Elle... Il... en duo

Comme de coutume, la pièce centrale de la villa était décorée de milles feux.
Un sapin de grande taille resplendissait de guirlandes, de boules et de paillettes.
Les enfants de la sœur de la maitresse de maison jouaient, énervés par la proximité de l'instant tant attendu.
Le 24 décembre, c'était le moment qu'ils attendaient tous.
Une quinzaine de personne avaient envahis la maison et la table était dressée.
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Pour l'occasion Robin allait être déguisé en Père Noël pour le plaisir des plus petits.
A l'étage il était en train de mettre son costume.
Deux femmes étaient avec lui, sa patronne et amante, ainsi que la sœur de celle-ci. C'était cette dernière qui avait les deux plus jeunes enfants et elle tenait à ce que le costume soit impeccable.
Si sa patronne était une femme d'une quarantaine d'année, aux formes sensuelles, sa sœur semblait en être l'opposé, masculine et sans intérêt à ses yeux d'homme.
"Béatrice, tu n'oublie pas de bien poser la barbe... Regarde, essaie de bien rembourrer le manteau... Fais attention à sa montre..."
Sous les directives de sa sœur, sa maitresse le palpait en discrétion, ne se privant pas pour masser ses fesses ou effleurer son sexe autant qu'elle le pouvait, en toute discrétion.
Elle mettait du cœur à l'ouvrage pour que le costume de son jeune amant soit parfait.
Il sentait sa verge se gonfler à chaque fois qu'elle avait un geste rapide, furtif, ciblé.
"Je descends voir les enfants et préparer son arrivée."
Elle ouvrit la porte et du rez-de-chaussée monta les cris et les rires des invités.
La porte resta entrouverte.
La femme de 10 ans son ainée posa alors franchement sa main fine sur le bas ventre de Robin.
Elle massa doucement le paquet, ses doigts agiles se faufilant entre les jambes pour saisir les bourses alors que son pouce et la paume de sa main appuyait sur la verge qui déformait son boxer.
"Madame... votre sœur pourrait revenir..." dit-il en soupirant.
Elle lui fit un sourire et ses yeux brillèrent.
"Et nous surprendre ? Hoo...  Dis donc... ce costume te fait de l'effet ? A moins que ce soit d'enfiler quelque chose ?"
Sa voix était un velours onctueux qui lui donna instantanément chaud.
Elle caressait la tige qu'elle sentait durcir.
"Tu as une grosse crosse dis donc... Père Noël".
"Vous n'y êtes pas pour rien Madame" fit-il en lui souriant et en écartant légèrement les jambes.
Elle pressa plus bas, la paire qu'elle sentit rouler dans ses doigts.
"Deux belles boules et une grosse guirlande... j'aime bien Noël et..."
La porte se referma, elle interrompit sa phrase et son geste.
Elle fit un petit écart pour s'éloigner de l'homme à tout faire de la maison. Un peu surprise par ce claquement qui pouvait signifier l'intrusion de quelqu'un dans la pièce.
Elle fit mine d'épousseter le costume blanc et rouge.
"Et bien maman, je vois que tu t'occupes bien de Robin" fit la nouvelle venue de sa voix légère.
Coralie venait de rentrer.
La jeune femme souriait.
Il eu soudain très chaud. Ce costume devenait étouffant.
Il avait autour de lui ses deux amantes.
Depuis qu'elles étaient au courant qu'il couchait avec l'une et l'autre, il n'avait plus été en contact avec elles deux en même temps.
Il appréhendait un peu cet instant.
Cela faisait plus de deux mois que Coralie n'était pas revenue.
"Ma chérie, lui répondit sa mère, je m'occupe toujours bien de Robin".
La nouvelle arrivant vient aider sa mère à installer la hotte sur le dos de l'homme qu'elles se partageaient.
Les cadeaux s'accumulaient dans le panier en osier.
"Papa est complètement ivre, comme mon oncle et Marie..." dit la jeune femme d'un ton badin, presque blasée.
"Heureusement que quelques uns restent ici pour la nuit et ne reprennent pas leurs voitures." poursuivit-elle.
Sa main vint elle aussi se poser sur le membre raide de Robin.
"Hooo... Monsieur le Père Noël... Vous êtes en forme. Moi, j'ai été très sage. J'aurais droit à un cadeau ?"
