Elle... Il... en duo

[...]

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Son studio lui semblait vide.
En partant elle s'était retournée vers lui, avait déposé ses lèvres sur les siennes puis, d'un pas lent, ses hanches ondulantes, elle lui avait lancé un dernier clin d'œil.
Dans son long manteau, elle était partie avec la classe qu'une femme de 40 ans peut avoir.
Ce long manteau sans rien au dessous que ses bas.
Il en rougit instantanément rien qu'en y repensant.
Et cette dernière phrase qu'elle lui a murmuré à l'oreille sur son palier... "Tu m'as bien défoncé... A bientôt bébé".
Son sexe se durcit.
Un vrai rêve que cette nuit avec la femme la plus sensuelle et obscène qu'il ait eu l'occasion d'avoir pour lui.
Et quelle femme ! Celle dont il a eu si souvent l'envie dans les 10 dernières années, celle qu'il a si souvent fait tourner dans les films pornographiques de ses fantasmes solitaires.
Celle qui vennait de se donner à lui... totalement.
"Manque moi de respect" lui avait-elle dit.
Ho oui, il avait été irrévérencieux comme il ne se serait jamais senti de l'être autant.
Les souvenirs lui revenaient.
La fessée fut le premier geste osé qu'il a eu.
Il faut dire qu'elle s'était mise à 4 pattes et qu'elle lui tendait sa croupe.
Elle avait poussé un petit cri tout de suite suivi d'un grognement de plaisir où il avait entendu "hoo ouiii encore".
A la deuxième fessée sur ce cul somptueux, il bandait comme un cerf.
Il avait alors posé son gland sur la fente largement ouverte de la femme.
Et d'une poussée il l'avait enfilée.
Elle avait gémit.
Il l'avait ensuite assaillit de coups de reins, la perçant durement, de façon mécanique, rapide.
Elle criait alors que son gland tapait au fond de son vagin, dégoulinante de cyprine.
Ses mains caressaient ce cul rond et doux.
Il l'entendait encore lui dire de la prendre plus fort, bien au fond, comme une chienne.
Et lui... excité, sur excité... lui avait obéit sans aucun effort.
Il l'avait défoncé sur le lit jusqu'à ce qu'elle finisse sur le sol de sa chambre.
Là il voyait encore ses mains de femme, son alliance qui brillait, poser sur les globes blancs et écarter ses fesses, totalement, comme en offrande, comme un appel.
Il avait craché dans sa raie grande ouverte.
Il l'avait vu dans une vidéo.
Elle roucoulait, visiblement satisfaite de ces pratiques qu'il pensait réservées à une certaine forme de cinéma... et de femmes.
Et il lui enfonça alors un doigt dans son anneau étroit.
Il en avait tellement envie.
EN ce moment même son sexe palpitait de désir à ce souvenir.
Elle gémissait et semblait soupirer autant de plaisir que de douleur dans les premiers instants.
Peu à peu elle s'activait autour de son doigt planté dans son fondement.
Il en introduisit un second et elle poussa un "haaaa ouiiii !" qui le surprit.
Ses mains s'emparant de ses hanches, il la perça alors de son sexe, enfonçant son anus pour une saillie contre nature.
Elle subissait avec plaisir.
Son esprit de mâle ne réfléchissait plus.
Il lui semblait qu'il était à ce moment  dissocié de son corps.
Il ramona cette femme jusqu'à l'entendre jouir, jusqu'à ce que ses doigts qui s'activaient sur son clitoris soient recouvert de mouille gluante.
C'était la première fois qu'il prenait une femme par cet endroit obscur et parvenait à la faire hurler comme cela.
Il inonda son conduit intime.
Son foutre dégoulinait sur ses fesses, sur ses cuisses...
Et elle haletait.
L'image de ces fesses écartées, l'anneau expulsant le foutre qu'il avait éjaculé en elle, et le visage souriant de sa muse lui donne envie de se caresser.
Pourtant ils ne s'étaient pas arrêtés là tous les deux.
