[…]
Ses fesses fermement tenues, son chemisier presque entièrement défait, son dos vient se coller contre le mur de sa maison.
Les mains pétrissent et la maintiennent fermement contre l'homme qui lui fait face.
Chez elle, dans un coin de son salon, elle plonge son regard dans celui de son jardinier, homme à tout faire...
Sa poitrine se soulève d'excitation.
A peine son mari endormie qu'elle l'a voulu.
Les lueurs diffusent des éclairages chaleureux forment des ombres sur le bois précieux, des voilages sur son corps qui ondule.
« Oui Robin j'ai... pétrissez-moi, oui, possédez moi ». dit-elle, en nouant ses cuisses autour des hanches de son amant.
Il se frotte à elle, lui faisant sentir la dureté de son appendice masculin.
Ses mains caressent le séant de sa patronne.
Le tissu fin du pantalon crisse sous ses doigts alors qu'il griffe ses fesses et qu'elle pousse un souffle presque plaintif.
Il la pose au sol et place sa main en coupe sur son entrejambe.
Sans un mot il masse son sexe caché dont il devine l'humide sécrétion.
Un sentiment de puissance la parcourt. De ses mains il l'emmène là où il veut, là où elle veut.
Le chemisier presque descendu, laisse apparaître le bord de ses auréoles marrons, larges qui l'attirent comme des aimants.
La soie ne tient plus que par ses tétons érigés qui sont les derniers freins à sa chute.
A la vue de sa poitrine orgueilleuse, gorgée de désir, il remonte la main sur l'ampleur qui la caractérise.
« Hummm oui... » murmure t-elle en se frottant sur la main.
D'avant en arrière elle se masturbe sur la main qui lui écarte les cuisses.
Son sein droit palpé se retrouve bientôt sorti de son logement.
Dépoitraillée, elle accélère ses ondulations.
Son téton est pris entre pouce et index, tiré... roulé... excité.
Elle danse sur la main qui appuie sur son intimité.
Sa perle se gorge de sang, sa fente se lubrifie, et son corps est un arc tendu.
« J'aime... » sussurre l'homme à son oreille... « leur taille » achève t-il en pinçant lé tétine dure.
Elle roule des yeux et des hanches.
Elle sait que ses seins ont un effet excitant sur les hommes et que Robin en apprécie la voluptueuse taille.
« Tu aimes... Alors baise-moi, j'ai attendu deux jours » avance t-elle en s'appuyant sur la main de son pétrisseur.
« A vos ordre madame ».
Il tire un coup sec sur le pantalon de lin de sa patronne qui s'ouvre brusquement.
Elle gémit de cet acte rude qui lui marque la peau comme un fouet aux lanières de désir ardent.
Il plonge la main dans le tissu baillant qui glisse lentement le long de ses cuisses.
Ses doigts découvrent la frange pileuse perlée de suc.
La demande de sa patronne le fait vibrer. Elle si prude lorsqu'elle n'est pas dans ses bras.
« Hoo ouiiii » lui sourit-elle.
Un doigt se faufile entre les lèvres et remonte chercher la perle durcit.
« Jai oublié ... « dit-elle.
Il enfonce doucement, millimètre après millimètre, son doigt dans le vagin en feu.
« Oui ? »
Elle bouge son bassin, cherche le maximum de contact.
Il touille doucement entre les lèvres ruisselantes, dans l'écrin de douceurs.
« Oui... oui... vas-y... oui... » parvient-elle à articuler en fermant les yeux.
Elle remue comme une agitée sur son doigt.
« Qu'avez-vous oubliée ? »
Il ressort son médius avant de le faire entrer de nouveau plus loin.
Elle ouvre les yeux , pétillants.
« Ma culotte. »
Il reste un instant au fond d'elle avant de s'extraire lentement et titiller le clitoris dont il dégage le bonbon de son capuchon.
Sa patronne ronronne telle une chatte. Il fait rouler sa perle intime avec une délicatesse maitrisée.
« Je coule... c'est si bon... » lui dit-elle en le fixant.
