Elle... Il... en duo

bnb[...]

Sans un mot je fais claquer le premier bouton.

Sa main descend de son sein à sa cuisse.

Je ne peux plus détacher mon regard de cette femme envoutante.

Le tissu fluide laisse apercevoir le haut du bas.

Un liseré... une attache... une vraie paire de bas. Je suis aux anges.

De son pied elle masse toujours mon sexe à travers le tissu du jean.

Il est devenu dur.

Elle se penche vers moi, son pied me quitte.

Proche de mon entrejambe je perds mon regard dans la vallée de ses seins.

Une de ses mains dans ses cuisses a remonté sa jupe.

L'autre se pose sur ma braguette et, sans me quitter du regard, elle défait les autres boutons de mon pantalon.

Je respire vite, fort.

Mon sexe est chaud, agité.

Il déforme mon boxer gris.

Elle se recule, les yeux fixés sur ma bosse.

Puis, brisant le silence après quelques instants à contempler mon pantalon ouvert sur mon dessous déformé, mes bourses qui remplissent le tissu, me lance sèchement :

"Tu sens le sexe".

Je rougis.

"Tu aimes comme je te parle ?"

Je parviens à murmurer un "oui madame", impressionné.

"Tu sais, je sens aussi le sexe..." Sa voix est douce, suave.

Elle se lève et s'approche de moi.

Ses mains sous sa jupe elle se trémousse pour retirer son string en gigotant.

Ma respiration s'accélère encore, mon cœur frappe comme un sonneur dans ma poitrine.

Je ne cherche plus à cacher à quel point mon érection est intense.

Sa culotte tombe au sol entre ses cuisses.

Je découvre le tissu roulé en boule.

Elle glisse un pied puis l'autre en dehors de la dépouille de son string.

L'odeur me parvient, épicée, boisée.

"Tu veux le sentir ?"

Je la sais désormais sans culotte sous sa jupe".

"Hoo. oui..."

"Ramasse alors..."

Je suis surpris. Je m'attendais à ce qu'elle me parle de sa fleur intime...

Néanmoins je me penche, incapable de résister à ce qu'elle exige de moi.

Je prends le string souillé et l'approche de mon visage sans oser croiser son regard qui me brule.

Une couleur un peu blanchâtre en tapisse le fond.

Je sens sous mes doigts la poisse de ses écoulements.

Un mélange de désir, de sécrétions vaginales...

Je le hume."Tu aimes ?"

J'ose la regarder.

"Oui. Ho Oui. Vous sentez si bon."

"Il parait que cette odeur a des vertus sur les sens de l'homme... Cela éveille son côté animal... Ce côté que j'aime."

Je perds pied.

A quelques millimètres du tissu sali je le respire plus fort pour m'imprégner de son intimité.

"Lèche. Lèche-le".

J'ai un moment de recul.

"Lèche. Aspire mon suc".

Je ne l'imaginais pas comme cela, si... dirigeante... si... perverse !

Et l'idée me chavire de plaisir.

J'ouvre ma bouche et sors le bout de ma langue...
Je touche le tissu souillé.

Elle se radoucit.

"Mange moi à travers de bout de chiffon que tu m'as fait salir".

Je passe le bout de ma langue sur sa souillure.

Je lèche... lentement.

Son gout me parvient, puissant.

"Ferme les yeux et mange tout."

Je n'ose à peine croire ce que j'entends et encore moins ce que je fais.

Lentement je le suçote, désormais les yeux clos.

J'aspire, je tète le tissu, j'ai honte mais j'avale sa saveur qui se mêle à ma salive.

Sa main se pose sur mon front et me caresse, m'apaise.

Je tends le tissu entre mes doigts.

Je lape l'onctueuse nappe blanche, ravi intérieurement d'avoir ce plaisir.

Elle se place à genoux devant moi, sa main toujours dans mes cheveux.

"Vous avez très bon goût" lui dis-je en ouvrant mes yeux pour la contempler entre mes cuisses largement ouvertes.

"Meilleur que tout ce que j'ai pu découvrir auparavant".

