Elle... Il... en duo

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Le soir venu Robin se dirige vers la chambre de son employeur.

Il frappe.

La voix féminine, lointaine, qui lui dit d’entrer est aussi douce que ferme.

Il pénètre dans ce lieu avec calme malgré une tension sensuelle qui ne l’a pas quitté depuis l’après-midi, depuis qu'elle lui a dit de passer ce soir... lorsque son mari aura quitté la villa.

 Il est arrivé dès que le petit coupé sport est passé devant sa maison de gardien.

Il pénètre dans le lieu le plus intime de la maison, la chambre, haute de plafond, au sol de parquet de bois foncé. Elle est immense.

Un lit à baldaquin en son centre, une glace de grande taille, un mur de placards, des objets de décoration tous plus luxueux les uns que les autres… mais aucune trace de la maitresse des lieux.

« Mon mari vient de partir à son club de bridge et je voulais prendre un bain… »

Il localise l’origine de l’appel, par la porte ouverte de la salle de bain privative.

« … et la baignoire semble bouchée ».

Elle sort de la pièce, simplement vêtue d’une nuisette de soie noire et prune.

Il la dévisage des pieds à la tête.

Ses jambes nues légèrement hâlée disparaissent à mi-cuisses sous le tissu.

Son ventre très légèrement visible dans la fluidité de son vêtement un peu serré et ses hanches marquées lui font instantanément de l’effet.

Une main posée sur le chambranle de la porte, l’autre dans ses cheveux, elle lui sourit alors qu’il est hypnotisé par sa poitrine volumineuse qui tend le tissu.

De fines bretelles, dont l’une est glissée sur son bras nu, des arabesques prune qui mettent en avant la sensualité de cette tenue.

Il déglutit avec peine tant cette femme de 10 ans son ainée est désirable.

 

Elle l’observe également.

De bonne stature, il a les yeux brillants, le teint mat.

Les deux premiers boutons de sa chemise sont défaits. Elle admire les quelques poils visibles qui ornent son torse puissant.

Lorsqu’elle s’efface de côté pour le laisser passer devant elle, elle pose son regard sur son jean dont l’entrejambe est révélateur de son émoi.

Le parfum masculin lui fait fermer les yeux.

« Regardez Robin, la baignoire ne veut pas se vider ».

L’eau savonneuse au parfum délicat remplit un petit fond.

« Vous allez devoir entrer dans la baignoire… »

Il se retourne et plonge ses yeux dans les siens.

Elle sourit très légèrement.

 

Il sait que tout ceci est une mise en scène et l’excitation qu’il en retire n’en est que plus forte.

Elle se plaque au mur de la salle de bain pour le regarder défaire sa chemise.

Avec une lenteur excessive il dévoile ses pectoraux et son ventre aux muscles fins.

La bande sombre et pileuse qui marque son ventre disparait sous la ceinture.

Elle frotte ses cuisses l’une sur l’autre.

Tel un chippendale il pose sa chemise et dégrafe son pantalon de jean.

Un à un les boutons claquent.

Peu à peu apparait le tissu noir de son boxer.

 

Elle respire un peu plus fort, plus rapidement.

Son cœur s’accélère devant ce bel homme, plus jeune, bien bâti et… bien pourvu.

Il se penche pour se débarrasser de l’encombrant jean.

Elle mate ses fesses musclées.

Il se redresse et lui sourit de ses dents blanches.

Elle parcourt des yeux ses épaules, ses bras, sa poitrine, son ventre, ses cuisses…

Une force souple se dégage du corps de l’homme qui se tient dans sa salle de bain.

« Vous risquez… de mouiller votre boxer » minaude t-elle sans quitter l’entrejambe où se distingue nettement l’érection de Robin.

 

Il glisse un doigt de chaque côté de son dessous et le fait très lentement glisser le long de ses hanches.

Le membre apparait, large, dressé.

Une verge épaisse, une veine très marquée sur le dessous, un gland rond, déjà décalotté, aux pourtours parsemés d’aspérités.

Le cep qu’elle a tout loisir d’admirer est légèrement arqué, nervuré et il surplombe deux bourses dépourvues de poils.

Entièrement glabre, son pubis met en valeur ce sabre de chair.

Il l’observe, elle sent les pointes de ses seins, tendre le tissu au point de le déformer. Dans son intimité humide s’écoule les premières gouttes de son désir.

