Elle... Il... en duo

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Cela fait quelques semaines que le patron de mon mari et moi entretenons une relation extra conjugale.
Depuis ce jour où il m'a possédé devant Marc, où ce dernier a du dormir sur un matelas à côté du lit, je ne l'ai pas revu.
Marc continue de lui obéir, et lorsqu'il me fait l'amour il... se... vide sur mon ventre mais plus en moi.
A chaque fois je pense à mon amant, à sa façon de me prendre, d'être osé, à ses mots crus, orduriers et je me surprends à espérer son retour.
Un pincement dans mon cœur a faillit me faire pleurer.
Sans nouvelles j'ai cru qu'il allait ne plus jamais revenir, après tout, il avait eu ce qu'il voulait, la femme de son employé.
Je n'étais qu'un jouet pour lui.
La tristesse m'a envahit.
Cruelle, elle témoignait de mon attachement, de mon envie de cet homme si différent de mon époux.
Et puis il a frappé à la porte.
J'étais en train de chercher quelque chose sur Internet sans parvenir à le trouver.
Comment créer une adresse mail... Habituellement c'est Céline qui s'en charge mais là elle travaille et je suis perdue.
J'ouvre la porte, je rougis instantanément.
Mon amant me prend dans ses bras.
J'ai envie de crier de joie.
Nos lèvres se soudent.
Je l'embrasse plus que de raison.
Lorsque nous nous délaçons, je prends conscience que je me comporte comme une mauvaise épouse en me donnant ainsi à un autre que mon mari.
Mon regard se pose un bref instant sur son entrejambe.
Dans son pantalon il m'a semblé sentir son érection.
Mes joues s'empourprent de carmin alors que je m'aperçois de la bosse de belle taille qui se dessine et m'apparait nettement visible.
Je détourne rapidement les yeux, ne voulant pas qu'il me voit l'observer à cet endroit là.
Nous échangeons quelques paroles.
Je suis satisfaite qu'il change de sujet.
Il se propose de m'aider pour mon souci d'informatique.
Sa main passe autour de mes hanches et je me retrouve sur ses genoux.
"Non... pas assise comme ça. C'est inconvenant" dis-je alors qu'il commence à utiliser mon clavier.
"Tu as raison, changeons de position" fait-il de sa voix calme.
Il me place alors dans une posture totalement impudique.
Mes cuisses sur ses jambes, je me retrouve écartée alors qu'il écarte ses genoux.
Mon dos collé à son torse, je me redresse pour me retrouver presque en équilibre, simplement retenue par mes cuisses.
Ma robe légère, estivale, remonte et je sens l'air venir caresser ma culotte de dentelle.
Sa main ne tarde pas à venir se poser dans l'intérieur de ma cuisse.
Il caresse ma peau.
Je redoutais ce moment car je savais que je n'allais pas pouvoir lui dire non.
Lorsque ses doigts viennent se poser sur la dentelle je pousse un petit cri.
Il frotte doucement mon intimité, ma toison semble crisser sous ses manigances et mes lèvres s'humidifient.
Je me concentre sur l'écran.
Il ne perd pas le fil de son idée et en quelques clics il me crée une adresse électronique.
"Quel mot de passe veux-tu ?" me demande t-il.
Son index et son majeur appuient sur le haut de ma fente.
Mon clitoris, gonflé, subit avec délice cette pression érotique.
Un soupir m'échappe.
Je suis incapable de lui répondre.
"On va mettre "bellesalope" tu t'en souviendras" sourit-il en inscrivant mon mot de passe, un mot si cru que je me mords la lèvre inférieure pour ne pas hurler.
Ses doigts puis sa main se glissent dans mon dessous.
Ecarté, le tissu ne me protège plus.
Il caresse, il flatte, il glisse sur mon abricot qui s'ouvre sous sa masturbation lente et continue.
Je ferme les yeux, je me cambre sous l'intrusion de son doigt en moi.
Je respire plus rapidement.
Je sens ses doigts m'écarter et me pénétrer.
Un gémissement plus long et je me retrouve les épaules sur son torse, le compas de mes jambes grand ouvert et mes mains sur ses hanches.
Tendue, électrisée par ses attouchements, je me livre à ses mains.
Il palpe mes seins tendus, mes tétons outrageusement dressés.