Comme un couple d'amants elle l'avait prise en bouche pour le sucer jusqu'à le faire bander de nouveau.
Caressant ses bourses, tout en aspirant la tige.
Et lui n'était pas resté sans rien faire, léchant son sexe souillé.
Il 'avait découvert qu'il appréciait de passer sa bouche sur la fente trempée de cyprine et de sperme.
Elle ondulait à n'en plus pouvoir et ses orgasmes s'égrenaient comme des perles sur un boulier chinois.
En 69, ils se firent jouir de nouveau plus d'une fois.
Parfois elle s'asseyait sur lui et se frottait sur sa bouche.
Sa langue s'en souvenait encore, il en avait attrapé un mal délicieux et se souvenait de l'avoir lapé avec gourmandise, à chaque fois qu'il parlait car sa langue le lançait.
Son sexe et ses boules avaient été essorées, gobés, sucés, avalés, léchés, malaxés et même... il en avait honte... tapotées et il en avait éprouvé un plaisir inconnu.
Ses doigts s'étaient enfoncés dans chaque orifice de cette femme.
Et elle ne s'était pas privé pour lui enfoncer un doigt dans le cul.
Il avait crié mais l'avait accepté.
Là encore le désir était au rendez-vous.
Alors lorsqu'il lui avait mis 2 doigts de chaque main dans l'anus et qu'il avait littéralement ouvert son fondement, lui provoquant presque un orgasme rien qu'en la maintenant dans cette position crue, il n'avait pas hésité à lui fourrer 4 doigts... bientôt son pouce et pour finir sa main.
Pour la première fois, il enfonçait son poing dans l'anus d'une femme.
Pour la première fois elle lui avait dit qu'elle acceptait de se faire déchirer le fion... de se faire fister.
Elle était tellement béante qu'elle jouissait par secousses.
Tous deux n'en revenaient pas.
A peine avaient-ils atteint l'orgasme que lorsque leurs yeux se croisaient ils avaient encore envie l'un de l'autre.
Il la prit alors plus traditionnellement après ce manque de courtoisie évident.
Il se souvenait de ses bras souples autour de lui alors qu'elle lui chuchotait des mots fous pendant qu'il la besognait en missionnaire.
Jamais il n'aurait pensé que cette amie de sa mère était aussi chaude.
Ils avaient continués leurs ébats sous la douche, il avait oublié la différence d'âge, le fait qu'elle était mariée...
Il la baisait contre la paroi avec l'énergie de ses 25 ans.
Et elle lui projetait le jet de douche sur les couilles, sur la verge, pour la faire remonter.
Elle semblait affamée de sexe.
Et lui paraissait pouvoir la nourrir autant qu'elle le souhaitait.
Sur sa table de cuisine, les mains sur le mur, dos à la porte d'entrée, accroupie.... il la prenait dans toutes les positions, et toujours elle gémissait, elle coulait, dégoulinante de jus de femme... et d'homme.
Essoufflés.
Enlacés.
Elle lui avait avouée que pour ses 40 ans elle aurait aimé se faire offrir 4 verges en guise de bougies sur son gâteau.
Un "cadeau de femme" lui avait-elle dit.
Il l'avait alors chevauchée de plus belle, rendu ivre par cette image de voir sa muse entre plusieurs hommes.
Il éjacula sans prémices, aux simples souvenirs de ces moments intenses, gravés dans sa mémoire à tout jamais.
L'espoir qu'il ne se réveille pas était aussi fort que celui qu'il la revoit bientôt.

Elle s'était assise dans sa voiture.
Le bas ventre douloureux.
Il l'avait tellement prise qu'elle ne marchait qu'avec peine, boitant, son petit orifice encore entrouvert.
Elle soupira.
Le petit matin était nébuleux, gris.
Dans le silence de sa voiture elle sentait retomber l'extase.
Cette nuit avait été une des plus sensuelle de son existence.
Une odeur âpre et douce de sexe envahit bientôt l'habitacle.
