Elle... Il... en duo

back[…]

 

Le tissu ne fut bientôt plus qu'un fichu autour de son ventre.

Il passa sa main droite sur l'agrafe du soutien-gorge et sans un mot le fit claquer.

Elle sentit sa lourde poitrine peser vers le bas, seulement retenue par les lanières sur ses épaules...

Avec lenteur il la vit poser sa main sur la bosse qui déformait copieusement son bas ventre. Cette femme se dévoilait et il avait une folle envie d'elle, de plus en plus intense à mesure qu'il la découvrait sous l'emprise du démon du sexe.

Une nouvelle fessée la fit crier.

- Raconte moi tout cela. Vilaine.

Elle roula des hanches, ravie de l'effet qu'ils se faisaient.

- J'ai usé de ma bouche... Haaa...

Il passa sa main entre ses cuisses alors qu'elle caressait son membre au travers de son pantalon.

- Il a pris mes seins... aie !  Hummmm...

Elle appuyait sur la bosse dure, palpant la virilité de son amant alors qu'il lui caressait le sexe entre deux fessée.

- Et tu ne portes pas de culotte.

- Non... j'aime avoir les fesses à l'air... j'ai l'impression que les hommes le sentent et me... regardent. Haaaaiie ! Hoooo...

Il fit glisser le soutient gorge. Ses seins pendaient, se balançaient doucement.

Elle soupira comme la disparition du tissu permettait à ses tétons de durcir librement.

- Et il m'a baisé. Acheva t-elle, anticipant une fessée qui ne vint pas.

Il posa son pouce sur la rosette plissée de sa patronne.

- Et là ?

- Non... pas là. Je n'ai pas voulu.

- Ton amant aimerait surement te voir te faire... prendre par là.

Elle devint écarlate. Robin lui avouait des désirs qui la tenaillaient elle aussi depuis bien longtemps.

Lorsqu'il caressa son petit orifice, elle le sentit palpiter et s'ouvrir presque aussitôt.

Il avait un doigt entre ses lèvres, son pouce dans l'extrême entrée de son anus et elle le masturbait maladroitement à cause de son pantalon.

- Je ferais... ce qu'il veut.

- Et il fera ce que tu veux. Ce qu'il fait avec... d'autres, ne doit pas te faire croire qu'il n'a pas envie de toi... bien au contraire.

Ces aveux de débauche les excitaient l'un comme l'autre.

Une dernière fessée la fit crier.

Elle ne retint pas son plaisir, perdue de ses désirs.

 

Il la fit s'asseoir sur ses genoux, face à lui.

Simplement vêtue de ses bas, les cuisses écartées, une sur chaque jambe de son robuste amant.

Ses seins pointés vers lui, son sexe aux lèvres ourlées d'une frange pileuse courte, ses lèvres entrouvertes pulsaient et montraient une humidité qu'elle ne cherchait pas à cacher.

Il pouvait à loisir mater chaque parcelle de son corps.

- Tu es... vraiment canon.

- Hooo...

Il soupesa ses seins, effleura ses hanches et s'attarda sur l'abricot ouvert.

- Bonne...

- Hummm...

- J'hésite entre une petite coquine et une belle salope.

Il savait que ces mots crus allaient éveiller en elle des pulsions de sexualité intenses.

Elle se pencha sur lui, ses mamelons effleurèrent le torse velu de Robin qui déboutonna son pantalon pour en faire sortir sa verge tendue à l'extrême.

- Et que dirais-tu d'une grosse cochonne doublée d'une putain gourmande ?

- Je n'en dirais que du bien.

Il écarta les jambes un peu, elle fut obligée de s'accrocher à son cou, sentant ses cuisses s'ouvrir largement.

Il palpait ses gros seins.

- Branle-toi... comme tu le fais lorsque tu es seule.

Elle se redressa et sa main se posa sur sa toison étroite.

A deux doigts elle malmenait sa fente.

Elle appuyait sur son bouton qui ne tarda pas à se dégager.

Elle le tirait doucement, à l'instar de ses tétines qu'elle pinçait et faisait rouler entre les doigts de son autre main.

