Partager l'article ! La débauche de Béatrice - 7: [...] Je pousse la porte entrouverte de la chambre de ma fille en prenant une respiration et en me faisa ...
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Je pousse la porte entrouverte de la chambre de ma fille en prenant une respiration et en me faisant un masque imperturbable sur le visage.
Ma poitrine me fait mal tellement je suis pleine d'envies.
Je l'imagine déjà en train de détaler les escaliers et... mes mains... ensuite... que je vais autoriser à me caresser.
Mon sexe est humide, trempé, ruisselant.
Je sais que mes doigts vont aller et venir sans effort sur moi, une fois que j'aurais chassé ce jeune amant.
Je passe la porte en conquérante.
L'homme est allongé dans le lit.
Entièrement nu.
Les jambes entrouvertes je suis hypnotisée par son entrejambe, sans même remarquer autre chose.
Sur sa cuisse repose son sexe, un gros membre qui me fait penser à une saucisse de forte dimension.
Deux grosses bourses glabres, lisses donnent à son allure une impression de virilité puissante.
Ses jambes sont musclées et je suis sur son ventre le chemin brun de ses poils qui remontent jusqu'à son nombril, puis son torse.
Je deviens alors écarlate.
Le patron de Marc.
Je manque de m'évanouir.
Non... ce n'est pas possible !
Pas lui !
Pas avec Céline !
Il me sourit.
Sa voix grave et chaleureuse me tétanise.
"Bonjour Béatrice, j'étais un peu en avance et j'ai fait la connaissance de votre fille."
Ma voix s'étrangle, je voudrais dire quelque chose mais je ne peux pas.
"Je vois qu'elle tient beaucoup de vous".
Les larmes me montent aux yeux.
"Approchez".
Il a le regard sur mon chemisier entrouvert plus que de raison.
Jamais je n'aurais du déboutonner aussi bas.
Mon pied s'avance.
Il tapote sur le matelas pour que je vienne m'asseoir a côté de lui.
Je me sens sotte, ridicule et tellement honteuse.
Comme dans du coton je me pose, soulagée de ne pas devoir rester debout.
Sa main se pose sur ma cuisse.
Je sursaute.
Il me caresse.
De son autre main il s'empare de mon chemisier et le déboutonne entièrement.
Je sanglote.
"Elle a ces mêmes seins envoutants... profonds sans être gros..."
Ses paroles crues me blessent et me cinglent comme un fouet.
"Et sa bouche, comme la votre... toute aussi accueillante..."
Il effleure mes lèvres, déposant une larme salée sur moi.
Sa main glisse sous ma jupe, vient se poser sur ma culotte mauve.
Il me palpe l'entrejambe.
Mes cuisses s'écartent sans que j'esquisse un seul mouvement de refus.
Il sait que je ne peux pas lui résister.
"Elle a ouvert ses cuisses aussi vite... et elle mouillait tout autant que vous..."
Je me mords la lèvre inférieure pour ne pas gémir et crier.
Ce... salaud... me masturbe avec une dextérité d'orfèvre.
Il fait glisser ma culotte sur mes cuisses.
Mon chemisier totalement ouvert.
A l'aide de gestes fermes je me retrouve assis sur lui.
Mes seins bientôt à l'air, la jupe disparue.
j'ai l'impression de ne plus m'appartenir.
Au milieu des posters et des bibelots de ma grande fille, sur son lit...
Son amant...
Le mien...
Me masse la fente de son sexe.
Je suis nue sur ses genoux, face à lui.
Son gros gland lisse et luisant écarte mes lèvres.
"Vous avez les lèvres beaucoup plus molles... c'est un régal..."
Je pousse un petit cri alors que son bout rond m'appuie sur le clitoris.
Il m'empale soudain.
J'ouvre la bouche... exhalant un "hhhaaaaan !" rauque.
Son gros engin me force.
"Votre fille n'est pas moins étroite que vous... elle a du en voir passer quelques unes."
Je suis choquée, je voudrais le gifler mais mes mains se posent sur son torse et je me cambre pour m'abandonner à sa puissante percée.
Son manche progresse à force mouvements de bassin.
Il a ses mains sur mes hanches et m'enfourche.
Mon vagin envahit, je coule comme une fontaine.
Son soc me chavire et me fait me tordre de plaisir.
Les ondulations que je ne peux réprimer me font me fouiller sur son pal; son gros pieu brulant qui me donne l'impression d'être pleine.
Je pousse des petits gémissements alors que mon plaisir monte.
Il pince un de mes seins.
Je crie sous la douleur.
Lorsqu'il fait rouler mon téton je dégouline, rejetant mon visage en arrière.
La douleur... du plaisir...
Je feule comme une lionne en chaleur.
L'orgasme me ravage.