« Et mon mari qui est partit… comment aurais-je pu faire sans vous. » Son soupir est presque un gémissement.

 

Il enjambe le rebord et se retrouve dans l’eau.

Il se penche, droit sur ses jambes.

Il sait qu’elle le regarde et il a envie de lui faire plaisir.

Les cuisses légèrement écartées elle peut, à loisir, voir ses bourses pendre.

 

Elle ne se prive pas de déguster du regard les fesses musclées, nues, et au-dessous les monts lisses et lourds.

Il ouvre la bonde et l’eau s’écoule.

Au moyen du jet elle enlève les bulles qui s’accrochent à la paroi.

Maladroitement, elle arrose Robin, l’eau tiède perle sur son corps.

« Ho. Je suis désolée. » fait-elle faussement.

« Ce n’est pas grave Madame. Voilà, c’est réparé ».

 

Il sort comme elle lui tend une serviette, minuscule, afin qu’il s’essuie.

D’une main il passe le tissu éponge sur son corps, doucement il essuie ses abdominaux, ses cuisses, son sexe en s’attardant sur le haut de ses jambes, caressant plus qu’il n’essuie.

La serviette ne cache rien et elle s’aperçoit qu’elle se mord la lèvre inférieure en l’admirant.

« Et puis j’ai aussi le lit qui grince… ça doit être le baldaquin. »

Il passe devant elle, toujours aussi nu qu’un ver pour aller chercher une chaise et y grimper afin de vérifier la barre la plus haute du lit.

Des voilages transparents aux dessins de velours noirs sont accrochés sur la structure de métal.

Ainsi juché sur une chaise, son sexe est à hauteur de son visage.

 

Elle pose une main sur le haut de la cuisse de Robin, caresse la peau en remontant sur le côté des fesses fermes.

A moins de 20 cm de ses yeux la verge se dresse, palpitante, pointée vers le ciel comme un mat de bateau.

Il reste ainsi, les mains sur le métal, la tête penchée vers le bas, une vue plongeante sur la poitrine lourde de sa patronne.

La soie écartée par ses seins généreux, il savoure la vallée qui lui est agréable à regarder. Ses mamelons sont visibles jusqu’à la forme de ses auréoles tant ils tendent le tissu fin. De longues tétines semblables à des pointes de crayons.

« Au fait je voulais m’excuser pour tout à l’heure. » fait-elle d’une voix douce.

« Je n’aurais pas du dire que votre amie était une « petite pute », ce n’était pas très élégant de ma part. » poursuit-elle.

Elle ponctue cette phrase en faisant glisser sa main sous les bourses de son amant.

Avec le dos de ses doigts, feignant de caresser l’intérieur des cuisses, elle les fait remonter par petites secousses.

« Ce n’est pas très grave Madame, je n’ai pas été choqué par vos paroles »parvient-il à articuler alors que son cœur s’emballe sous les gestes hautement érotiques.

« Vous savez que parfois, avec vous, je peux être un peu crue… »

 

Sa main s’est retournée, elle soupèse maintenant les deux boules dans ses doigts puis dans sa paume.

Elle referme ses doigts et les malaxe avec délicatesse.

Il ouvre instinctivement les cuisses, elle s’empare alors de son paquet pour le masser entièrement.

« Vous allez la retrouver ce soir ? »

« Non Madame… humm » il ne peut s’empêcher de lâcher un soupir.

Elle a saisit la base large entre son pouce et son index, tout en continuant de caresser les boules glabres, le sexe se voit pencher et osciller sous le geste précis de sa main.

« Alors vous allez être seul ? »

Il répond en hochant la tête, affirmatif.

« Vous allez… vous caresser ? »

Elle relève son visage vers lui, ses yeux brillent du feu du désir.

« C’est possible oui » fait-il en la regardant le masturber avec lenteur.

« Vous allez penser à elle ? A moi ? »

Elle affermit sa prise et la verge oscille.

Il pousse un petit gémissement.

« A vous…Comme très souvent ».

Elle lui lance un grand sourire.

« Faites moi voir, comment vous faites. » dit-elle en relâchant l’appareil génital pour s’éloigner un peu et s’adosser au mur, les mains dans le dos, jambes croisées sur ses chevilles comme une étudiante.

 

Il fait descendre sa main sur son ventre.

Sans la lâcher des yeux il saisit son sexe et le flatte.