Elle approche son visage du mien et me souffle à l'oreille en se hissant sur la pointe de ses pieds et de ses genoux :

"Alors mange, aspire, lèche tout et nettoie".

Je frissonne de la savoir si proche, je prends le tissu en bouche et je suce goulument.

Le souffle de sa respiration à mon oreille, dans mon cou...

Je tête son dessous.

Elle se glisse entre mes jambes.

Ses seins sur mes abdominaux.

Je pousse un hoquet en sentant leurs pressions contre moi.

Ses lèvres délicieuses effleurent ma joue.

Je poursuis mes sucions.

Elle s'approche, sa bouche à la commissure de mes lèvres.

"Mange moi la bouche maintenant que tu as bon gout".

C'est si... cru... et osé que je tourne le visage.

Nos lèvres s'effleurent, nos bouches s'ouvrent.

Ma langue sort et s'enroule autour de la sienne.

Un baiser lent, langoureux, passionné.

Ses mains douces ont quitté mon visage pour venir se poser sur mes cuisses.

Elle goute à mes lèvres, mélange de salive et de son odeur intime

Je profite de ce moment hors du temps.

"Hummm" je gémis sans me retenir.

Je m'applique alors à l'embrasser, à dévorer sa bouche, explorer ses dents, chercher sa langue, l'aspirer.

Ses mains quittent mes cuisses après les avoir massées doucement pour ma bosse sous le boxer.

Je pousse un "Hoooommmm"

Elle réplique d'un "C'est bon, tu es bon..."

Le compliment le plus beau de toute mon existence.

Elle masse, appuie sur mes bourses.

Je redouble d'intensité dans ce baiser que je veux éternel.

"Bon et dur..."

Lourdes, mes boules roulent entre ses mains.

Elle alterne avec des caresses appuyées tout au long de la tige à travers le tissu fin de mon boxer.

"Je sens que tu vas me faire beaucoup de bien..."

Je grogne sous ses caresses et relâche sa bouche à regret.

"Tout ce que vous voudrez madame"

Elle sourit.

"Tout ?"

"Je... oui..."

Elle a un large sourire.

Elle se recule, s'assoit et s'enfonce dans le fauteuil.

Quasiment nu, mon boxer en triste état, tâché, détendu, je la regarde lascive et excitante.

"J'ai beaucoup d'idée à ce "tout" tu sais..."

Je rougis jusqu'à ne plus sentir mes oreilles.

"Alors viens me téter un petit peu."

Je me lève, hypnotisé par son ordre.

"Mes seins sont tellement tendus..."

Je m'agenouille à mon tour devant elle comme devant une déesse.

"J'en rêve, de vous téter".

"Vraiment ? Tu es un sacré coquin".

Je pose mes mains de chaque côté de ses jambes.

Elle écarte ses cuisses.

Je m'avance entre elles.

Je peux admirer sa courte toison fine, découvrant ce sexe qui me fait entrer en érection comme jamais auparavant.

"Tu aimes ?" me questionne t’elle.

"Hoo... c'est splendide".

"Elle te fait bander ma chatte ?"

Je garde le silence, surpris par cette attitude chez cette femme que je croyais si BCBG.

"Tu aimes les mots crus mon jeune ami ?"

Je hoche la tête, affirmatif mais timide.

"Moi aussi..."

"Vous ne direz rien alors... à mes parents..." ose-je avancer.

"Dire quoi ? A qui ? Je ne te dirais... que des mots très crus..."

J'effleure ses cuisses du bout des doigts.

L'extérieur... le liseré... puis la peau.

"Viens me téter".

Près, de plus en plus près de sa poitrine cachée.

"Pas un mot à tes copains non plus". Me dit-elle.

J'ouvre ma bouche et la pose, grande ouverte sur le sein recouvert.

"A moins que ... enfin nous verrons plus tard..." finit-elle avant de pousser un petit soupir et de s'agiter.

"Humm oui... tête bien".

J'aspire le tissu, le téton se dévoile sous ma langue.

Je lèche le top. J'aspire.

Je découvre l'absence de soutien-gorge qu'elle a pris soin d'enlever sans que je ne m'en rende compte.

