Je ne l'ai pas revu depuis ma visite chez mes parents il y a près de 2 mois.
Lorsqu'elle sonne à la porte de mon petit appartement, j'ai un temps d'arrêt avant de lui sourire et de la faire entrer.
Je jette un œil autour de moi et je m'aperçois que mon logement pourrait être mieux rangé et surtout au je pourrais être bien mieux habillé.PJ1.jpg
Elle porte un long pardessus beige qui la protège du froid et de la petite pluie fine qui forme des flaques d'eau sur la route.
La porte se referme dans un claquement bref.
Elle... elle est chez  moi !
- C'est mignon chez toi. Me dit-elle en déposant un baiser sur ma joue en guise de bonjour.
Elle a ce parfum qui me tourne déjà la tête, la même odeur qui me revient lorsque je suis seul le soir... que mes pensées m'entraine vers des plaisirs coupables, solitaires et que se bousculent les images de notre dernière rencontre.
Je la salue, bredouille un "ravi de vous... te revoir... mais comment...?"
- J'ai mangé avec ta mère. Quand je lui ai dit que je passais dans le centre ville, elle m'a donnée ton adresse et m'a demandée si j'acceptais de t'apporter deux ou trois petites choses de sa part.
Elle marque un temps d'arrêt en déposant un petit sac en carton contenant divers boites.
Ses yeux sont brillants, étincelants... splendides.
- J'ai accepté bien sur. Achève-t-elle en écarquillant son regard d'un air complice.
Elle... son corps... ses gestes...
Instantanément je sens mon membre vibrer et se tendre.
Je suis en jogging informe, en tee-shirt délavé.
Ma tenue vestimentaire ne met pas à mon avantage.
Elle remarque ma gène et semble s'en amuser.
Le bruit de ses escarpins sur le plancher attire mon regard.
Un nylon noir moule ses chevilles, enserre le galbe de ses mollets pour disparaitre sous le grand et épais manteau.
- Tu me fais visiter ?
- Oui... ce sera... rapide.
Un coin cuisine avec un bar pour manger, une table basse, un canapé et un bureau. Le tour est effectivement rapide.
- C'est le logement d'un étudiant de médecine. complète-je en ouvrant les bras d'un geste qui suffit à embrasser toute la pièce.
Elle passe la tête dans l'espace "douche", une cabine qui répond à toutes les nécessités élémentaires.
Sa main se pose sur la porte de ma chambre.
- Et là ?
Mon esprit fonctionne à 100 à l'heure pour tenter de faire le point sur l'état qu'elle va découvrir.
Surpris et sous le choc de sa présence je ne parviens pas à me concentrer.
- Pas de petite amie alanguie dans le lit ?
- Non !
Elle me lance un grand sourire et pousse la porte.
J'ai répondu trop vite, sans réfléchir.
Je la vois s'avancer, détailler mon petit univers.
Des vêtements sur un meuble, le lit défait, l'ordinateur encore branché qui ronronne comme un chat...
D'une flexion délicate de ses genoux elle se penche et je rougis.
Elle ramasse un magazine oublié. Intérieurement je hurle "nonnnnn !".
Je deviens de la couleur des pivoines.
- Ne... non... c'est...
Elle le soulève et me regarde tout en feuilletant les pages, silencieuse, de ce périodique interdit au moins de 18 ans.
- Natacha semble une gentille fille. Me dit-elle avec un sourire en coin après avoir pris son temps pour détailler le contenu.
Je baisse les yeux.
Elle à l'âge de ma mère, elle la connait, j'ai l'impression d'être pris en faute.
- Ne t'inquiète pas allons, je ne dirais rien, tu le sais bien. Me rassure t-elle en continuant de tourner les pages, inclinant même de 90° le journal pour mieux voir l'intégralité des images.
Avec douceur elle le pose sur mes livres plus "officiels" et revient vers moi.
Ses hanches ondulent, enserrées par la ceinture qui lui barre la taille.
