[...]
Cela fait quelques semaines que le patron de mon mari et moi entretenons une relation extra conjugale.
Depuis ce jour où il m'a possédé devant Marc, où ce dernier a du dormir sur un matelas à côté du lit, je ne l'ai pas revu.
Marc continue de lui obéir, et lorsqu'il me fait l'amour il... se... vide sur mon ventre mais plus en moi.
A chaque fois je pense à mon amant, à sa façon de me prendre, d'être osé, à ses mots crus, orduriers et je me surprends à espérer son retour.
Un pincement dans mon cœur a faillit me faire pleurer.
Sans nouvelles j'ai cru qu'il allait ne plus jamais revenir, après tout, il avait eu ce qu'il voulait, la femme de son employé.
Je n'étais qu'un jouet pour lui.
La tristesse m'a envahit.
Cruelle, elle témoignait de mon attachement, de mon envie de cet homme si différent de mon époux.
Et puis il a frappé à la porte.
J'étais en train de chercher quelque chose sur Internet sans parvenir à le trouver.
Comment créer une adresse mail... Habituellement c'est Céline qui s'en charge mais là elle travaille et je suis perdue.
J'ouvre la porte, je rougis instantanément.
Mon amant me prend dans ses bras.
J'ai envie de crier de joie.
Nos lèvres se soudent.
Je l'embrasse plus que de raison.
Lorsque nous nous délaçons, je prends conscience que je me comporte comme une mauvaise épouse en me donnant ainsi à un autre que mon mari.
Mon regard se pose un bref instant sur son entrejambe.
Dans son pantalon il m'a semblé sentir son érection.
Mes joues s'empourprent de carmin alors que je m'aperçois de la bosse de belle taille qui se dessine et m'apparait nettement visible.
Je détourne rapidement les yeux, ne voulant pas qu'il me voit l'observer à cet endroit là.
Nous échangeons quelques paroles.
Je suis satisfaite qu'il change de sujet.
Il se propose de m'aider pour mon souci d'informatique.
Sa main passe autour de mes hanches et je me retrouve sur ses genoux.
"Non... pas assise comme ça. C'est inconvenant" dis-je alors qu'il commence à utiliser mon clavier.
"Tu as raison, changeons de position" fait-il de sa voix calme.
Il me place alors dans une posture totalement impudique.
Mes cuisses sur ses jambes, je me retrouve écartée alors qu'il écarte ses genoux.
Mon dos collé à son torse, je me redresse pour me retrouver presque en équilibre, simplement retenue par mes cuisses.
Ma robe légère, estivale, remonte et je sens l'air venir caresser ma culotte de dentelle.
Sa main ne tarde pas à venir se poser dans l'intérieur de ma cuisse.
Il caresse ma peau.
Je redoutais ce moment car je savais que je n'allais pas pouvoir lui dire non.
Lorsque ses doigts viennent se poser sur la dentelle je pousse un petit cri.
Il frotte doucement mon intimité, ma toison semble crisser sous ses manigances et mes lèvres s'humidifient.
Je me concentre sur l'écran.
Il ne perd pas le fil de son idée et en quelques clics il me crée une adresse électronique.
"Quel mot de passe veux-tu ?" me demande t-il.
Son index et son majeur appuient sur le haut de ma fente.
Mon clitoris, gonflé, subit avec délice cette pression érotique.
Un soupir m'échappe.
Je suis incapable de lui répondre.
"On va mettre "bellesalope" tu t'en souviendras" sourit-il en inscrivant mon mot de passe, un mot si cru que je me mords la lèvre inférieure pour ne pas
hurler.
Ses doigts puis sa main se glissent dans mon dessous.
Ecarté, le tissu ne me protège plus.
Il caresse, il flatte, il glisse sur mon abricot qui s'ouvre sous sa masturbation lente et continue.
Je ferme les yeux, je me cambre sous l'intrusion de son doigt en moi.
Je respire plus rapidement.
Je sens ses doigts m'écarter et me pénétrer.
Un gémissement plus long et je me retrouve les épaules sur son torse, le compas de mes jambes grand ouvert et mes mains sur ses hanches.
Tendue, électrisée par ses attouchements, je me livre à ses mains.
Il palpe mes seins tendus, mes tétons outrageusement dressés.
Ma robe s'ouvre, le tissu me fuit.
Il me déshabille avec dextérité et bientôt je ne suis plus qu'en culotte et en soutien gorge, sur ses genoux.
Lorsqu'il baisse mes balconnets, dénudant ainsi mes seins, je manque de crier tellement ma poitrine est tendue à m'en faire mal.
Sa main droite me caresse avec maestria, il me triture les tétines, les pince plus durement qu'il ne l'a jamais fait.
Et je me tortille sous ses gestes, incroyablement excitée.
Mes seins sont sensibles. Le traitement qu'il leur fait subir me fait mouiller en abondance.
Tirés, allongés, pincés, mes pointes sont sollicitées de façon rude.
