Elle... Il... en duo

    [...]

J'enchainais les moments où j'imposais à Léa, ma secrétaire, des missions sensuelles où sa sexualité, sa honte et ses désirs et nos plaisirs étaient excerbés, avec les longues discussions en ligne... toutes aussi osées.PJ2
Elle me faisait le récit de ce qu'elle ressentait lors de l'exécution des ordres que je lui donnais.
Parfois également nos échanges dérivaient pour des mises en scènes imaginées et virtuelles où elle se livrait à moi.
Peu à peu elle était tombée totalement sous mon emprise et c'est bien volontiers qu'elle acceptait de se livrer à mes envies les plus crues.
Ce qu'elle ignorait c'est que j'étais son patron dans le réel.
Petit à petit ce mensonge pris de plus en plus de place et me fit douter.
Avais-je le droit de jouer avec elle de cette façon ?
Il faut dire que plus le temps passait et plus je m'attachais à ma "soumise".
Moi aussi j'étais envouté par ce qui nous unissait.
Un étrange lien s'était tissé entre nous.

Elle me confia son numéro de téléphone.tel
Ainsi je pouvais la contacter et l'entendre...
Mon numéro à moi était en appel masqué et ,je ne disais rien de peur qu'elle ne reconnaisse ma voix.
Sa voix... le claquement du décrochement du téléphone... sa respiration et le premier mot "Maitre... je suis à vous".
Nous échangions parfois sur ce double fonctionnement.
J'écrivais donc et je l'entendais réagir... soupirer... répondre à mes questions... ou réagir à mes affirmations.
"Ohhh hummm... je suis accroupie. Vous pouvez tout me demander. Je suis obéissante."
Sa voix était si suave, si sensuelle.
Je bandais comme un cerf alors qu'elle reprenais des morceaux de mes écrits, pendant que je lui écrivais et qu'elle se faisait plaisir..." Ouiii je suis votre cochonne... votre petite salope..."
Elle y prenait un plaisir incroyable.
Plus d'une fois je l'entendis ainsi jouir à l'autre bout du fil, sa respiration haletante puis le râle de la petite mort.
Et au moins autant de fois je giclais à mon tour, en communion avec elle.

Elle me fit un jour une révélation alors que nous étions seulement séparés par une vitre, elle dans son bureau, moi dans le mien.

"Mon maitre adoré.
Hier soir je vous ai désobéis.
Je me suis caressée sans votre autorisation."

Elle souriait, je le voyais. Elle savait qu'elle allait être puni et c'est ce qu'elle cherchait.
Puis elle poursuivit...

"J'aimerais vous rencontrer.
Et vous sentir.
C'est à ceci que je dois mon plaisir d'hier que je n'ai pas pu retenir.
Je serais la même, toujours aussi obéissante..."

J'étais estomaqué.
Elle désirait aller plus loin.
Combien de fois en avais-je eu aussi envie... sans oser passer le pas.
Je la regardais.
Elle était concentrée.
Son visage semblait tendu et ses yeux étaient rivés à son écran.
Elle avait oublié le lieu où elle était, elle n'était plus que concentrée sur sa relation charnelle distanciée.
L'envie me tenaillait.
La raison me hurlait de me contenter de l'intimité que nous partagions.

"Et si je te donnais cette autorisation ?" formulais-je après avoir conservé un petit moment d'attente.
Mon sexe avait pris le pas sur mon cerveau.
Mon cœur battait à 100 à l'heure.

Elle se plaça dans le fond de son siège de bureau.
Ses joues étaient légèrement plus roses qu'avant.
Ses yeux brillaient et elle eu de petits regards de côté pour s'assurer que personne ne lisait par dessus son épaule.

"J'en serais la plus heureuse des femmes... et la plus docile des soumises". Répondit-elle.

Tout ceci prenait une envergure qui risquait, là encore, de me dépasser. Mais j'avais tenu le coup et assuré jusqu'alors ! Alors pourquoi me priver d'aller plus loin encore...

"Nous pourrions nous rencontrer dans un ascenseur...". Mes mots venaient sans aucune projection dans l'avenir.
"Un lieu étroit où vous sentiriez ma main caresser votre croupe..."

