Béatrice.
40ans, 1m69 pour 52 kilos. Cheveux longs. Blonde jusqu'à sa toison pubienne, courte et entretenue. Des petites fesses fermes entretenues par la pratique du yoga,
une poitrine ronde et menue (un 85B), un joli visage ovale où percent des yeux bleus étincelants et où rayonne une bouche souriante.
Voilà comme on peut me décrire lorsque l'on me voit pour la première fois.
Je suis mariée à Marc depuis 20 ans. Il est un mari doux, attentionné, discret.
Jamais d'aventure... jusqu'à ce jour d'avril.
Nous sommes invités à son entreprise pour l'inauguration d'une nouvelle succursale. Marc a mis son costume gris, j'ai passé une robe bleue pâle, légère car il fait
bon en ce début de printemps.
Arrivés sur les lieux, Marc serre des mains, me présente à ses collègues, supérieurs et subalternes.
Il occupe un poste de chef de groupe qui mène son équipe sans heurt. S'il n'est pas le plus hardi des employés, il est apprécié pour sa gentillesse, je m'en rends
compte dans les attitudes des personnes qu'il me présente.
Lorsqu'un homme plus grand se fraie un passage dans la foule pour venir vers nous, Marc semble se tasser.
Un sourire et des yeux pétillants nous font face.
Le patron de Marc vient lui souhaiter la bienvenue.
Il saisit ma main et la porte à ses lèvres.
Je sens son souffle chaud sur ma peau et je frissonne.
" Votre adorale femme je suppose ?" fait-il de sa voix grave et profonde.
Assez grand, il a une belle stature, des yeux gris perçants et ses gestes, ses mots, trahissent une assurance et un charisme fou.
Ma main semble si petite dans la sienne qu'il me semble pouvoir la broyer s'il n'y prenait garde.
Marc balbutie affirmativement.
Lorsqu'il s'éloigne, je m'aperçois que j'ai les joues rouges et une étrange boule de chaleur dans mon ventre. Chose étrange car je suis une femme fidèle, nullement
tentée par aller voir ailleurs. Marc est si gentil avec moi.
Je passe une mèche de mes cheveux derrière mon oreille droite, machinalement, signe d'un énervement et d'une gène que je ne parviens pas à canaliser.
Je rends son sourire à mon mari qui s'inquiète de savoir si je vais bien.
Dans la suite de la soirée, je sens parfois le regard de son patron se poser sur moi. Et, lorsque je me retourne pour m'en assurer, ses yeux me fixent et sans un
sourire, se maintiennent au point que je suis obligée de détourner mon regard.
Je suis Marc, grignotant, sirotant les jus de fruits qui sont à notre disposition sans toucher aux divers alcools disponibles.
Une main se pose sur mon épaule et je sursaute.
La voix sourde de son patron est à quelques centimètres de mon oreilles.
J'en perçois le souffle.
Son parfum me parvient, fragrances de musc et poivre mêlées.
" Je vous emprunte votre femme, je lui fais faire un tour de notre établissement".
Tétanisée, je ne peux que regarder Marc qui fait un faible "oui Monsieur" pour toute réponse.
La main large se pose dans mon dos et me pousse vers l'extérieur de la salle.
J'entends certains hommes de l'assistance murmurer les mêmes rumeurs que mon mari m'avait déjà parlé. Cet homme est un coureur, un dragueur... un homme à
femmes.
Je suis horriblement gênée, honteuse.
Je n'ai qu'une envie, qu'il enlève sa main de sur moi.
Au lieu de cela il la laisse, ses bouts de doigts s'agitant même... jusqu'à me caresser presque imperceptiblement.
A peine un premier couloir passé, loin des éclats de voix de la réception, sa voix résonne.
Loin d'être l'horrible ogre que je m'étais imaginé, charmant, il me fait visiter et m'explique avec passion tout ce qui fait son entreprise.
Sa main reste posée dans mon dos.
J'en ressens un trouble mais lorsque je m'éloigne un peu et qu'il la repose, une subtile émotion me parcourt.
Il m'est difficile de l'éviter sans paraitre, pour le coup, indélicate.
Et en même temps... je suis flattée de l'intérêt qu'il me porte. C'est une chose qui ne m'est que rarement arrivée.
"Voilà le bureau de votre mari" me fait-il en ouvrant une porte.
Un joli espace sur lequel trône ma photo.
"Il vous a toujours un peu avec lui" fait-il en tournant le cadre, amusé.
Je rougis.