Dans une sarabande de gestes totalement indécents, elle s'enfonça deux doigts dans l'intimité pour lui montrer comment elle se masturbait... sur ses genoux...

Il avait son manche en main et il le faisait aller et venir.

Il sentait le regard de son amante, sur son sexe en feu, nettement offert à sa vue.

Elle sortit ses doigts de son antre et le lécha.

Un mouvement de langue lent avant de les sucer puis de les faire disparaitre dans son sexe de nouveau.

Elle se livrait à lui.

Lorsqu'elle lui proposa ses doigts, couverts de mouille, il se jeta dessus, affamé de son miel.

Longuement elle se caressa, lui faisant sucer ses doigts, les nettoyant elle même de sa bouche dont tout rouge à lèvre avait disparu.

Elle poussait des petits couinements.

- Je ne peux pas continuer... si je continue je vais jouir. Fit-elle alors que son corps était en proie à des mouvements circulaires de plus en plus anarchiques.

Il posa ses mains sur les poires lourdes de sa poitrine et les pressa.

- Hoooo...

Il faisait rouler les pointes qu'il savait sensibles.

- Continue... je veux te voir et t'entendre gémir comme une... comment dis tu ? Grosse cochonne ?

Elle feula et ses doigts s'agitèrent en elle, excitant sa perle gorgée de sang.

Son corps se tordait, ses petits gémissements faisaient place à des petits cris...

Elle se cambrait, s'arc boutait sur les jambes de Robin.

Le long de ses doigts enfouis en elle coulait le nectar de son plaisir.

Elle plongeait et replongeait encore son index et son medius, touillant par a coups.

Il la sentit s'amollir, retomber sur lui.

Elle poussa un long râle...

Le visage levé vers le ciel... une louve... une tigresse...

Elle était assouvie.

Il pris sa main couverte de mouille et l'embrassa.

La sueur coulait entre ses seins.

Le parfum capiteux de son jus l'émoustillait, il lapa chaque doigt, aspirant le sirop de son amante.

- Et ta bouche ? Ne me disais-tu pas que tu avais taillé une pipe ?

Elle était essoufflée mais une lueur s'illumina dans ses pupilles.

Elle se leva et vint s'agenouiller entre ses cuisses.

Sa main encore salit s'empara de la large verge et entama de lents mouvements de coulisse.

- Si. Je l'ai sucé... comme une vilaine gourmande.

Elle ouvrit la bouche et l'avala.

L'épais manche de Robin l'obligeait à ouvrir sa bouche en grand et elle l'engloutit avec voracité.

Elle tétait, elle pompait, aspirait et tournait autour du gland turgescent avant de prendre en bouche l'entier pieu brulant qu'elle massait de sa langue.

Ses joues se creusaient sous les aspirations qui faisaient gémir Robin.

 

Elle l'avale avec une telle envie qu'il doit la repousser pour calmer le plaisir qui monte en lui.

De sa main il lui indique de remonter, elle suit ses gestes, jetant un dernier regard, presque à regret, vers l'auguste hampe de chair tendue vers le ciel.

Ses pointes de seins effleurent son ventre.

Il l'immobilise et elle comprend.

A deux mains, la femme resserre sa poitrine autour du sexe de l'homme.

- Et comme cela aussi j'imagine que tu l'as branlé.

- Oui... avoue t-elle en roulant des yeux, ravie que son amant la questionne, honteuse de son plaisir.

Elle pointe sa langue et caresse la peau du chapeau de Robin à chaque fois que la coulisse lui donne accès à sa tige.

Enserré dans les seins voluptueux de sa patronne, il grogne de plaisir.

Chaque petite caresse linguale est un supplice intense.

- Tu vas avoir droit au bâton pour être une si vilaine cochonne.

- Hooooo minaude t-elle en se redressant pour venir s'accroupir au dessus de la tige tendue.

Robin s'empare de ses fesses.

A pleines mains il la soutient et la présente au dessus de son vit.

Elle pose ses doigts fins autour du cou de son amant et se laisse aller, descendre, empaler par la rondin de chair dur comme l'acier.

Sa bouche s'ouvre et expulse un cri.

Sans retenue elle gémit alors qu'il la fait monter et s'enfoncer autour de lui.