Ma robe s'ouvre, le tissu me fuit.
Il me déshabille avec dextérité et bientôt je ne suis plus qu'en culotte et en soutien gorge, sur ses genoux.
Lorsqu'il baisse mes balconnets, dénudant ainsi mes seins, je manque de crier tellement ma poitrine est tendue à m'en faire mal.
Sa main droite me caresse avec maestria, il me triture les tétines, les pince plus durement qu'il ne l'a jamais fait.
Et je me tortille sous ses gestes, incroyablement excitée.
Mes seins sont sensibles. Le traitement qu'il leur fait subir me fait mouiller en abondance.
Tirés, allongés, pincés, mes pointes sont sollicitées de façon rude.
Pétris, malaxés, pressés, mes mamelles sont une source de plaisir si fort que j'ondule sous ses gestes en lâchant de petits halètement continues.
Pendant ce temps son index fouille mon sexe, il flirte avec mes nymphes intérieures.
Ma culotte se baisse et fini sur mes chevilles, tendue elle m'empêche d'écarter mes pieds comme une entrave de coton.
Deux doigts s'enfoncent en moi.
Je suis étroite et il me fait gémir en me caressant de l'intérieur.
Soudain il me penche vers l'avant.
Je me retrouve mains sur le bureau.
J'entends sa braguette s'ouvrir.
"Non... pas comme ça... pas sur le bureau..." fais-je faiblement.
Mais je sais que je ne veux pas qu'il cesse.
Sa main me force à me baisser encore plus.
Cambrée, l'arrière train relevé, il me caresse doucement.
Il peut voir mes fesses, ma vulve... je suis totalement vulnérable à son regard.
Ses mains fermes se posent sur mes hanches et il m'attire... le fauteuil roule et c'est lui qui vient vers moi.
Son gland se pose sur ma fissure trempée.
Je le sens, dur, gros... si large.
J'ai un moment d'appréhension.
Le fauteuil repart en arrière et revient plus vite.
Son vit me force... d'un coup... comme si l'on m'enfonçait un concombre dans le sexe.
Je crie.
Son gros sexe va et vient lentement en moi.
Je m'habitue doucement à la largeur qui me donne l'impression à chaque fois d'être déflorée pour la première fois.
Mon visage, d'un masque grimaçant, se transforme en reflet de plaisir.
Bouche ouverte je gémis, je soupire alors que je me fais prendre d'une façon inédite.
Je vois l'écran qui scintille.
"belle salope" ... oui... ce mot de passe me va bien tout à coup.
Il me change de position.
Telle une poupée de chiffon entre ses mains je me laisse faire.
Je suis penchée vers le sol.
Les mains posées sur le parquet, les fesses en l'air, ma fente outragée par l'inclinaison qu'il donne à mon corps alors que son sexe... hoooo son sexe... sa grosse verge comme celle d'un âne... est plantée dans mon vagin.
Je dégouline de cyprine, gémissante, en sueur.
Les roulements du fauteuil accompagnent mes râles.
Il s'enfonce en moi avec une lenteur folle.
Lorsque le fauteuil repart en arrière je reprend mon souffle pour ensuite pousser un gémissement lorsqu'il avance et m'embroche plus profondément dans cette position déroutante.
Je perds pied, il me possède un peu plus à chaque fois...
Mon corps... mon esprit... tout lui appartient de plus en plus.
Lorsque il pose sa main sur le haut de ma fente, qu'il caresse ma perle gonflée, je crie.
Si sensible, mon clitoris est titillé et il m'arrache des râles qui ne font que trahir mon plaisir.
L'orgasme me submerge et emporte toute barrière de moralité avec lui.
Je me tortille et c'est dans une sorte de flou assourdissant que je suis vaincu, que je m'abandonne à cet homme, mon amant... mon... humm.
Il sort de mon antre féminine.
Je reprend ma respiration, à 4 pattes, immobile.
Mes seins se balancent, tétines tendues, gonflés, douloureux de désirs.
Abasourdie de jouissance, incapable de faire un seul geste.
Mon vagin inondé, ma vulve écartée.
Je relève le visage ca je l'entends parler.
Devant moi, ma fille !
Je deviens écarlate.
Je voudrais disparaitre, me cacher, mais je suis exténuée par le plaisir que je viens de prendre et ne peux faire autre chose que rougir et tenter de reprendre mon souffle.