Marc pense donc à moi, lorsqu'il est ici. Il est adorable.
Son patron s'approche lentement.
Je suis comme pétrifiée.
Si proche, si près. Trop.
"Passons à mon bureau voulez-vous ?"
Un hochement de tête de ma part pour toute réponse il me guide et j'avale ma salive avec difficulté.
Je devrais lui demander de revenir auprès de Marc, je devrais fuir cet homme troublant, au lieu de cela je le suis, coupable de ne rien dire.
Sa main se cale de nouveau dans mon dos lorsqu'il me fait pénétrer dans son lieu à lui.
Il me pousse doucement et mes mains rencontrent bientôt le bois de son bureau.
Sa main remonte sur ma nuque.
"Que faites-vous... ?" dis-je, mal assurée.
Il caresse mon cou de ses doigts.
Une caresse légère qui remonte sous mes cheveux.
Et puis sa bouche... sur ma nuque.
Je frissonne.
Je veux m'esquiver mais sa main droite me maintient habilement le cou alors que la gauche vient de se poser sur mes hanches.
Je suis bloquée.
Sans un geste réellement physique pour me débattre je suis prise au piège des mains de cet homme.
Prise au piège de ses mains habiles et douces. Fermes... musclées.
Je n'en reviens pas de moi même car je ne parviens que faiblement à me refuser à ses caresses.
"Non, il ne faut pas, je suis une femme mariée..."
Ma voix me semble creuse, vide.
Sa bouche embrasse ma nuque, passe d'un côté à l'autre alors que du bout des doigts il me masse le haut du dos, la base du crâne... et ma hanche.
"Je sais que vous êtes mariée." susurre t-il à mon oreille. "Votre mari a une femme extraordinairement séduisante".
Je cherche à passer de côté mais sa main a anticipé mon geste et vient de remonter sur ma poitrine.
Il presse doucement mon sein.
Je sursaute.
Ho non... que fait-il !
Il masse doucement ma poitrine.
Je ferme les yeux, me mords la lèvre inférieure.
Son index passe sur le tissu léger de ma robe qui ne peut masquer la trahison de mon corps : mon téton s'est tendu.
Ma respiration se coupe, une boule dans la gorge.
Il palpe délicatement mes rondeurs qui se tendent, douloureuses d'envie.
"Non... non..." fais-je sans force.
Son autre main monte à son tour sur mes seins et il me caresse lentement.
Au lieu de le gifler mes mains se posent à plat sur son bureau et ma croupe se tend vers lui, indécente comme jamais je n'ai été.
Il dégrafe ma robe et mon petit soutien gorge, libérant ma poitrine.
Je pousse un soupir, surprise par ma réaction moi même.
Ses mains sont larges, douces, expertes.
Il joue de mes globes avec maestria et parvient à m'arracher un gémissement quand il tire délicatement mes pointes dressées.
Mon soutien gorge tombe sur le bureau et le faible bruit sonne le glas de ma résistance.
Sans un seul mot sa main passe entre mes jambes.
Je m'efforce de les maintenir serrées mais il force un peu et m'écarte les cuisses.
D'un geste incroyablement lent et précis, ses doigts frottent mon intimité jusqu'à m'humidifier.
Il retire alors ma culotte et la pose sur le bois de son grand bureau, à côté de mes balconnets. Il me dénude.
Elle est en boule, rose, la dentelle visiblement mouillée.
Je ferme les yeux, refusant de croire à ce que je suis en train de vivre, de lui autoriser.
Ses doigts frôlent mes grandes lèvres.
Je pousse un petit cri alors qu'il passe sur mon clitoris.
Au moyen de lentes pressions il s'attarde sur mon sexe en feu.
Je coule... trempée.
"C'est mal... arrêtez..." tente-je de dire alors qu'il entre un doigt en moi.
Jamais un autre homme que Marc ne m'a touché... et je m'abandonne au premier venu.
Mes mains se crispent sous la double sensation de culpabilité et celle du plaisir.
Il explore mes muqueuses.
Ma fleur s'ouvre sous ses gestes.
Il excite mon bonbon et je souffle un "hoo... non..." aussi faible que plein d'envies.
Ma robe se soulève sur mes hanches.
Le tissu retroussé il passe sa main sur mes fesses nues.
Mon sexe gonflé entre mes cuisses ne peut que lui être totalement visible, accessible.
Ho que j'ai honte.
Et je me cambre un peu plus lorsqu'il flatte mon abricot entrouvert.