Mon regard remonte sur elle : ma Muse, la femme qui a éveillé mes sens à mon adolescence, celle qui a accompagné bien des plaisirs et des fantasmes solitaires... celle qui s'est offerte à moi il y a quelques semaines de façon tout à fait inattendue et savoureuse.
Mes jambes semblent se dérober sous moi.
- Tu es mignon quand tu rougis. Pourtant le dernière fois qu'on s'est vu, tu montrais beaucoup plus d'entrain. Tu ne m'offres rien ?
- Si... un thé ? Il est infusé.
- Avec plaisir.
Elle regarde par la fenêtre.
J'admire son séant légèrement cambré.
Elle est chez moi !
J'ai envie de crier ma joie mais je suis intimidé, presque invisible.
Elle prend sa tasse, déguste une gorgée.
- Le thé précédent que nous avons bu ensemble a eu une saveur que je n'ai pas réussi à oublier. Me dit-elle doucement en reposant la tasse sur le bar.
- Moi aussi. Parviens-je à articuler.
Tu m'étonnes, je n'ai pas réussi à débander pendant toute la soirée. J'avais l'esprit complètement ailleurs au moins que mes parents ont cru que j'étais malade.
- En rentrant chez moi j'étais... très énervée...
Ses yeux me fixent.
Assise sur le bord du tabouret haut je vois sa poitrine se soulever par sa respiration.
- Pas toi ?
Je hoche la tête.
Elle garde le silence quelques instants.
Mon sexe me fait mal, coincé dans mon caleçon. Mes bourses ont la lourdeur de la pierre...
Mon excitation est à un tel point qu'elle en devient douloureuse.
C'est à ce moment que je me prends conscience que mon jogging ne masque quasiment rien de mon émoi.
Je tente de croiser une jambe très haut ce qui l'amuse visiblement beaucoup.
- Je n'en pouvais plus et j'ai du... me soulager... toute seule.
Une moue feinte qui se termine par un pincement de sa lèvre inférieure accompagne sa déclaration faussement ingénue.
Je remue, mal à l'aise sur mon siège.
Si j'ai l'envie de lui sauter dessus, je suis tétanisé, impressionné au-delà du raisonnable.
Elle pose deux doigts sur le rebord de la tasse avant de les porter à sa bouche.
- Ils étaient souillés... et grâce à toi...
Elle se met debout et s'approche de moi.
Je déglutis avec peine.
- Raconte-moi, toi, ce que tu as fait après.
Mes joues sont en feu, mon ventre brûle de désirs.
Si proche... Sa voix envoutante, empoisonnante, tel un venin qui me rend faible... dur... plein d'envies toutes aussi inavouables les unes que les autres.
- Je me suis caressé. Avoue-je, hypnotisé par son regard.
Un large sourire révèle la blancheur de ses dents.
Sa main se pose sur ma joue dans une caresse douce.
- Hoo... bébé. En pensant à moi ?
- Oui. Vous êtes tellement...
- Désirable ?
Elle délace d'un coup sa ceinture en écho à ce mot que j'avais utilisé à son égard et qui l'avait charmé.
Son manteau s'ouvre, elle le rejette sur ses épaules, il tombe au sol.
Seul un porte jarretelles lui couvre le corps.
Entièrement nue.
Sa lourde poitrine bombée vers l'avant, son ventre encadré de dentelles, son sexe... lisse... aux lèvres entrouvertes...
Fasciné je ne peux en détacher mon regard. Hébété, aux anges.
- Je suis pourtant plus âgée que toi. Presque 20 ans nous séparent.
Je viens de fêter mes 25 ans, elle en a un peu plus de 40. Mais je suis sous le charme, absolu, total.
Ses doigts se posent sur mon tee-shirt.
Elle effleure les pointe de mes mamelons.
- Je suis venue de chez moi dans cette tenue...
Ses doigts glissent sur mon vêtement pour le faire remonter et passer au dessus de ma tête.
- J'aurais pu me faire arrêter... ou avoir un accident... je serais peut-être tombé sur toi aux urgences... un bel interne...
Ses mains posées sur mon torse et mon ventre, elle me caresse avec douceur.
