà à nouveau.
Les mains se font plus fermes, sur mes hanches, sur mes seins.
Je me sens devenir chaude, humide, tremblante, sensible… l’envie monte en moi.
Et je n'oppose aucune résistance.
Je soupire de plaisir sous les caresses mâles qui saisissent ma voluptueuse poitrine.
Elles me pétrissent et font rouler mes tétons.
Les doigts tirent sur mes bouts de seins sensibles.
Je suis dévoilée, je gémis bouche grande ouverte.
Privée d’un sens, je suis à fleur de peau.
Je gémis, je me tortille, l'envie brule mon ventre.
A chaque effleurement, caresse ou pincement, je gémis, surprise, je me tortille, l'envie embrase mon ventre.
Je n'imaginais pas combien il pouvait être aussi excitant de se laisser ainsi caresser, fouiller, martyriser par des mains, privée de deux sens.
Mon supplice est divin, mon excitation grandit, j'ondule, je me cambre, je souffle .
Le matelas bouge, je sens l’un des hommes monter sur le lit.
Près de mon visage je ressens une douce chaleur et je sens l’odeur d’un sexe…
Un effleurement sur ma bouche.
Je pointe ma langue… presque malgré moi.
Rond, doux… glabre… une bourse qui n’est pas celle de mon mari.
J’hésite.
Je pose ma langue dessus.
Je la pousse doucement avant de m’en amuser.
Des pensées obcènes et contradictoires se bousculent dans ma tête. Je me fais l'effet d'une bonne suceuse.
Il doit me voir faire… et loin d’être honteuse, j’en découvre un surplus d’excitation.
J’ouvre ma bouche et je gobe cette boule qui pend au dessus de moi.
Elle roule dans ma bouche, je la suce avec appétit, gourmandise, une faim de sexe non assouvie.
Je joue de l’olive en la massant avec mon muscle, je la promène dans ma bouche... elle est douce, pleine... bien chaude.
Je connais donc à qui sont les doigts qui montent le long de mes cuisses qui s’écartent malgré moi.
Une main sur chaque jambe, les effleurements tactiles progressent et convergent vers mon sexe.
Deux doigts à droite, deux à gauche… ils se rejoignent sur mes lèvres molles et suintantes.
Ils s’enfoncent dans mon abricot juteux.
Je voudrais pousser un cri mais j'ai la bouche occupée et seul un gémissement etouffé parvient à se faire entendre alors que mes jambes sont écartées en grand, mon sexe envahit par les deux couples de doigts qui l'ouvre largement.
Les 4 doigts sont rapidement rejoins par 2 autres qui s’enfoncent et me fouillent de plus en plus loin.
Je suis offerte.
L’inconnu me présente sa deuxième bourse, je l’aspire avec envie, la force à venir dans ma bouche.
Mon sexe s’ouvre, s’écarte. Est écarté.
J’ai l’impression qu’il est béant et que tous deux peuvent en observer le jus gluant qui le tapisse.
L’inconnu au dessus de moi pose à son tour sa main sur mon bouton.
Il me masse alors que mon homme force ma motte de ses doigts.
Des petites tapes sur ma perle font qu’elle s’extraie de son logement.
Je ne réprime pas le cri de plaisir qui m’emporte.
Il me masturbe consciencieusement.
Au-dessus de moi l’homme se retire.
J’ai envie de le saisir en main… j’en suis incapable… liée par des rubans de soie… alors seule ma bouche suit son départ, comme affamée.
L’un de mes seins se fait chahuter, soulevé et tenu par le téton.
Pincé entre ses doigts la légère douleur est source d'un plaisir intense qui irradie de mon mamelon jusqu'à mon corps tout entier.
Mon sein voluptueux... agité par une force masculine qui me titille. Je mouille...
L’autre est palpé avec fermeté.
Ma fente coule, largement ouverte, écartelée par les deux mains qui la malmènent avec délice.
Je suis surprise de mes paroles… les premières de toute cette soirée.
- Oui… prenez-moi…
Je reconnais ma voix, mais en perçois une intonation inconnue.
- … baisez-moi…
Je m’abandonne à ce que je dis, presque incrédule devant le vocabulaire que j’emploie.
- donnez-moi… vos queues.
