Elle... Il... en duo

[...]

 eff
Coralie se tourna pour faire face à Robin.
Il la dévorait des yeux.
Elle sentit son regard mâle sur elle, empreint de convoitise, de désirs contenus, de respect...
Son cœur battait la chamade.
Dans sa chambre, dans son domaine, là où il l'avait initiée aux plaisirs de la chair, elle le tenait par la main et ne le lâcha qu'à regret.
Elle posa ses doigts sur les bretelles de sa nuisette de soie.
Sa respiration forte faisait tendre le tissu par sa petite poitrine dont les tétons étaient deux mines de crayons douloureux de désirs.
Dans la vallée de ses seins se faisait ressentir le filet de salive qu'elle avait laissé s'échapper alors qu'elle subissait son désir dans sa bouche.
Ses cuisses frottaient l'une contre l'autre.
Il était nu, son sabre tendu vers le ciel, luisant de la salive qu'elle avait déposée tout au long de l'épaisse tige.
Avec lenteur elle fit glisser les bretelles sur ses épaules.
Peu a peu elle sentit le tissu la quitter.
Lorsqu'elle lâcha prise, sa nuisette se faufila au sol, sur ses chevilles, serpentant, prenant un temps pour laisser sa poitrine apparaitre... découvrant son sexe lisse simplement surmonté d'une fine zone pileuse, rase, en haut de sa fente.
Son bas ventre gorgé d'envie, le son du tissu sur sa peau, la dévoilant à son amant, lui fit l'effet d'un decrescendo de saxophone au lointain.
Elle ne pouvait pas cacher l'humidité nettement visible sur le pourtour de ses lèvres intimes.
 
Face à lui, nue, elle ressemblait à une apparition divine.
Son corps aux courbes douces était un appel à Aphrodite.
Elle passa son pied par dessus sa nuisette qui n'était plus qu'un petit tas sur le plancher.
Il admirait cette offrande qu'elle lui faisait.
Elle se donnait à lui et il en ressentit un profond sentiment d'amour.
Ses petits seins bien ronds appelaient ses mains.
Il n'osait pas l'effleurer de peur de casser ce moment d'entre les temps, se contentant de la contempler.
Ses hanches ondulèrent lorsqu'elle fit un pas vers lui.
Il posa les yeux sur son abricot.
Il n'avait qu'une seule envie : le déguster...
Son membre viril était un gourdin d'acier qui pulsait d'envie de le posséder... de la posséder !
Il avança vers elle en lui souriant.
 
Ce sourire la faisait chavirer.
Un brin coquin, sensuel, masculin et assuré... sa bouche appelait un baiser.
Elle le laissa s'approcher, n'osant plus bouger.
Il fut si proche d'elle bientôt, que la chaleur de sa peau se ressenti sur son corps malgré la fusion qui l'animait.
Elle ne se lassait pas d'observer le moindre de ses gestes.
Avec un soupir de contentement, elle accepta la main qu'il posa sur le haut de sa poitrine.
Ses doigts étaient doux et durs, ses gestes lents et précis.
Sous la caresse qu'il effectuait sur sa peau, elle bomba doucement le torse pour s'offrir aux mains de son amant.
Il caressait les flans de son sein qui se redressait.
Elle lui sourit.
 
Ses dents blanches, son petit air mutin, elle l'envoutait littéralement.
Sa main vint s'emparer lentement, peu à peu, du globe doux et plein que formait son sein gauche.
A pleine paume il le soupesa.
Petit, léger, ferme, il le palpa pour le sentir frémir, durcir.
Son sexe se tendait par à-coups tellement il avait envie d'elle.
Il appréciait ce moment et le fit durer avant de poser sa main sur le second sein.
Avec une délicatesse que ses mains larges ne semblaient pas rendre possible, il massait la poitrine de Coralie, son amante, la fille de sa patronne... si belle... si fraiche du haut de ses 25 printemps...
Elle émit un léger gémissement.
Il tournait autour des tétons, excitant les mamelons bruns aux quelques aspérités arrondies qui entouraient le téton raide.
Lorsqu'il pose son index sur les deux pointes pour les frotter, elle avança imperceptiblement les hanches... sensible...
Il agita les tétines et les fit aller de droite et de gauche au moyen de ses doigts, ses mains continuant de presser les splendides bols pâles.
 