Ses doigts glissent jusqu’à ses bourses qu’il fait rouler.

Sa main remonte et caresse la hampe, lentement, doucement.

Du bout du pouce il forme de petits cercles sur son gland rouge, excitant le méat jusqu’à en faire perler une goutte qu’il étale sur la surface délicate.

Debout sur la chaise son membre maintenu entre pouce et index, il entame une lente masturbation.

Pris à la base il joue avec son manche de façon à la faire aller de droite à gauche, de haut en bas.

Elle pose une main sur un de ses seins, incapable de résister à la tension douloureuse qui les anime.

Elle le malaxe afin de calmer sa sensation.

« Oui…continue… à quoi penses-tu ? » l’interroge t-elle.

« A vous. A vos seins. A votre main… à votre bouche… »

Elle dandine, ses mains saisissent le bas de sa nuisette.

« A vos cuisses… »

Elle la soulève lentement avant da la laisser retomber et faire glisser ses mains sur sa poitrine lourde et les bretelles.

La soie dévoile petit à petit la blancheur pâle de sa poitrine.

« A la douceur de vos seins… »

Elle continue de se dévêtir et lui offrir son corps.

Le tissu tombe à ses chevilles.

« A cette fente adorable… »

Elle pose une main sur son bas ventre, une autre en travers de ses seins comme pour se cacher.

« A vos hanches… »

Elle se tourne doucement, lui montre son fessier.

« A votre séant somptueux… »

Elle se dévoile, s’approche de lui.

Il n’a pas cessé de se masturber devant elle, sans gène, prenant un plaisir intense à se mettre en scène autant qu’il lui semblait lui en donner.

« Descend… » lâche t-elle dans un murmure.

Il obtempère et va replacer la chaise dans le couloir.

Il laisse la porte légèrement entrouverte.

 

Elle s’est allongée sur le lit, ses seins libres, une jambe repliée sur l’autre, les hanches voluptueuses ondulantes.

« Quelqu’un aurait pu te voir ! » fait-elle.

« Il n’y a personne ».

« Si, ma fille ! »

« Mademoiselle Coralie doit –être couchée à cette heure-ci ». Ment-il en ayant aperçu un fin rayon de lumière sous la porte de sa chambre.

« Elle aurait découvert un homme… dans… toute sa puissance virile » lâche t-elle les joues un peu rouges.

« Elle a peut-être déjà eu un amant »

« Arrête, elle est encore trop jeune… 23 ans… je ne veux pas en entendre parler. Approche-toi plutôt. »

Il s’avance vers elle, son sexe en étendard.

Il monte sur le lit, s’agenouillant près de la femme qui pose une main sur son torse.

« Alors comme cela tu te caresses en pensant à mes seins… à mes fesses ? Explique-moi un peu plus précisément à quoi tu penses… » fait-elle en caressant sa peau musclée.

 

A suivre…

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Il devait faire au plus vite pour répondre à la demande de la propriétaire aussi courait-il presque dans les allées de la propriété.

soumise

Coralie lui avait dit, mais un peu tard, que sa mère voulait le voir en toute urgence.

C’était il y a une demi-heure… après qu’ils aient passé du bon temps ensemble. Son parfum était encore accroché à ses narines. Envoutante…comme sa mère.

20 ans séparaient les 2 femmes. Un peu plus de 20 ans… Un peu plus de 40… et toutes les deux aussi belles l’une que l’autre.

Lui, l’homme à tout faire de la maison, à la fois jardinier, réparateur et concierge, depuis quelque temps il était aussi l’amant de la fille… et cela sans que sa patronne n’en soit au courant. "Heureusement" pensait-il lorsque cela lui traversait l'esprit.

L’inverse n’était pas vrai. Coralie l’avait vu avec sa mère et savait qu’il répondait aux avances de celle-ci.

La situation était complexe pour lui mais pour le moment il avait du travail.

Et le premier point de celui-ci, c’est de répondre à la demande de son employeur.

La porte du bureau du mari est ouverte, à l’étage, et il l’entends parler. Sa voix féminine au téléphone, comme un air de harpe, lui échauffe l’esprit.

Il grimpe les marches 4 à 4 et s’immobilise pour frapper à la porte.

Elle raccroche, lui fait signe d’entrer.

Le bureau du maitre de maison est une salle aux murs recouverts de livres au centre de laquelle trône un bureau en acajou, deux larges fauteuils club en cuir rouges.