Je rougis et j’apprécie le bandeau qui m’empêche de les voir.
Derrière mon masque, je suis une autre, je me laisse aller à une soudaine passion… sensuelle… sexuelle.
L’un d’eux se glisse alors sous moi.
Je suis soulevée, déposée sur un corps que je ne connais pas.
Mes cuisses sont soudainement relevées, tenues par les genoux.
Je sens une verge se positionner entre mes jambes.
L’homme sous moi se hisse vers le haut.
Son gland vient se poser à l’orée de ma vulve humide.
Les doigts s’enfoncent à nouveau en moi pour m’ouvrir.
Une pression plus forte et le menton vient se poser sur mon épaule.
Je sens sa barbe naissante me caresser le visage alors que le bout de son sexe se glisse en moi, entre les doigts qui me maintiennent largement ouverte.
Massée de l’intérieur par les doigts de mon mari, le pieu de chair m’empale de plus en plus loin.
La verge progresse le long des doigts curieux.
Je pousse de petits cris alors que mon bas ventre est défloré en largeur.
Il retire progressivement ses doigts, me faisant apprécier la raideur chaude de l’engin qui me parcourt.
Je me cambre pour lui faciliter le passage, devinant le regard brillant de mon homme alors qu’un autre que lui me possède.
Les mains de l’inconnu saisissent mes seins.
Ceux de mon homme mes reins.
Allongée sur lui je suis en équilibre, retenu par sa verge et ses mains puissantes, le corps en offrande.
Vestale du dieu Pan... dont les adorateurs vont se repaitre.
Cette simple idée me fait fantasmer.
Ma poitrine est pressée.
Mes hanches forcées à descendre... je m'empale sur la verge de l'homme sous moi et je crie de plaisir.
On m'impose le rythme.
Je me laisse faire sous les 4 mains qui me font aller et venir autour de ce sexe que j'ai désiré.
Mes cuisses sont relevées…
Je sens les hanches masculines se glisser entre mes jambes.
J’ai un instant de peur.
Un deuxième gland se pose sur mon abricot outragé.
Je balbutie un « non »… incrédule devant tant d’audace de la part de mon époux.
Le second vit se fraie un passage dans ma petite chatte…
Les mains de l’invité lâchent ma poitrine pour venir écarter mes cuisses et permettre l’introduction du deuxième pal dans mon intimité.
Mon esprit veut refuser... trop étroite, ils vont me déchirer... mais mon corps lui ondule et se cambre pour accueillir la seconde verge.
Je pousse un cri… mélange de douleur et de plaisir extrême.
Il m’a bien préparé et j’accueille à ma grande surprise, les deux pilonnes de chair au creux de mes reins.
Lubrifiée, ils opèrent une saillie qui dépasse mes fantasmes.
Prise entre leurs deux corps, je suis immobilisée par ces deux mâles en rut qui me forcent avec de plus en plus de rythme.
Je gémis, je pousse de petits râles qui témoignent du plaisir qu’ils me procurent.
Leurs sexes à l’unisson, soudés, sont un piston large qui me remplit le bas ventre.
Je coule en abondance. Mes doigts se crispent sur les barreaux.
Dans mon cou j’entends le souffle rauque de l’inconnu.
Mes cris s’enchaînent, deviennent plus forts au rythme de leurs poussées inlasables.
Je me cabre comme une jument sous mes deux étalons.
Je jouis soudainement d’un orgasme inconnu, fulgurant, intense, parcourue par un arc électrique qui emporte mon corps, mes soupirs et mes barrières morales... dans un hurlement de plaisir.
Les deux barres plantées en moi je ruisselle autour d’elles.
Ma voix n'est qu'un long souffle orgasmique.
Avec lenteur elles se retirent.
Mon sexe me semble un trou béant, sensation contradictoire avec mon esprit qui est comblé.
Je suis vannée, extenuée.
Les mains me détachent.
Incapable du moindre effort, les deux hommes me soulèvent pour me mettre à genoux sur le lit.
Ils saisissent mes mains et les portent à leurs sexes.
Un dans chaque main.
Ils veulent que je les masturbe jusqu’à les faire jouir à leur tour.