L'odeur de son sexe me vient.

Mes mains saisissent le tissu.

Je le remonte lentement, puis plus vite, presque brouillon.

Il passe par dessus ses épaules puis son visage et ses cheveux qu'elle replace délicatement.

Muet, admiratif de cette poitrine.

Elle a posé une main entre ses cuisses. Je la vois s'agiter sur son intimité.

Je l'observe faire.

Elle remonte son doigt gluant.

Elle le pose à sa bouche et elle le suce en plongeant ses yeux dans les miens.

Je repose ma bouche sur son sein nu... lourd... en poire... profond...

Ma bouche aspire profondément.

L'auréole disparait...

Le téton se tend...

Du bout de la langue je titille la longue tétine.

Goulu, gourmand, je le serre.

Elle gigote... son doigt alterne entre son sexe et sa bouche.

Je libère le premier sein avant de me jeter sur le second.

Lapé... léché... j'en apprécie les aspérités qui ponctuent le mamelon large et sombre ainsi que lé tétine longue et dure.

Je mordille doucement.

"C'est un supplice... si tu continues comme ça je ne vais pas tenir !!"

Elle gémit.

Ses effluves m'enhardissent.

Je le suce alors de façon intense comme j'ai toujours rêvé de la téter.

Entre mes mains je perçois l'onctuosité de sa poitrine, je la palpe tout en la mangeant.

Je ne peux me retenir à grogner de plaisir en profitant de sa paire de seins qu'elle m'offre.

Son bassin effectue de petits mouvements, des soubresauts.

Je plaque ma bouche à son gros pis et, gourmand, je l'avale entier.

"Haaa oui Encore ! Tête moi encore comme ça mon cochon"

Je le tire vers l'intérieur de ma bouche, sa main posée sur ma nuque, mes joues creusent à force de sucer.

Je joue de ma langue pour l'exciter et le titiller, si long, si dur.

Elle avance ses reins et colle son sexe au plus près de mon corps.

Je l'aspire, il s'étire.

Je sens le corps mur qui me frôle.

Mon sexe au-dessus de l'assise effleure ses poils pubiens.

Ses jambes ouvertes, je suis dans un rêve, un fantasme.

Elle appuie fort sur ma nuque et je tête avec une envie renouvelée.

Dans mon boxer ma verge est douloureuse, à l'étroit.

Je me laisse plaquer contre son sein... elle gémit... je le mange...

De ces deux mains elle me force à descendre.

Je résiste mais si peu, avant de me laisser diriger vers son sexe.

"Bouffe moi la chatte maintenant... bouffe moi... "

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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J'allais rendre visite à mes parents comme souvent le week-end, profitant d'un peu de répit dans le travail assez conséquent que m'imposaient mes études de médecine.less

J'étais vêtu d'un jean noir, d'un tee-shirt rouge vif, tenue décontractée qui me permettait de relâchée également la pression.

C'était toujours un moment agréable, loin du centre ville, du bruit, et de l'exiguité de mon studio.

Secrètement, en conduisant, j'espérais que l'amie de ma mère serait présente.

Cette femme avait depuis mes premiers émois, accompagnée mes pensées nocturnes, solitaires et parfois même mes choix de conquêtes féminines.

Elle représentait la muse sensuelle que je désirais.

Aussi, lorsque je me garais dans l'allée du jardin du vaste pavillon familial et que j'aperçus l'Austin mini de cette femme, mon cœur fit un bond.

Je souriais dans le rétroviseur.

Après un bref coup de sonnette, j'entrais dans la maison.

"Salut ! C'est moi !".

Ma mère me reçoit.

Les embrassades chaleureuses toujours aussi débordantes.

Et j'entre dans la pièce, le salon, où elle est là...

Assise sagement dans un fauteuil.

Elle se lève.

Une jupe portefeuille en tissu fluide imitant la soie, courte, un brin coquin en révélant des bas blancs qui galbent ses mollets, ses genoux.

Elle a des jambes splendides.

Je lui rends son sourire, appréciant intérieurement la tenue volante.

Elle dépose un baiser sur ma joue.