Ses hanches roulent et ondulent, elle est insatiable, son sexe est en feu... elle danse sur l'homme qui happe ses seins.

Lorsqu'il remonte ses mains sous ses genoux, le membre large de son amant la perce au plus profond.

Il l'écoute haleter, soupirer, émettre des petits cris de plaisir tout au long de cette lente pénétration.

Sa verge est aspirée par la vulve de sa patronne, littéralement plantée en elle.

Elle ne tient sur lui que par son fessier.

Il la bascule alors vers l'avant.

Elle s'offre, à 4 pattes à même le sol.

Les mains de l'homme lui resserrent les jambes.

Sa croupe cambrée, elle se dandine... pleines d'envies...

- C'est ainsi qu'il t'a baisé ?

- Oui... en levrette...

- Comme une putain gourmande.

- Hoooo...

Il saisit son sexe et la fesse de son poteau viril.

Elle roucoule.

- Oui... il m'a prise comme la sale petite cochonne que je suis.

Fait-elle en le regardant de côté.

Il lui sourit et l'embroche d'un trait.

Les jambes proches, le piton de Robin force pour se frayer un passage dans le vagin pourtant détrempé et accueillant de son amante.

Elle pousse un "Haan !" qui résonne dans le salon.

Derrière elle il la besogne de plus en plus rapidement.

Elle est secouée par les coups de reins, véritables coups de boutoirs, que lui assène Robin.

A chaque couple de percée, une fessée lui fait rougir les globes.

L'orgasme revient en elle, puissant, submergeant.

- Haaa ! Haaaaa !

Il la voit agiter son visage de droite à gauche, prise de spasmes orgasmiques.

Son con se contracte, se relâche, elle jouit sous les assauts sans fins de son fougueux amant.

Il n'a rien à demander, elle se retourne vers lui et lèche son sexe souillé de cyprine, prenant à peine le temps de remonter une mèche de cheveux derrière son oreille.

- Très gourmande.

Elle hoche affirmativement de la tête tout en savourant le sexe de Robin.

- J'aime ça. Continue... Béatrice.

Elle rougit d'un coup.

Jamais encore son employé ne l'avais appelé par son prénom.

Une telle familiarité... alors qu'elle le suce... fait enfler une boule de chaleur dans sa poitrine.

Il la voit se figer un court instant avant de fermer les yeux et le pomper avec une voracité à l'image de leurs ébats précédents.

 

Dans les reflets des boules de Noël, Robin se tend, se cabre.

Les murs épais de la petite maison absorbent les râles de l'homme alors qu'il éjacule par grosses giclées dans la bouche de sa patronne, remplissant sa gorge de son foutre blanc.

Elle avale en ne ménageant pas son plaisir à l'engloutir.

Après un dernier coup de langue, toujours à genouillée devant lui, elle pose sa joue sur sa cuisse.

- Tu as été bien punie.

- Hummm oui. Je vais pouvoir recommencer à ne pas être sage en attendant l'année prochaine.

- Je l'espère bien.

- Dès demain... je vais m'occuper de mon employé. Fait-elle en le regardant avec un sourire.

- Je suis sur qu'il va apprécier.

 

Elle se rhabille et quitte la maison de gardien, soudain silencieuse.

Ses fesses la piquent, Robin a été dur... et elle n'en peut plus... assouvie...

Toute la maison est plongée dans le noir.

Elle a l'impression de rentrer chez elle en catimini, pour ne pas se faire prendre.

Lorsqu'elle se couche auprès de son mari endormi, c'est avec un sourire, celui du plaisir.

Elle s'empare de son téléphone... cachée sous sa couette.

 

Robin tourne la clef et retrouve sa demeure solitaire.

Son sexe dodeline entre ses jambes.

Ses bourses vident, il s'allonge et son esprit vagabonde entre ses deux amantes.

Lorsque son téléphone vibre et qu'il y découvre le nom de sa correspondante, il sourit.

Le texte est osé...

Une simple signature : "Béa".

Il a à peine le temps de répondre qu'un autre contact s'allume... "Coralie".

 

L'année finit et commence bien.

 

A suivre... Bien sur !sexy_new_year.gif

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]

 soumise

Lorsque Robin passa devant la cuisine il aperçu sa patronne qui rangeait quelques restes du repas.