Mes mains dans les leurs ils m'imposent des vas et vients.
Fourbue, j'obéis, branlant les deux tiges à pleine main, incapable de savoir laquelle appartient auquel.
J'agis, je les agite alternativement, puis à l'unisson.
Des mains palpent mes seins qui me semblent trop lourds.
Des doigts ouvrent mes cuisses pour effleurer ma motte meurtrie et dégoulinante de cyprine.
Une petite claque vient se poser sur mes fesses.
A genoux sur le lit, une verge dans chaque main, j'en oublie ma fatigue pour accélérer mes mouvements.
Mes doigts glissent pour découvrir quel homme est au bout de quelle queue.
Le contact avec une paire de bourses lisses me confirme que je tiens le sexe de l'inconnu dans ma main droite.
La pilosité des couilles à ma gauche me rassure sur le membre, que je ne croyais pas si large, de mon mari dans mes petits doigts, à droite.
Emoustillée par l'image que je me fais de la scène, je les masturbe en exerçant pressions et alternances de rapidité et d'extrème lenteur.
Mon cher mari me veut ainsi... il va me voir comme telle.
Lorsqu'une main se place dans mes cheveux et m'attire vers la gauche j'ouvre instantanément la bouche, prête à recevoir la semence de l'invité.
Quelques doigts viennent effleurer mes lèvres, je les lèche... ils ont le gout de mon sexe.
Ils m'imposent l'ouverture de ma bouche déjà largement offerte.
J'agite son manche de plus en plus vite.
Et le jus me surprend.
Il frappe contre ma gorge.
Les doigts me maintiennent la bouche ouverte pour permettre aux giclées suivantes d'entrer dans ma bouche sans en perdre une goutte.
Je n'avale rien, je reccueille le précieux sirop.
Epais, visqueux, je traie son vit pour en faire couler entre mes lèvres les dernières gouttes.
Alors je suis tourné à droite.
Je ne lâche pas l'autre sexe mais je me concentre sur celui de mon homme qui ne tarde pas à se vider dans ma bouche, calice de leurs nectars.
Il essuie son gland sur ma lèvre inférieure.
Ma langue se pose sur son bout fendu.
Elle est engluée dans le mélange de leurs foutres.
Je l'agite.
Ils m'observent.
Lentement je déglutis.
Le visage tourné vers eux.
J'avale l'extatique jus de leurs deux jouissances mélées.
Incrédule devant ce geste je m'apperçois que je prends plaisir à en savourer les parfums et l'image qu'ils ont devant leurs yeux.
Mon esprit voit ce que mes yeux ne peuvent voir...
Mes sens vibrent de mes agissements.
Je lâche les vits qui s'amollissent.
Immobile, les cuisses écartées, à genoux dans les draps froissés et salis, je les entends partir aussi silencieusement qu'ils sont venus.
La clé dans la porte qui se referme.
Mon mari pousse le jeu jusqu'au bout.
J'en suis ravie.
J'enlève mon bandeau mais je garde les yeux clos pour profiter encore de ce moment hors du commun.
Le lit est un champ de bataille que je change et remets en ordre... comme s'il ne s'était rien passé... les images se bousculant dans ma mémoire autant que dans mon corps.
La douche me détend.
Mon corps est exténué.
L'entrejambe douloureux, j'avance à petits pas, coulée dans mon peignoir de mousseline.
Mon mari rentre à nouveau dans la pièce.
Son regard brille en me voyant.
Engoncée dans mon peignoir, seule la vallée de mes seins est apparente.
Il flatte ma croupe sous le tissu épais et bouclé.
- Chérie tu es... splendide.
Sa voix chaude me réconforte, il ne m'a pas jugé sur mon attitude très... obcène...
- ... au fait j'ai oublié de te dire... j'ai donné la clé aux deux ouvriers ne sachant pas si tu étais là...
Ses mots me glacent soudain. Mon sourire se fige.
- .... de toute façon ils en auront besoin, puisque les travaux vont durer deux semaines.
Je ferme les yeux.
Mon bas ventre s'échauffe.
Je souris.
A suivre ?
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Je suis seule ce soir.