Mon visage de gauche à droite comme une possédée, le sexe dilaté par son membre trop gros, je ne me contrôle plus... je jouis... longuement... sans retenue,
souillant mes cuisses et ses bourses lisses.
Il me soulève et me dépose sur le lit.
Ma tête sur l'oreiller.
Il saisit mes cheveux et m'attire sur sa cuisse.
Sa hampe est trempée de ma cyprine.
"Votre fille a commencé par ça..."
Je le regarde effrayée.
Il me caresse le visage de sa verge sale.
"C'est une vraie goulue..."
Je serre les dents mais le gland écarte mes lèvres.
Je cède... il m'envahit.
Un gout de... sexe... mon sexe.
Je déglutis, suçant son membre.
Il est si chaud, dans ma bouche, mes lèvres se plissent et il me baise doucement les lèvres.
"Elle m'a sucée avec une ferveur que je n'avais connu qu'avec quelques grosses cochonnes..."
Je suis outrée par le discours qu'il me tient et pourtant mon bas ventre n'y est pas insensible.
"Votre fille est une vraie salope. Comme toi".
Je ferme les yeux.
Son sexe en bouche je ne peux dire un seul mot.
Un "hummm" m'échappe.
Ma bouche le tête, l'aspire.
Je lui octroie une fellation telle que je ne pense pas encore en avoir fait une fois de telle dans ma vie.
Il maintient soudain mon visage et me fourre sa verge dans la bouche.
Coincée dans l'oreiller je subis les assauts de son gros sexe jusqu'au fond de ma gorge.
Je bave, je salive, à la limite de l'écœurement, profondément pénétrée.
Il m'impose son rythme, ses vas et vient.
Ma mâchoire est douloureuse, ma langue écrasée, ma gorge enfoncée.
Je grimace et je couine...
D'une main il me fouille le sexe.
Mon vagin semble insatiable car je mouille instantanément.
A cheval sur moi, sa grosse... b.... dans ma bouche, il me branle tout en me forçant à le sucer.
Mes gémissements de plaisir sont étouffés par son pilon monstrueux.
II se retire et je respire avec peine.
J'ouvre le yeux sur son sourire.
Il me retourne et me place la croupe en l'air.
Je me laisse faire, totalement offerte à lui, sur le lit de Céline.
Son sexe force sans effort mon vagin outragé et lubrifié.
Son pylône me bourre régulièrement.
Et...
Ses mains...
Caressent mes fesses, les ouvrent.
"Ho non... non" parviens je à murmurer.
Son pouce caresse mon petit trou.
"Tu as entendu ta fille crier son plaisir tout à l'heure ?"
Je n'ose répondre, alors que son doigts m'assouplis la rose brune, encore vierge.
"C'était par là que je la prenais."
Je mords l'oreiller, incrédule, incapable d'admettre une telle obscénité.
Il enfonce son doigt tout en me pilonnant la chatte.
La douleur de cette intrusion contre nature me fait me cambrer et son gros sexe cogne au fond de mon vagin.
Il enchaine les coups de reins.
Je suis prise comme une vulgaire catin.
Je refuse ce que mon corps accepte.
Et peu a peu... des sensations inédites... intenses... germent de son pouce planté dans mon anneau étroit.
Je le sens en moi qui s'agite.
Je lâche un souffle plus long que je sais annonciateur d'un nouvel orgasme.
Surprise par les plaisirs impolis de cette intromission, je gémis et me tends.
Mon corps s'emballe, s'échauffe, se tortille.
Pour la seconde fois je jouis sous les assauts de mon amant.
Pour la seconde fois ma bouche se retrouve de nouveau envahit... et il se vide dans ma gorge.
Son foutre inonde ma gorge alors qu'il râle.
"Vous êtes deux belles salopes... mais je crois que toi... tu me rend dingue" dit-il en déchargeant son sperme en moi.
Je l'avale.
Son jus épais coule dans ma gorge, je déglutis.
J'aime cela... depuis peu... mais je ne peux pas le nier.
Alors j'aspire son miel épais et me délecte de ce gout dans ma gorge.
Je l'observe gagner la douche.
Je suis affalée dans le lit de Céline, à l'endroit même où cet homme vient de nous... prendre... l'une après l'autre.
La tête me tourne.
Mon corps est souillé et encore agité de soubresauts de mes deux orgasmes successifs.
Je me lève et refais son lit.
Cela fait si longtemps que je fais plus ce geste machinal que j'en tire une nostalgie qui me fait venir les larmes aux yeux.
Elle a grandit et c'est une femme.
Et lui...
Ho lui...
Si... viril... puissant... avec une si grosse... hummm...
Le bruit de la douche...
Je referme la porte de la chambre et ouvre celle de la salle de bain.
A suivre...