Elle le regarda et il cru déceler un petit sourire.

- Je rentre Madame. Lui dit-il sans s'empêcher d'admirer la robe de soirée noire qui la moulait et faisait ressortir la généreuse volupté de ses formes sensuelles.

- Très bien Robin. Fit elle.

Il traversa la grande salle désormais vide où seuls les clignotements du sapin témoignaient que Noël venait d'avoir lieu.

Toute l'excitation de l'avant était retombée. Les guirlandes pourtant inchangées, avaient même un teint un peu plus terne.

L'air frais du dehors le fit frissonner.

Il marchait lentement dans l'allée de gravillons pour atteindre sa petite maison de garde dans laquelle il logeait, tout à l'autre bout de cette longue allée qui sinuait dans le parc.

Un sourire large éclaira son visage.

Derrière lui se faisaient entendre des pas, un son caractéristique de chaussures à talons.

Il accéléra à l'ombre d'un arbuste et s'éclipsa derrière l'angle de son modeste logement.

Elle lui avait emboitée le pas, le désir chevillé au corps. Ce rendez-vous nocturne, jamais encore elle n'avait osée lui rendre visite chez lui.

Ce jour était exceptionnel. "J'aurais peut-être droit à rencontrer le Père Fessard" lui avait-elle dit... "Il ne faut pas sortir le soir quand on est vilaine alors..." lui avait-il murmuré.

Son mari dormait, ses invités aussi... aucun d'eux ne remarqueraient son absence.

Un frisson passa entre ses seins. Ce n'était pas le froid, mais l'envie d'indécence.

Elle avait devant elle la maison de Robin. Une petite bâtisse de briques rouges et de stuc ocre. Une maison de gardien, coquette, à l'unisson de la villa. Simplement éclairée par la Lune.

Un bruit la fit sursauter.

Il faisait nuit et elle eut un peu peur.

Sortant de sous une frondaison un peu basse Robin l'accosta.

- Il est tard pour se balader une nuit de Noël. Le gentil monsieur en rouge et blanc est déjà reparti.

Elle continua d'avancer d'un pas ou deux avant de s'immobiliser devant les 3 marches qui menaient au perron de pierre.

Il admirait les courbes de ses hanches que la robe mettait en valeur.

Elle respirait un peu plus profondément.

L'homme regardait le 95D de sa poitrine se soulever sous le joug de l'excitation, la peau rendue blanche et laiteuse sous la clarté de l'astre sélénien.

- Il n'y a plus que le Père Fouettard qui rode encore... à la recherche de vilaines filles à punir.

Elle restait immobile, électrisée.

Pourvu que personne n'ai l'idée de se promener comme elle... La voyait-on d'une fenêtre ? Sa sœur dormait-elle ? Un sentiment d'inquiétude, mélangé à l'ivresse de l'éventuelle prise en faute la consumait.

Lorsqu'il posa sa main dans le creux de son dos, elle cru qu'elle allait défaillir.

Il la pressa à avancer.

- Rentrons. Lui dit-il sommairement.

Elle avait envie de courir à l'intérieur mais, au lieu de cela, elle monta chaque marche en roulant des hanches.

Robin fit descendre sa main... du haut des fesses, jusqu'à palper un globe lorsqu'ils entrèrent.

- Bienvenue chez le Père Fessard, lui murmura t-il en fermant la porte à clé.

Elle rougit.

Elle découvrait son habitation, soignée, rangée... moderne au sein d'un bâtiment plutôt ancien.

La main qu'il avait conservé sur ses fesses la poussa vers le salon.

- Tu as été vilaine.

- Oui... très.

Ils se laissaient emporter par la voix l'un de l'autre.

Leurs paroles si éloignés de leurs habitudes... lui l'homme à tout faire de 10 plus jeune, elle la patronne et maitresse de maison... les enflammaient.

- Tu vas me raconter tout cela.

- Oui...

Il la tutoyait. Elle adorait ces moments où il était tout autre...

Assit dans un fauteuil il l'invita à s'allonger sur ses genoux.