Son parfum est fort, un vrai parfum de femme mature; limite entêtant, je le voudrais encore plus longtemps sur moi.

Il flotte... j'inspire pour me délecter... il m'enfièvre.

La quarantaine passée elle est une femme superbe, dans la pleine force de l'âge, sure d'elle, confirmée.

Je rougis alors que j'aperçois furtivement son regard s'attarder sur mon pantalon moulant avant de remonter vers mon visage.

Un peu serré, je me demande si ce jean ne met pas trop en avant mes attributs.

Est-ce un regard automatique ou bien y a t-il dans ce regard réflexe... autre chose ?

Je me surprends à laisser trainer mes yeux quelques secondes sur sa poitrine.

Ma chemise à carreaux, cintrée... " un cadeau de maman", se soulève alors que je prends une profonde inspiration et me pose sur le canapé.

Le thé est servit, trop chaud comme d'habitude.

L'ambiance est cosy et les deux femmes m'assaillent de questions sur ma vie, sur mes études... mes amis et amies.

Je réponds évasivement, amicalement.

Je regarde sa bouche entrouverte souffler sur la tasse, des images plein l'esprit à la simple vue de ses lèvres aux plis sensuels.

Lorsqu'elle parle sa voix résonne en moi comme un carillon, une sonnerie d'appel.

Je me sens toujours si jeune face à elle, si humble.

Elle joue de la tasse avec le bout de ses doigts.

Sa bouche effleure la porcelaine blanche.

Je me surprends à envier cette anse qu'elle semble caresser de façon sensuelle.

Soudain le téléphone sonne, ma mère doit vite s'en aller pour aller à la gare retrouver ma sœur puis la ramener chez elle.

Dans ces embouteillages elles risquent de s'éterniser... mais elle ne veut pas que son amie ne parte avant d'avoir finit son thé.

Je n'en crois pas mes oreilles, je vais avoir un peu de temps avec cette femme, avec ma muse.

J'admire ses doigts pour ne pas la regarder dans les yeux.

Ma mère s'éclipse après un léger baiser sur le front.

La porte claque.

Nous voilà seuls dans la maison silencieuse... et je suis intimidé.

Je sursaute.

Elle vient de défaire son escarpin et de poser son bout de pied gainé de nylon sur mon entrejambe.

Sans un mot.

Je relève le visage vers elle, interloqué.

Je laisse le pied posé là où il est, mes yeux grands ouverts.

Elle fini sa tasse et la repose sur la petite table.

Je tremble en tenant la mienne que je ne parviens plus à boire.

Son regard bleu est pétillant.

De fines ridules aux coins de ses yeux en amande la rendent attractive, incroyablement belle.

"Tu as bien grandit" me dit-elle.

Ma cuillère tremble alors que je la remercie de cette remarque.

"Je te gène ?" poursuit-elle en accentuant sa pression sur mon entre jambe.

Mon sexe a aussitôt réagit, enflant sans que je ne puisse l'en empêcher.

Remontant mes flancs, parcourant mes cuisses, des myriades d'étincelles réchauffent mon corps.

"Ho non"... ma réponse me semble trop rapide, irréfléchie.

Elle continue de frotter délicatement du bout de son pied dont le tissu masque les orteils.

Par petits cercles, elle me fait écarter les jambes.

Elle me sourit, visiblement ravie de l'effet qu'elle me fait et de ce qu'elle sent sous ses doigts.

Ma verge enfle.

Sa jupe fluide remonte sur sa cuisse.

Je lorgne du coin de l'œil cette jambe imaginée tant de fois.

"C'est très... chaud tout ça". Fait-elle d'un ton plus doux, plus grave, plus intime.

Je déglutis avec peine le thé qui me parait être devenu aussitôt consistant que de la pierre.

"Chaud... et bien rempli" poursuit-elle en appuyant plus fortement sur mon sexe.

Je deviens rouge, écarlate.

Ses yeux captent les miens.

Je peux y lire l'étincelle brillante du désir.

Mon membre forme aussitôt une barre qui croît et remonte sur ma cuisse en déformant mon jean.

J'ose enfin lui dire quelques mots.