Elle prit une attitude des plus innocentes. Une œillade de ses beaux yeux accompagnait une caresse de son vit.
"Je pense que oui, si tu as été très sage" répondit Robin pour entrer dans le jeu.
Elle ronronna telle une chatte en se rapprochant de l'homme qui l'avait initié aux jeux de la sensualité.
"Pendant 2 mois il n'y a pas eu plus sage que moi... et j'ai bien travaillé".
Il posa sa main sur l'épaule de Coralie.
La peau fraiche de son cou l'électrisa.
"Alors tu seras récompensée".
Il caressait sa jeune amante qui inclinait son visage de plaisir, offrant sa gorge à la caresse.
"Vous viendrez m'apporter mon cadeau, dans ma chambre... à minuit ?"
Il lui sourit et lui susurra un "bien sur".
La voix plus suave et plus capiteuse de sa mère se murmura à son oreille.
"Moi, j'ai été très vilaine. Est-ce que le Père Fouettard va ma donner la fessée ?".
Elle posa de nouveau sur sa verge sa main qui ne l'avait lâchée que le temps de l'arrivée de Coralie.
Mère et fille lui caressaient le sexe au travers du pantalon noir, inconfortable, qui constituait son déguisement.
Il avait une trique douloureuse.
Elles le massaient avec précision et amplitude.
Leurs deux mains lui arrachèrent un soupir, suivi d'un gémissement alors que les deux félines se frottaient à lui, chacune de son côté, doigts contre doigts, palpant et cherchant à se saisir de sa verge chacune leur tour.
 "Mesdames, je ne suis qu'un seul Père Noël... mais je vais m'efforcer de vous satisfaire toutes les deux."
Il avait envie de chacun d'elles pour des raisons différentes, pour des plaisirs distincts.
L'une comme l'autre l'envoutait.
"Humm oui Robin... efforce-toi, et... force-moi" lui murmura la plus experte.
Coralie lui lança un large sourire et retira sa main.
"Moi aussi j'aurai un cadeau pour toi." Lui dit-elle avant de se retourner vers la porte pour l'ouvrir.
Il admirait ses courbes et le galbe de ses seins qu'un chemisier a paillettes rendait encore plus attirant qu'à l'habitude.
Elle lui fit un dernier clin d'œil avant de redescendre rejoindre sa famille.
Une main se posa sur ses fesses une fois la jeune femme sortie.
"Moi, ton cadeau, tu le prendras... comme tu le voudras... comme le Père Fessard le souhaitera" lui sussura la maitresse de maison, ses dents attrapant son lobe d'oreille pour une petite morsure douce.
Il l'observa... sa poitrine orgueilleuse se soulevait sous le coup de son excitation, sa jupe attirait ses yeux et ses mains. Il devinait des bas et des porte-jarretelles.
Son envie d'elle, ses envies d'elles, grimpèrent d'un cran.
Elle cambra ses reins, offrant ses fesses... il vint y déposer la paume de sa main. Elle émit un gémissement alors qu'il glissait sous l'auguste fessier pour en mesurer la douce ampleur.
Il bandait... il voulait la prendre, là, toute suite.
"Très très vilaine..." minauda t-elle avant de se dérober à sa main et passer à son tour la porte.
Il resta seul, harnaché, déguisé... et excité.
Ses pensées allaient de Coralie à Béatrice... de la fille à la mère... Il secoua la tête pour reprendre ses esprits.
Avant la bagatelle, il devait néanmoins jouer son rôle de gentil Père Noël.
Il n'était pas l'heure mais les lumières s'éteignirent, c'était le signal.
Il attendit quelques minutes avant de faire son apparition, dans la pièce seulement éclairée par quelques grandes bougies, sous les cris et les applaudissements des enfants.
Il sortit de sa hotte des paquets scintillant et les yeux des enfants s'émerveillèrent.
Il y avait quelques cadeaux que les adultes lui avaient donné pour qu'il les distribue par la même occasion.
Coralie lui glissa un baiser sur la joue lorsqu'il lui remit le paquet que ses parents lui offraient. Un bisou innocent...
Il acheva sa distribution et s'éclipsa en remontant à l'étage.
Caché dans la chambre de la jeune femme il attendit patiemment.
La cadeau qu'il lui réservait n'avait pas cessé de palpiter entre ses jambes.