"J'en serais gênée... mais je ne pourrais pas bouger, alors le moindre mouvement me ferait me frotter à vous..." répliqua t-elle aussitôt.

Un scénario improvisé d'une sensualité et d'une complicité intense naquit sous nos doigts, devant nos regards... pour faire naitre des plaisirs impolis aux creux de nos ventres.
Ses pommettes s'empourpraient tout au long de notre discussion.
Je bandais... ma verge en était douloureuse.
J'avais envie de lui dire qui j'étais et de la prendre sur son bureau, là de suite... et envoyer paitre la bienséance.
Seuls mes écrits témoignaient de mon désir.

Elle me signala qu'elle allait bientôt jouir.
Je lui donnais l'autorisation de se soulager dans les WC de son entreprise.
Devant mes yeux elle se leva et se dirigea vers les toilettes.
Mû par un désir irrépressible, je lui emboitais le pas.

Dans la cabine étroite, se pensant seule, elle se permit de soupirer un peu plus fort par deux fois.
Je souriais.
Elle venait d'atteindre l'orgasme.
Elle sortit alors et me découvrit en train de me laver les mains
En un instant son visage fut plus rouge qu'une fleur de pivoine.
Sans un mot elle lava ses mains rapidement juste à côté de moi.
Une odeur de sexe trahissait son plaisir impoli.
Elle avait honte, sans aucun doute.

Je revins à mon bureau.
Ravi.
Elle tardait à me répondre : "Alors... tu as bien joui ?"
Je la voyais pourtant, assise devant l'écran.
Immobile.
Les mos s'affichaient, phrases courtes après phrases courtes.

"Mon patron m'a surpris.
Je suis sur qu'il m'a entendu.
Je n'ose plus le regarder.
C'est horrible.
Car j'adore cela.
Il doit me prendre pour une folle de sexe.
Et... je sens que je le deviens.
Grace à vous.
Hoo... j'en suis de nouveau humide.
Je fais des choses que je ne me serais jamais cru capable de faire.
Et j'ai envie de vous obéir, d'être guidée...dirigée...
Mon Maitre adoré.
Aidez-moi.
Prenez-moi en soumise... réelle.
J'en perds le sommeil.
C'est de la folie... j'ai besoin de vous."

Une idée me traversa l'esprit.
Démente.
Quelques minutes plus tard, après un coup de téléphone, je lui donnais rendez-vous dans un hôtel.
Elle devait laisser la porte ouverte et se bander les yeux.

Je la vis se lever de son bureau.
Elle venait de répondre simplement "Merci".

Elle prenait un café dans la salle de repos.
Je m'en versais un également.
Elle alluma sa seconde cigarette.
Ses mains tremblaient.

"Vous avez un souci Léa ? " lui dis-je.
"Non monsieur, non non."
Elle souriait.
"Vous semblez fébrile..."
Je la fixais du regard.
Mes yeux coulèrent sur sa poitrine.
Elle s'en aperçu mais, au lieu de se tourner, elle me rendit mon sourire et reporta sa cigarette à sa bouche divinement sublime.
"J'ai... un rendez-vous. Que j'espérais depuis longtemps". Elle rougit en baissant le visage.
"Heureux homme. Je vous accorde de partir une heure plus tôt" lui répliquais-je aussitôt.
Elle en resta bouche bée.
"Merci monsieur".
Je la laissais sur place en emportant ma tasse à café.

Mon sexe formait une bosse monstrueuse dans mon pantalon.
Je ne m'en étais pas rendu compte mais...
Cela n'avait pas pu lui échapper.
Peut-être était-ce là l'origine de son rougissement ?
Je ressentais un mélange de culpabilité et d'envie.

Elle partit rapidement en me faisant un signe de la main et un sourire.
Je quittais le bureau à mon tour un peu plus tard.
J'avais réservé une chambre à l'hôtel.
Elle m'y attendait.
La porte était entrouverte...

Le réel vint se mêler au virtuel.
Pour nos plaisirs communs.

A suivre ?

