[...]
Elle gémit, soulève une cuisse pour faciliter l'accès à son intimité.
Le bout de sa langue se pose sur son sexe.
Tournée vers le mur de son salon, elle offre son séant à celui qui n'est pas son mari, Robin, celui qui la palpe et vient de lui arracher ses vêtement, Robin,
son employé, celui qui la lèche à la faire se damner.
Elle se ressaisit : « Comment ça ? Plus menues ? ».
Il tate le terrain de sa bouche... ouvrant largement la bouche pour embrasser son sexe humide.
« Oh oui, bouffe moi. Bouffe moi la chatte... mais répond à mes questions !! quelles fesses menues as-tu carressé ce week-end alors que nous n'étions pas là?
».
Il aspire ses levres, son clitoris, lappe avant de reprendre entre en bouche la perle gorgée de sang et la suçotter.
« Hummmmmm ouiiiiiiiiii, continu ». Son plaisir s'accroit... son gémissement est fort... trop pour une femme dont le mari est à l'étage.
Il tente de lui repondre mais ses paroles se perdent dans une série de sucions, de lappements alors qu'il enfonce sa langue au plus profond d'elle, écarte les
levres intimes, apire le jus qui s'en écoule.
Elle bouge sur sa bouche, se frotte par petits balancements rapides, agitant son postérieur, se plaquant au visage de son amant.
Sa poitrine se balance et ses seins lourds claquent l'un contre l'autre.
Il a le visage renversé pour qu'elle puisse se frotter à son visage.
Sur le dos, il avale le sirop qui suinte de la fente qu'il parcourt de sa langue.
Son muscle deguste, avide, la chatte qui lui est offerte.
Entre ses levres, il aspire chacune des levres féminines pour les sucer l'une après l'autre.
Elle se laisse faire, au comble de l'excitation.
« Oui, aspire bien, nettoie tout... toute ma moule... que tu fais couler... tu es mon cochon, aspire tes cochonneries ».
Sa propre voix la surprend.
Elle si à cheval sur la politesse...
Elle se cambre pour mettre sa motte à la disposition de cet étalon vigoureux.
« Oui Madame ».
La réponse la fait frémir... Il lui obéit... Elle pourrait lui demander n'importe quoi... Elle exhale un long gémissement.
La bouche tête le petit bouton qui entre loin entre les lèvre de Robin.
Du bout de la langue il le fait gigoter avant de le lâcher et recommencer ce supplice délicieux.
« Ohh C'est bon ! Continu ! Oui ! »
Il ouvre les jambes de la femme en grand, se tourne et revient face à son sexe.
Elle remue son séant, heureuse d'avoir une petite pause dans cette pratique qui la faisait monter rapidement à l'orgasme.
Se ressaisissant elle pose de nouveau sa question, anxieuse autant qu'excitée.
« Mais quel est ce petit cul dont tu me parles ? », elle reconnaît sa voix est coupé par ses souffles courts.
« C'est celui... d'une étudiante... » répond-il sans oser avouer la véité.
Il la bouffe alors pour l'empecher de parler.
Elle grogne mais sa curiosité, sa jalousie est plus forte.
« Une.... haaa... étudiante ? Hooo ! Ouii... »
La bouche est vorace, La langue inquisitrice.
Les manigances buccales flirtant même avec l'extremité basse. Le début de sa vallée interdite.
« Tu as baisé une étudiante ? »
Il sourit intérieurement, d'amusement.
« Oui madame. Déflorée même ».
Elle ondule.
« Elle était bonne ? »
Il aspire de nouveau son clitoris longuement avant de le lâcher brutalement.
Il la remonte contre le mur, face à elle, il lèche chacun de ses seins sans lui donner de réponse, évitant son regard émeraude pour se concentrer sur ses bouts
tendus qu'il suce, mordille.
Il remonte à son cou, l'embrasse doucement sous l'oreille avant de plonger son regard dans le sien.
Elle caresse ses hanches, glissent ses mains sous le tissu pour sentir la peau et la chaleur de ce mâle qui a partagé une autre couche que la sienne.
« Tu es un salaud, tu aimes les petits culs, les gros culs, tout quoi ? »
Son sourire révèle ses dents blanches dans une attitude de carnassier.