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Je ne l'ai pas revu depuis ma visite chez mes parents il y a près de 2 mois.
Lorsqu'elle sonne à la porte de mon petit appartement, j'ai un temps d'arrêt avant de lui sourire et de la faire entrer.
Je jette un œil autour de moi et je m'aperçois que mon logement pourrait être mieux rangé et surtout au je pourrais être bien mieux habillé.PJ1.jpg
Elle porte un long pardessus beige qui la protège du froid et de la petite pluie fine qui forme des flaques d'eau sur la route.
La porte se referme dans un claquement bref.
Elle... elle est chez  moi !
- C'est mignon chez toi. Me dit-elle en déposant un baiser sur ma joue en guise de bonjour.
Elle a ce parfum qui me tourne déjà la tête, la même odeur qui me revient lorsque je suis seul le soir... que mes pensées m'entraine vers des plaisirs coupables, solitaires et que se bousculent les images de notre dernière rencontre.
Je la salue, bredouille un "ravi de vous... te revoir... mais comment...?"
- J'ai mangé avec ta mère. Quand je lui ai dit que je passais dans le centre ville, elle m'a donnée ton adresse et m'a demandée si j'acceptais de t'apporter deux ou trois petites choses de sa part.
Elle marque un temps d'arrêt en déposant un petit sac en carton contenant divers boites.
Ses yeux sont brillants, étincelants... splendides.
- J'ai accepté bien sur. Achève-t-elle en écarquillant son regard d'un air complice.
Elle... son corps... ses gestes...
Instantanément je sens mon membre vibrer et se tendre.
Je suis en jogging informe, en tee-shirt délavé.
Ma tenue vestimentaire ne met pas à mon avantage.
Elle remarque ma gène et semble s'en amuser.
Le bruit de ses escarpins sur le plancher attire mon regard.
Un nylon noir moule ses chevilles, enserre le galbe de ses mollets pour disparaitre sous le grand et épais manteau.
- Tu me fais visiter ?
- Oui... ce sera... rapide.
Un coin cuisine avec un bar pour manger, une table basse, un canapé et un bureau. Le tour est effectivement rapide.
- C'est le logement d'un étudiant de médecine. complète-je en ouvrant les bras d'un geste qui suffit à embrasser toute la pièce.
Elle passe la tête dans l'espace "douche", une cabine qui répond à toutes les nécessités élémentaires.
Sa main se pose sur la porte de ma chambre.
- Et là ?
Mon esprit fonctionne à 100 à l'heure pour tenter de faire le point sur l'état qu'elle va découvrir.
Surpris et sous le choc de sa présence je ne parviens pas à me concentrer.
- Pas de petite amie alanguie dans le lit ?
- Non !
Elle me lance un grand sourire et pousse la porte.
J'ai répondu trop vite, sans réfléchir.
Je la vois s'avancer, détailler mon petit univers.
Des vêtements sur un meuble, le lit défait, l'ordinateur encore branché qui ronronne comme un chat...
D'une flexion délicate de ses genoux elle se penche et je rougis.
Elle ramasse un magazine oublié. Intérieurement je hurle "nonnnnn !".
Je deviens de la couleur des pivoines.
- Ne... non... c'est...
Elle le soulève et me regarde tout en feuilletant les pages, silencieuse, de ce périodique interdit au moins de 18 ans.
- Natacha semble une gentille fille. Me dit-elle avec un sourire en coin après avoir pris son temps pour détailler le contenu.
Je baisse les yeux.
Elle à l'âge de ma mère, elle la connait, j'ai l'impression d'être pris en faute.
- Ne t'inquiète pas allons, je ne dirais rien, tu le sais bien. Me rassure t-elle en continuant de tourner les pages, inclinant même de 90° le journal pour mieux voir l'intégralité des images.
Avec douceur elle le pose sur mes livres plus "officiels" et revient vers moi.
Ses hanches ondulent, enserrées par la ceinture qui lui barre la taille.
Mon regard remonte sur elle : ma Muse, la femme qui a éveillé mes sens à mon adolescence, celle qui a accompagné bien des plaisirs et des fantasmes solitaires... celle qui s'est offerte à moi il y a quelques semaines de façon tout à fait inattendue et savoureuse.