"Vous êtes très appétissante. Une belle chatte".
Je rougis à ces mots osés que je n'ai jamais entendu.
Marc ne me murmure que des mots doux, d'amour.
Lorsque son patron se penche derrière moi et pose sa bouche sur mon sexe, je pousse un cri.
Il me lèche le mont de Vénus.
Je me tortille sans même m'en rendre compte.
Il me donne du plaisir à l'aide de sa langue.
Elle se fait large et gourmande ou bien étroite et intrusive.
J'halète et j'ai du mal à avaler ma salive, à reprendre mon souffle.
Ses mains de mâle sur mes fesses me font m'ouvrir pour permettre à son visage de se plaquer sur mon intimité.
Son muscle me tourmente comme jamais je n'ai été tourmentée.
Il titille mon clitoris et le prend entre ses lèvres pour l'aspirer.
Je gigote, mes seins ballottent, libres, mes fesses se trémoussent.
Je suis dans une position obscène.
Il me lape, je gémis.
Je dégouline... au bord de l'orgasme.
Il remonte contre moi.
Je panique lorsque je sens son sexe se coller sur ma cuisse.
"S'il vous plait..." murmure-je dans un souffle.
J'en viens à me demander si je n'ai pas fini ma phrase pour lui laisser une idée perverse de mon désir secret, enfouis.
Il me force.
Lentement.
Je me penche, incapable de résister à son glaive qu'il entre dans mon fourreau.
Mes pointes de seins raclent sur le bureau, faisant s'accroitre un peu plus mon excitation.
Je tente une dérobade qui n'a d'autre effet que de lui permettre de m'embrocher un peu plus profondément et m'arracher un petit cri.
Il a ses mains sur mes hanches.
Il me maintient.
Et me parcourt sans relâche, accélérant ma saillie.
Je réponds à ses assauts, irrésistiblement attirée par le plaisir qui inonde mon bas ventre.
J'ai fermé les yeux, des étoiles filantes passent devant moi.
Je gémis.
Il s'enfonce si loin que j'en ouvre la bouche dans un cri muet.
Mon vagin se contracte et l'orgasme me submerge d'un coup.
Une vague de jouissance qui semble ne pas vouloir arrêter de grossir, d'enfler, de déferler sur moi.
Elle m'emporte et l'univers disparait autour de moi.
Je suis encore abasourdi par le ravage de sensations qu'il vient de me prodiguer.
Telle une poupée, il me fait me mettre à genoux.
Je ne résiste pas, les jambes flageolantes, l'esprit embrumé.
Il caresse mon visage de sa verge.
J'ouvre les yeux et je me découvre dans une position des plus obscènes.
A genoux devant lui.
Ses cuisses ouvertes, il est assit sur son fauteuil et je suis presque sous le bureau.
Son gland rond passe sur ma joue, y déposant une trainée de cyprine, ultime témoin de mon infidélité s'il en est encore besoin.
Il a un sourire carnassier qui m'effraie autant qu'il me rend folle.
Il est à l'opposé de Marc, cru, vulgaire, jouisseur... macho...
Il appuie sur ma nuque.
Je sais que je ne vais pas résister longtemps à son désir de mettre son sexe dans ma bouche.
Lorsque l'on frappe à sa porte, le fauteuil de cuir roule et me projette dans l'ombre.
Mon dos cogne le fond de son bureau.
Sa verge ma gifle presque.
Je suis entre ses jambes, immobilisée.
Il appuie sur ma tête...
"Entrez" ordonne t-il.
Je m'affole.
La porte s'ouvre...
Le bout de son sexe force mes lèvres...
Ma bouche s'ouvre pour pousser un cri, un refus...
La voix me tétanise.
"Monsieur, vous ne sauriez pas où est ma femme ? Je la cherche et... je ne la trouve pas".
C'est Marc. Je me recule mais je suis coincée.
Totalement prise au piège.
Sa main puissante me maintient autour de son sexe.
Je viens de lui arracher un soupir en déglutissant, aspirant de fait sa tige qu'il fait coulisser plus loin contre ma joue, sur ma langue.
"Vous m'excuserez Marc mais je suis occupé" dit-il en m'impliquant un mouvement d'avant en arrière.
Son dard est plongé en moi, mes lèvres sont plissées autour de son membre viril au gout si particulier.
Il me faut quelques secondes pour me rendre compte qu'il est enduit de mon suc intime.
J'en ai un haut le cœur.