« C'est un oubli qui signifie quelque chose ? » fait-il en poursuivant son excitation du clitoris, de deux doigts.
Elle se tortille, gémissante...
« Ca signifie... que.... je suis une cochonne... ». Ses mots sont hachés par ses lèvres qu'elle pince entre ses dents.
Un doigt se faufile dans son sexe, puis un autre, lui arrachant un « haaa » libérateur.
« Tu m'as manqué. Continue de me branler » lâche t-elle sans retenue.
Il alterne les introductions et les pressions du clitoris entre ses doigts habiles.
« Voilà un langage, madame, que je n'entends pas souvent de votre part... sauf avec moi ».
Sa voix rauque, cette affirmation de leurs instants complices, la distance qu'il conserve avec elle tout en plongeant deux de ses doigts dans son cratère en fusion lui font monter le rouge aux joues.
« Oui. Une cochonne... pour vous. »
Il force ses doigts à remonter dans le sexe désormais trempé.
« Continu... fort ! Vite ! Profond ! »
Sa main musclée la fouille.
Elle si prude et parfois si crue lorsqu'elle est dans ses bras.
Ses doigts écartent ses lèvres jusqu'à les ouvrir en grand.
Il lâche le sein au téton aussi raide qu'un bourgeon printanier et fait glisser le pantalon au sol.
Son chemisier ne masque plus que difficilement son second sein qui s'agite au rythme de la masturbation imposée.
Elle écarte ses cuisses, lui laissant libre action pour la fouiller autant qu'il le souhaite.
Ses mains se posent sur les hanches de son amant pour tenter de l'attirer à elle.
« J'ai manqué de sexe... »
Un geste de Robin passe sous son chemisier, effleure son sein pour le libérer.
Comme folle, elle se retrouve nue dans un angle sombre de son hall d'entrée.
« Je me suis retenue de jouir... »
Elle le voit la contempler, dépouillée de ses habits.
« Vous non ? »
Les bras musclés l'attirent. Les mains caressent chaque partie de son corps.
Elle s'abandonne à cet homme, attendant sa réponse avec un mélange de craint et de désir... subtil jeu de la séduction.
En guise de réponse il prend les seins dans ses mains, les soupèses, les malaxe. Ses yeux passent de sa poitrine à son regard vert.
« J'aime vos gros seins ».
Elle voudrait qu'il les tête tant ils sont tendus de désir. Elle est ravie.
Il descend sur ses hanches et, avant qu'elle n'ait pu dire un mot, la tourne brutalement vers le mur.
Surprise, elle sourit et écarte ses cuisses, offrant son postérieur à son regard et à ses mains... à... tout ce qu'il veut.
Elle le sent s'agenouiller derrière elle.
Ses mains se posent sur ses fesses nues.
Le contact l'électrise et la transporte de bonheur.
Sa voix lui fait l'effet d'une lanière de cravache.
« Les fesses que j'ai caressé ce week end etaient plus menue que les votres... mais... j'aime votre gros cul. Madame ».
Son souffle sur le haut de ses cuisses, la façon qu'il a de lui parler, lui fait exhaler un « haaaa » de tension.
A suivre...
La Villa est faiblement éclairée en son extérieur lorsque la voiture fait crisser les cailloux.
Elle rentre de week-end .
Un week-end au soleil, chez des amis.
Si le lieu était des plus agréable, la compagnie de ses amis sympathique, elle est heureuse de rentrer chez elle.
Son mari n’a pas décroché une parole dans le trajet, comme d’habitude.
D’ailleurs, il s’est déjà isolé à peine arrivé, parti se coucher sans même prendre le temps de lui dire au revoir.
Elle soupire en cherchant du regard celui qui se découpe dans l’entrée, le gardien, Robin.
Il s’avoue qu’il va avoir du mal à regarder cette femme... alors qu’il vient de déflorer sa fille.
Ce dimanche soir est particulier, il l’a passé dans un lit qui n’est pas le sien mais celui de Coralie, dont sa mère et de plus patronne, vient d’arriver avec son mari.