Mes jambes semblent se dérober sous moi.
- Tu es mignon quand tu rougis. Pourtant le dernière fois qu'on s'est vu, tu montrais beaucoup plus d'entrain. Tu ne m'offres rien ?
- Si... un thé ? Il est infusé.
- Avec plaisir.
Elle regarde par la fenêtre.
J'admire son séant légèrement cambré.
Elle est chez moi !
J'ai envie de crier ma joie mais je suis intimidé, presque invisible.
Elle prend sa tasse, déguste une gorgée.
- Le thé précédent que nous avons bu ensemble a eu une saveur que je n'ai pas réussi à oublier. Me dit-elle doucement en reposant la tasse sur le bar.
- Moi aussi. Parviens-je à articuler.
Tu m'étonnes, je n'ai pas réussi à débander pendant toute la soirée. J'avais l'esprit complètement ailleurs au moins que mes parents ont cru que j'étais malade.
- En rentrant chez moi j'étais... très énervée...
Ses yeux me fixent.
Assise sur le bord du tabouret haut je vois sa poitrine se soulever par sa respiration.
- Pas toi ?
Je hoche la tête.
Elle garde le silence quelques instants.
Mon sexe me fait mal, coincé dans mon caleçon. Mes bourses ont la lourdeur de la pierre...
Mon excitation est à un tel point qu'elle en devient douloureuse.
C'est à ce moment que je me prends conscience que mon jogging ne masque quasiment rien de mon émoi.
Je tente de croiser une jambe très haut ce qui l'amuse visiblement beaucoup.
- Je n'en pouvais plus et j'ai du... me soulager... toute seule.
Une moue feinte qui se termine par un pincement de sa lèvre inférieure accompagne sa déclaration faussement ingénue.
Je remue, mal à l'aise sur mon siège.
Si j'ai l'envie de lui sauter dessus, je suis tétanisé, impressionné au-delà du raisonnable.
Elle pose deux doigts sur le rebord de la tasse avant de les porter à sa bouche.
- Ils étaient souillés... et grâce à toi...
Elle se met debout et s'approche de moi.
Je déglutis avec peine.
- Raconte-moi, toi, ce que tu as fait après.
Mes joues sont en feu, mon ventre brûle de désirs.
Si proche... Sa voix envoutante, empoisonnante, tel un venin qui me rend faible... dur... plein d'envies toutes aussi inavouables les unes que les autres.
- Je me suis caressé. Avoue-je, hypnotisé par son regard.
Un large sourire révèle la blancheur de ses dents.
Sa main se pose sur ma joue dans une caresse douce.
- Hoo... bébé. En pensant à moi ?
- Oui. Vous êtes tellement...
- Désirable ?
Elle délace d'un coup sa ceinture en écho à ce mot que j'avais utilisé à son égard et qui l'avait charmé.
Son manteau s'ouvre, elle le rejette sur ses épaules, il tombe au sol.
Seul un porte jarretelles lui couvre le corps.
Entièrement nue.
Sa lourde poitrine bombée vers l'avant, son ventre encadré de dentelles, son sexe... lisse... aux lèvres entrouvertes...
Fasciné je ne peux en détacher mon regard. Hébété, aux anges.
- Je suis pourtant plus âgée que toi. Presque 20 ans nous séparent.
Je viens de fêter mes 25 ans, elle en a un peu plus de 40. Mais je suis sous le charme, absolu, total.
Ses doigts se posent sur mon tee-shirt.
Elle effleure les pointe de mes mamelons.
- Je suis venue de chez moi dans cette tenue...
Ses doigts glissent sur mon vêtement pour le faire remonter et passer au dessus de ma tête.
- J'aurais pu me faire arrêter... ou avoir un accident... je serais peut-être tombé sur toi aux urgences... un bel interne...
Ses mains posées sur mon torse et mon ventre, elle me caresse avec douceur.
Le désir croit en moi, des envies se télescopent, je la dévore des yeux.
Ma main se pose en coupe sur son sein.
Il est chaud, souple, ferme tout en restant moelleux.
- Haaaa humm... Enfin... Gémit-elle en acceptant la pression que je lui pratique.
Ma seconde main se joint à la première pour maintenant masser ses deux lourds obus.
Debout devant moi, mes mains sur ses seins, j'ai la tête qui me tourne.
- Ils sont si beaux... si...
- Gros ?
- Ho oui.
- Ils sont à toi bébé...
Sa main cueille ma nuque pour m'emmener à portée de ses mamelles aux larges auréoles.
Ma bouche se pose entre ses globes.