Elle se posa, dans une position sans équivoque, le ventre sur les jambes de l'homme, son séant vers le ciel, sa poitrine dans le vide.

En position de fessée.

Il remonta avec une lenteur extrême, le bas de la riche robe qu'elle portait, dévoilant peu à peu les fixations des bas autocollants, crèmes, et la courbure d'une fesse.

- J'ai eu des pensées coquines. Fit-elle doucement.

- C'est à dire ?

Le tissu lui arrivait à mi fesses.

- J'ai eu des envies sexuelles... des pensées érotiques.

Une petit tape accompagna sa révélation.

Elle souriait... "Enfin"... pensa t-elle.

- Et puis je me suis caressée... toute seule.

Une claque un peu plus forte tomba sur sa première fesse, désormais totalement visible.

- Souvent ?

- Tous les jours.

Un nouvel impact, sur l'autre globe.

- Dans mon lit et même dans le salon... en plein jour.

La robe retroussée sur ses hanches elle poussa un gémissement qu'elle voulu étouffer alors qu'une fessée plus franche lui fut administré par Robin.

- Ici tu peux et tu vas tout dire. Personne ne t'entendra parler, ni gémir.

- Ni crier... ?

Il caressait le fessier bien rond de sa patronne. Une belle taille... que sa main pouvait caresser à pleine paume.

Elle ondulait lentement de la croupe à chaque claque qu'il lui donnait, à chaque caresse qui accompagnait la fessée.

- Ni crier.

Sa main s'abatis plus fort.

- Aie... hummm...

- Est-ce tout ?

- Non... j'ai aussi espionné mon amant.

Il ralentit son geste, un moment désarçonné par les révélations qu'elle lui faisait.

Elle avait décidé d'avouer... tout.

- Alors qu'il... qu'il était avec ma fille.

Elle cria alors que la fessée se fit plus dure.

- Je n'ai pas envie de recommencer. Même si j'ai aimé le voir, lui, en train de... baiser.

Robin caressa l'intérieur de la fesse droite et y fit tomber sa main.

Elle grogna et soupira d'aise.

Elle se libérait de ses démons.

Cette rencontre sensuelle prenait des allures de psychanalyse.

- J'ai cru qu'il n'allait plus vouloir de moi.

- Tu lui en as parlé ?

- Non. Je n'ai pas osée. J'aurais eu honte qu'il me trouve dépendante de lui et encore plus qu'il me rejette car plus à son gout, ou parce que je l'avais observé.

Elle sentit ses fesses lui piquer alors qu'un couple de mains venaient de la fesser.

- Il t'apprécie... toujours autant. Je suis même sur qu'il adore lorsque tu l'obliges à venir te voir.

Elle ronronnait de bonheur... ses fesses, elle le savait, allaient être rouges... et elle aimait ça.

- Et peut-être que lui aussi aimerait te regarder pendant que tu te fais prendre.

En un instant elle sentit monter le plaisir en elle.

Robin était plus... pervers qu'elle ne le pensait... et ses envies lui firent cambrer les reins.

- Est-ce tout ?

Elle se mordait la lèvre inférieure, hésitante.

L'homme s'en aperçu et après une longue caresse dans le creux de la raie culière, vint donner une petite tape très osée à la lisière de son œillet.

- Comme j'ai cru qu'il ne voulait plus de moi, j'ai dragué un autre homme.

Cette fois la caresse fut courte, la claque symétrique à la précédente.

- Haa... et... je me suis donné à lui.

Son visage légèrement incliné elle regardait celui de son amant.

Il avait les yeux brillant de désirs.

Au milieu des boules et guirlandes qui décoraient son salon, milles feux semblaient étinceler dans son regard qu'il posait sur elle.

Il la couvait des yeux, reluquant ses fesses nues.