Elle était souillée... un bain lui ferait le plus grand bien.
Sur le chemin de retour elle repensait à ce qu'elle avait osé faire, ce qu'elle avait pris plaisir à vivre.
Vivant, oui, elle était vivante car elle avait été femme.
Elle se souvenait des murmures de son jeune amant "Hoo Béatrice... j'aime te baiser..."
Le coquin était dévergondé.
Il avait une verge si longue, fine comme elle aimait, et il était si endurant, osant la pratiquer sans s'encombrer de politesse.
Fougueux étalon.
Bientôt docteur.
Il lui tardait de l'avoir pour médecin traitant.
Lorsqu'elle arriva chez elle, elle se rendit compte qu'elle mouillait encore.
Le trajet lui avait semblé court, peuplé d'images, de souvenirs, de murmures.
L'eau chaude du bain ne fit que raviver ses désirs.
Le creux de ses cuisses était en feu... "Tu es en chaleur" lui avait-il dit.
Oui... elle l'était... il la rendait folle.
Elle avait de nouveau envie de le sentir en elle.
Son doigt sentit le bouton gorgé de sang déjà sorti de son logement.
Dans l'onde, elle se fit jouir lentement en rêvant à cet homme... qui avait si souvent rêvé d'elle.
Le revoir...
Le revoir... hooo... ouiii...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Marie Jo a 25 ans.cravache.jpg
Grande, du haut de son mètre 75, les cheveux châtains mi- longs, des yeux noisettes rieurs, fine, elle déambule dans l'exposition où elle a trainé son fiancé.
Au bras de sa compagne, il ne cesse de souffler. Venu de mauvaise grâce il manifeste son ennui et bien vite passe de la contemplation des œuvres exposées à celui des fessiers des femmes.
- Va prendre un verre au bar d'en face si tu veux. Lui dit-il, exaspérée par son attitude.
Pour seule réponse il lui dépose un baiser rapide sur les lèvres puis s'éclipse visiblement ravi.
Elle peut alors reprendre la visite du vernissage en prenant son temps.
Elle contemple les tableaux, contemporains, s'attarde sur l'un plus que sur l'autre au gré de ce que les représentations lui évoquent.
Dans l'ombre d'une vitrine, il est immobile.
Son costume noir et sa chemise sombre se fondent dans le décor et certains visiteurs passent devant lui sans même le remarquer malgré sa forte stature.
Ses yeux gris clairs sont fixés sur elle.
Il détaille avec minutie le balancement de son corps au rythme de ses pas.
Le galbe de ses jambes réhaussé par des talons de 5 cm lui donne une allure féline.
La robe de soirée nouée au cou, dévoile la peau pâle de son dos ainsi que les résilles de mailles différentes des bas qui enserrent ses jambes, visibles jusqu'à la hauteur du genou.
Il fait alors un mouvement en sa direction.
Elle se retourne, surprise par la coupe qu'un inconnu lui tend sur sa droite.
Elle ne l'a pas entendu ni vu arriver.
Instantanément son regard croise le sien et elle en éprouve une étrange sensation.
- Je vous offre ce verre madame ?
Sa voix est un peu hésitante devant l'aplomb et le ton bas de la proposition.
- Oui... je veux bien... c'est mademoiselle, pas madame...
Son interlocuteur la regarde sans ciller.
Il lui semble lire en elle comme dans un livre ouvert.
Les tempes grisonnantes et la belle prestance de cet homme la rassure autant que son regard fait naitre une chaleur imprévue dans le creux de son ventre.
Par dessus le cristal de la coupe il contemple le visage délicat de son interlocutrice, son maquillage léger, ses lèvres ourlées de rouge, les boucles d'oreilles en or au bout desquelles sont suspendus deux petits morceaux d'ambre.
Il lui sourit et elle semble se détendre en buvant à son tour.
- C'est froid. Lui dit-elle souriante, cherchant un mot pour briser ce silence assourdissant qui vient de se faire entre eux.