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]

Les jours passaient et je prenais plaisir à assumer mon rôle de Maitre virtuel.secret02
Léa, ma secrétaire réelle, Mado de son pseudo en ligne, acceptait les missions, les ordres que je lui donnais et les exécutais avec promptitude et sérieux.
Elle était devenu peu à peu plus soumise et obéissante.
De mon côté je m'enhardissais à lui proposer des défis extrêmement sensuels.
Cela lui plaisait et j'en étais ravi.
J'avais découvert une source de satisfaction dont j'ignorais encore la possibilité il n'y avait que quelques semaines.
C'était un travers que je m'autorisais et je ne pouvais plus m'en passer...
Comme elle ne pouvait plus se passer de "son Maitre adoré" comme elle avait fini par me dire.
Une relation intime s'était nouée entre nous.
Il y avait un élément que Léa ignorait...
Elle ne connaissait rien de la réelle identité de qui était son "Maitre".
Comment aurait-t-elle pu imaginer que son propre patron, s'amusait autant avec elle... et vice-versa.
Elle avait son bureau séparé du mien par une simple vitre.
Lorsque j'échangeais avec elle par l'intermédiaire de l'ordinateur, je devais faire attention à ne pas me dévoiler.
De son côté elle cachait son écran.
Mais je maitrisais là aussi la situation et je pouvais donc m'assurer et profiter encore plus de ce que je lui imposais.
Parfois je la voyais rougir ou venir travailler avec les yeux nettement plus brillants.
Elle me disait ensuite ce qu'elle avait fait et éprouvée.
Je n'avais aucun doute... elle prenait son pied à jouer les soumises obéissantes.
Et de retour chez moi je me dépêchais de la rejoindre et de lui faire faire d'autres choses toutes plus érotiques et osées les unes que les autres.
Ceci allait crescendo et n'était pas pour nous déplaire.

Elle me relatait comment elle avait obéit sans sourciller dans sa vie quotidienne réelle.
"... comme vous me l'avez demandé.
J'ai récité ce mantra que vous m'aviez imposé... "Je suis la soumise obéissante de mon Maitre".
Tout du long de ma douche.
Je sentais le plaisir croitre en moi alors que l'eau coulait sur moi et ruisselait sur mes courbes.
C'était difficile de résister au plaisir de me caresser.
Et lorsque j'ai murmuré ces mots... osés.
Je me suis entendue. Ma voix... j'ai eu un orgasme à peine avais-je prononcé ceci pour la troisième fois"

"... je n'ai pas mis de culotte aujourd'hui.
Pour vous faire plaisir.
Je sentais le vent sur mon sexe... c'était... je suis sur que les hommes me regardent et s'en apperçoivent.
J'adore cette sensation.
J'accepte de ne plus en mettre, en signe d'obéissance."

"... comme vous me l'avez demandé.
J'ai nettoyé le sol de mon couloir, a 4 pattes.
Dos à la porte que j'avais laissé entrouverte.
J'avais peur et en même temps je dois vous avouer que j'imaginais à chaque instant que vous pouviez entrer et... me prendre... à même le carrelage.
Ou un inconnu. Et vous auriez tout vu.
Hooo
C'était si fort... j'étais mouillée, trempée..."

"Pour nettoyer mes vitres je me suis mise en petite tenue.
Je n'ai pas osé regarder si quelqu'un me voyait.
Le haut de mes cuisses portent les traces de mon émoi.
Merci mon Maitre adoré."

"J'ai obéit. Sur ma voiture, dans la poussière, avec mon doigt j'ai écris "soumise à bord".
J'ai honte de rouler tant cela se voit.
Je me suis garé loin sur le parking pour aller travailler mais certains l'ont vu et n'ont rien dit.
Ils sourient.
S'ils savaient, mon maitre adoré comme je suis fière.
Le soir même, je me suis caressée en y pensant, je n'en pouvais plus. J'étais... en chaleur."

Cette inscription, je l'avais vu sur sa voiture mais elle m'envoya une photo pour prouver son obéissance.
Nettement visibles, ces 2 mots lui avaient demandé un effort conséquent.
Son acceptation l'avait troublé, excité.
Et je partageais ce plaisir.
Je m'immisçais dans sa vie sexuelle, j'adorais cela.