J'embrasse sa peau, chaude, douce, elle soupire d'aise.
Mes lèvres vont un peu plus à droite pour effleurer de la joue la pointe de son téton.
Un bout durcit, long, que je caresse de ma bouche avant de le titiller du bout de la langue.
- Tu es moins timide... hummm...
J'aspire doucement la tétine pour la suçoter et la cajoler de ma langue.
Mes mains sur ses hanches, je la sens onduler du bassin sous mes caresses buccales.
Je me hasarde sur l'autre téton.
D'une main je soulève l'auguste sein.
Je soupèse tout en tétant de façon plus gourmande.
Ses doigts crochètent mes cheveux.
- Hoo... oui...
Je me redresse après avoir tété tout en lenteur son second téton dont le gout est incomparable.
Ses mamelons sont luisants de ma salive, les bouts tendus et rouges de mes sucions.
Elle s'accroupit devant moi.
Ses mains font descendre mon pantalon de jogging.
Sa main se pose sur ma cuisse, à l'intérieur.
Son regard passe de mes yeux à mon sexe.
Il déforme mon caleçon.
Son index se pose sur le tissu, appuie sur mon gland.
- Tu as une tâche...
Elle tourne le bout de son dos sur la salissure intime avant de le porter à sa bouche.
Ses yeux se ferment pour déguster.
Lorsqu'elle les rouvre elle force mon dessous à glisser puis descendre sur mes jambes.
Ses yeux s'ouvrent en grand.
Mon vit se dresse vers le ciel.
- Humm... je me souvenais qu'il était bien long... une fine tige comme j'aime.
Sa main se pose sur mes bourses.
Du bout des doigts elle caresse la base de ma verge, de sa paume elle appuie sur mes gonades.
Je balance mon bassin au rythme de ses caresses lentes et érotiques.
Elle m'interroge du regard en passant sa langue sur ses lèvres.
Je me souviens... de son désir... de ce qu'elle aime... mon inhibition s'envole d'un coup.
- Tu veux sucer ? lui dis-je non sans un dernier rougissement de mes pommettes.
- Ouiii !
Sa langue se tire et elle lèche ma hampe de bas en haut en un mouvement rapide.
Elle l'enroule autour de mon manche, passe sur le gland, écarte délicatement mon méat.
Ses mains forcent mes jambes à s'ouvrir.
Elle me provoque des gémissements.
Lorsqu'elle ouvre sa bouche et m'engloutis en elle, je lâche un "Hannn !" sonore.
Avec une expertise magique, elle presse, appuie, aspire et tête mon sexe.
Son habileté buccale n'a rien à envier à ses mains qui massent mes bourses avec agilité.
Elle me désembouche. A regret pour moi, j'avais encore envie de la voir, de l'entendre, de la sentir me faire une fellation.
Un mince filet de salive lie nos corps.
Elle l'essuie du bout de l'index en se relevant.
- Elle est si longue... ta queue.
Son visage si près du mien. Ce ton, ce vocabulaire qu'elle vient d'employer me provoquent des bouffées de désirs.
- Vous la voulez ?
- Hoo ? Tu crois ? Minaude t-elle en s'accoudant au bar.
Je pose ma main dans ses cheveux.
J'ai si souvent rêvé d'elle.
Mes mains se posent sur ses hanches pour la faire pivoter.
Elle pose ses mains sur le bar et tend sa croupe, se cambre, offrant son séant à ma vue.
Les liens du porte jarretelles se tendent.
Elle ondule du bassin dans de lents mouvements sensuels.
Je me colle à elle.
Ma verge est dure, je sens la peau douce de sa cuisse.
Ses jambes s'ouvrent.
Je me placent dans les fourches caudines qu'elle écarte.
D'un mouvement de reins je la pénètre.
Elle gémit.
Je recule, sortant d'elle.
Elle souffle et se penche un peu plus.
Je la force de nouveau.
Sans effort, ma hampe coulisse en elle, mes cuisses crissent contre le nylon de ses bas.
Lubrifiée... elle glisse loin dans l'intérieur de sa vulve, lui arrachant un lent et long gémissement.
Je la parcours, en douceur, appréciant l'instant présent.
Elle soupire de plaisir, elle se trémousse puis se retourne pour me faire face.
Je la soulève, ses coudes posées sur le bar, son dos appuyé, elle noue ses cuisses autour de ma taille.
Je la saisis par les fesses et mon manche entre à nouveau en elle d'un seul coup.
Elle pousse un petit cri.