Elle ne devait pas rentrer de son travail...
Elle me surprend... encore une fois... ho non...
Son sourire en dit long sur ce qu'elle pense de moi.
Elle se mord la lèvre en sillant des paupières vers mon étalon.
"Et moi ? Je n'ai pas droit ?" dit-elle d'un air ingénu.
Il lui flatte la croupe.
Je ferme les yeux.
"Je m'occupe de te mère d'abord".
Sa voix me flagelle comme un fouet.
"Avance et monte" m'ordonne t-il.
J'ai un instant d'hésitation.
Et puis... couverte de honte... j'avance.
"C'est bien. Comme une chienne".
Son commentaire me fait mal... et pourtant il fait palpiter mon sexe.
Céline lui murmure un "Moi aussi je peux être une vilaine petite chienne si vous voulez".
Je n'en crois pas mes oreilles.
Je continue d'avancer, sous leurs regards.
Mes genoux frottent sur le carrelage du couloir, mes mains avancent l'une après l'autre, mes seins balottent.
"Monte l'escalier".
J'obéis, les larmes aux yeux.
Derrière moi je leur offre une vue imprenable sur mes fesses, mes nymphes rougies et ouvertes, ma toison trempée...
Il me fait entrer dans la salle de bain.
Je lui obéis lorsqu'il me demande de me relever.
Je transpire de désirs... pervers...
Il demande un bas à ma fille et revient me nouer les poignets.
Debout dans la douche, il m'attache les mains, bras en l'air, à la fixation du pommeau de douche.
Il caresse ma poitrine, mon ventre, ma fente.
Je réagis aussitôt, oubliant toute dignité et en avançant mon sexe vers ses doigts.
Il flirte avec mes lèvres amollies.
Je me tends vers ses mains, liée au mur, je m'offre et me frotte à ses doigts.
Puis il s'empare de la bombe à raser de Marc.
Je crois comprendre.
"Non... pas ça s'il vous plait".
La mousse vient enduire tout mon triangle doré.
"Il va... s'en rendre compte... comment vais-je lui expliquer" murmure-je horrifiée.
Mon étalon me sourit.
"Une soumise se doit d'être lisse. Tu lui diras la vérité. Il comprendra."
Sa voix est grave, assurée.
Je manque de m'étrangler lorsqu'il me rase de façon lente.
La lame glisse, retire la crème blanche et mes poils pubiens.
Délicatement il passe sur le pourtour de mes lèvres.
Ses doigts jouent sur moi.
Je sens le feu monter dans mon corps, le long de ma colonne vertébrale.
Lorsqu'il passe un léger jet d'eau sur mon entrecuisse, je suis lisse...
Totalement glabre, lisse comme une... soumise.
J'ai honte.
Et terriblement chaud au creux des jambes.
Il pose sa bouche sur la mienne.
Il m'embrasse.
C'est si bon.
Je m'y abandonne.
Sa main pétris mon sein.
Il malaxe mon téton et m'arrache un gémissement.
C'est alors que je sens la morsure sur mon bout tendu.
Une pince à linge me mord la tétine.
Je crie.
La douleur me tétanise.
Il masse mon second sein.
"Ho... pitié" fais-je faiblement.
Mais une autre pince vient me faire hurler.
Mes seins sont meurtris, écrasés par des objets inflexibles.
Une irradiation constante qui me fait mal.
"Tu vas voir... attend un peu, tu vas prendre ton pied ma salope".
Il sourit, sur de lui.
Il s'éloigne, me laisse seule.
Je l'entends... il est avec ma fille...
"Et dire que j'avais un copain black à qui j'avais dit non car elle était trop grosse... humm la votre..." l'entends je dire avant de ne plus entendre que des bruits de succion, de soupirs.
C'est un supplice.
Attachée dans la douche je me tortille sous l'effet des pinces.
Chaque mouvement me vrille les tétons.
Et, petit à petit, la douleur devient différente... source de plaisir.
Je me surprends à frotter mes cuisses l'une à l'autre pour calmer... faussement... mon désir grandissant.
Je perds la notion du temps.
Mon sexe s'inonde alors qu'un orgasme étrange me parcourt.
"Ainsi je vois que cela te plait ma salope".
Il est revenu.
J'ouvre les yeux.
Je transpire.