J’ai pourtant l’impression que tu vas venir, toi mon mari, mon amant.rose

Est-ce nos échanges mails très coquins de la journée ?

Mes aveux de papillonnage avec des inconnus sur différents sites par le biais de phrases, de textes qui me font chaud au ventre ?

Mes confidences sur mes aventures sensuelles de jeunesse ?

Le regard appuyé sur mes douces formes d'hommes croisés dans la journée ?

Je t'ai tout dévoilé, avec ce doux espoir d'aiguisier tes sens, d'éveiller tes envies...

Allongée sur le lit, appuyée sur les coudes je lis un magazine féminin.

Le ventre et le pubis plaqué contre le matelas, je cambre, je dandine des fesses, je les serre, des petits mouvements de droite à gauche, mon clitoris se frotte délicatement au drap.

Peu à peu je me rends compte que je suis en train de me donner du plaisir.

L'appartement est silencieux, seul le frottement de mon corps sur le tissu du lit vient troubler le calme rassurant de mon nid douillet.

 

Un bruit dans ma porte d'entrée.

Un voleur ? Je frémis...

Un violeur... ? Humm... serais-tu celui-ci ?

Non, je sais que c'est toi. Il n'y a que toi qui dispose des clés.

Je me cambre un peu, écartant légèrement mes cuisses pour laisser apparaître l'orée de ma vulve et son renflement lisse et épilé.

J'entends la porte s'ouvrir derrière moi.

Mon esprit t'imagine, avançant doucement dans ma chambre.

Tu me regardes dans cette position que j'imagine indécente.

Une bouffée de chaleur m'envahit.

Et s'il s'agissait réeellement d'un cambrioleur ?

Je rougis à l'idée qui me traverse... et qui me fait onduler un peu plus...

Un inconnu... ho... je ferme les yeux, faisant disparaître les sourires de papier glacé.

Il pourrait abuser de moi...

 

Sur ma cuisse se pose délicatement une main.

Je cherche à me retourner mais, fermement, la main me maintient ainsi, sur le ventre, mes fesses nues à l'air.

Hummm... je gémis doucement, je souris.

 

Par dessus mon visage vient se placer un foulard de soie qui devait se trouver au pied du lit.

Mes yeux sont ceint d'un bandeau qui te fais te défiler à mon regard.

Je ronronne.

Tu attrapes des liens de soie sur la table de chevet et lies mes poignets aux barreaux du lit.

Incapable de résister à mon désir qui s'accroît, je relève ma croupe.

Un bruit sur le sol me signale que tu viens de te retirer de la pièce et que la porte est grande ouverte.

 

J'attends, laissée dans cette position.

Les pointes de mes seins tendus

Mes pensées fantasment... « qui est donc cet individu ? ».

Je m'avoue avoir l'envie d'un inconnu, et j'aime ce jeu que tu joues avec moi.

Mon esprit bouillonne d'envies.

Excitée je me rends compte que mon intimité s'humidifie.

 

Toute à mes envies, je ressens soudainement un immense plaisir et une sensation de feu lorsque je sens ta main se poser sur le bas de mon dos.

Surprise je sursaute un peu avant de m'aggriper aux barreaux auxquels je suis attachée et soupirer de joie.

Je devine la douceur de la paume

Un souffle se fait sentir sur le haut de la cuisse.

Mes muscles se contractent.

Le dos des doigts qui forcent tout doucement pour ouvrir mes jambes.

Me sachant provocante, les fesses en l’air, je me fais volontairement complice pour notre plaisir. J’écarte légèrement les genoux pour entrouvrir mon petit nid d’amour.

Les frémissements de ma motte humide sont nettement visibles entre mes cuisses.

Je me détends.

Les doigts qui flânent sur un flanc atteignent ma poitrine, ballottante et généreuse.

Les ongles sur les auréoles, une pichenette douce sur le téton tendu.

Je gémis.

Je sens un sexe chaud reposé sur ma fesse. Il me fait l'effet d'un fer rouge.

Humm c’est ton sexe, je le devine, je le sais, je le sens, toi mon amant, mon amour de l’instant.

Une main dans le creux de mes reins. Je me cambre, presque obscène.

Elle caresse mon dos de la nuque, s’insinue dans mes cheveux, jusqu’au bas des reins.

J ne peux réprimer un gémissement et je redresse mon séant, cambré au maximum, cuisses écartée, offrant mon sexe et ma raie à mon observateur... toi.

Position terriblement indécente qui me vaut une petite tape sur la fesse.

J'en ouvre la bouche pour laisser s'échapper un gémissement.

La caresse apaisante qui flatte ma rondeur me fait couler.

Une seconde petite tape douce sur mon téton le fait se durcir et je me surprends à aimer ces petits assauts physiques.

La main palpe avec douceur mes fesses pour les écarter.

Le sexe qui repose sur moi s’insère dans ma raie, il durcit.

Deux doigts saisissent mon téton, le mamelon roule.

L’onde de cette caresse électrise mon vagin.

Je serre les fesses pour emprisonner ce glaive de chair.