"Et bien ? Cela fait 20 mn que j'attends !" Crache la femme, la main encore posée sur le combiné.

Il se confond en excuse.

Elle se rapproche.

"20 minutes que mon mari est parti."

Sa voix, devient plus douce, plus suave.

Il observe son corps se balancer en venant vers lui comme elle avance vers lui avec la démarche chaloupée et sensuelle d’une femme désirable.

Les hanches bien dessinées dans un ensemble tailleur rouge carmin, ses talons claquent au sol à chaque pas.

« Un temps précieux… où il n’est pas là et où je fonds de t’attendre ».

La veste qu’elle porte se croise sur sa poitrine de belle proportion, rehaussée par la ceinture qui enserre sa taille.

Elle est si proche de lui qu’il sent son souffle lorsqu’elle parle, qu’il peut humer son parfum et être effleuré par une mèche de cheveux.

Sa bouche aux lèvres roses est un ballet hypnotique…

« 20 minutes pendant lesquelles je n’ai cessé d’avoir envie d’être prise ».

Elle pose sa main fine sur le tee-shirt de Robin qu’elle attire en avant vers elle alors qu’elle recule jusqu’au bureau sur lequel elle appuie son séant.

« 20 minutes… de perdues » lui murmure t elle en embrassant son cou et en faisant glisser ses mains jusqu’à la ceinture qu’elle détache avec dextérité.

Il pose ses mains sur les genoux, il sait pourquoi elle l’a fait venir et cette femme, son odeur, sa voix, son corps qu’il devine, l’attirent irrésistiblement. Elle a envie de sexe. Et il sent aussitôt dans son pantalon, durcir son vit.

« Tu étais occupé ? Avec ta petite pute ? » lui demande-t-elle. Sa main entre dans le pantalon, un léger sourire sur ses lèvres.

Elle lui masse la verge avec la paume de sa main, les doigts agrippent les boules qu’elle palpe.

« Cela vous plairait de savoir si c’était avec elle, n’est-ce pas ? » lui répond-il en dénouant la ceinture et en ouvrant les pans de la veste sans se départir d’une réplique qu’il veut cinglante.

Nue sous le tissu ses gros seins apparaissent, blancs, doux.

Elle bombe la poitrine pour lui offrir.

Il pose sa main sur chacune des mamelles attirantes et les pétris au même rythme qu’elle malaxe sa verge et ses bourses.

Elle pousse un léger gémissement.

« Oui. J’aimerais bien… et savoir que tu la quittes en vitesse pour venir me baiser m’affole encore plus… »

Il caresse les mamelons larges, attarde ses doigts sur les aspérités avant de taquiner les longs tétons tendus.

Sa voix féminine trahit une impatience que son vocabulaire cru ne fait que confirmer.

« J’étais avec elle… Et elle était très entreprenante. »

Devant lui, les yeux de la femme, plus agée, roulent, son sourire s’élargit, ses mains forcent le pantalon du jardinier à s’affaler sur le parquet ciré. Elle semble apprécier au plus haut point cette révélation.

La veste repose en tas sur la table et l’homme fait descendre ses mains sur les hanches… sur les cuisses… sur les genoux qu’il caresse avant de faire remonter lentement le tissu de la jupe.

« Je la connais ? » le questionne t elle dans un soupir alors qu’elle fait glisser le boxer pour en dévoiler le large sexe bandé, dressé vers le ciel.

Il a un moment d’hésitation.

Dans l’impossibilité de lui révéler qui est sa « conquête ». Si la mère venait à apprendre qu’il se tapait sa fille, il serait renvoyé sur le champ.

« Je ne pense pas… » se hasarde t-il.

Elle griffe son ventre et ses cuisses… « Menteur ! » lui lance t-elle.

« Tu ne veux rien me dire… je la connais alors. Ho, coquin, si ça se trouve c’est une fille d’un de nos amis. Tu sais que… cela m’émoustille énormément ».

Elle a saisit le sexe de Robin qu’elle masturbe avec une aisance digne d’une professionnelle. Ses yeux plantés dans les siens, elle l’observe, grogner de plaisir, sa pomme d’Adam oscille dans son cou de mâle musclé.

Il fait remonter le tissu de la jupe et sa peau apparait.

Elle ouvre ses jambes pour lui laisser voir sa fente ourlée d’une mince bande de poils bruns et courts.