"Votre femme est restée dans votre bureau, je pense... vous allez bien la retrouver" poursuit-il.
"Très bien Monsieur".
"Là, vous voyez, je ne peux pas vous aider à la chercher, je me fais sucer par une prostituée... ce serait dommage de gâcher ce plaisir que je m'offre".
Je n'en crois pas mes oreilles.
Les larmes me montent aux yeux.
Et je pompe son sexe, de rage, de honte... envahit d'un plaisir pervers qui m'est inconnu.
Sa main ne me retient que faiblement.
Il n'en a pas besoin, je dévore son manche gluant et si gros qu'il m'en fait mal aux mâchoires.
"Voulez-vous en profiter ? Je pense que cette gourmande ne dirait pas non..."
Sa voix roule dans le bureau et l'écho de celle de mon mari... si faible en comparaison... si douce... hésitante
"Non... Je... Si ma femme... je vous laisse, pardonnez-moi Monsieur".
La porte claque.
Le fauteuil se recule.
Je pleure, tétant le bout rond de son sexe avec délice.
Il me regarde, relève une mèche de mes cheveux.
Sa main maintient mon crâne, ses doigts dans mes cheveux.
Je le vois se tendre, je sens son pieu de chair gonfler.
J'ouvre de grands yeux pour le supplier de me lâcher.
Jamais encore Marc ne m'a... éjaculé dans la bouche lors des quelques fellations que j'ai pu lui faire.
L'homme ne m'en laisse pas le choix.
Il inonde ma bouche.
Son jus, un sirop épais, vient tapisser ma gorge, sinuer sous ma langue.
J'ai l'impression d'étouffer.
Les giclées se succèdent.
Il me remplit, il se vide.
Ma main à la base de son sexe, mon visage va et vient sur sa tige roide.
J'avale alors une première gorgée.
Mes yeux sont clos, comme un dernier refus de croire à ce que je fais.
Moi, la femme sérieuse, fidèle, mariée... suis-je la trainée qu'il vient de décrire ?
Un feu ardent me consume.
Je l'apaise en buvant le foutre qui coule dans ma gorge.
Un goût fort, mélange de liqueur masculine et féminine.
Je manque de tout recracher, de... régurgiter.
Mais il me maintient.
Et bientôt ma bouche est vide.
Lorsqu'il m'autorise à me relever, je suis à demi-nue, les cheveux en bataille.
La toison de mon sexe est collante de mes excrétions orgasmiques.
J'essuie mes lèvres dont le rouge à lèvre à totalement disparu, ma bouche est pâteuse, endolorie.
Je pose alors mes yeux sur le bureau.
Y trône mon ensemble de dessous.
Ho non ! Marc a du les voir !
Son directeur surprend mon regard.
"Il vaut mieux que vous ne les remettiez pas, ainsi il ne vous découvrira pas avec" fait-il en les empochant.
Je ne dis rien et je me rhabille vivement.
Je sors de son bureau, les jambes fébriles, pour m'arrêter aux toilettes.
Mon visage dans ce miroir est accusateur.
Tout mon corps respire l'infidélité.
Je réajuste ma tenue, coiffe mes cheveux.
Ma poitrine nue sous le chemisier trahit mon désir encore récent.
Mes seins sont gonflés.
Mes mamelons douloureux... j'ai encore envie... odieusement.
Je les cache sous ma petite veste.
Ma jupe se fait plus nette mais chaque pas me rappelle que mon sexe a été défloré d'une bien auguste façon.
Mes cuisses glissent l'une contre l'autre, une sensation d'humidité constamment centrée sur mon bas ventre encore entrouvert.
Je regagne Marc, j'esquisse un petit sourire.
"Je me suis perdue et puis j'ai fait une pause aux toilettes".
Je lui mens, il ne dit rien.
Je tourne mon regard pour ne pas le voir.
Lorsque son patron arrive à son tour, rayonnant, je croise quelques regards qui passent de lui à moi.
"On peut rentrer s'il te plait ?"
Je me sens si... mal d'avoir pris autant de plaisir.
Il prend congé des personnes qui l'entourent.
Le sous directeur, un homme à l'allure vulgaire me salue d'un baiser sur la joue.
"Votre visite s'est bien passée je pense. Vous êtes la bienvenue..." me murmure t-il plein de sous-entendus.
Je reste silencieuse.
Lorsque son patron nous salue, respectueusement.
Son clin d'œil me fait rougir de la tête aux pieds.
A sa pochette de costume il porte ma petite culotte...
A suivre...