"Cela fait 3 jours que je ne me suis pas caressée mon Maitre.
Je n'en peux plus, surtout lorsque je vous lis.
J'ai l'impression d'avoir mon entrejambe douloureux en permanence.
..."
"Aujourd'hui cela fait 7 jours.
J'ai coulée sur mon siège de bureau.
En regardant mon patron comme vous me l'avez demandé.
J'ai mangé cette pomme de façon sensuelle.
J'avais des images plein la tête.
Mon abstinence est une réelle punition que vous avez doublé en m'imposant de croquer ce fruit si... langoureusement... mais tout en retenue...
Il m'a vu.
Ses yeux se sont posés sur moi et il a observé ma bouche et mes lèvres qui glissaient sur la peau verte et charnue.
C'est à ce moment là que j'ai... coulée."

"Mon Maitre.
Je vous envoie la photo que vous désiriez.
On y voit mes doigts. Ils sont recouvert de mon jus.
C'était si intense.
Après autant de jours sans en avoir le droit... je n'ai pas été longue à jouir.
Ma perle était tellement gonflée qu'elle me faisait mal.
J'ai à peine eu le temps de frotter mes mamelons que je ruisselais.
J'ai eu l'orgasme en répétant mon mantra "Je suis le soumise obéissante de mon Maitre". Ho oui...
Merci."

"... Ce n'était pas facile mon Maitre.
Tout le temps de la préparation j'avais les joues rouges.
Je ne pouvais pas m'empêcher de penser au résultat.
Il m'a fallu emprunter du matériel sur mon lieu de travail et je n'en suis pas fière.
J'espère que vous serez content de moi.
Vous trouverez en pièce jointe l'image qui montre mon obéissance.
J'ai construit seule le panneau avec la lanière.
Lorsque j'écrivais... j'étais transportée de désirs.
Voilà, vous pouvez voir votre soumise, poser devant sa glace de salle de bain, avec autour du cou, masquant la vallée de ses seins mais laissant visible ses mamelons durs et tendus, l'écriteau indiquant "soumise à mon Maitre".
J'ai tellement honte.
C'est si bon."

"Je suis venue au bureau aujourd'hui avec l'inscription.
Merci de ne pas avoir exigé de moi que je vienne avec l'écriteau.
Mon chemisier en dentelle est transparent et une collègue m'a demandé si j'avais un tatouage.
Par transparence elle a vu...
Je suis devenue écarlate.
J'ai bredouillé une réponse qui l'a fait sourire.
Elle m'a demandé si c'était un peu coquin. J'ai répondu oui.
Si elle avait su que j'avais écrit sur ma poitrine "salope soumise"...
Elle m'a avoué qu'elle aurait aimé aussi "oser".
A la fin de ma journée, je ne me cachais plus.
Mon patron a même posé sur mon son regard qui a glissé sur la dentelle.
Mes pointes se sont dressées.
Je pense qu'il a cherché à voir ce qui était inscrit.
Puis-je l'effacer ? Et me caresser en même temps ? S'il vous plait mon Maitre adoré..."

"... C'est dans un pub, hier soir avec une amie.
Après avoir fait les magasins.
J'ai fait du charme au serveur.
Il m'a donné son numéro de téléphone.
Jamais je n'aurais cru que j'aurais osée.
Mon amie m'a trouvée changée, radieuse.
Je dois l'avouer, vos missions, nos échanges, ma soumission me remplit de joies et de plaisirs.
Je l'ai fait en pensant à vous mon maitre."

Je me permettais même de la faire agir au bureau de façon plus intense.

"... comme vous le voyez en photo ma tenue est des plus osée.
Ma jupe est très courte et elle dévoile mes bas.
Mon haut moule ma poitrine et j'ai mis un petit gilet qui me donne l'impression de rehausser la générosité de mes seins plutôt que de la dissimuler.
Je n'ose pas imaginer les yeux que vont faire les personnes à mon travail...
On dirait une... ho..."
[plus tard le même jour)
"Mon Maitre,
Je suis en ce moment à mon bureau.
Je me suis faite siffler par des  hommes dans la rue.
Et mon patron, ainsi que deux collègues, m'ont souris d'une façon que j'imaginais salace.
Alors j'ai roulé des hanches en me répétant que j'"étais la soumise de mon Maitre.
Vous me faites faire des folies et j'adore".