Il conserve un instant le silence.
Elle est presque aussi grande que lui avec ses chaussures à talons hauts.
Sans préambule il enchaine sans la quitter des yeux.
- Cette exposition est à votre goût ?
Elle embrasse l'ensemble de la salle, comme pour se soustraire à ce regard gris.
- Oui. Peut-être un peu moderne, mais j'apprécie.
Alors qu'elle se retourne vers lui, elle remarque que toute son attention est fixée sur elle. Ses yeux sont étincelant à un point que s'en est troublant.
- Je peux peut-être vous faire visiter une autre salle. Plus confidentielle.
Instinctivement attirée par cette proposition, elle s'empresse de répondre par l'affirmative, sans même en avoir eu matière à réflexion.
Il l’a trouvé séduisante au premier regard.
Il aime les femmes. C’est son pécher mignon.
Elle a instantanément attiré son attention par sa grace féline, entre l’ingénue et la sensualité à fleur de peau.
Son regard attentif et posé sur les œuvres d’arts a confirmé ce qu’il apprécie chez une femme : l’alliance de beauté et d’intelligence sensible.
Elle a immédiatement été attirée par cet homme au magnétisme particulier.
Ses gestes minimalistes, ses doigts et ses mains soignées et larges, son attitude de mâle assuré.
Pourtant elle n’est pas une de ces femmes volages ni de celles qui fantasment sur chaque homme qui passe.
Mais lui, il a fait résonner en elle le timbre du désir.
Ils avancent dans la galerie, se frayant un passage dans le bourdonnement de la foule.
L’homme sort une clé de sa poche, ouvre une porte où l’indication « privé » ne semble pas l’émouvoir le moins du monde.
Le couloir est froid, austère, blanc. Eclairé par deux néons qui répandent leur clarté crue sur le couple qui avance vers son extrémité.
Elle entend résonner ses pas. Ses talons hauts claquent.  La précédant, il ne semble pas s’émouvoir de ce vacarme qu’elle produit en le suivant.
Son regard se pose sur les fesses de cet homme. Sans même y avoir sciemment songé, elle se plait à les admirer.
Il pose sa main sur une plaque d’identification tactile dans le mur puis, à l’aide d’une nouvelle clé, déloque une large porte argentée. Elle s’ouvre dans un chuintement qui évoque son poids autant que l’importance du système de fermeture. Un rectangle noir dans un mur blanc.
Elle se croit dans un film policier et en une fraction de seconde la peur la saisit.
Elle vient de suivre un inconnu dans un lieu sécurisé, sans que personne ne soit au courant de ce qu’elle fait.
Il voit la lueur d’inquiétude passer dans son regard noisette. Les yeux légèrement en amande se plissent et elle lui jette un coup d’œil anxieux. Dans un geste courtois, souriant, il l’invite à pénétrer dans la pièce plongée dans l’obscurité.
Il a ce « je-ne-sais-quoi » qui la rassure.
Elle entre alors, posant son pied dans la pièce obscure comme on ferait un pas dans le vide, en ayant une confiance absolue et irraisonnée dans son accompagnateur.
Ils se tiennent côté à côté. La porte se referme derrière eux dans un doux claquement. Sa respiration est plus courte.
-    N’ayez crainte. Nous allons bientôt y voir suffisamment.
Comme pour répondre à cette affirmation, une lueur orangée émane alors des corniches de la pièce.
Elle découvre une galerie, un véritable musée où des œuvres de toutes époques, de toutes formes, sont exposées, qui sous vitrine, qui sur plateau.
-    Il s’agit d’objets qui proviennent de tous les continents. Certains sont très vieux à l’instar de ce marbre grec de l’époque de Platon, d’autres plus récents comme ce tableau d’un peintre argentin.
Partout où portent ses yeux, ce ne sont qu’œuvres disposées avec soin et goût.
Et toutes sont à connotation sexuelle.
Elle en rougit aussitôt.
-    Je vous avais prévenu. Il s’agit d’un endroit pour public averti.