Ses mains fortes la soulèvent et la font s’asseoir sur le bureau du mari.

« Humm… sur son bureau… dans son antre… viens, fourre-moi » lui ordonne t elle en caressant son torse musclé.

Il relève une des jambes de la femme qu’il a en face de lui, s’avance entre ses cuisses et enfonce son sexe sans préambule dans le puits intime de sa patronne.

Elle pousse un petit cri alors qu’il vient de la forcer.

Une main posée en arrière sur le bois du bureau, elle exhibe sa poitrine.

Il penche son visage pour venir happer un téton.

Il la tête en faisant entrer plus loin son vit dans le con trempé de son ainée.

« Hooo… Elle a des seins aussi beaux ? »

Il relâche son emprise, le mamelon semble osciller, couvert de salive, rouge de la succion.

« Non… moins gros… mais jolis également »

Il se penche à nouveau pour venir aspirer le second sein.

Elle ondule sous la poussée qu’il lui fait subir.

Lente et régulière il fait aller et venir son sexe en elle de façon rythmée.

Elle repousse son visage.

« Elle a un plus petit cul que le mien… c’est ce qui te plait ? »

Il lui sourit. A l’évocation de celui de Coralie son érection se fait encore plus forte, plus dure.

« Salaud… » elle n’a pas le temps de finir sa phrase qu’il la saisit par les hanches, la tourne et la force à se mettre à plat ventre sur le bureau.

Sa poitrine sur la veste en bouchon, les coudes sur le bois précieux.

« J’aime votre gros cul » fait-il en relevant la jupe jusqu’à sa taille, dévoilant les fesses blanches qui tranchent avec les tons sombres de la pièce.

Il ose une nouvelle fois aller dans son sens, très osé.

Il l’entend roucouler et elle cambre sa croupe en guise de réponse.

« Alors baise-le. Je suis en feu. Prends moi... prends mon cul... » fait-elle en le dandinant devant lui.

Il enfourne son sexe vigoureux dans la motte trempée.

Elle geint.

Il pose ses mains sur les fesses rondes et les écarte afin de faire couler sur la rosette un mince filet de salive.

Elle s'accroche, se tend alors qu'un doigt vient assouplir son petit orifice.

Du bout de l'index il sent la résistance faiblir, l'entrée palpiter puis accepter l'intrusion du doigt.

"Oui ! Baise mon gros cul !"

Sa verge dans le sexe de sa patronne il entame un assaut plus rapide.

Elle est secouée d'avant en arrière.

Les pointes de ses seins frottent sur le bois et le tissu, elle se tortille et coule de plus en plus.

Il se retire, la faisant pousser un soupir d'insatisfaction.

Son visage tourné vers lui, elle l'observe, nu, fier derrière elle. Il est celui que n'est pas, que n'est plus son mari s'il l'a jamais été.

Son sexe au large gland lui apparait, une révélation à chaque fois. Une envie qui la torture chaque nuit, chaque fois qu'elle le voit.

Elle ferme les yeux, baisse le visage, dans l'attente de la percée.

« Prends-le… Encule-moi. »

Il crache dans la raie écartée puis s’attarde sur l’anus plissé et palpitant.

Il se hisse sur la pointe des pieds et glisse son pal entre les rondeurs.

Elle cesse de respirer alors que la grosseur dilate ses chairs interdites, force son puits sombre.

Lorsqu'elle ouvre les yeux, quelques instants plus tard, ils sont toujours immobiles, le bout d’un sexe large écartant ses muqueuses anales.

Devant elle le fauteuil où son mari s'assoit, sur le côté droit son sous-main en croute de cuir sur lequel repose son stylo plume, sur le côté gauche un livre à la reliure craquelée... et derrière elle Robin, l'homme à tout faire, son amant, qui la sodomise au milieu de l'univers de son époux.

Elle pousse un râle alors qu'elle s'enfonce elle-même autour du pieu de chair, l'envie chevillée au corps.

Il la maintient par les hanches et accentue sa prise.

Sa verge coulisse doucement, à chaque fois plus loin, plus profondément dans le petit trou qu'il remplit.

Elle est serrée, le plaisir de la saillir par derrière en est décuplé.

Il admire le corps accepter le pal raide comme de l'acier qu'il lui fourre dans le cul, les fesses rebondir lorsqu'il vient taper son bas ventre, ses épaules onduler pour résister à la chevauchée sodomite qu'il lui inflige.