"Notre "scénario" de ce jour m'a donné chaud.
Vos mots m'ont excités.
J'ai du m'absenter de mon bureau pour aller me soulager comme vous m'en avez donné la permission.
C'est la première fois que je me caresse dans les toilettes de mon lieu de travail.
C'était risqué, j'ai manqué gémir plusieurs fois.
Lorsque je suis revenu à ma place je n'avais qu'une seule envie... vous retrouver mais vous n'étiez plus là.
Je me suis sentie seule et abandonnée.
Un sentiment que je ne croyais pas possible au travers d'une liaison simplement virtuelle.
Vous faites partie de ma vie intime.
Répondez-moi mon Maitre."

"... Cela fait 2 jours que je n'ai pas de nouvelles de vous.
C'est difficile.
Si vous ne voulez plus de moi dites-le moi s'il vous plait.
Ai-je fait une bétise ?
En ce cas punissez-moi... j'accepterais tout.
Mais ne me laissez pas dans cet état.
Je me rends compte que je suis accro à vous.
Le mantra que je me répète me vient spontanément et il accompagne ma vie."

Ce break improvisé et dû à une mauvaise grippe qui m'avait tenue éloignée d'un ordinateur avait renforcé nos liens virtuels et surtout sensuels.
Je devais admettre que la lecture de ce mail m'avait chamboulé.
Lorsque je lui avais répondu, sans lui donner de raison, elle avait littéralement explosée de joie.
Quelque chose de très fort était né entre nous.
Je passais donc à la vitesse supérieure...

"C'est la première fois que je regarde un film... porno, mon Maitre.
Je me suis forcé à le regarder.
Il m'est difficile d'admettre que je me suis caressée devant les images et les sons.
Comme vous me l'aviez indiqué je me suis imaginée dans chacune de ses femmes.
Et... j'ai jouis deux fois.
Une première fois devant l'écran... presque brutalement.
Et une seconde fois après que la lumière se fut éteinte.
Je repensais à ces scènes, toutes plus osées, et c'était moi... l'héroïne de ces lubriques positions.
J'étais inondée...
J'aurais tant voulu que vous traversiez l'écran et que vous me soumettiez... entièrement..."

"... J'ai rencontré cet homme que vous m'avez autorisé à voir.
Il m'a fait l'amour et tout le temps j'ai pensé à vous.
C'était fou.
Il était là mais je vous voulais."

"... Pour la seconde fois que je vois mon amant, j'ai mis les dessous que vous m'avez demandé.
Il a été très surpris de me découvrir uniquement en porte-jarretelles et en bustier.
Mais j'ai vu ses yeux briller d'envie.
Je lui ai refusé ma bouche conformément à vos ordres.
Et je l'ai chevauché en lui demandant de me dire des mots crus.
Ce cochon n'avait pas la langue dans sa poche.
C'était très excitant de penser que j'allais tout vous raconter ensuite."

"Ho... mon Maitre adoré.
Ce que vous m'avez fait faire est... si obscène.
Je me sens honteuse.
J'espère que vous allez apprécier ce petit film de mes ébats solitaires..
SI seulement vous pouviez me donner l'autorisation de vous rencontrer et de me baiser... je serais obéissante... vous le savez bien."

Il en fut de même avec son amant.
Une caméra, cachée, m'a permis de la voir, le chevaucher et se faire prendre en levrette.
Quel plaisir !
Et j'en voulais toujours plus d'elle.

"Mon Maitre adoré.
Cette mission a été très tendancieuse.
Je me suis rendu à ce super marché de sex toys...
J'avais déjà honte de prendre un gode et un collier où il était écrit "soumise".
Mais lorsque, sur le parking, j'ai aperçu mon patron !
J'ai cru que le sol s'ouvrait sous mes pieds.
Il m'a sourit...
Il n'y avait aucun doute possible, j'avais un sac au nom de l'enseigne.
Je suis devenue écarlate.
Surtout devant lui.
Il n'a rien dit.
S'il vous plait donnez moi l'autorisation de me soulager.
J'ai les seins en feu et l'abricot dégoulinant de désirs tous plus osés les uns que les autres."