Mes pointes de seins sont violettes d'être comprimées.
Il pose ses mains sur mes hanches et me tourne.
Il appuie sur mes fesses, mon sexe vient se poser sur le robinet d'argent.
Le métal sur ma peau douce me fait pousser un petit gémissement.
Il ne m'ordonne rien, seuls ses gestes m'y invitent.
Incroyable... jamais encore... non... pourtant l'envie est telle qu'elle me prive de toute inhibition.
Et je me frotte au robinet... comme une vulgaire trainée... débauchée...
J'assouvis mon désir avec un objet, pour la première fois de ma vie.
Je tressaillis, ma fente écartée, malmenée, mon jus s'écoule et je geins sans m'arrêter.
Il me regarde me tortiller, frotter mon abricot, les mains nouées en l'air, sur le métal de plus en plus chaud et gluant.
Je jouis... longuement... devant lui... mes jambes ouvertes pour me permettre de me masturber.
Que suis je devenu ?
Il retire les pinces et ma jouissance me terrasse une nouvelle fois.
Mes mains sont détachées.
Il me porte, dans ses bras, je m'effondre.
En larmes.
J'ai chaud, j'ai froid...
Il s'allonge a côté de moi et me caline... dans notre chambre.
Je sanglote en me laissant aller.
Mes doigts jouent avec la pilosité de son torse.
"Tu sais que tu es vraiment une belle petite salope comme j'aime" me dit-il en embrassant mon front.
Je me coule contre lui, un sourire m'éclaire le visage.
Je suis sa salope... ho oui...
Le sommeil me gagne presque instantanément, fourbue, exténuée... heureuse.

Lorsque je m'éveille, le soir est tombé.
La maison est vide.
Je file sous la douche et découvre... mon sexe... de soumise.
Ho... j'effleure mes lèvres nues.
Hummm... c'est doux... je glisse un doigt dans ma fente encore entrouverte de mes coupables activités.
Instantanément les paroles de mon... de monsieur, les actes obscènes me reviennent.
J'entame une lente caresse.
La clé dans la porte...
"Chérie ? C'est moi".
Ho non !
Comment vais-je expliquer cela à Marc ?
Je suis trempée.

A suivre...

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Je pousse la porte entrouverte de la chambre de ma fille en prenant une respiration et en me faisant un masque imperturbable sur le visage.
Ma poitrine me fait mal tellement je suis pleine d'envies.
Je l'imagine déjà en train de détaler les escaliers et... mes mains... ensuite... que je vais autoriser à me caresser.
Mon sexe est humide, trempé, ruisselant.
Je sais que mes doigts vont aller et venir sans effort sur moi, une fois que j'aurais chassé ce jeune amant.
Je passe la porte en conquérante.

L'homme est allongé dans le lit.
Entièrement nu.
Les jambes entrouvertes je suis hypnotisée par son entrejambe, sans même remarquer autre chose.
Sur sa cuisse repose son sexe, un gros membre qui me fait penser à une saucisse de forte dimension.
Deux grosses bourses glabres, lisses donnent à son allure une impression de virilité puissante.
Ses jambes sont musclées et je suis sur son ventre le chemin brun de ses poils qui remontent jusqu'à son nombril, puis son torse.
Je deviens alors écarlate.
Le patron de Marc.
Je manque de m'évanouir.
Non... ce n'est pas possible !
Pas lui !
Pas avec Céline !
Il me sourit.
Sa voix grave et chaleureuse me tétanise.
"Bonjour Béatrice, j'étais un peu en avance et j'ai fait la connaissance de votre fille."
Ma voix s'étrangle, je voudrais dire quelque chose mais je ne peux pas.
"Je vois qu'elle tient beaucoup de vous".
Les larmes me montent aux yeux.
"Approchez".
Il a le regard sur mon chemisier entrouvert plus que de raison.
Jamais je n'aurais du déboutonner aussi bas.
Mon pied s'avance.
Il tapote sur le matelas pour que je vienne m'asseoir a côté de lui.
Je me sens sotte, ridicule et tellement honteuse.
Comme dans du coton je me pose, soulagée de ne pas devoir rester debout.
Sa main se pose sur ma cuisse.
Je sursaute.
Il me caresse.
De son autre main il s'empare de mon chemisier et le déboutonne entièrement.
Je sanglote.