Elle crie, à chaque fois qu'il s'enfonce, elle pousse des "haa" , des "hoooo", des "hannn"...

Il passe sa main sur le sexe trempé.

Entre les lèvres largement ouvertes il s'enfonce et la masturbation qu'il lui fait subir est un supplice qui décuple son plaisir d'être sollicité par les deux trous.

"Elle ... haaaaa.... tu l'as... sodomisée aussi ? Hooooo"

Ses questions font grimper son excitation de femme déjà au paroxysme du plaisir. Une source stimulante qu'elle ne connaissait pas sous cette forme.

Il ne cesse de la besogner.

"Non. Pas encore... humpf... "

Ses coups de reins sont forts et puissants.

Le corps de la maitresse de maison se raidit, se cabre, ses chairs intimes se contractent.

Sans cesser leur danse sexuelle et contre-nature, la jouissance déferle sur eux comme une tempête inattendue, soudaine, soulante de plaisirs qui s’entrechoquent.

Elle feule longuement... le visage crispé... les doigts serrés sur le bord du bureau.

Il se tend comme un arc... la bouche ouverte dans un cri rauque... les mains fermement posées sur les fesses de la maitresse de maison.

Entre ses cuisses coule le fleuve de son orgasme.

Lorsqu'il sort son sexe du petit trou, celui-ci reste grand ouvert à expulser par secousses le flot blanchâtre de son foutre épais.

Il s'essuie et elle reste un moment, incapable de bouger.

Lorsqu'elle récupère ses habits et efface les traces de leur coupable activité, elle pose une main sur le sexe encore tendu.

"Tu es vraiment un homme à tout faire d'une grande utilité. Je vais demander à mon mari qu'il t'augmente".

Un bruit de crissements de roues sur les graviers et elle le toise.

"Tiens, le voilà justement. Tu ne devrais pas rester ici, et surtout pas nu." fait-elle avec une œillade.

Robin se rhabille en toute hâte, ouvre la fenêtre pour chasser l'odeur corporelle de leurs ébats, sort un tournevis pour faire semblant de réparer un des volets.

"Au fait... Ce soir, j'espère que ta petite pute ne vient pas te voir car mon mari n'est pas là et mon lit grince...".

Sur ces mots elle passe la porte et sans un regard, disparait dans un couloir.

Il se réajuste, tente de sa concentrer.

Qui des deux, de la mère ou de la fille, est la plus en chaleur ? Il n'en faut pas plus pour que son sexe s'anime de nouveau.

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[…]

Je lèche son ventre tout du long de ma descente au Paradis.

Je faufile mes mains sous le tissu de sa jupe et mes joues frôlent contre ses cuisses.

Elle me sourit, caresse ma joue du bout de ses doigts où brillent les diamants de son alliance, rouge-copie-1.jpgsertis dans l'or étincelant.

J'ai mauvais conscience... mais elle est balayée par mon envie ancestrale de la déguster.

Je souffle sur le sexe offert qu'elle me dévoile.

Ma langue sort, effleure, arpente lentement ses larges lèvres gonflées.

Molles, trempées, je les lèche lentement en me laissant enivrer par son parfum et l'écume qui est venue les mouiller.

Elle ondule à petits mouvements.

Je l'accompagne.

Sa fente se frotte à ma bouche.

Ma langue, plus large, lèche généreusement ce bel abricot.

"Hoooo... hummm oui, ma chatte ! Bouffe-la..."

Je m'empare de tout son sexe, lentement de bas en haut puis de nouveau, lentement et de plus en plus vite.

J'appuie mon muscle sur son intimité.

"Tu es doué ! Houuuu... ouiiiii c'est bon continue ! "

Je fais entrer ma langue, loin, pour laper.

Des petits coups de langues rapides, nerveux qui s'enfoncent dans les chairs intimes.

Ses ongles me griffent le crâne, la nuque.

"Ho oui, soulage moi, j'en peux plus là... avale tout !!"

Elle plaque mon visage, mes mains sur le haut de ses cuisses, j'entre ma langue loin dans son vagin ouvert.

Ma bouche se remplit soudain d'un afflux de sirop... son sirop...

Je la fais jouir.

Mon rêve se réalise.

Elle pousse de lents gémissements et son corps se contracte.

Je me goinfre de son jus et de ses cris de plaisir.

"Lèche bien partout.... hummmm...."