"Vous connaissez mon attirance pour mon patron.
C'est vrai qu'il est très... plaisant.
Je vais exécuter ce que vous voulez, rester en dernier au bureau et lui faire croire que ma voiture ne peut plus démarrer.
Ensuite je vais lui faire du charme.
Vous ne m'avez cependant pas dit si je pouvais... aller plus loin.
S'il me plait, sa position me gène un peu.
Dans tous les cas, je ferais ceci en pensant à vous, mon Maitre... adoré".

Elle m'avait alors fait un numéro dans lequel je jubilais.
Je n'avais pas poussé le bouchon jusqu'à son terme.
Elle m'avoua qu'elle se serait laissée faire.

J'eu alors d'autres envies...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]


Ses cheveux bruns remontés sur l'arrière de son crâne, sa frange courte, son regard doux caché dans ses lunettes lui donnaient un air sage.
Sa jupe noire et son chemisier sans aucune exubérance continuaient de donner d'elle l'image d'une parfaite femme aux mœurs calmes.
secret01Je savais pourtant que cela n'en était rien.
Elle ne savait pas que j'avais découvert qu'elle discutait sur Internet... des échanges où elle se faisait dirigé... où je venais de me faire passer pour un homme qui la voulait en "soumise".
Et elle avait accepté.
Novice à ce jeu, je devais penser à toute vitesse pour alimenter cette affamée de sensualité qui cachait bien son jeu.
Elle s'était assise à côté de mon bureau, un peu plus loin que les 2 clients avec qui je m'entretenais, les jambes serrées pour y poser son petit ordinateur.
Elle prenait en note notre discussion.
Je lui avais fait enlever son soutien-gorge et sa poitrine de belle taille, un 95C m'avait-elle assurée, se balançait parfois lorsqu'elle se redressait.
Un de mes interlocuteur semblait avoir remarqué cette absence ô combien excitante.
Je devais, moi aussi, faire un effort pour ne pas trop regarder les renflements qui tendaient le tissu de son chemisier.
Ce qu'il ne savait pas, que je savais moi, c'est qu'elle ne portait pas non plus de culotte...
Et, le plus fort, c'est qu'elle ignorait que j'en avais connaissance.
J'eu un peu de mal à me concentrer, puis la loi du travail reprit son importance et la réunion fut menée de façon classique, les devis signés. C'était une bonne journée.
Au moment de se dire au revoir, je vis les regards des deux hommes se repaitre de Léa, ma secrétaire, toujours sagement assise. Elle se leva pour leur serrer la main et il ne purent s'empêcher de sourire en la dégustant du regard.
J'admirais moi aussi la courbe douce de ses hanches et le tissu de sa jupe nullement déformé par un quelconque dessous.
"Je remets mes notes en forme et je vous apporte le compte-rendu Monsieur." fit-elle de sa voix délicieuse.
"Très bien".
Elle s'esquiva et je me ruais sur mon ordinateur.
J'avais laissé la session ouverte et je l'attendais à arriver.
Je n'avais aucun doute, elle allait venir.
Lorsque je vis son pseudo apparaitre, Mado, je me pris à sourire.
"Monsieur, je suis revenue".
J'attendis un peu.
Mon sexe gonflait... malgré moi.
Ce petit jeu m'excitait, il n'y avait pas de doute possible.
"As-tu fais ce que je t'ai demandé ?"
"Oui Monsieur".
Elle m'envoya un mail sur la boite créée a cet effet.
"Je vais lire et voir si cela me convient".
"Oui Monsieur".
J'ouvrais le document.
Au fil de ma lecture je découvrais Léa sous un angle encore inconnu et, le fait d'avoir la preuve qu'elle m'avait obéit une fois, me confortait dans l'idée qu'elle allait bien faire ce qu'elle disait. J'étais sous l'emprise d'un plaisir intellectuel intense que je n'avais encore jamais connu.
"Monsieur,
Je m'appelle Léa, je suis brune, de taille moyenne, les yeux marrons.
Vous me connaissez sous le pseudo de Mado.
Je vous écris afin de vous demander de bien vouloir me prendre comme soumise.
Je serais obéissante et ferais ce que vous voudrez.
Je vous donne le droit de gérer ma sexualité, mes désirs...
Cet après-midi vous avez exigez de moi quelque chose que je n'avais encore jamais fait.
J'ai du participer à une réunion avec mon patron et deux clients, sans soutien-gorge.
Le plaisir était au rendez-vous. Leurs yeux sur moi et les pensées que je les imaginais avoir m'ont fait mouiller.
Comme vous m'aviez interdit de porter de culotte j'ai du me retenir pour ne pas me salir.
J'avais honte mais c'était extrêmement plaisant de savoir mes seins de bonne taille, attirer les regards.
Il me tardait de vous dire combien j'ai aimé ce que vous m'avez imposé.
J'accepte d'être obéissante et de vous raconter et vous prouver que ce que vous m'ordonnerez de faire.
Je ne prendrais pas d'autre Maitre et vous pourrez me punir ou me répudier si je ne vous conviens pas.
Mon plaisir sera de vous faire plaisir.