"Elle a ces mêmes seins envoutants... profonds sans être gros..."
Ses paroles crues me blessent et me cinglent comme un fouet.
"Et sa bouche, comme la votre... toute aussi accueillante..."
Il effleure mes lèvres, déposant une larme salée sur moi.
Sa main glisse sous ma jupe, vient se poser sur ma culotte mauve.
Il me palpe l'entrejambe.
Mes cuisses s'écartent sans que j'esquisse un seul mouvement de refus.
Il sait que je ne peux pas lui résister.
"Elle a ouvert ses cuisses aussi vite... et elle mouillait tout autant que vous..."
Je me mords la lèvre inférieure pour ne pas gémir et crier.
Ce... salaud... me masturbe avec une dextérité d'orfèvre.
Il fait glisser ma culotte sur mes cuisses.
Mon chemisier totalement ouvert.
A l'aide de gestes fermes je me retrouve assis sur lui.
Mes seins bientôt à l'air, la jupe disparue.
j'ai l'impression de ne plus m'appartenir.
Au milieu des posters et des bibelots de ma grande fille, sur son lit...
Son amant...
Le mien...
Me masse la fente de son sexe.
Je suis nue sur ses genoux, face à lui.
Son gros gland lisse et luisant écarte mes lèvres.
"Vous avez les lèvres beaucoup plus molles... c'est un régal..."
Je pousse un petit cri alors que son bout rond m'appuie sur le clitoris.
Il m'empale soudain.
J'ouvre la bouche... exhalant un "hhhaaaaan !" rauque.
Son gros engin me force.
"Votre fille n'est pas moins étroite que vous... elle a du en voir passer quelques unes."
Je suis choquée, je voudrais le gifler mais mes mains se posent sur son torse et je me cambre pour m'abandonner à sa puissante percée.
Son manche progresse à force mouvements de bassin.
Il a ses mains sur mes hanches et m'enfourche.
Mon vagin envahit, je coule comme une fontaine.
Son soc me chavire et me fait me tordre de plaisir.
Les ondulations que je ne peux réprimer me font me fouiller sur son pal; son gros pieu brulant qui me donne l'impression d'être pleine.
Je pousse des petits gémissements alors que mon plaisir monte.
Il pince un de mes seins.
Je crie sous la douleur.
Lorsqu'il fait rouler mon téton je dégouline, rejetant mon visage en arrière.
La douleur... du plaisir...
Je feule comme une lionne en chaleur.
L'orgasme me ravage.
Mon visage de gauche à droite comme une possédée, le sexe dilaté par son membre trop gros, je ne me contrôle plus... je jouis... longuement... sans retenue, souillant mes cuisses et ses bourses lisses.
Il me soulève et me dépose sur le lit.
Ma tête sur l'oreiller.
Il saisit mes cheveux et m'attire sur sa cuisse.
Sa hampe est trempée de ma cyprine.
"Votre fille a commencé par ça..."
Je le regarde effrayée.
Il me caresse le visage de sa verge sale.
"C'est une vraie goulue..."
Je serre les dents mais le gland écarte mes lèvres.
Je cède... il m'envahit.
Un gout de... sexe... mon sexe.
Je déglutis, suçant son membre.
Il est si chaud, dans ma bouche, mes lèvres se plissent et il me baise doucement les lèvres.
"Elle m'a sucée avec une ferveur que je n'avais connu qu'avec quelques grosses cochonnes..."
Je suis outrée par le discours qu'il me tient et pourtant mon bas ventre n'y est pas insensible.
"Votre fille est une vraie salope. Comme toi".
Je ferme les yeux.
Son sexe en bouche je ne peux dire un seul mot.
Un "hummm" m'échappe.
Ma bouche le tête, l'aspire.
Je lui octroie une fellation telle que je ne pense pas encore en avoir fait une fois de telle dans ma vie.
Il maintient soudain mon visage et me fourre sa verge dans la bouche.
Coincée dans l'oreiller je subis les assauts de son gros sexe jusqu'au fond de ma gorge.
Je bave, je salive, à la limite de l'écœurement, profondément pénétrée.
Il m'impose son rythme, ses vas et vient.
Ma mâchoire est douloureuse, ma langue écrasée, ma gorge enfoncée.
Je grimace et je couine...
D'une main il me fouille le sexe.