Il posa sa main sur la fermeture de la robe et l'ouvrit.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]
noelLorsqu'elle arriva il la vit hésiter puis ne pas fermer sa porte à clé. Elu un petit sourire en même temps que ses joues rosissaient.
Cette situation, les personnes présentent dans la maison, le fait de savoir que Robin allait se glisser dans sa chambre en ce soir de Noël... tout cela l'émoustillait comme rarement et éclipsait le cadeau pourtant conséquent que lui avaient fait ses parents.
Il savait qu'elle ne le soupçonnait pas d'être déjà chez elle, et encore moins caché dans son placard... toujours déguisé en Père Noël !
Il la vit disparaitre dans sa salle d'eau par la porte entrebâillée de sa cachette.
L'eau coulait.
Il l'imaginait, sur sa peau douce, ruisselant sur les courbes gracieuses...
Elle lui avait demandé de recevoir la visite du grand barbu.
"J'ai été très sage" avait-elle dit alors qu'elle lui massait l'entre jambe, innocemment.
Il voulait lui faire ce cadeau dont elle avait envie mais qu'il ne pouvait décemment pas lui offrir, ni même mentionné devant ses parents et employeurs.
Elle sortit de sa douche, simplement vêtue d'un court peignoir.
Ses pieds nus se posaient sur le sol moelleux, ses jambes au galbe ensorceleur disparaissaient au dessus du genou sous le tissu écru qui la parait.
Il poussa la porte de l'armoire.
Elle manqua de pouffer de rire en le voyant.
Il s'approcha d'elle.
Elle minaudait, toute en sourire, reculant devant lui.
Il était là... pour elle.
Son dos se trouva bientôt contre le mur.
Il posa ses mains sur ses cuisses.
Elle réagit aussitôt, sentant une décharge de désir remonter le long de sa colonne vertébrale.
Il massait lentement ses jambes.
"Tu as été très sage alors ?" fit il de sa voix la plus douce.
Elle hocha la tête, affirmative.
Son sourire n'était plus celui de la moquerie mais celui du plaisir.
Ses grands yeux bleus dévoraient Robin du regard.
Il l'attirait vers lui.
"J'ai résisté à mes vilaines pensées depuis 2 mois" murmura t-elle en se cambrant vers l'avant au fur et à mesure qu'il attirait son bassin vers l'avant.
Elle posa ses mains à plat sur le mur pour se retenir de tomber. Simplement maintenue par ses épaules et sa nuque, elle sentit le tissu de son peignoir glisser sur ses jambes.
Les doigts de Robin remontèrent et le peignoir s'écarta.
Jusqu'à la hauteur de la ceinture, il s'ouvrit.
Elle poussa un petit soupir de surprise.
L'homme admirait les renflements de son Mont de Venus offert à sa vue, ses lèvres lisses et serrées, les creux et courbes de ses hanches et de ses cuisses.
Elle respirait plus vite, trop vite.
Il déposa un baiser dans son cou.
"Cela mérite récompense" lui murmura t'il en inclinant son visage vers elle.
Il embrassait la vallée de sa poitrine, passant d'un sein à l'autre.
Sa bouche dévoilait un peu plus chaque globe, à chaque baiser.
"Je ne me suis pas... caressée... depuis si longtemps..." avoua t-elle faiblement.
Elle sentait les doigts de son amant dénouer la ceinture.
Le tissu lui effleura les mamelons, la faisant se mordre la lèvre inférieure pour réprimer un petit gémissement.
Son peignoir s'ouvrit, lentement, dans un crissement de tissu.
Les deux parties pendant de chaque côté de ses épaules.
Quasi nue, tendue vers l'avant... obligée de montrer son sexe qu'elle ne pouvait qu'exhiber.
La bouche de Robin s'attarda sur un téton, puis l'autre, traçant entre les deux pointes, une ligne de feu sous la caresse de sa langue.
Il titillait les bouts tendus.
Il passait et repassait sur ses petites auréoles.
Elle poussa un bref gémissement.
Il avait posé ses mains sur ses fesses et lui caressait avec délicatesse ses lobes blancs.
Il redressa le visage après l'avoir tété langoureusement de longues minutes, aspirant et suçant ses tétons sensibles.
"Hooo Père Noël... Vous avez déjà déballé votre cadeau" fit elle, plaintivement... un feu de braise couvant dans son regard.
"Tu veux peut-être le tien ?"
" Oui... "