J'espère que vous accéderez à ma supplique.

Léa... Mado... ou tout autre nom que vous me donnerez"

J'étais assis, heureusement. Elle avait écrit ce texte en même temps que nous avions notre réunion.
Tout à la fois elle avouait ses sensations et m'offrait le luxe suprême de diriger sa vie sexuelle.
"Mado ?"
"Oui Monsieur ?"
"Ton texte est plaisant. Raconte moi un peu plus sur ce moment où tu étais avec ses 3 hommes."
"Mon patron avait remarqué je pense, que je ne portais pas de soutien gorge, puis un autre, un de ses clients. Ils jetaient de coups d'œil et je me sentais nue. J'avais honte mais c'était une source de plaisir impoli."
"Ils te plaisaient ?"
Elle eu un temps de latence avant de répondre.
"Pas tous non".
"L'un d'eux t'aurait plu ?"
"Oui Monsieur. Mais vous ne m'aviez rien dit".
"Lequel ?"
Mon cœur battait la chamade. Tenaillé entre l'espoir et la crainte.
"Mon... mon patron Monsieur."
Je n'osais pas y croire.
Je restais figé.
"Pourquoi ?"
Je ne parvenais pas à écrire autre chose. Ma secrétaire m'avouait, sans le savoir, qu'elle me trouvait pas mal.
"Je... son regard, ses mains aussi... et il ne me laisse pas indifférente"
"D'accord... mais n'oublie pas que je suis là".
Je devenais schizophrène.
"Revenons à ta demande. A partir de maintenant... je t'appellerais Léa. De ton vrai nom. Et pour toi, je serais "Maitre". Est-ce clair ?"
"Ho oui monsieur"
Elle se reprit rapidement.
"Oui Maitre. Dois je comprendre que je suis acceptée ?"
"Tu l'es."
"Je suis contente"
Elle passa sa main dans ses cheveux et je la vis sourire de l'autre côté de la vitre.
Elle l'était... et pas seulement en virtuel.
"Très bien. Ce soir tu peux te satisfaire. Demain je te veux sans culotte. Tu peux conserver ton soutien gorge pour le moment. Je t'attendrais, tu devras venir me voir."
"Oui Maitre. Bien sur."
Je coupais notre discussion.
Mon sexe était en érection.
Si j'avais encore envie de lui parler, je devais absolument faire celui qui était un peu détaché, enfin je l'imaginais.
Elle entra quelques secondes plus tard dans le bureau en m'apportant les copies de la réunion.
Lorsqu'elle se pencha pour déposer les feuilles je plongeais dans son décolleté.
Que ses seins avaient l'air doux et chauds ! Pleins et fermes comme deux belles pommes à la pointe saillante.
Ses joues rougirent un peu et elle me souhaita une bonne soirée.
"Vous aussi Léa. A demain".
Mon ton était un peu plus ferme que prévu.
Elle marqua un temps d'arrêt dans son déplacement vers la porte.
"Oui Monsieur, à demain. Mais je n'ai pas encore fini ma journée".
Je bredouillais une excuse à mi voix.
Elle reprit son travail et moi le mien.
Troublé, je l'étais au plus haut point.
Comment allais-je donc pouvoir alimenter cette relation dont j'ignorais tout mais qui me palpitait comme un nouveau challenge à remporter ?
Des idées me vinrent... Elle allait apprécier je l'espérais.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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