Devant son regard éberlué, il ne peut que sourire.
Elle admire les vitrines, devinant derrière la forme finale, l’intention et le travail de l’artiste.
Contre un mur une croix de St André trône, encadrée par une vitrine de bois aussi large d’une arrière de camion et une tapisserie asiatique où différents couples se mêlent dans des positions toutes plus obscènes les unes que les autres.
-    Ce sont… des vraies ? hasarde t-elle.
-    Oui. Et s’ils sont ici, c’est qu’ils ont tous une histoire ou qu’ils me parlent par ce qu’ils évoquent.
-    Mais et… ça ? fait-elle en montrant une cravache placée au centre de la gigantesque vitrine, tenu par deux pieds en ivoire.
Il scrute alors cette jeune femme qui a su repérer au milieu d’une centaine d’objets, l’un des plus rares et des plus ambiguës.
La vitrine coulisse.
Elle passe son regard de la badine à la main de l’homme qui la saisit, puis à son visage. Il est séduisant, c’est indéniable et elle sent son ventre s’échauffer encore un peu plus.
Entre ses doigts la cravache apparait et révèle son raffinement.
Autour d’eux semble se propager une tension sensuelle… comme si la cravache pulsait, vivait, exacerbait les sens de ceux qui la contemplent.
Le bout de cuir est plat, légèrement recourbé. La matière semble aussi souple qu’indiscutablement rigide.
La tresse qui relie ce bout à la poignée est sombre, luisant, patiné par les âges et par l’usage.
Le manche est en métal, brillant. Il représente un phallus de belle taille. Délicatement ciselé, offrant luxe de détails, veines, plis, nervures…
A l’autre extrémité, un gland épais et pointu, semble un moulage fidèle d’une verge réelle.
L’objet est troublant de réalisme.
Elle avale sa salive avec peine, dans son ventre est née l’envie de caresser cette cravache sans âge.
Dans sa poitrine est monté le feu de l’envie.
Il approche le bout de métal de la jeune femme qui remonte ses yeux vers lui.
-    C’est… à quoi… sert… ce… cette chose ?
Elle bafouille un peu, gérant avec difficulté son énervement… son excitation.
Divinement belle dans son expression de gène et d'excitation qu'il ressent, elle n'en devient que plus désirable.
Entre eux deux la cravache parait capter et exacerber leurs émotions.
Ce n'est pas la première fois qu'il voit opérer le charme de cet artefact antique.
Comme d'autres objets, il a ce pouvoir d'être focalisateur de désirs.
La tension qui anime le corps de la jeune femme est désormais visible par les renflements de ses tétons qui déforment le tissu de sa robe moulante dont le satin noir se pare de reflets moirés.
Il baisse l'objet... à quelques millimètres de ce bourgeon tendu.
Elle respire plus fort, gérant avec peine ses pensées lubriques et bouillonnantes.
Lorsqu'il effleure son sein, elle retient comme par miracle un cri en se mordant la lèvre inférieure.
Au milieu de nul part, en compagnie d'un parfait inconnu, elle se laisse caresser par un ersatz de verge.
Alors qu'elle devrait prendre ses jambes à son cou et fuir, elle tend se poitrine vers l'avant pour s'offrir à la caresse métallique.
Il passe le bout argenté de droite à gauche, formant des petits cercles afin de titiller son mamelon dressé.
D'un geste lent il rejoint la seconde protubérance et lui fait subir le même traitement délicieux.
- Cet objet a beaucoup de fonctions, vous en découvrez une... Finit-il par répondre.
Le gland remonte, frotte le menton fin de la femme.
Elle entrouvre la bouche, comme hypnotisée.
Il passe sur sa lèvre inférieure.
Elle tire un petit bout de langue rose.
Leurs yeux ne se quittent pas.
Elle passe l'extrémité de sa langue sur l'objet.
Etrangement chaud, elle a envie de l'engloutir.