"Vous êtes très..." sans pouvoir achever ma phrase.

Son pied me masse doucement, je respire de plus en plus vite sous l'effet de l'excitation.

Je perds le souffle.

"Très quoi ?".

Je descends mon regard vers son top. Une sorte de tee-shirt ample presque sans manche, très échancré sous les bras, et largement ouvert sur sa poitrine.

Ses petits cercles sur ma bosse descendent sur mes bourses.

"Ravissante." Achève-je enfin.

"Humm "ravissante", j'aime. Moi je dirais que tu es... très très excitant".

Mes joues sont rouges de ce compliment.

"Vous m'enivrez depuis que je suis en âge de vous apprécier". Ma voix est celle d'un autre, ailleurs, loin. Je ne me reconnais pas dans cet aveu.

"Je suis ravi d'entendre ça" soupire t’elle d'aise.

Je plonge mon regard dans la vallée de sa poitrine qui se dessine sous le tissu.

"Tu es très attirant" fait-elle en pressant un peu plus fort mon membre, sa jambe dévoilée plus haut par la jupe qui remonte lentement.

Je pose ma tasse dont la cuillère, tremblante, fait tinter la matière.

"Merci. Vous aussi. Mais je ne devrais pas... vous êtes l'amie de ma mère".

Je regrette presque aussitôt mes paroles.

Je suis sur qu'elle va mal le prendre.

Au lieu de cela elle ne dit rien et continue ses manigances de pieds.

"Tu sembles bien mur pour ton âge".

"Je ne suis plus si jeune. 25 ans cela commence à compter".

Elle rit doucement. Un petit rire clair comme un torrent de montagne.

"Oublie cela. Ne pense qu'à mon pied qui te fait du bien."

Je ferme les yeux, accédant sans effort à sa demande, dans un soupir de plaisir.

Je crois rêver.

"Je n'ai vécu que pour cet instant" murmure-je.

Elle pousse un petit gloussement.

"A la fleur de l'âge. Tout connaitre. Un petit peu d'expérience." susurre t’elle doucement en massant délicieusement.

J'ouvre les yeux pour me rassurer. Ce n'est pas un fantasme, il ne fait pas nuit, et je ne me réveille pas.

"25 ans...suffisamment pour donner du plaisir... et endurant..." me dit-elle.

Je rougis jusqu'aux oreilles.

Son pied se faufile sous ma chemise.

Elle tâte mes abdominaux.

"Hummm. Et bien bâti en plus".

La chemise remonte.

"Défais les boutons un à un" m'ordonne t’elle.

J'obéis en commençant par la haut.

Les mains fébriles, je parviens cependant à lui exhiber mon torse musclé, légèrement velu puis mon ventre dont une frange noire de poils descend de mon nombril vers le pantalon avant d'y disparaitre.

Elle glisse une main jusqu'à son sein pointu.

Son top est tendu.

J'avale ma salive avec difficulté.

"Magnifique" dit-elle plus pour elle même que pour moi.

Je pose ma chemise à mes côtés.

"Défais ta ceinture également".

"Je..."

Me doigts se posent sur la boucle et font coulisser le cuir.

"La boucle et le premier bouton".

 

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[…]  

 

 

Vitrée, la porte me renvoie mon image.

 

Attaché, la croupe en l'air, mon sexe est bandé à l'extrême.

 

Je me vois onduler malgré moi sous l'effet de plaisirs contradictoires.

 

Elle se dévoile, somptueuse, ses seins arrogants, lourds, vers moi.

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Un harnais enserre sa taille resserrée qui met en valeur ses hanches aux fesses voluptueuses.

 

Au centre des liens de cuir noir, au dessus de sa fente rousse, une verge fictive se dresse comme un phallus de satyre.

 

"Qui te parlais d'un homme ?" me sourit-elle.

 

Je deviens écarlate.

 

Une goutte de plaisir perle au bout de mon gland.

 

Elle avance, le membre se balance jusque devant mon visage.

 

J'ouvre la bouche sans même qu'elle n'ait eu à me la demander.

 

J'en ai envie... un plaisir nouveau... un désir subit.