J'aspire les sucs, je lèche la dentelle interne de son sexe dégoulinant.

Elle se frotte contre ma bouche, le bassin en avant, avachie sur le fauteuil, les genoux au dessus de moi, les pieds sur le bord de la table basse.

Je passe ma langue entre les nymphes.

Je bave, incapable de me retenir, je grogne en la dévorant.

Le trop plein de miel coule dans ma bouche comme un nectar.

Sa respiration est forte, son souffle court, saccadé.

Elle pose un pied sur mon épaule.

Je lape avec ferveur.

"Ouiiiii... ouiiii oh c'est bon...."

Son clitoris a doublé de volume.

D'un coup de langue je le force à se dévoiler.

Je le titille à grand coups larges.

Je le saisis entre mes lèvres et je le tire.

Elle se cabre, sa jouissance redouble.

Je suis dur, raide, en feu !

Je pousse sur cette perle sacrée, je la masse avec ma langue, je la fais rouler pour la sentir si onctueuse.

Son clitoris, sucé comme un petit sexe, elle a un soubresaut, un second, sa cyprine sort soudain, plus épicée, plus intense.

Un second orgasme coup sur coup.

Elle râle et c'est tout son corps qui est animé de secousses incontrôlables.

Je maintiens son entrejambe sur ma bouche, mes mains agrippées à ses fesses pour poursuivre mon cunnilingus.

J'avale le suc... lentement...

Elle se calme, s'assagit.

Je me délecte de sa saveur.

Elle repousse mon visage.

Je suis sale.

Du bout du doigt elle caresse ma joue.

Son pied redescend.

"A moi maintenant" dit-elle doucement.

J'ai le menton et les joues trempées...

Je la contemple, sa poitrine libérée, sa jupe retroussée.

Elle se lève et se place à genoux devant moi.

Je m'assois sur la table basse.

Son beau visage tant de fois imaginé à cet endroit, levé vers le mien.

Elle ouvre sa bouche et approche de mon sexe.

Je fais descendre mon boxer, n'y tenant plus.

Ses yeux fixés sur mon sexe tendu qui se libère dans un "haaa" de soulagement.

"Humm elle est belle."

Longue, en arc, fine... une tige gracile qui remonte jusqu'à mon nombril.

"Merci"

Je sais que cette longueur plait aux femmes mais qu'elle me complimente, elle, Elle ! C'est un compliment à nul autre comparable.

"Très belle queue..."

Elle dodeline entre nous.

Sa main frôle ma verge.

Je réprime un gémissement, je me cambre, je me raidis.

"Si douce... toute belle..."

Sa langue pointe vers le bout.

Elle récupère la perle qui suinte de mon méat.

Je soupire, un bruit obscène...

Entre sa langue et mon gland un fil de foutre s'étire lorsqu'elle retire sa langue pour venir avaler ma première goutte.

J'avance ma main pour caresser sa joue.

Elle ouvre sa bouche qui forme un O parfait.

Je remonte une mèche blonde.

Elle se penche et m'engloutit.

Sa langue joue du gland et de ma petite fente.

Elle ouvre grand et me fais entrer dans sa bouche sans toucher les bords de ses joues.

J'ai l'impression de pénétrer un vide moite dont la chaleur m'entoure..

Je laisse s'échapper un "haaaaa...."

Elle souffle sur mon gland avant de se reculer, de laisser ma verge osciller.

"Tu la veux ma bouche ?"

"Ho ouii..."

Elle pose sa main sous mes bourses et entame de délicats mouvements.

"Il va falloir demander..."

Elle caresse mes boules qui roulent sous ses doigts.

"Je veux votre bouche."

Elle glisse sa bouche sous mes couilles et les masse de sa joue.

"Tu sens bon le sexe".

Son nez s'enfonce entre mes bourses pleines.

"Je veux votre langue. Je veux tout..."

Elle pointe sa langue dans les stries de mon paquet pendant.

Elle lèche de bas en haut en remontant vers la hampe mes olives qui roulent et se trouvent massées d'une façon jusqu'alors inconnue.

"Hooo ouii... comme une glace" dis-je, prenant un peu d'assurance.

"Tu sais qu'elle est très belle ta queue... tu veux que je la prenne en bouche alors ?"

"Oh vous êtes si... oui je le veux."

Elle sourit, un sourire énigmatique.

"Alors... demande-le-moi..."

Ma verge dans devant son visage.