La main saisit mes cheveux, tire doucement en arrière mon visage.

Je masturbe avec délicatesse par des mouvements lents du bassin ce sexe chaud et raide.

Aveuglé par le bandeau de soie noir, le pieu serré positionné entre mes rondeurs, forçant leur écartement … j’ai un doute… est-ce bien celui que je connais ?

Privé de la vue, mes sens sont décuplés, je trouve ce sexe gros … trop gros pour être le tien ?! Ou est-ce mon esprit qui me joue des tours ?

Mais non ce ne peut-être que toi. C’est toi, nul autre que toi. Mon doux désir d'envies qui me rejoint.

A moins que... Et si c’était cet homme que j’ai aperçu la veille jouant un air de jazz sur son saxo ?

Ou bien cet autre qui jouait de son beau fessier en montant les escaliers… ?

L'envie de laisser ce fantasme m’envahir me rend féline.

Le balancement de ses reins positionne son sexe contre l’étroite rosette.

Je frissonne.

Ma respiration s’accélère.

De douces et intenses sensations me font écarter davantage l’accès à mon orifice.

La main lâche mon sein, et glisse, frôle mon sexe, légèrement ourlé d’une fine franche pileuse.

Son manche dur entre mes fesses. Je gémis.

Il insinue un doigt sur les lèvres.

Mes sens en éveil de ne pas voir.

Le doigt caresse la fente humide et moite.

La seconde main revient sur mes fesses, une nouvelle petite tape … je frétille, je me cambre, je crie.

 

Et puis je sursaute.

Tétanisée. Incapable de dire un simplemot.

Une troisième main caresse ma nuque...

Je m’affole. Ohhh.

Les mains me redressent, me forcent à me mettre à 4 pattes sur le lit, poignets liés.

Je tourne la tête en tout sens pour tenter de voir à travers le tissu en pure perte.

A genoux, les mains crispées sur le haut du lit, poignées emprisonnés, je cherche, je ne comprends pas, je m’inquiète...

Un index caresse ma bouche, mes joues avec une grande douceur pour m'imposer le silence et m'apaiser.

Haletante je parviens à me calmer.

Ma langue sort timidement de ma bouche, soudainement prisonnière de mon fantasme avoué.

Je lèche mes lèvres. Je les pince entre mes dents.

Le doigt frôle ma langue. Je la sort, et lèche ce doigt qui se laisse atteindre.

Derrière moi les mouvements de bassin s’accentuent, tes mains sur mes hanches.…

La main entre mes cuisses frôle ma fente humide et moite.

Je pousse un petit cri comme mon clitoris se fait malmener.

Ma bouche ouverte se referme sur le doigt... surprise je l'avale doucement et le suce tel un ersatz de sexe, le visage de côté... aveuglée... offerte.

 

Je mouille, je coule, les fesses écartées alors que le sexe large pousse sur mon petit orifice.

La main fouille mon sexe.

Je pousse mon bassin sur le membre qui écarte ma rosette avec une résistance qui me fait crier.

L'envie me submerge après quelques instants sans un mouvement.

Je gémis.

Les doigts s'enfoncent dans ma vulve qui ruisselle sur mes cuisses pâles.

Mon anus se dilate sous la pression de ce sexe qui me parcours l'arrière train.

Un doigt en bouche, je sens une quatrième main saisir mon autre mamelon et le faire rouler, le tirer.

Je suis l'instrument d'un jeu à 4 mains... et je produis les plus beaux sons au monde... ceux du plaisir et de l'orgasme.

Je me cambre, me dandine, la croupe en l'air, enfoncée par la verge dure...

Je cherche plus... plus loin... je deviens folle d'envie, de désirs, privée de la vue et du touché.

 

Les doigts qui m'ont fouillés se posent sur ma bouche.

L'odeur m'enivre, celle de mon sexe.

Je lèche ces nouveaux doigts à la saveur si particulière.

Je goûte sensuellement, lèche de ma langue.

Les doigts entrent dans ma bouche largement ouverte.

Je salive et je déglutis, avalant ma mouille.

Les deux mains de l'homme derrière moi se saisissent de mes seins.

A chaque pincée je gémis.

A chaque gémissement son sexe rentre un peu plus dans mon petit cul rond.

Devant moi l'inconnu s'approche.

Je découvre une chaleur douce sur ma joue, dure, ferme.

Son gland me frôle.