Mon vagin semble insatiable car je mouille instantanément.
A cheval sur moi, sa grosse... b.... dans ma bouche, il me branle tout en me forçant à le sucer.
Mes gémissements de plaisir sont étouffés par son pilon monstrueux.
II se retire et je respire avec peine.
J'ouvre le yeux sur son sourire.
Il me retourne et me place la croupe en l'air.
Je me laisse faire, totalement offerte à lui, sur le lit de Céline.
Son sexe force sans effort mon vagin outragé et lubrifié.
Son pylône me bourre régulièrement.
Et...
Ses mains...
Caressent mes fesses, les ouvrent.
"Ho non... non" parviens je à murmurer.
Son pouce caresse mon petit trou.
"Tu as entendu ta fille crier son plaisir tout à l'heure ?"
Je n'ose répondre, alors que son doigts m'assouplis la rose brune, encore vierge.
"C'était par là que je la prenais."
Je mords l'oreiller, incrédule, incapable d'admettre une telle obscénité.
Il enfonce son doigt tout en me pilonnant la chatte.
La douleur de cette intrusion contre nature me fait me cambrer et son gros sexe cogne au fond de mon vagin.
Il enchaine les coups de reins.
Je suis prise comme une vulgaire catin.
Je refuse ce que mon corps accepte.
Et peu a peu... des sensations inédites... intenses... germent de son pouce planté dans mon anneau étroit.
Je le sens en moi qui s'agite.
Je lâche un souffle plus long que je sais annonciateur d'un nouvel orgasme.
Surprise par les plaisirs impolis de cette intromission, je gémis et me tends.
Mon corps s'emballe, s'échauffe, se tortille.
Pour la seconde fois je jouis sous les assauts de mon amant.
Pour la seconde fois ma bouche se retrouve de nouveau envahit... et il se vide dans ma gorge.
Son foutre inonde ma gorge alors qu'il râle.
"Vous êtes deux belles salopes... mais je crois que toi... tu me rend dingue" dit-il en déchargeant son sperme en moi.
Je l'avale.
Son jus épais coule dans ma gorge, je déglutis.
J'aime cela... depuis peu... mais je ne peux pas le nier.
Alors j'aspire son miel épais et me délecte de ce gout dans ma gorge.

Je l'observe gagner la douche.
Je suis affalée dans le lit de Céline, à l'endroit même où cet homme vient de nous... prendre... l'une après l'autre.
La tête me tourne.
Mon corps est souillé et encore agité de soubresauts de mes deux orgasmes successifs.
Je me lève et refais son lit.
Cela fait si longtemps que je fais plus ce geste machinal que j'en tire une nostalgie qui me fait venir les larmes aux yeux.
Elle a grandit et c'est une femme.
Et lui...
Ho lui...
Si... viril... puissant... avec une si grosse... hummm...
Le bruit de la douche...
Je referme la porte de la chambre et ouvre celle de la salle de bain.

A suivre...

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[...]perle4

Je rentre plus tôt que prévu à la maison, les bras chargés de paquets de courses.
Une boule de tiède chaleur au ventre, issue du fait que je rentre enfin dans ma maison avec des envies sensuelles et que j'ai remarqué le regard de quelques hommes sur moi pendant que je faisais les courses.
Visiblement du haut de mes 40 ans, mes cheveux blonds, mes yeux bleus, ma poitrine petite mais ferme et mon déhanché qui met en valeur mon 38 bombé ne laisse pas encore indifférent.
Depuis quelques semaines je dois avouer que j'ai l'impression de revivre, d'être transformée.
Et ce depuis mon infidélité.
Je tente de chasser ces idées immorales, un sourire amusé aux lèvres.
Soudain un bruit régulier attire mon attention.
Un claquement.
Il provient de l'étage ce qui est étrange car je devrais être seule cet après-midi.
J'ai même prévue de me connecter de nouveau sur ce site où j'ai échanger des mots très... érotiques avec un homme.
C'est pour cela que j'ai réussi à écourter ma journée de travail.
Marc est en déplacement, Céline est partie travaillée et doit dormir chez une amie.
Alors d'où provient de bruit ?
J'ai soudain peur.
Et s'il s'agissait d'un voleur ?
Je saisis le téléphone.
Je suis prête à composer le numéro de la police lorsqu'un murmure étouffé me fait raccrocher.