"Vous voulez me prendre en bouche ?"

Elle la regarde telle une gourmande, les yeux brillants.

"Non. Pas comme ça..." réplique t’elle.

Je la sens tendue et pourtant résistante.

Elle me fait languir.

"Mieux. Demande le mieux que ça"

J'avale ma salive.

"Vous voulez bien.... me sucer ?"

Un peu plus hardi.

"Hummm c'est déjà mieux. Mais pas suffisant."

Elle pince son téton tout dur et tout tendu.

"Vous voulez bien... me pomper.... l'avaler..."

Elle flatte ma tige du bout des ongles, approche son visage...

"Encore... plus... cru..."

Je déglutis avec peine et l'envie me submerge, la honte disparait en une vague rugissante...

Elle est la femme qui me fait envie, la source de tous mes désirs, de mes fantasmes les plus osés.

"Avale ma queue ! Viens me sucer."

Elle lâche un "Wahooo... j'aime".

Elle ouvre sa bouche et, ses obus tendus vers l'avant, m'embouche d'un seul mouvement de tête.

je pousse un cri.

Elle referme ses lèvres sur mon sexe tendu en grognant.

J'admire ses joues se creuser, ses lèvres se plisser, qui se tirent alors qu'elle me suce fortement, rapidement, avide de tout, gourmande, goulue, comme une folle.

Mes jambes flageolent... je maintiens son visage autant pour la conserver autour de mon sexe que pour m'accrocher à elle.

Elle se retire pour pousser un "humm tu es bon" avant de replonger et me pomper encore.

"Continue... suce... ho oui... suce la... ma queue".

Elle continue, sans s'arrêter, parfois me glissant des "tu aimes ma bouche ?"..." j'aime ta queue..."

Je donne quelques coups de bassins qui font s'enfoncer mon manche dans ses joues, dans sa gorge.

Sa voix est gutturale, "Baise moi la bouche..."

J'obéis et je maintiens ses joues pour me livrer à une pénétration de ses lèvres.

A demi relevé, je donne de grands assauts dans sa bouche offerte.

Sans résistance elle me laisse l'utiliser avec de plus en plus de vigueur.

Je la besogne et elle m'accompagne de coups de langue sur mon gland et de massage de mes couilles.

Je me retire, à bout de souffle.

"Je vais jouir" lui dis-je.

Elle se jette alors sur ma verge.

"Je vais tout avaler" me dit-elle avant de m'emboucher et de tirer sur mon sexe.

Je ne suis pas long à sentir le frémissement annonciateur de la petite mort.

Elle pétrit alors plus légèrement mes bourses.

Sa bouche s'ouvre, mon éperon de chair repose sur sa langue.

Grande ouverte elle reçoit ma première giclée.

Ses yeux se ferment en recevant l'onctueuse décharge.

Elle me masse de la langue.

Je gicle à nouveau.

Sa bouche se referme.

Je me vide dans sa bouche accueillante.

Sa langue et ses sucions sont voraces.

Elle déguste mon sperme et n'en perd pas une goutte.

Sa bouche aspire l'intégralité de mon foutre dans un bruit de délicieux gémissements.

Lorsqu'elle relâche ma verge, je suis assouvi.

Elle passe sa langue sur ses lèvres.

"Très bon gout... J'aime ça."

Je la regarde, admiratif.

"Tu m'as encore donnée chaud mon cochon." Fait-elle en venant s'asseoir sur un de mes genoux.

"Touche... touches comme tu m'excites de nouveau".

J'entre ma main au milieu de ses cuisses.

Son sexe est souillé, trempé.

"Je suis toute mouillée..." fait-elle d'une petite voix.

Mes doigts caressent sa motte aux lèvres ruisselantes.

"Et j'ai... le cul en feu... par ta faute."

Elle saisit ma main et l'entraine jusqu'à son petit orifice.

Sans un mot elle me regarde.

Le doigt posé sur sa rosette, j'ai un instant d'arrêt avant de la masser d'un petit mouvement circulaire.

Elle ferme alors les yeux et se mords la lèvre.

Incrédule, j'excite son anus.

Elle ouvre le compas de ses jambes.

"Et en plus... tu n'es pas à ta première fois de ce côté là... hummm"

Je tourne encore, assouplissant son entrée pour favoriser l'introduction de mon index.

"Non. Pas ton doigt. Ta langue... je veux ta langue."

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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