L'homme en face d'elle l'en prive alors qu'elle commençait à ouvrir un peu plus ses lèvres et pencher son visage, la privant d'un désir subit.
- Il a une autre fonction principale... fait-il en posant le bout de cuir sur sa poitrine.
Elle pousse un petit gémissement incontrôlé.
La badine descend sur son ventre, sur ses hanches, passent sur une fesse en un chemin de feu.
Elle se tourne alors et pose une main sur le rebord de la vitrine, puis une autre.
Elle se cambre, offre son arrière train dans une lente progression sensuelle et indécente.
Amusé et fasciné, il admire la position terriblement érotique que prend cette femme.
Le cuir caresse son genou, l'arrière de son genou.
Elle monte dans les échelons du désir.
Lorsque le bout plat se faufile sous sa robe, contre sa cuisse, elle n'a plus de doutes... cet homme et cet objet pourront abuser d'elle... elle en crève d'envie.
Il flatte les jambes, flâne sur les les fesses et peu à peu, force le tissu à remonter sur les hanches de celle qui ondule lascivement à ses caresses indirectes.
Un tanga rose à fine dentelle verte enserre ses fesses rondes, marquant profondément la vallée de son séant.
Elle écarte ses cuisses l'une de l'autre sans même y réfléchir.
Le renflement intime de son entrejambe se révèle.
Lorsqu'il frôle les lèvres au moyen de la badine, elle rejette son visage en arrière en poussant un "haaaa" sonore.
Le retour arrière, la fait gémir de nouveau.
Il fait glisser la partie plate sous la dentelle rose.
Le tanga se tend alors que d'un geste calculé l'extrémité passe sur le pourtour des lèvres pour remonter le long de la raie culière.
Bientôt le te tissu disparait dans la fente pour laisser apparaitre les lèvres brunes, lisses, luisantes.
Il pose la cravache à plat sur cette offrande.
La femme entame un mouvement de balancier pour se frotter sur la cravache.
Elle se sent incroyablement surexcitée.
Sur son intimité, la caresse du cuir est une nouveauté.
Elle sent les torsades qui la font frémir et ce morceau recourbé qui vient s'appuyer sur l'endroit où son clitoris palpite.
D'une pression mesurée il presse le logement de sa perle.
Elle feule, les yeux mi-clos.
Une symphonie à ses oreilles, un modèle de vestale.
La cravache la quitte.
Elle halète, se cambre dans une supplique corporelle.
Elle en veut encore !
Lorsqu'elle vient s'abattre sur ses deux fesses en même temps, elle pousse un cri.
Un picotement inconnu barre ses deux rondeurs.
Son visage s'incline, se fixe sur l'homme qui manie cet engin de plaisir avec une maestria folle.
Il fait lentement redescendre la robe sur elle.
Elle avale à grand peine sa salive.
Jamais encore elle n'avait reçu un simple coup comme celui-ci et son vagin s'est subitement empli de suc.
Lorsqu'il range la cravache, elle a envie de se jeter sur lui, de le déshabiller.
Son corps n'est plus qu'une plaie de sexe.
Elle est au bord de l'orgasme.
Il la dévisage, elle n'a pas changée de position, si intensément sensuelle.
Son sexe forme une bosse douloureuse dans son pantalon.
- Votre fiancé va s'inquiéter. Dit-il en refermant sous verre, la cravache... humide.
Elle cligne des yeux comme pour un retour à la réalité.
Sans un mot elle replace sa robe.
Il ouvre la marche.
La porte, le couloir blanc, la salle d'exposition.
Les paroles, les lumières, tout est agression à leurs yeux.
Elle s'éloigne pour rejoindre son homme qui la cherche.
Depuis combien de temps sont-ils absents ?
Elle a perdu la notion du temps.
Son déhanchement se superpose à ce qu'il connait de ses formes cachées.
- Splendide. Murmure t-il pour lui même.
Elle passe son bras autour de son homme et l'entraine vers l'extérieur.
Il ne la quitte pas du regard, peu lui importe qu'elle soit ou non accompagnée, il la voit comme une œuvre unique.