 

J'embouche la verge de ma maitresse et m'applique à effectuer une fellation digne de ce nom à ce qui ressemble trait pour trait à une véritable verge.

 

Le gland, la veine, l'arc de cercle... je le déguste.

 

Elle maintient le gode ceinture à sa base, et en profite pour se caresser franchement, son clitoris, titillé par ses doigts fins.

 

Elle pousse de petits grognements.

 

D'un mouvement coulé, elle extraie le faux sexe de ma bouche.

 

Un filet de salive unit pendant un court instant mes lèvres à ce pilon de bakélite.

 

Je la sens, je la vois se glisser derrière moi.

 

Je me contracte malgré moi, resserre mes fesses sur lesquelles elle pose ses mains.

 

"Je vais te déflorer..." me dit elle gentiment tout en massant mon petit trou..." Je vais te sodomiser... tu vas voir... tu vas aimer." continue t elle en passant sur mon orifice une vaseline à l'odeur boisée.

 

A côté de mon manche de chair se faufile le piston de plastique.

 

Elle appuie le bout de la verge sur mon anus qui ne résiste presque pas, pour le laisser entrer.

 

Une intromission douloureuse que facilite néanmoins le corps gras.

 

Je crie.

 

Elle entame une série de longs et lents va et vients.

 

Progressifs, je sens la coulisse pénétrer de plus en plus loin à chaque poussée.

 

"Haaaa... non... hooo non...." Ose-je lancer.

 

Elle plante ses ongles dans mon dos.

 

"Humm… tu cries... ça m'excite."

 

Je redouble alors... pour son plaisir... et pour le mien.

 

"Aiiie... non... maitresse... non... Haaa !"

 

Elle s'immobilise après de longues minutes où elle me force avec régularité.

 

Mon conduit anal est ouvert, il me semble que le manche est entièrement planté en moi.

 

La douleur est diffuse, elle irradie mes cuisses, mon bas ventre... mon sexe... qui est dur comme de l'acier.

 

Je respire avec difficulté, le moindre de mes gestes fait osciller le pal dans mon anus. Mes mains sont crispées sur les barreaux de son lit.

 

Mes jambes, entravées, maintenues écartées.

 

Ses doigts frôlent mes fesses.

 

"Regarde-toi dans la glace, baby". Me suggère t elle.

 

Je penche le visage et me découvre.

 

La moitié simplement du gode ceinture est entré dans mes fesses.

 

Androgyne, à la fois Eros et Aphrodite, ses seins sont gorgés de féminité, ses fesses rondes et bombées... et une verge lui forme une queue satyrique.

 

Un soupir m'échappe et je pousse mon corps... sur le pieu qui me sodomise.

 

La douleur s'est évanouie, le plaisir a pris sa place... un plaisir obscur, obscène, intense.

 

"Hummm... tu veux que je te chevauche..."

 

"Ho oui Maitresse..."

 

Et ma cavalière me force... me prend... comme un mâle prend une femelle...

 

Pour la première fois de ma vie je découvre cette source d'orgasme.

 

Sa main droite me masturbe avec autant de vigueur que ses coups de reins me déflorent.

 

Je ne suis plus que plaisirs diffus.

 

Je me tends, je me vide, gicle dans sa main.

 

Mes longues coulées de sperme s'échappent de mon corps électrisé.

 

Elle me place sa paume devant ma bouche.

 

Je lape, j'avale mon foutre dans un bruit de succion sans même en avoir honte.

 

Elle peut faire ce qu'elle veut de moi... je suis à elle... j'appartiens à ma Maitresse... les paroles de mon serment de soumission me reviennent d'un coup.

 

Je l'entends gémir et atteindre l'orgasme.

 

Elle se tend, défonce mon arrière train dans l'arc que son corps prend alors qu'elle coule à son tour.

 

Nous restons figés, haletants... avant que la verge ne sorte entièrement de moi.

 

L'anus meurtri elle passe ses doigts sur l'ouverture béante pour apaiser la douleur.

 

Elle ôte lentement son harnais et vient se placer juste derrière moi.