J'ondule effrontement du bassin provoquant une pénétration profonde du manche qui me force l'anus.

J'ouvre ma bouche gourmande, telle une femme qui aime l'amour... sensuelle... garce... affolée... affolante.

Je tire la langue pour sentir ce mandrin d'homme.

Je cherche le gland invisible qui ne tarde pas à se poser sur ma langue.

Je prends conscience de... ma chance...

Deux sexes d'homme pour moi... deux pieux dressés en érection à ma vue.

Je gobe le bout entre mes lèvres affamées.

Je pousse ma bouche, il coulisse entre mes lèvres jusqu'à l'englober.

L'autre membre monte et descend dans ma brèche la plus secrète et m'arrache des gémissements étouffés par ma bouche bien pleine.

Il a bon goût... sa forme... ce n'est pas le tien...

Je mouille. Je coule, incapable de me retenir dans l'orgasme.

Une main de mâle me force à venir gober la verge chaude... loin en appuyant sur ma nuque.

 

Les sens en fusion je m'agite.

J'écarte mes cuisses, mes lèvres molles de désirs alors que le manche écarte, pousse l'entière longueur de sa virilité dans mon étroitesse.

J'ouvre grand la bouche, mon visage saisi à pleines mains.

Je suis maitrisée et je sens les coups de reins de l'homme devant moi faire s'enfoncer son sexe jusqu'à déformer mes joues et bientôt frotter contre ma gorge.

Presque écoeurée, je salive... ravie d'être ainsi prise.

 

Le sexe s'extraie de mon anus et je lâche un cri inaudible, ma bouche bien pleine.

Il se fiche alors entre mes lèvres trempées, s'enfonce dans ma vulve qui s'ouvre sans résistance, lubrifiée par mon orgasme.

Je suis prise par devant et par derrière... je crois rêver et j'ondule mon bassin pour sentir ce sexe me parcourir le sexe.

Quel cadeau.

Je sens une nouvelle jouissance monter... incroyable...

Les mains forcent mon visage à s'agiter.

L'homme devant moi use de ma bouche comme d'un orifice vulgaire.

Je me sens chienne...

Le sexe repart en arrière puis s'élance dans mon abricot.

Mon menton est trempé, mes seins douloureux, mon anus béant et mon sexe pilonné.

Une chatte en manque... voilà la pensée qui me traverse l'esprit alors que je m'agite en rythme avec les deux hommes qui me font subir les outrages les plus délicieux qu'il soit.

Ils entament un ballet de concert, entrant et sortant au même rythme.

Sur les genoux je bouge pour les accompagner, sentant mon plaisir gravir les marches de la jouissance, 4 à 4.

Je serre ma bouche autour de ce membre plus large que celui de mon homme pour simuler un vagin.

Et j'aspire à chaque poussée.

Je tourne ma langue autour de ce sexe rude et arqué.

Je sens les bourses frôler mes lèvres.

Les mains me maintiennent immobiles.

La croupe en l'air à la recherche du sexe de mon homme, les hanches saisis, je subis les assauts où son bassin claque sur mes fesses.

Je jouis.. poussant un cri en ouvrant ma bouche.

Incapable de reprendre ma respiration je gémis, la bouche encombrée de la verge qui soudainement gicle dans ma bouche.

J'avale le foutre épais qui me tapisse la gorge.

Je me fais chienne, désirable, et j'offre à cet inconnu ma bouche pour se vider.

Enfoncée avec longueur et conscience je sens le pieu fiché dans ma fente se tendre et palpiter.

Il n'est pas long à exploser et rependre son foutre chaud dans ma chatte brulante.

Nous restons ainsi quelques instants.

Je suis assourdie par l'effet de mes multiples orgasmes.

Je perçois les membres se retirer.

Les pas s'effacer vers la sortie.

Souillée, salie mais ravie, comblée, je suis laissée dans cette position.

Je m'affale à plat ventre.

Le drap est gluant de nos ébats orgiaques.

Je prends soudain conscience que mon mari vient de me voir sucer et avaler un autre que lui, sans un mot, pendant qu'il me prenait par derrière.

Mes joues rougissent.

Ma respiration se calme qu'après de longues minutes où je perçois mes cuisses devenir humides de ma cyprine qui coule, mélangée au sirop d'homme.

Je n'entends pas la porte claquer...

Surprise de moi même je les espère à revenir.

 

A suivre...

 

 

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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