Elle lui jette un dernier regard comme ils sortent.
Un sourire à son attention, vers lui.
Un sourire pour elle.
Il soupire.
Elle reviendra, il le sait, il l'espère.
Peu à peu la salle se vide comme par réaction à ce trop plein d'électricité soudain retombé.
- Vous êtes ravi de votre soirée. Fait une voix derrière lui.
- Parfait Sophie, parfait. Répond t-il sans même se retourner pour voir sa secrétaire.
- Votre collection fait toujours de l'effet.
- J'aime les belles choses.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]soumise

Elle se lève.
Son corps dans le clair obscur de mon studio est comme une ombre fugitive.
Sensuelle, elle ondule en s'éloignant du lit.
Ses courbes sont divines.
Féline et lascive.
Le balancement de ses hanches de droite à gauche me donne chaud.
Ses fesses, si douces, aux formes rondes me font tourner la tête.
Je reste bientôt seul dans le lit.
Plus un bruit.
Ai-je rêvé ? Fantasmé ma Muse ?
Ce n'est pas un rêve comme en atteste l'état de mon lit, en bataille... la présence de son odeur sur l'oreiller... celle de son porte-jarretelles sur le sol.

Mon fantasme d'adolescent parcourt ma cuisine.
Cette femme qui a été à l'origine de tellement de mes caresses, de mes films érotiques rêvés est chez moi... nue...
Et je sens encore sur moi les traces de ses doigts comme des lignes de fusion sur mon corps.
L'écart d'âge me remplit de honte autant que de désirs impudiques.

Elle rentre de nouveau dans la chambre.
Souriante, ses yeux étincellent. Splendides.
Une partie de son visage dans l'ombre, l'autre dans la lumière.
Telle une déesse à deux visages, l'un sage et l'autre coquin.
Sa lourde poitrine aux auréoles larges se tend orgueilleusement.
Elle apporte deux verres remplis d'un alcool léger, faisant se balancer avec lenteur ses deux globes pâles.
Ses tétons longs et durs se découpent par le jeu des bougies qui continuent de briller dans la pièce voisine.
Sa voix est douce.
- Bébé, j'avais besoin d'une pause.
Son sourire me désarme, ses yeux m'envoutent.
- Vous êtes merveilleuse. Dis-je en prenant mon verre entre ses doigts délicats.
- Ha comme j'aime lorsque tu me vouvoies. C'est si mignon.
Elle s'allonge sur le côté.
Son sein droit vient reposer sur le gauche, sa cuisse se courbe pour masquer son intimité.
- C'est normal...
- Parce que j'ai l'âge de ta mère presque ?
Je rougis.
- Parce que je vous dois le respect.
Elle pose sa main sur mon torse, trace des arabesques autour de mes tétons.
Son ongle suit les contours de mes muscles.
- Et moi... j'ai envie que tu me manques complètement de respect.
Me dit elle en plongeant ses yeux dans les miens.
Sa main s'empare de mon sexe avec un geste coulé, une douceur qui m'arrache un souffle et fait bondir mon cœur dans ma poitrine.
Son pouce et son index prennent la base de ma tige pour la faire monter et descendre lentement alors que le reste de ses doigts flatte mes bourses.
- J'ai envie que tu sois comme avec les femmes qui peuvent passer ici, mais qu'en plus tu livres libre court à tes envies. Toutes tes envies. Même les plus... cochonnes.
Je rougis inconsidérément.
Ma verge se tend à une vitesse incroyable.
- J'ai envie de ta longue tige fine...
Elle me masturbe doucement.
- J'ai envie de t'entendre gémir... et me dire des choses très crues...
Je pousse un soupir de plaisir alors qu'elle agite mon manche avec une dextérité folle.
Sa main totalement dans l'ombre je ne peux voir, me contentant de la sentir me malaxer les bourses une après l'autre, agiter mon membre tel un hochet.
Elle se penche et ses seins lourds frottent sur mon manche.