Le désir croit en moi, des envies se télescopent, je la dévore des yeux.
Ma main se pose en coupe sur son sein.
Il est chaud, souple, ferme tout en restant moelleux.
- Haaaa humm... Enfin... Gémit-elle en acceptant la pression que je lui pratique.
Ma seconde main se joint à la première pour maintenant masser ses deux lourds obus.
Debout devant moi, mes mains sur ses seins, j'ai la tête qui me tourne.
- Ils sont si beaux... si...
- Gros ?
- Ho oui.
- Ils sont à toi bébé...
Sa main cueille ma nuque pour m'emmener à portée de ses mamelles aux larges auréoles.
Ma bouche se pose entre ses globes.
J'embrasse sa peau, chaude, douce, elle soupire d'aise.
Mes lèvres vont un peu plus à droite pour effleurer de la joue la pointe de son téton.
Un bout durcit, long, que je caresse de ma bouche avant de le titiller du bout de la langue.
- Tu es moins timide... hummm...
J'aspire doucement la tétine pour la suçoter et la cajoler de ma langue.
Mes mains sur ses hanches, je la sens onduler du bassin sous mes caresses buccales.
Je me hasarde sur l'autre téton.
D'une main je soulève l'auguste sein.
Je soupèse tout en tétant de façon plus gourmande.
Ses doigts crochètent mes cheveux.
- Hoo... oui...
Je me redresse après avoir tété tout en lenteur son second téton dont le gout est incomparable.
Ses mamelons sont luisants de ma salive, les bouts tendus et rouges de mes sucions.
Elle s'accroupit devant moi.
Ses mains font descendre mon pantalon de jogging.
Sa main se pose sur ma cuisse, à l'intérieur.
Son regard passe de mes yeux à mon sexe.
Il déforme mon caleçon.
Son index se pose sur le tissu, appuie sur mon gland.
- Tu as une tâche...
Elle tourne le bout de son dos sur la salissure intime avant de le porter à sa bouche.
Ses yeux se ferment pour déguster.
Lorsqu'elle les rouvre elle force mon dessous à glisser puis descendre sur mes jambes.
Ses yeux s'ouvrent en grand.
Mon vit se dresse vers le ciel.
- Humm... je me souvenais qu'il était bien long... une fine tige comme j'aime.
Sa main se pose sur mes bourses.
Du bout des doigts elle caresse la base de ma verge, de sa paume elle appuie sur mes gonades.
Je balance mon bassin au rythme de ses caresses lentes et érotiques.
Elle m'interroge du regard en passant sa langue sur ses lèvres.
Je me souviens... de son désir... de ce qu'elle aime... mon inhibition s'envole d'un coup.
- Tu veux sucer ? lui dis-je non sans un dernier rougissement de mes pommettes.
- Ouiii !
Sa langue se tire et elle lèche ma hampe de bas en haut en un mouvement rapide.
Elle l'enroule autour de mon manche, passe sur le gland, écarte délicatement mon méat.
Ses mains forcent mes jambes à s'ouvrir.
Elle me provoque des gémissements.
Lorsqu'elle ouvre sa bouche et m'engloutis en elle, je lâche un "Hannn !" sonore.
Avec une expertise magique, elle presse, appuie, aspire et tête mon sexe.
Son habileté buccale n'a rien à envier à ses mains qui massent mes bourses avec agilité.
Elle me désembouche. A regret pour moi, j'avais encore envie de la voir, de l'entendre, de la sentir me faire une fellation.
Un mince filet de salive lie nos corps.
Elle l'essuie du bout de l'index en se relevant.
- Elle est si longue... ta queue.
Son visage si près du mien. Ce ton, ce vocabulaire qu'elle vient d'employer me provoquent des bouffées de désirs.
- Vous la voulez ?
- Hoo ? Tu crois ? Minaude t-elle en s'accoudant au bar.
Je pose ma main dans ses cheveux.
J'ai si souvent rêvé d'elle.
Mes mains se posent sur ses hanches pour la faire pivoter.