Elle glisse, coulisse, descend autour de mon pieu qui ne tarde pas à la forer jusqu'au plus loin de sa matrice.
- Haaa ! Hoo bébé... tu butes au fond de moi... Ha !!
Je me recule pour mieux la saisir et la forcer de nouveau.
Ses gémissements et son visage qui se lève au ciel sont des délices.
Sa bouche ouverte lâche une succession de râles. Son visage révèle l'intensité de son plaisir, déformé par les sensations qu'elle éprouve.
Lorsqu'elle ouvre les yeux, son regard brille, s'illumine...
Ses cuisses se resserrent.
Autour de ma verge les muscles de son vagin se contractent et se détendent, agissant sur moi comme un massage intime et interne qui me fait grimper les échelons du plaisir quatre à quatre.
Elle halète, se cambre.
L'orgasme la submerge.
Je poursuis mes vas et vient en elle alors que sa jouissance s'achève.
Je la rejoins dans le plaisir, quelques secondes après elle... mes jets l'emplissent... telles des décharges électriques... je pousse un cri rauque.
Son visage se détend.
Nos sourires se délient.
Seuls nos respirations, fortes, se font entendre.
Je reste en elle, ses jambes ne veulent pas me lâcher.
Elle noue ses bras autour de mon cou.
Je la soutiens, ses belles fesses prises à pleines mains.
Je ne la sentais pas si légère, si délicate.
Sa forte poitrine posée sur mon torse.
Son intimité coule.
Je sens mes bourses s'humidifier de nos sucs.
- Tu dois rentrer ? Lui demande-je doucement.
- Non. Tu attends quelqu'un ce soir ? Me murmure t-elle.
- Non.
Son fourreau palpite et je ne suis pas long à reprendre vigueur.
Elle me lance un large sourire.
- Tu n'avais pas rendez-vous avec "Natacha" ?
Je ne dis rien... intimidé.
L'obscurité commence a tomber dehors.
- Je peux peut-être la remplacer... me dit-elle.
Je me déplace avec elle jusqu'à ma chambre, empalée qu'elle est sur ma longue tige.
- Et puis je pourrais nous commander une pizza... gémit-elle.
- Je n'ai pas très faim.
- Moi si... et je suis très gourmande.
Chacun de mes pas fait monter et descendre ma fine tige dans son ventre.
Elle ronronne.
Je la pose en douceur sur le lit.
Elle pousse un petit cri.
- Haaa... Tu n'es pas gourmand ?
- Si. Fais-je en caressant ses flancs, sa poitrine, son cou gracile.
- Tu pourrais... me bouffer la chatte... et le cul...
Je me raidis en elle, outre mesure.
Même dans mes fantasmes les plus osés je ne l'avais pas envisagé aussi délicieusement perverse.
- Ho oui. Parviens-je à soupirer en agitant mon sexe en elle, de nouveau.
Inspiré par ma Muse.
A suivre..
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]
 monts
Elle était assise sur mes genoux.
Sa jupe relevée jusqu'à la taille.
Les jambes écartées.
Sa nuque posée sur mon épaule, elle gémissait alors que mon index effleurait son intimité.
Ma Muse, la femme qui habitait mes rêves solitaires et mes fantasmes dans d'autres bras, s'offrait à mes attouchements et en voulait encore plus.
A sa demande je hasardais mes doigts sur son anneau secret.
Elle sa cambrait pour me permettre de lui masser l'entrée de son orifice le plus étroit.
Dépourvue de son chemisier, son soutien-gorge à mi-ventre, j'admirais à loisir l'opulente poitrine aux tétons érigés.
A 45 ans,elle avait 20 ans de plus que moi.
Et une bouche qui venait de m'entreprendre avec expertise et gourmandise.
Dans le salon familial, je me livrais, avec l'amie de notre famille, à des jeux bien peu autorisés.
La peau douce de ses cuisses était une invitation à la caresse.
La molle fermeté de ses seins un délice à pétrir.
Ma bouche happa de nouveau une tétine.
Elle poussa un léger gémissement.
Je suçottais l'auguste mamelon à la texture incroyablement excitante.
Ma langue titillait et faisait rouler la pointe savoureuse, épaisse et longue.
D'un mouvement un peu plus appuyé j'écartais l'interdit assoupli, pour faire entrer le bout de mon doigt dans son anus consentant.
Elle grogna et se tortilla sur moi, telle une chatte au coin du feu, appréciant l'intime caresse.
 