Les yeux sombres de l’ homme lui font naitre une boule de chaleur dans le creux du ventre, un flash et la voilà déjà toute émoustillée à l'idée de le retrouver, car elle doit s’avouer s'être ennuyée et elle sait quelle force peut animer ce robuste majordome-homme à tout faire-jardinier… et habile amant.
Le porte document de son mari git en travers du canapé.
Elle l’entend presque déjà ronfler.
Elle sourit alors à l’homme qui s’approche d’elle.
Il laisse flâner un regard sur son employeur.
Vêtu d'un pantalon de toile, d’un tee-shirt noir, une tenue de travailleur qui offre un contraste saisissant avec la délicatesse de celle de la femme en face de lui.
Un pantalon de tailleur très fin, presque transparent, un chemisier dans des teintes roses et dorées en accord avec la ceinture fine et le collier étincelant qu’elle arbore autour de son cou gracieux.
Son regard traine sur les rondeurs délicieuses, engoncées dans son pantalon, suffisamment fin pour qu’il puisse affirmer l’inexistence d’un quelconque dessous…
Il lui rend ce sourire, rougissant. « Si elle savait » pense t’il.
« Madame. » Son salut est distingué, empli de respect et de politesse.
« Bonjour Robin ». lui lance t elle doucement.
« Je suis ravi de vous revoir ».
Ses yeux bleus-verts se posent sur son entrejambe avec insistance… « Vous m’avez manqué ».
Il regard les alentours, craignant une arrivée du mari… ou de leur fille.
« Votre week-end fut bon ? » enchaîne t il, gêné.
Sa réponse négative dans une moue qui s’achève en sourire lui donne soudain chaud.
Le balancement des hanches de cette femme de 10 ans son ainée, sa voix douce, sa bouche pulpeuse et ses formes onctueuses qu’il voit onduler dans le chemisier lui font perdre ses moyens,
« Ho... Désolé » réplique t-il presque automatiquement.
« Et vous Robin ? Votre week-end ? » lui demande t-elle en s’approchant un peu plus, déposant son sac sur une table de bois précieux.
« Très très... très bien. Tout est en ordre. ».
Elle jette un œil sur l’ensemble de la maison, parfaitement tenue. Décidément cet homme est en plus une perle de rangement.
« Je vois. Pas de souci non plus avec Coralie ? Car je vois qu’elle est rentrée. »
« Aucun Madame"
Son regard se baisse imperceptiblement sur la poitrine de la femme en face de lui.
« Oui. Mademoiselle Coralie est rentrée. Elle est... dans sa chambre je crois. »
La poitrine en face de lui se gonfle au rythme de la respiration qu’il voit s’accélérer doucement.
Elle garde un instant le silence, les yeux fixés sur lui.
Qu'elle aime son regard, pense t-elle.
Elle bombe doucement le torse, ouvre ses bras pour se détendre… « comme cela il va pouvoir en profiter » sourit-elle intérieurement.
« Pas de soucis avec elle? Vous savez que parfois elle peut-être... » dit-elle sans finir sa phrase
Il s'attarde sur les bordures du soutien gorge qu'il distingue sous le tissu du chemisier.
L'ampleur de la poitrine lui rappelle combien elle est douce et agréable à tenir à pleines mains.
« Aucun, elle est parfaite. » lâche t-il d'un ton un peu automatique.
Elle souffle un « Et capricieuse » qui le fait revenir à la réalité.
« Comme vous... » dit-il en la fixant alors qu'elle sourit de ce compliment, puis se ravise.
« Comme moi ? Parfaite ou capricieuse ? » le questionne t-elle ?
Il est si près d'elle désormais.
« Les deux... Madame »... un leger souffle lui apporte son parfum qu'il hume. Une fragrance pleine et qui la symbolise, sensuelle, envoutante.
« Je vous ai dit que vous m'aviez manqué . Si vous vous approchez de trop, je vais … je ne vais plus... j'ai envie de vous Robin. »
Il se recule, et affirme d'un ton grave « Mais je suis à votre disposition, vous le savez. Cependant votre mari est présent... »
« Justement, cela pimente ... » argue t -elle avec une étincelle de désir dans les yeux. Son bas ventre en feu.