Elle pose ses mains sur le bar et tend sa croupe, se cambre, offrant son séant à ma vue.
Les liens du porte jarretelles se tendent.
Elle ondule du bassin dans de lents mouvements sensuels.
Je me colle à elle.
Ma verge est dure, je sens la peau douce de sa cuisse.
Ses jambes s'ouvrent.
Je me placent dans les fourches caudines qu'elle écarte.
D'un mouvement de reins je la pénètre.
Elle gémit.
Je recule, sortant d'elle.
Elle souffle et se penche un peu plus.
Je la force de nouveau.
Sans effort, ma hampe coulisse en elle, mes cuisses crissent contre le nylon de ses bas.
Lubrifiée... elle glisse loin dans l'intérieur de sa vulve, lui arrachant un lent et long gémissement.
Je la parcours, en douceur, appréciant l'instant présent.
Elle soupire de plaisir, elle se trémousse puis se retourne pour me faire face.
Je la soulève, ses coudes posées sur le bar, son dos appuyé, elle noue ses cuisses autour de ma taille.
Je la saisis par les fesses et mon manche entre à nouveau en elle d'un seul coup.
Elle pousse un petit cri.
Elle glisse, coulisse, descend autour de mon pieu qui ne tarde pas à la forer jusqu'au plus loin de sa matrice.
- Haaa ! Hoo bébé... tu butes au fond de moi... Ha !!
Je me recule pour mieux la saisir et la forcer de nouveau.
Ses gémissements et son visage qui se lève au ciel sont des délices.
Sa bouche ouverte lâche une succession de râles. Son visage révèle l'intensité de son plaisir, déformé par les sensations qu'elle éprouve.
Lorsqu'elle ouvre les yeux, son regard brille, s'illumine...
Ses cuisses se resserrent.
Autour de ma verge les muscles de son vagin se contractent et se détendent, agissant sur moi comme un massage intime et interne qui me fait grimper les échelons du plaisir quatre à quatre.
Elle halète, se cambre.
L'orgasme la submerge.
Je poursuis mes vas et vient en elle alors que sa jouissance s'achève.
Je la rejoins dans le plaisir, quelques secondes après elle... mes jets l'emplissent... telles des décharges électriques... je pousse un cri rauque.
Son visage se détend.
Nos sourires se délient.
Seuls nos respirations, fortes, se font entendre.
Je reste en elle, ses jambes ne veulent pas me lâcher.
Elle noue ses bras autour de mon cou.
Je la soutiens, ses belles fesses prises à pleines mains.
Je ne la sentais pas si légère, si délicate.
Sa forte poitrine posée sur mon torse.
Son intimité coule.
Je sens mes bourses s'humidifier de nos sucs.
- Tu dois rentrer ? Lui demande-je doucement.
- Non. Tu attends quelqu'un ce soir ? Me murmure t-elle.
- Non.
Son fourreau palpite et je ne suis pas long à reprendre vigueur.
Elle me lance un large sourire.
- Tu n'avais pas rendez-vous avec "Natacha" ?
Je ne dis rien... intimidé.
L'obscurité commence a tomber dehors.
- Je peux peut-être la remplacer... me dit-elle.
Je me déplace avec elle jusqu'à ma chambre, empalée qu'elle est sur ma longue tige.
- Et puis je pourrais nous commander une pizza... gémit-elle.
- Je n'ai pas très faim.
- Moi si... et je suis très gourmande.
Chacun de mes pas fait monter et descendre ma fine tige dans son ventre.
Elle ronronne.
Je la pose en douceur sur le lit.
Elle pousse un petit cri.
- Haaa... Tu n'es pas gourmand ?
- Si. Fais-je en caressant ses flancs, sa poitrine, son cou gracile.
- Tu pourrais... me bouffer la chatte... et le cul...
Je me raidis en elle, outre mesure.
Même dans mes fantasmes les plus osés je ne l'avais pas envisagé aussi délicieusement perverse.
- Ho oui. Parviens-je à soupirer en agitant mon sexe en elle, de nouveau.
Inspiré par ma Muse.
A suivre..
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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