- Tu sais y faire. Me dit-elle. J'ai envie de plus encore...
 
Je fis tourner le bout de mon doigt dans l'étroite ouverture.
Elle se tendit un peu plus.
Sa main vint se poser sur ma cuisse.
Elle s'empara avec dextérité de ma verge tendue.
D'un ample mouvement, elle entama une masturbation de ma longue tige.
Je me tortillais sur mon siège, aux anges...
 
- Tu me montres ta chambre ? Tu m'as dit que je pouvais tout te demander...
 
J'étais comme dans un rêve.
Je montais l'escalier, traversais le couloir, ouvris la porte de ma chambre.
Je sentais sur moi le poids de son regard.
J'avais remis en hâte mon pantalon, ma chemise.
Elle, elle n'avait que rabaissée sa jupe.
Elle me suivait, ma Muse, mon fantasme depuis aussi longtemps que je me souvienne d'avoir eu envie d'une femme et de sexe.
 
Lorsque la porte claqua je lui faisais face.
Elle scrutait les murs de ma jeunesse, passait un doigt nonchalant sur un jouet posé sur une étagère, souriait devant un poster de musique dont le nom même du groupe semblait démodé.
 
- On dirait presque la même chambre que celle de ma fille.
 
Je n'osais rien dire. Intimidé. Un peu honteux de lui montrer ce qui n'était plus moi.
Je me surpris à rougir.
Elle fit tomber son chemisier au sol.
Ses gros seins pointés sur moi.
Elle passa ses mains sous les globes lourds et commença à se caresser la poitrine, malaxant et caressant les mamelons dont les bouts étaient durs et tendus.
Toute ma vie j'avais attendu ce moment, je l'avais espéré sans jamais penser qu'un jour elle serait devant moi, bien réelle, en train de se peloter les seins pour mon plaisir (et le sien).
 
- Tu as commencé quelque chose tout à l'heure... On devrait continuer... avant que ta mère ne revienne de la gare.
 
Sa voix était un murmure doux et un peu cassé par l'émotion.
Elle me regarde avancer.
Je suis comme un esprit flottant sur le sol.
Plus près d'elle sans même m'en apercevoir.
Mon pantalon au sol sans que je ne me souvienne comment.
Son visage souriant.
Sa main qui caresse ma joue.
Mes doigts sur son dos nu.
Son corps et sa croupe offerts à ma vue.
A 4 pattes, ondulante et lascive.
Sa jupe relevée sur ses hanches.
Un gémissement de sa part.
Et mon sexe qui se pose sur l'entrée de sa vulve.
 
Je crois me réveiller et reprendre contact avec la réalité alors que ma tige entre en elle.
Elle est sur mon lit, sur ce matelas même où j'ai tant de fois rêvé d'elle, de son corps qui me faisait me caresser dans les plus onctueux tourments.
Et aujourd'hui, elle s'offre à moi... comme un présent inespéré.
Je passe mes mains sur sa peau, palpant ses fesses dodues qu'elle agite en se frottant contre mon gland.
Je perçois l'humidité de ses lèvres.
Elle se cambre et le bout de mon sexe la pénètre.
Elle gémit un "hooo oui" de soulagement.
Il n'y a pas de plus beau compliment que ce simple mot.
Je pose mes mains sur ses hanches... divinement larges.
Un mouvement du bassin me fait la forcer un peu plus loin.
Elle soupire lorsque je recule avant de m'avancer en elle un peu plus loin de nouveau.
Son corps accueille mes mouvements et ondule à mon rythme... à notre rythme.
C'est un fantasme que je vis.
Tellement intense que j'en ai du mal à le croire réel.
A quatre pattes sur mon lit, ma Muse se laisse besogner par mes soins.
J'écarquille les yeux pour mieux m'enivrer de l'instant.
Le tissu de sa jupe retroussé sur la bas de son dos dévoile sa croupe offerte.
Mes mains passe sous elle et je m'empare de ses seins lourds pour les malaxer et en sentir la molle fermeté.
A chaque fois que j'effleure son téton je le sens durcir et résister.
Lorsque je le fais rouler elle ronronne telle un chatte, accentuant la cambrure de son corps pour mieux me laisser posséder son intimité.
Ma verge coulisse dans le fourreau humide et chaud de sa motte ouverte à mes vas et vient.
Autour de mon sexe les parois de son intimité surexcitent mes sens.
Ses gémissements et soupirs sont un chant céleste.
Je pousse ma tige en elle dans un mouvement de bassin plus long.
Jamais je n'ai eu autant envie d'une femme qu'à ce moment là.
Je me surprends à y mettre une fougue et vouloir plonger mon piston en elle comme je ne l'ai encore jamais fait.
Elle pousse un petit cri.
Au second assaut elle se contracte.
Je me recule...
Elle grimace un peu, ralentit ses ondulations.
J'ai tellement chaud que je ne comprends pas.
Elle me sourit, un sourire où je lis du désir.
 