Elle aime lorsqu'il devore sa poitrine comme il le fait maintenant.
« Je ne peux attendre plus ... »dit elle « Vous n'avez pas envie vous ? ».
Sa main se pose sur son chemisier... entre la protection et la caresse de sa poitrine.
Un geste ambigüe.
« Vos ordres madame.. sont des désirs..." fait-il en se plaçant à quelques centimètres de la femme.
Elle s'étonne de son manque d'envie qui parfois semble se faire sentir.
Bientôt son entrejambe se frotte a sa hanche, elle se frotte à cet homme qu'elle désire.
Elle le soupçonne de s'être donné du plaisir dans le week end
« Hummm je vous sens ... »
Elle bouge ses hanches, son bassin.
Il pose une main sur elle... là où la ceinture se détache de son corps.
« Humm oui. Votre main… ».
Son souffle se fait plus court.
« Mon mari dort, la nuit fut longue… et j’ai pensé à vous tout le trajet. »
La main de Robin se fait plus lente et glisse sur le fessier pour très vite explorer les rondeurs de ses fesses.
« Pas de dessous… » murmure t il.
« Aucun… J’ai pensé à vous tout le trajet avec une seule envie, que vous humiez ».
Il place alors ses deux mains de chaque côté de cette femme, sa patronne, son ainée, la mère de Coralie...
« Dans le hall ? sur le divan ? » la questionne t-il.
Elle est à fleur de peau, les sens en éveil, son sexe déjà humide.
Il remonte ses mains sur ses flancs.
Les pouces passent sous la poitrine, remontent en passant sur les mamelons et ses tétons saillants dans le chemisier.
Elle lui sourit, un sourire tendu, « dans un angle de la pièce ».
Il l'entraine dans cet angle où les ombres de lumière les cachent très légèrement.
« Si ma fille nous surprend... ce serait... » fait elle sans achever sa phrase.
« Ce serait … ? » l'interroge t-il en faisant redescendre ses mains, excitant les tétons avec délicatesse.
Elle hausse un sourcil ?
« Un drame... ? » propose t-il tout en caressant les aspérités qu'il sent extrèmement tendues.
« Je pense oui, je ne veux pas l'imaginer, elle est si jeune, ingénue, candide... comme moi ».
Elle dandine du bassin, la poitrine en avant, gonflée.
Il lui sourit, la pousse doucement dans le coin des murs.
Bientôt elle est plaquée, son dos contre la boiserie.
« Et aussi très belle. Un jour viendra... ou elle trouvera un prince charmant... » lui sourit-il en la soulevant presque.
Ses mains glissent a nouveau sur ses hanches, ils se déplacent comme un couple de danseurs, pas dans les pas, avec une ondulation lascive sur un air invisible de tango.
Leurs bas ventres se frottent l'un à l'autre.
« J'espère pour elle ... Hummm vous me faites de l'effet Robin ».
Il est dur... l'évocation de Coralie, en tenant Madame... lui fait un effet fou.
Il pose sa bouche dans son cou puis son visage plonge rapidement dans le décoleté.
Il pointe sa langue, embrasse, de plus en plus profondément dans la vallée de ses seins.
« Hummmm oui Robin, continuez ... ».
Il la sent s'abandonner.
Obéissant il s'attarde et sa bouche se fait délicate.
Elle gémit doucement, le week end fut long.
Les mains posées de nouveau sur ses fesses, ce coquin de Robin lui fait gravir les échelons du désir, quatre à quatre.
Elle le sent palper ses rondeurs, en mesurer l'amplitude.
Avec sa bouche il saisit un « zip » du haut de son chemisier, le tire, puis l'autre, dénudant ainsi ses deux épaules.
Le tissu s'ammolit, tombe lentement.
Les fesses fermements tenues, son haut de poitrine se libère.
Elle n’a qu’une hâte, qu’il lui bouffe la chatte. Alors elle fait durer le plaisir.
A suivre...