[...]
Elle était assise sur mes genoux.
Sa jupe relevée jusqu'à la taille.
Les jambes écartées.
Sa nuque posée sur mon épaule, elle gémissait alors que mon index effleurait son intimité.
Ma Muse, la femme qui habitait mes rêves solitaires et mes fantasmes dans d'autres bras, s'offrait à mes attouchements et en voulait encore plus.
A sa demande je hasardais mes doigts sur son anneau secret.
Elle sa cambrait pour me permettre de lui masser l'entrée de son orifice le plus étroit.
Dépourvue de son chemisier, son soutien-gorge à mi-ventre, j'admirais à loisir l'opulente poitrine aux tétons érigés.
A 45 ans,elle avait 20 ans de plus que moi.
Et une bouche qui venait de m'entreprendre avec expertise et gourmandise.
Dans le salon familial, je me livrais, avec l'amie de notre famille, à des jeux bien peu autorisés.
La peau douce de ses cuisses était une invitation à la caresse.
La molle fermeté de ses seins un délice à pétrir.
Ma bouche happa de nouveau une tétine.
Elle poussa un léger gémissement.
Je suçottais l'auguste mamelon à la texture incroyablement excitante.
Ma langue titillait et faisait rouler la pointe savoureuse, épaisse et longue.
D'un mouvement un peu plus appuyé j'écartais l'interdit assoupli, pour faire entrer le bout de mon doigt dans son anus consentant.
Elle grogna et se tortilla sur moi, telle une chatte au coin du feu, appréciant l'intime caresse.
- Tu sais y faire. Me dit-elle. J'ai envie de plus encore...
Je fis tourner le bout de mon doigt dans l'étroite ouverture.
Elle se tendit un peu plus.
Sa main vint se poser sur ma cuisse.
Elle s'empara avec dextérité de ma verge tendue.
D'un ample mouvement, elle entama une masturbation de ma longue tige.
Je me tortillais sur mon siège, aux anges...
- Tu me montres ta chambre ? Tu m'as dit que je pouvais tout te demander...
J'étais comme dans un rêve.
Je montais l'escalier, traversais le couloir, ouvris la porte de ma chambre.
Je sentais sur moi le poids de son regard.
J'avais remis en hâte mon pantalon, ma chemise.
Elle, elle n'avait que rabaissée sa jupe.
Elle me suivait, ma Muse, mon fantasme depuis aussi longtemps que je me souvienne d'avoir eu envie d'une femme et de sexe.
Lorsque la porte claqua je lui faisais face.
Elle scrutait les murs de ma jeunesse, passait un doigt nonchalant sur un jouet posé sur une étagère, souriait devant un poster de musique dont le nom même du groupe
semblait démodé.
- On dirait presque la même chambre que celle de ma fille.
Je n'osais rien dire. Intimidé. Un peu honteux de lui montrer ce qui n'était plus moi.
Je me surpris à rougir.
Elle fit tomber son chemisier au sol.
Ses gros seins pointés sur moi.
Elle passa ses mains sous les globes lourds et commença à se caresser la poitrine, malaxant et caressant les mamelons dont les bouts étaient durs et tendus.
Toute ma vie j'avais attendu ce moment, je l'avais espéré sans jamais penser qu'un jour elle serait devant moi, bien réelle, en train de se peloter les seins pour mon
plaisir (et le sien).
- Tu as commencé quelque chose tout à l'heure... On devrait continuer... avant que ta mère ne revienne de la gare.
Sa voix était un murmure doux et un peu cassé par l'émotion.
Elle me regarde avancer.
Je suis comme un esprit flottant sur le sol.
Plus près d'elle sans même m'en apercevoir.
Mon pantalon au sol sans que je ne me souvienne comment.
Son visage souriant.
Sa main qui caresse ma joue.
Mes doigts sur son dos nu.
Son corps et sa croupe offerts à ma vue.
A 4 pattes, ondulante et lascive.
Sa jupe relevée sur ses hanches.
Un gémissement de sa part.
Et mon sexe qui se pose sur l'entrée de sa vulve.
Je crois me réveiller et reprendre contact avec la réalité alors que ma tige entre en elle.
Elle est sur mon lit, sur ce matelas même où j'ai tant de fois rêvé d'elle, de son corps qui me faisait me caresser dans les plus onctueux tourments.
Et aujourd'hui, elle s'offre à moi... comme un présent inespéré.
Je passe mes mains sur sa peau, palpant ses fesses dodues qu'elle agite en se frottant contre mon gland.
Je perçois l'humidité de ses lèvres.
Elle se cambre et le bout de mon sexe la pénètre.
Elle gémit un "hooo oui" de soulagement.
Il n'y a pas de plus beau compliment que ce simple mot.
Je pose mes mains sur ses hanches... divinement larges.
Un mouvement du bassin me fait la forcer un peu plus loin.
Elle soupire lorsque je recule avant de m'avancer en elle un peu plus loin de nouveau.
Son corps accueille mes mouvements et ondule à mon rythme... à notre rythme.
C'est un fantasme que je vis.
Tellement intense que j'en ai du mal à le croire réel.
A quatre pattes sur mon lit, ma Muse se laisse besogner par mes soins.
J'écarquille les yeux pour mieux m'enivrer de l'instant.
Le tissu de sa jupe retroussé sur la bas de son dos dévoile sa croupe offerte.