- Tu es long bébé... tu me tapes au fond du vagin.
 
Je balbutie quelques excuses... Je lui cause une douleur... j'en suis désolé et honteux.
 
- Continue... c'est si bon... tu es long... et tu me fais adorablement mal...c'est... hummm... n'arrête pas... c'est si rare.
 
Incrédule, mais incapable de résister à sa supplique je repars à l'assaut de son puits accueillant.
Sa rivière est ruisselante.
Chaque coup de boutoir la fait grimacer et gémir de plaisir.
Elle m'encourage à la saillir, encore... et encore.
Je lui obéis sans avoir à ma forcer, usant et abusant de son étui féminin.
Ses demandes me veulent enfoncé en elle, jusqu'au fond...
 
Sa main se pose sur une de ses fesses.
Elle l'écarte.
Je découvre la fleur la plus intime de son être.
Je comprends son envie.
Je souris...
Ma main se pose sur son entre fesses.
Dans le sillon de ses globes m'apparait sa rose plissée.
Elle se penche totalement sur mon ancien lit et ses mains se saisissent de ses lobes qu'elle écarte largement.
Elle semble se donner entièrement à moi dans cette envie perverse... si loin de ce que j'imaginais d'elle.
- Prends-moi...  s'il te plait... Prends moi par le cul. hooo...
 
Je sors de son sexe pour me poser sur l'anneau intime.
Ce langage cru qu'elle utilise depuis que nous sommes seuls est une source d'excitation encore plus intense.
L'envie de la saillir ma cet orifice interdit me fascine et me donne chaud.
Le sang frappe mes tempes.
Mon sexe se durcit plus encore qu'il ne l'était.
Jamais encore je n'ai... pris une femme par cet endroit. Toutes mes conquètes me l'ont toujours refusé.
Et elle, ma muse, mon inspiration, l'initiatrice de mes premiers émois... m'invite à la sodomiser.
Je pose mon gland sur la petite ouverture.
Elle se dandine, cherche à sentir le bout de mon vit contre son interdit.
Je m'incline et elle s'ouvre...
Sa rosette accepte mon bouton rouge d'envie.
Je force doucement.
Elle gémit.
Je lui pratique ce que je n'ai jamais vécu qu'en fantasme.
Lentement son orifice s'ouvre, s'écarte.
Je gémis à mon tour en sentant la pression qu'exerce son anus autour de mon sexe.
Je reste immobile quelques instants.
 
- Hooo oui... ça... c'est tellement bon... par le cul c'est ! Haaaa !
 
Son cri alors que ma verge est enserrée dans son fourreau le plus étroit me font pousser, moi aussi, un gémissement rauque. 
Elle se cambre et je l'entends pousser un lent soupir au rythme de l'intrusion qu'elle s'inflige avec plaisir.
Je ne m'appartiens plus.
Les yeux grands ouverts, j'admire son sillon offert jusqu'à son petit trou et le bout de mon sexe introduit dans sa rose plissée.
 
Je ne saisis pas pourquoi elle se tortille et extraie ma verge de l'entrée de son anus.
Sa voix me parvient, lointaine...
Suis-je entrain de me réveiller.
Je gronde en tentant de la maintenir, elle s'échappe.
Les mots se font audibles, en même temps que j'entends une portière claquer.
 
- ... oilà la voiture... rhabille-toi !
 
Je reprends conscience.
Mes joues sont empourprées.
Elle fait glisser le bas du tissu sur ses genoux.
D'un geste de la main elle cache sa culotte dans une poche.
Le pantalon sur les chevilles, je peine à remettre ma chemise.
J'ai du mal à boucler ma ceinture, tant ma verge est dressée.
Elle sourit et s'amuse de me voir bander et ne pas réussir à me vêtir.
Je la sais nue sous sa tenue, pourtant elle conserve un aplomb et une sérénité exceptionnelle.
Elle me lance un pull.
 
- Ca va cacher ta queue en érection.
 
Je suis rouge de honte.
Et frustré de ne pas avoir pu mener à terme mon plaisir et ce rêve.
 
Lorsque nous descendons l'escalier ma mère et ma sœur me regardent d'un air surpris.
C'est elle qui prend la parole.
 
- Il me faisait voir comme la vue était belle d'en haut.
 
Ho oui... la vue était belle... je me sens maladroit et nerveux.
Au moment de partir, après nous avoir salué, son clin d'œil en ma direction me fait du bien.
La soirée va être dure...
Et longue... si longue...
 
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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