« Baise-moi mon salaud »
Elle enlève son pantalon et s'amuse à jouer avec l'élastique du boxer qu'elle fait glisser lentement le long des cuisses musclées.
« Oui. J'aime tout. »
Elle admire la grosseur qu'elle palpe d'une main.
Il sent de son gland la chaleur moite de l'entrecuisse ruisselant de salive et de mouille qu'elle frotte.
Elle joue avec le sexe dur et sombre.
Il joue des reins pour que son membre caresse la fente élargie.
Il s'en saisit à son tour et entame une masturbation de sa patronne.
Le bout roud luisant écarte les lèvres pour monter et descendre.
Elle ondule... sans cesser de murmurer des « baise-moi »... les yeux clos.
Elle profite de la douceur du gland sur ses lèvres.
Il donne un coup de reins.
« Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! »
Il l''embroche d'un coup.
Repart vers le bas, remonte, s'enfonçant encore plus loin avant de refluer et repartir à l'assaut de son trésor intime... seul son gland reste dans la fente
ouverte.
Elle pince les lèvres poour ne pas crier comme elle vient de la faire.
Incapable de résister à ses introduction libératrice, elle se laisse fouailler par le vit qui l'écartelle de sa largeur.
Elle sent ses lèvres exploser.
« Oh c'est bon, tu mas manqué »parvient-elle à articuler.
Les mains fortes soulevent les cuisses de la femme et la plaque contre le mur d'à côté.
« Hann ! Mon salaud... fouille-moi fort ! »
Il l'enfile de nouveau de toute la longueur de sa tige bandée.
Soutenue par les mains puissantes qui lui tiennent les fesses,empalée sur le pieu raide, suspendue dans le vide, il la fait glisser autour de son ceps nervuré
jusqu'à lui faire partir la tête en arrière, sa bouche grande ouverte, incapable d'émettre le moindre son.
Elle se sent descendre, couler autour du manche qui est planté en elle.
Enfoncée jusqu'à la garde elle se laisse prendre et s'abandonne à son plaisir.
Collée au mur il peut lâcher une main tout en continuant d'aller et venir en elle sans effort, tellement elle est lubrifiée de son sirop.
Il se saisit d'un de ses seins voluptueux et le palpe, en tire un plaisir intense, son sexe ressent les pulsations de la matrice qu'il force.
« Je vous ai manqué également ? » lui sussure t-il à l'oreille.
« Oui... partout, pince moi les seins ».
Il la remonte avant de la faire redescendre, saisit les mamelons, les tire, les fait rouler entre ses doigts, les maltraite. Obéissant.
Son pieu dur comme une barre de fer, allant et venant dans le couloir délicat et ruisselant d'onctueuses sécrétions.
« Que préferes tu ? L'étudiante ? ou .. moi ? »
Sa jalousie l'émoustille aussi en redemande t-elle.
« Hummm... si je pouvais... je prendrais les deux... »
Il donne un assaut, plus rapide.
« Gourmand ! » elle accueille le rythme plus rapide... « En même temps ? »
Les coups de reins la font claquer contre le mur.
« Oui... pourquoi pas. Mais madame... allons....»
« Salaud, continue de bouger pour la peine. Prends-moi ».
Il tire sur les tétons, forçant les gros seins à se dresser vers le ciel et lui arrachant un gémissement.
« Tournez vous... Que je vous montre ce qu'un salaud peut faire à... une... comme vous »
« Une quoi ? » elle sourit, adore ce jeu, sent son désir grandissant de l'imaginer avec une jeunette.
Il ne la lâche pas, la fourre continuellement.
« Tournez vous, mon adorable maitresse... et splendide salope ».
« Qu'allez-vous me faire ? »minaude t-elle.
Ses yeux s'ouvrent en grand, il la contemple.
« Ce que votre mari n'a pas l'autorisation ».
Il tire alors avec puissance sur un mamelon et lui arrache un cri de douleur.
« Hummm ces seins ! »
Elle se tourne lentement, se cambre pour faire se dandiner ses fesses devant son amant.
Les avants-bras sur le mur, ses tétons frottent le bois précieux.
« Humm... ce cul ! »
Il a le feu aux joues. Ses mains osent se placer sur les fesses de son postérieur qu'elle lui offre, qu'elle soumet à toutes ses envies.
Elle a les joues rouges, de honte et de plaisir.
A suivre...