Pétris, malaxés, pressés, mes mamelles sont une source de plaisir si fort que j'ondule sous ses gestes en lâchant de petits halètement continues.
Pendant ce temps son index fouille mon sexe, il flirte avec mes nymphes intérieures.
Ma culotte se baisse et fini sur mes chevilles, tendue elle m'empêche d'écarter mes pieds comme une entrave de coton.
Deux doigts s'enfoncent en moi.
Je suis étroite et il me fait gémir en me caressant de l'intérieur.
Soudain il me penche vers l'avant.
Je me retrouve mains sur le bureau.
J'entends sa braguette s'ouvrir.
"Non... pas comme ça... pas sur le bureau..." fais-je faiblement.
Mais je sais que je ne veux pas qu'il cesse.
Sa main me force à me baisser encore plus.
Cambrée, l'arrière train relevé, il me caresse doucement.
Il peut voir mes fesses, ma vulve... je suis totalement vulnérable à son regard.
Ses mains fermes se posent sur mes hanches et il m'attire... le fauteuil roule et c'est lui qui vient vers moi.
Son gland se pose sur ma fissure trempée.
Je le sens, dur, gros... si large.
J'ai un moment d'appréhension.
Le fauteuil repart en arrière et revient plus vite.
Son vit me force... d'un coup... comme si l'on m'enfonçait un concombre dans le sexe.
Je crie.
Son gros sexe va et vient lentement en moi.
Je m'habitue doucement à la largeur qui me donne l'impression à chaque fois d'être déflorée pour la première fois.
Mon visage, d'un masque grimaçant, se transforme en reflet de plaisir.
Bouche ouverte je gémis, je soupire alors que je me fais prendre d'une façon inédite.
Je vois l'écran qui scintille.
"belle salope" ... oui... ce mot de passe me va bien tout à coup.
Il me change de position.
Telle une poupée de chiffon entre ses mains je me laisse faire.
Je suis penchée vers le sol.
Les mains posées sur le parquet, les fesses en l'air, ma fente outragée par l'inclinaison qu'il donne à mon corps alors que son sexe... hoooo son sexe... sa grosse
verge comme celle d'un âne... est plantée dans mon vagin.
Je dégouline de cyprine, gémissante, en sueur.
Les roulements du fauteuil accompagnent mes râles.
Il s'enfonce en moi avec une lenteur folle.
Lorsque le fauteuil repart en arrière je reprend mon souffle pour ensuite pousser un gémissement lorsqu'il avance et m'embroche plus profondément dans cette
position déroutante.
Je perds pied, il me possède un peu plus à chaque fois...
Mon corps... mon esprit... tout lui appartient de plus en plus.
Lorsque il pose sa main sur le haut de ma fente, qu'il caresse ma perle gonflée, je crie.
Si sensible, mon clitoris est titillé et il m'arrache des râles qui ne font que trahir mon plaisir.
L'orgasme me submerge et emporte toute barrière de moralité avec lui.
Je me tortille et c'est dans une sorte de flou assourdissant que je suis vaincu, que je m'abandonne à cet homme, mon amant... mon... humm.
Il sort de mon antre féminine.
Je reprend ma respiration, à 4 pattes, immobile.
Mes seins se balancent, tétines tendues, gonflés, douloureux de désirs.
Abasourdie de jouissance, incapable de faire un seul geste.
Mon vagin inondé, ma vulve écartée.
Je relève le visage ca je l'entends parler.
Devant moi, ma fille !
Je deviens écarlate.
Je voudrais disparaitre, me cacher, mais je suis exténuée par le plaisir que je viens de prendre et ne peux faire autre chose que rougir et tenter de reprendre mon
souffle.
Elle ne devait pas rentrer de son travail...
Elle me surprend... encore une fois... ho non...
Son sourire en dit long sur ce qu'elle pense de moi.
Elle se mord la lèvre en sillant des paupières vers mon étalon.
"Et moi ? Je n'ai pas droit ?" dit-elle d'un air ingénu.
Il lui flatte la croupe.
Je ferme les yeux.
"Je m'occupe de te mère d'abord".
Sa voix me flagelle comme un fouet.
"Avance et monte" m'ordonne t-il.
J'ai un instant d'hésitation.
Et puis... couverte de honte... j'avance.
"C'est bien. Comme une chienne".
Son commentaire me fait mal... et pourtant il fait palpiter mon sexe.
Céline lui murmure un "Moi aussi je peux être une vilaine petite chienne si vous voulez".
Je n'en crois pas mes oreilles.
Je continue d'avancer, sous leurs regards.
Mes genoux frottent sur le carrelage du couloir, mes mains avancent l'une après l'autre, mes seins balottent.
"Monte l'escalier".
J'obéis, les larmes aux yeux.
Derrière moi je leur offre une vue imprenable sur mes fesses, mes nymphes rougies et ouvertes, ma toison trempée...
Il me fait entrer dans la salle de bain.
Je lui obéis lorsqu'il me demande de me relever.
Je transpire de désirs... pervers...
Il demande un bas à ma fille et revient me nouer les poignets.