Il s'agenouilla et lui arracha un petit cri qu'elle ne parvient pas à contraindre.
Il avait posé sa bouche sur le sexe qu'elle ne pouvait cacher.
Dans sa position, sa fente était fortement disponible, son dos cambré, ses cuisses ouvertes.
Il la dévorait, la fausse barbe lui grattait les jambes.
Elle gémissait, se tortillait avec difficulté.
Il palpait les petites fesses rondes de son amante, la bouche grande ouverte, mangeant littéralement l'abricot fendu.
Sa langue fouillait son intimité.
Il aspirait, suçait, excitait le clitoris gonflé.
Elle poussa un gémissement... son suc s'écoulait. Son amant la pratiquait avec une gourmandise et une agilité qui la terrassaient de plaisirs divers.
Il se redressa et commença à se déshabiller.
Coralie récupéra un peu ses esprits et reprit une position plus décente.
Elle le regardait défaire son costume.
"Vous avez une grosse barbe..."
Il la retira.
"... un gros manteau..."
Il l'ôta.
"... un... gros pantalon..."
Elle ne perdait pas une miette du strip tease un peu étrange qu'il lui offrait.
Lorsqu'il fit descendre son boxer elle gloussa à la vue de la verge dure et épaisse de Robin.
"... et un gros sucre d'orge".
Elle avait enlevé tout vêtement, nue comme lui, assise sur le bord de son lit.
Il approcha, elle tendit la main pour palper le membre viril qui se dressait.
"Tu as mérité cette gâterie" dit il en attirant son visage vers son vit décalotté.
Elle le prit a pleine bouche sans même prendre le temps de le lécher.
Elle en avait tellement envie, de le sentir violer ses lèvres de son épaisseur, de sentir ce goût si particulier d'un sexe d'homme, de percevoir ses palpitations contre sa langue...
C'était un moment de libération pour la jeune femme qui était en manque.
Jamais elle n'aurait pensé avoir autant envie de pomper une verge et cependant, le plaisir qu'elle en tirait, cette sensation de total affranchissement des barrières lui donnait chaud au bas ventre.
Sa salive coulait sur la large hampe de Robin.
Elle aspira, remonta jusqu'à n'avoir plus que le gland bien rond dans sa bouche et elle téta, affamée de sexe, de plus en plus active, frénétique...
Il se contracta. Cette fellation était la plus goulue qu'elle ne lui eu jamais fait.
Sa main se posa sur sa tête et il donna un léger coup de reins.
Il allait  et venait maintenant dans sa bouche qu'elle lui offrait.
Ses lèvres serrées, elle respirait avec difficulté.
Il avançait et reculait dans la petite bouche de Coralie qui levait les yeux vers lui pour l'admirer.
Ils se détachèrent l'un de l'autre.
Elle s'allongea sur son lit et il la pénétra sans effort.
Elle dégoulinait de plaisir.
Leurs gémissements formaient une ode à l'amour.
La crosse de chair déflorait les dentelles intimes.
Les jambes ouvertes, les cuisses relevées, l'amante accueillait dans sa grotte le tison raide de son amant.
Il la chevauchait lentement, avec douceur, délicatesse.
Elle sentit monter l'orgasme de façon continue... ses mains accrochées autour du cou de son étalon.
Il la prenait en accélérant.
Sa bouche se posa sur la sienne.
Leurs langues se mêlèrent, étouffant leurs gémissements.
Elle ferma les yeux... des étoiles filantes passaient sur ses paupières...
Il se cambra... se fondant dans l'univers.
Leurs orgasmes silencieux arrêtèrent le temps.
De petite clochettes de pur bonheur tintaient...
Il restèrent imbriqués, leurs jambes mélangées, son pieu toujours enfouit en elle.
Leurs jouissances simultanées seraient leurs plus beaux présents.
Il passa rapidement sous la douche.
Elle prit sa suite.
Robin l'embrassa.
"Je dois... y aller...", fit-il, géné.
Elle lui sourit.
"Ne traine pas. Maman doit tourner en rond... à attendre sa punition" lui dit-elle dans un clin d'œil.
Il n'y avait pas de jalousie.
Aussi étrange que cela puisse leur paraitre à tous les deux.
Au service de l'une... aux sentiments de l'autre.
Cette nuit de Noël n'était pas finit et il descendit les marches d'un pas mesuré, s'assurant de ne réveiller personne.
A suivre...
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