 

Son souffle est une caresse sur mon anus et mes bourses.

 

Sa main vient me palper avec délicatesse.

 

Sa langue lape ma rosette.

 

Je soupire... je grogne... et me cambre.

 

Par petites touches elle me fait accepter sa langue sur les frontières puis dans l'intérieur de mon puits sombre.

 

Ma verge est caressée, mes boules sont malaxer de plus en plus fortement.

 

"Tu bandes encore... " L’entends-je dire, autant pour elle que pour moi.

 

Elle me maintient dans un état proche d'un nouvel orgasme.

 

Les liens de mes poignets et de mes chevilles me font mal à force de me maintenir dans cette position de soumission.

 

Sa langue passe, large, englobe mes couilles pour venir pécher l'intégralité de ma raie.

 

Ses doigts défont alors mes liens.

 

Je masse ma peau, à genoux sur le lit.

 

Elle vient se placer face à moi.

 

Tel un reflet, agenouillé elle aussi.

 

Sans me quitter des yeux, elle s'allonge sur le dos, ouvre ses cuisses fuselées, son intimité offerte.

 

"Viens mon bel étalon... fais moi l'amour" me sourit-elle.

 

Je m'allonge sur elle et mon sexe en feu plonge dans sa grotte lubrifiée.

 

Malgré ma largeur elle accueille mon soc dans son ventre avec un soupir de soulagement.

 

Son corps ondule lascivement au rythme de mes pénétrations lentes et précises.

 

En appui sur le lit, mon torse frotte contre les pointes de ses seins.

 

Elle me griffe le dos à chaque fois que je la laboure de toute la longueur de mon vit.

 

Sa bouche laisse échapper des gémissements, des suffocations, au gré de mes vas et vients incessants.

 

Ses yeux azurés se font plus clairs, son regard se perd dans le plafond...

 

Elle jouit en silence...

 

J'honore ma déesse, ma Maitresse, continuant de la parcourir alors que ses ongles se sont figés dans ma peau.

 

Lorsque je ralentis ses mains m'accaparent.

 

"Non... encore... baise-moi encore".

 

Je l'enfourche d'un coup de reins.

 

Elle avance sur le lit, son corps propulsé vers le haut.

 

J'accentue mon agissement.

 

Elle pousse un petit cri, ses mains saisissent les barreaux de son lit au dessus de sa tête.

 

Ses cheveux roux en étoiles sur l'oreiller, son beau visage se crispe à chaque assaut.

 

Mes coups de butoir la forcent.

 

Elle râle... son corps s'agite, féline elle joue de son vagin pour m'aspirer.

 

Ses yeux se plantent dans les miens.

 

Je ne la lâche pas du regard.

 

Sauvage, je la prends avec une gaillardise hussarde.

 

Elle ne cache pas ses cris de plaisir.

 

Je me livre à ses désirs... animaux... doux... puissants... attentifs... sauvages.

 

Elle ferme les yeux et son sourire se fige.

 

Les derniers assauts la maintiennent au septième ciel pendant quelques minutes.

 

Je me retire alors qu'elle ronronne et s'étire.

 

D'une main elle me masturbe vigoureusement et je ne suis pas long à venir cracher sur sa peau lisse, mon foutre chaud qui recouvre ses grains de beauté.

 

Assouvi je tombe à côté d'elle sur le lit.

 

Mon dos est zébré de ses griffures.

 

Nos mains ne sont que caresses...

 

Nos sourires l'un pour l'autre que délicatesses...

 

Nos souffles que vie de l'un vers l'autre.

 

"Tu veux dormir avec moi cette nuit ?" me dit-elle avec un sourire en coin.

 

Je hoche la tête, affirmatif.

 

Elle se lève, ses hanches sensuelles ondulantes, et pose un gros édredon pourpre par terre.

 

"Tu vas dormir au pied de mon lit..."

 

Je reste interdit... entre étonnement et excitation.

 

"... si jamais j'ai envie de me faire baiser pendant la nuit ".

 

Son clin d'œil est éloquent... délicieux.

 

Je m'y allonge, telle une offrande sur un dais de carmin.

 

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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