Debout dans la douche, il m'attache les mains, bras en l'air, à la fixation du pommeau de douche.
Il caresse ma poitrine, mon ventre, ma fente.
Je réagis aussitôt, oubliant toute dignité et en avançant mon sexe vers ses doigts.
Il flirte avec mes lèvres amollies.
Je me tends vers ses mains, liée au mur, je m'offre et me frotte à ses doigts.
Puis il s'empare de la bombe à raser de Marc.
Je crois comprendre.
"Non... pas ça s'il vous plait".
La mousse vient enduire tout mon triangle doré.
"Il va... s'en rendre compte... comment vais-je lui expliquer" murmure-je horrifiée.
Mon étalon me sourit.
"Une soumise se doit d'être lisse. Tu lui diras la vérité. Il comprendra."
Sa voix est grave, assurée.
Je manque de m'étrangler lorsqu'il me rase de façon lente.
La lame glisse, retire la crème blanche et mes poils pubiens.
Délicatement il passe sur le pourtour de mes lèvres.
Ses doigts jouent sur moi.
Je sens le feu monter dans mon corps, le long de ma colonne vertébrale.
Lorsqu'il passe un léger jet d'eau sur mon entrecuisse, je suis lisse...
Totalement glabre, lisse comme une... soumise.
J'ai honte.
Et terriblement chaud au creux des jambes.
Il pose sa bouche sur la mienne.
Il m'embrasse.
C'est si bon.
Je m'y abandonne.
Sa main pétris mon sein.
Il malaxe mon téton et m'arrache un gémissement.
C'est alors que je sens la morsure sur mon bout tendu.
Une pince à linge me mord la tétine.
Je crie.
La douleur me tétanise.
Il masse mon second sein.
"Ho... pitié" fais-je faiblement.
Mais une autre pince vient me faire hurler.
Mes seins sont meurtris, écrasés par des objets inflexibles.
Une irradiation constante qui me fait mal.
"Tu vas voir... attend un peu, tu vas prendre ton pied ma salope".
Il sourit, sur de lui.
Il s'éloigne, me laisse seule.
Je l'entends... il est avec ma fille...
"Et dire que j'avais un copain black à qui j'avais dit non car elle était trop grosse... humm la votre..." l'entends je dire avant de ne plus entendre que des
bruits de succion, de soupirs.
C'est un supplice.
Attachée dans la douche je me tortille sous l'effet des pinces.
Chaque mouvement me vrille les tétons.
Et, petit à petit, la douleur devient différente... source de plaisir.
Je me surprends à frotter mes cuisses l'une à l'autre pour calmer... faussement... mon désir grandissant.
Je perds la notion du temps.
Mon sexe s'inonde alors qu'un orgasme étrange me parcourt.
"Ainsi je vois que cela te plait ma salope".
Il est revenu.
J'ouvre les yeux.
Je transpire.
Mes pointes de seins sont violettes d'être comprimées.
Il pose ses mains sur mes hanches et me tourne.
Il appuie sur mes fesses, mon sexe vient se poser sur le robinet d'argent.
Le métal sur ma peau douce me fait pousser un petit gémissement.
Il ne m'ordonne rien, seuls ses gestes m'y invitent.
Incroyable... jamais encore... non... pourtant l'envie est telle qu'elle me prive de toute inhibition.
Et je me frotte au robinet... comme une vulgaire trainée... débauchée...
J'assouvis mon désir avec un objet, pour la première fois de ma vie.
Je tressaillis, ma fente écartée, malmenée, mon jus s'écoule et je geins sans m'arrêter.
Il me regarde me tortiller, frotter mon abricot, les mains nouées en l'air, sur le métal de plus en plus chaud et gluant.
Je jouis... longuement... devant lui... mes jambes ouvertes pour me permettre de me masturber.
Que suis je devenu ?
Il retire les pinces et ma jouissance me terrasse une nouvelle fois.
Mes mains sont détachées.
Il me porte, dans ses bras, je m'effondre.
En larmes.
J'ai chaud, j'ai froid...
Il s'allonge a côté de moi et me caline... dans notre chambre.
Je sanglote en me laissant aller.
Mes doigts jouent avec la pilosité de son torse.
"Tu sais que tu es vraiment une belle petite salope comme j'aime" me dit-il en embrassant mon front.
Je me coule contre lui, un sourire m'éclaire le visage.
Je suis sa salope... ho oui...
Le sommeil me gagne presque instantanément, fourbue, exténuée... heureuse.
Lorsque je m'éveille, le soir est tombé.
La maison est vide.
Je file sous la douche et découvre... mon sexe... de soumise.
Ho... j'effleure mes lèvres nues.
Hummm... c'est doux... je glisse un doigt dans ma fente encore entrouverte de mes coupables activités.
Instantanément les paroles de mon... de monsieur, les actes obscènes me reviennent.
J'entame une lente caresse.
La clé dans la porte...
"Chérie ? C'est moi".
Ho non !
Comment vais-je expliquer cela à Marc ?
Je suis trempée.
A suivre...