- Ca te plait ça... hein ?
Je gémis faiblement un "oui" comme elle continue de se caresser et de ma flatter de sa poitrine opulente ainsi que de sa main habile.
Son sourire... elle se mord la lèvre inférieure... puis se baisse tout en me regardant.
Bientôt je ne peux plus voir que l'or de ses cheveux qui brille à la lueur faible des flammes vacillantes.
Son souffle sur ma verge est un contraste à la chaleur qui m'habite.
Elle me lèche lentement, m'embrasse le sexe avant de laper mon méat d'où sourd une goutte qu'elle déguste sans demander son reste.
Le bout de son muscle agite mon petit trou fendu et fait le tour de mon gland.
Je bande tel un âne.
Ma main caresse sa chevelure.
Mon autre main se saisit d'un de ses seins.
Je le pétris doucement, m'attarde sur le téton dur.
Elle m'engloutit, me suce de plus en plus profondément à chaque fois que son visage descend.
De plus en plus loin dans sa bouche gourmande qu'elle maintient serrée, langue s'enroulant autour de mon sceptre dressé.
Elle se redresse après quelques succions sonores.
Sa main droite me palpe les bourses.
- Ha mon salaud... tu es si long que tu me fais baver.
Elle passe sa langue sur ses lèvres puis m'enjambe.
Maintenant toujours mon sexe d'une main, elle le pose sur le sien.
Assise sur moi, elle se cambre.
Sa poitrine en avant, se balance dans un mouvement hypnotique.
Son ventre creusé pour m'accueillir dans un gémissement.
Ses cuisses souples autour de mes hanches.
Elle entame une danse lascive, mon pieu enfourné en elle.
Les contractions de sa vulve me masse de l'intérieur.
Sa main gauche se pose sur son sein qu'elle malaxe.
- Haa... Oui... Haaa... comme ça oui....
Elle se fait plaisir, son bas ventre frotte durement sur moi, totalement enfoncé en elle.
- Hooo... tu me butes dans le fond du vagin ! Elle est... haa ! Si... longue !
Son corps de liane ondule, s'agite de plus en plus vite sur moi.
Je presse son sein.
Elle pousse un petit cri.
- Tu me pinces... ça fait mal... continue.
Entre mes doigts je fais rouler son téton si dur.
Surpris de sa demande.
Elle se cambre, grimace... de douleur et de plaisir.
Mes deux mains triturent maintenant ses mamelons, enivré par ses grognements.
Un peu durement, elle n'en gémit que de plus belle.
Je soulève ses gros seins, uniquement tenus par les bouts qui dardent, rouge de désirs.
D'un claquement je donne une pichenette dans la tétine.
- Hooo... vilain... ouiiiii....
Je la malmène et elle se coule sur moi avec de plus en plus de frénésie.
- Je vais jouir...
Son corps semble en transe.
J'ai le sexe aspiré, avalé, engloutit par son corps en feu.
Elle pousse un grand cri, puis un autre...
- Haa ! Oui !
J'ai soudain une vision extatique de cette femme qui est ma muse, mon égérie.
Cabrée, cambrée, offerte.
Elle s'abandonne à son plaisir en une succession de mouvements saccadés.
Sur mes boules coulent le miel de son orchidée intime.
Elle penche son visage, son corps s'affaisse mollement.
Elle feule comme une chatte en chaleur.
Mes cuisses sont chaudes de son jus qui me marbre.
Puis le temps se fige.
Elle reste statufiée, seulement agitée d'infimes ondulations.
Toujours assise sur moi, lorsqu'elle ré ouvre les yeux, c'est pour me sourire.
- J'aime ta queue... et j'en ai encore envie.
Elle se tourne alors, pose ses mains sur le bout du lit.
Son visage passe de la lueur orangée à l'ombre totale.
Seule sa voix résonne dans la pièce.
Son fessier se dandine devant moi.
A 4 pattes elle offre sa croupe.
- Manque moi de respect mon bébé !

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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