Je ne rêve pas, il me semble entendre des gémissements.
Et puis un cri... un autre gémissement qui ne laisse pas de doute sur l'origine de ce son : le plaisir.
Je reconnais la voix de ma fille.
Comment ?
Pas toute seule j'espère !
Un grondement sourd me fait immédiatement penser qu'un homme est avec elle.
Mais qui ?
Sa voiture n'est pas devant la maison.
Elle devrait être partie.
J'ouvre la porte du garage, elle est encore là.
Elle pousse un " Haaaaaa ouii !" qui me fait un drôle d'effet.
Je n'ai encore jamais imaginée, ni entendue, ma fille dans une telle situation.
" Là ! Oh oui là ! Ha oui ! Encore... Encore ! Haaa ouiiiii c'est bon ! haaaaann !".
Elle sait que je ne suis pas là et ne se retient pas.
J'hésite entre le dégout de l'entendre et le ravissement de la savoir comblée par son petit ami.
A 21 ans, je sais bien qu'elle a déjà eu des amants, mais aucun n'est jamais venu ici, chez nous.
Celui-ci parait doué.
Je dois donc me réjouir pour elle.
Mais j'en suis extrêmement gênée.
Je pense faire un tour dehors et je me ravise, un peu émoustillée par ce que j'entends.
Elle gémit longuement.
Je suis attentive, une attention déplacée et je me fais l'impression d'une voyeuse.
Ma main est venue se poser entre mes cuisses.
Je la retire vivement.
Mais enfin ! Je suis devenue vraiment fan de sexe depuis quelques temps ! Il faut que je me calme !
Son "Ho non... pas... pas là... pas par là..." me fait un effet incroyable.
J'ai envie de monter l'arracher aux griffes de cet homme et lorsqu'elle soupir de plaisir, je fonds de l'entendre heureuse.
Mes doigts sont sur ma culotte.
J'ai honte de moi.
"Ha ! Oui ! haaaa ! hummmmm".
Je tente de ne pas imaginer et mes yeux se ferment.
Je suis à sa place dans mes pensées salaces, essayant de ne pas imaginer le pourquoi de ce "non", de cet endroit qu'elle ne voulait pas, et qui se transforma en une acceptation pleine et entière.
Elle geint par petites saccades puis elle râle... je devine un orgasme violent et je l'entends rire, son petit rire cristallin.
Puis les soupirs s'estompent, les coups de lit sur le mur aussi.
Je souris alors que je l'entends descendre précipitamment l'escalier en grommelant qu'elle est en retard.
Elle attrape son sac, et m'aperçoit.
Les cheveux ébouriffés, le chemiser encore à moitié boutonné, elle s'immobilise aussitôt, devient écarlate.
Elle veut bredouiller une excuse mais de geste autoritaire de la maman concernée je lui indique l'heure sans un mot.
Elle tourne les talons silencieusement et ouvre la porte du garage, démarre sa voiture et me laisse dans la maison avec son petit ami encore dans sa chambre.
J'ai joué la vilaine et dans le même temps je suis content qu'elle ait un amant qui lui fasse du bien.
Il est bien de savoir qu'elle dispose de ... mieux que moi avec son père.
Je tourne en rond, hésitante sur la conduite à tenir.
Son petit ami est encore à l'étage et je ne sais pas si je dois rester chez moi ou non.
Je découvre alors que mon bas ventre s'est humidifié bien malgré moi.
Une idée fugace, terriblement sensuelle et osée me traverse l'esprit.
A quoi ressemble t-il, ce jeune étalon visiblement adroit ?
Hoo.... je me mords la joue intérieure.
Comment puis-je avoir de si impures pensées !?
J'ai chaud.
Je déboutonne le bouton du haut de mon chemisier.
Mes seins sont tendus.
Des pointes fières déforment le tissu.
Je tremble.
Après tout, je suis chez moi !
Je gravis donc les marches de l'escalier une à une.
Lentement je cherche à me donner une contenance et une rigidité toute mature pour affronter ce jeune homme.
Je l'imagine déjà rougir en me voyant et ne sachant plus où se mettre.
Sera t-il vêtu ?
J'en ai les pommettes roses d'un plaisir coquin dont je ne me serais jamais cru capable.
Mon entrejambe est en feu.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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