Mes mains passe sous elle et je m'empare de ses seins lourds pour les malaxer et en sentir la molle fermeté.
A chaque fois que j'effleure son téton je le sens durcir et résister.
Lorsque je le fais rouler elle ronronne telle un chatte, accentuant la cambrure de son corps pour mieux me laisser posséder son intimité.
Ma verge coulisse dans le fourreau humide et chaud de sa motte ouverte à mes vas et vient.
Autour de mon sexe les parois de son intimité surexcitent mes sens.
Ses gémissements et soupirs sont un chant céleste.
Je pousse ma tige en elle dans un mouvement de bassin plus long.
Jamais je n'ai eu autant envie d'une femme qu'à ce moment là.
Je me surprends à y mettre une fougue et vouloir plonger mon piston en elle comme je ne l'ai encore jamais fait.
Elle pousse un petit cri.
Au second assaut elle se contracte.
Je me recule...
Elle grimace un peu, ralentit ses ondulations.
J'ai tellement chaud que je ne comprends pas.
Elle me sourit, un sourire où je lis du désir.
- Tu es long bébé... tu me tapes au fond du vagin.
Je balbutie quelques excuses... Je lui cause une douleur... j'en suis désolé et honteux.
- Continue... c'est si bon... tu es long... et tu me fais adorablement mal...c'est... hummm... n'arrête pas... c'est si rare.
Incrédule, mais incapable de résister à sa supplique je repars à l'assaut de son puits accueillant.
Sa rivière est ruisselante.
Chaque coup de boutoir la fait grimacer et gémir de plaisir.
Elle m'encourage à la saillir, encore... et encore.
Je lui obéis sans avoir à ma forcer, usant et abusant de son étui féminin.
Ses demandes me veulent enfoncé en elle, jusqu'au fond...
Sa main se pose sur une de ses fesses.
Elle l'écarte.
Je découvre la fleur la plus intime de son être.
Je comprends son envie.
Je souris...
Ma main se pose sur son entre fesses.
Dans le sillon de ses globes m'apparait sa rose plissée.
Elle se penche totalement sur mon ancien lit et ses mains se saisissent de ses lobes qu'elle écarte largement.
Elle semble se donner entièrement à moi dans cette envie perverse... si loin de ce que j'imaginais d'elle.
- Prends-moi... s'il te plait... Prends moi par le cul. hooo...
Je sors de son sexe pour me poser sur l'anneau intime.
Ce langage cru qu'elle utilise depuis que nous sommes seuls est une source d'excitation encore plus intense.
L'envie de la saillir ma cet orifice interdit me fascine et me donne chaud.
Le sang frappe mes tempes.
Mon sexe se durcit plus encore qu'il ne l'était.
Jamais encore je n'ai... pris une femme par cet endroit. Toutes mes conquètes me l'ont toujours refusé.
Et elle, ma muse, mon inspiration, l'initiatrice de mes premiers émois... m'invite à la sodomiser.
Je pose mon gland sur la petite ouverture.
Elle se dandine, cherche à sentir le bout de mon vit contre son interdit.
Je m'incline et elle s'ouvre...
Sa rosette accepte mon bouton rouge d'envie.
Je force doucement.
Elle gémit.
Je lui pratique ce que je n'ai jamais vécu qu'en fantasme.
Lentement son orifice s'ouvre, s'écarte.
Je gémis à mon tour en sentant la pression qu'exerce son anus autour de mon sexe.
Je reste immobile quelques instants.
- Hooo oui... ça... c'est tellement bon... par le cul c'est ! Haaaa !
Son cri alors que ma verge est enserrée dans son fourreau le plus étroit me font pousser, moi aussi, un gémissement rauque.
Elle se cambre et je l'entends pousser un lent soupir au rythme de l'intrusion qu'elle s'inflige avec plaisir.
Je ne m'appartiens plus.
Les yeux grands ouverts, j'admire son sillon offert jusqu'à son petit trou et le bout de mon sexe introduit dans sa rose plissée.
Je ne saisis pas pourquoi elle se tortille et extraie ma verge de l'entrée de son anus.
Sa voix me parvient, lointaine...
Suis-je entrain de me réveiller.
Je gronde en tentant de la maintenir, elle s'échappe.
Les mots se font audibles, en même temps que j'entends une portière claquer.
- ... oilà la voiture... rhabille-toi !
Je reprends conscience.
Mes joues sont empourprées.
Elle fait glisser le bas du tissu sur ses genoux.
D'un geste de la main elle cache sa culotte dans une poche.
Le pantalon sur les chevilles, je peine à remettre ma chemise.
J'ai du mal à boucler ma ceinture, tant ma verge est dressée.
Elle sourit et s'amuse de me voir bander et ne pas réussir à me vêtir.
Je la sais nue sous sa tenue, pourtant elle conserve un aplomb et une sérénité exceptionnelle.
Elle me lance un pull.
- Ca va cacher ta queue en érection.
Je suis rouge de honte.
Et frustré de ne pas avoir pu mener à terme mon plaisir et ce rêve.
Lorsque nous descendons l'escalier ma mère et ma sœur me regardent d'un air surpris.
C'est elle qui prend la parole.
- Il me faisait voir comme la vue était belle d'en haut.
Ho oui... la vue était belle... je me sens maladroit et nerveux.
Au moment de partir, après nous avoir salué, son clin d'œil en ma direction me fait du bien.
La soirée va être dure...
Et longue... si longue...
A suivre...