Ses seins étaient à sa disposition.
Il emprisonna ses protubérances entre pouce et index et les fit rouler.
Elle se sentait onduler sous les gestes précis et habiles.
Il tira doucement et ses petites mamelles se tendirent vers le haut.
Elle gémissait... de bonheur...
Entre ses mains elle se laissait totalement aller.
Sa bouche entrouverte, les yeux mi-clos... elle s'abandonnait au plaisir.
Il inclina son visage carré et vint poser sa bouche sur un mamelon.
Elle crut défaillir, il la tétait, les yeux rivés sur elle.
Sa bouche aspirait la tétine qui, il lui semblait bien, grossissait encore.
Tout en le malaxant il continua ses succions gourmandes.
L'une de ses mains vint glisser sur son ventre pour toucher le haut de sa fente.
Elle poussa un petit râle.
"Haa... oui..."
Il caressait la fissure luisante de bas en haut.
Lisses, ses lèvres s'écartaient sous les doigts agiles.
Elle grogna et crut ses jambes la trahir lorsqu'il s'enfonça en elle à la recherche de son clitoris.
Il ne fut pas long à faire saillir le bonbon de son logement et le triturer délicatement en tous sens.
Avec une lenteur extrême il la masturbait.
Elle avait du mal à se tenir droite, debout dans sa chambre, nue, les seins et le sexe malmenés par un Robin charnel.
Lorsqu'il posa une main sur ses fesses et la fit basculer sur son lit, s'allonger, elle ouvrit les cuisses en guise d'acceptation totale.
 
Un long gémissement...
Ses jambes douces au galbe enchanteur qui ouvrent leur compas...
Sa main fine qui passe dans ses cheveux et l'incite à rester sur son intimité...
Offerte...
Il ouvrit la bouche et embrassa le sexe humide.
Il se releva, passant outre la main de Coralie qui lui indiquait de s'afférer sur son intime cicatrice.
"Ton abricot est si doux."
Il était attentif à sa réaction.
Elle lui sourit.
Ses belles collines aux pointes érigés entre eux deux, comme des monts aux pics tendus, elle se cambra et ses genoux s'écartèrent.
 "J'ai envie de te dévorer... comme... elle..."
 
Elle rougit.
"Oui... mange-moi."
La langue se posa sur son sexe et il la lécha de bas en haut.
Elle se tortillait sous les coups de langue de plus en plus intrusifs.
Il entrait dans son puits.
Elle l'entendait laper et lécher le jus qui lui trempait l'entre cuisses.
Le muscle se faufilait entre les plis intimes...
Le visage masculin de son amant était collé à son mont de Vénus...
Il aspirait ses nymphes ardentes...
Il enfonçait sa langue en elle pour la déguster au delà de la décence...
Et elle se tortillait, elle gémissait... le plaisir enflait... l'emportait peu à peu.
Il s'attarda sur son bonbon et l'aspira.
Elle lâcha un petit cri.
Cet homme la faisait chavirer.
Ses joues entre ses cuisses.
La langue se fit plus fouineuse, plus rapide...
Elle coulait en abondance.
"Dévore-moi... hummm"
 
Il ne se fit pas prier pour l'exhausser.
Il lui pratiquait un cunnilingus intense et inquisiteur.
Sa langue parfois large, parfois étroite, parcourait l'intérieur de son trésor, sinuait dans les nymphes...
Sa bouche avalait les lèvres, les accaparait, les aspirait ou les léchait sur leur entière surface.
Les gémissements de plus en plus proches de cris que Coralie émettait, l'excitaient encore plus.
Il releva son visage pour l'admirer.
Il avait les mains sous ses genoux pour la maintenir relevée, les jambes grandes ouvertes, son intimité offerte et luisante de salive et de cyprine, elle haletait en lui souriant.
Ses cheveux en corolle autour de son visage tendu par le plaisir.
Sa poitrine était désirable et gonflée comme jamais il ne l'avait remarqué.
Sa verge lui faisait mal d'envie d'être assouvie.
Il se hissa sur ses bras pour la surplomber.
Son sexe glissa contre la cuisse de son amante.
Le velouté de sa peau douce le fit bander encore plus, si cela lui était possible.
 
Elle le voyait le surplomber, venir au-dessus d'elle.
La chaleur de son vit contre sa jambe la fit se cambrer.
La raideur du manche épais qui vint se poser sur son sexe la fit frémir.
Il était entre ses cuisses.
Une ombre musclée qui lui souriait.
"Robin... prend-moi. Prends-moi comme ma mère. Comme une chienne."
Elle rougit de ses propres paroles.
L'envie était plus forte que la raison.
Elle creusa son ventre pour venir à la rencontre du pieu de l'homme qu'elle désirait en elle.
Jamais encore elle n'avait osé proférer de telles demandes.
Elle ferma les yeux, espérant furtivement qu'il n'avait rien entendu, nourrissant l'espoir encore plus fort qu'il la chevauche dans l'instant.
Elle dégoulinait de cyprine...
 
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]
 duonb.jpg
Robin entra dans la chambre.
Assise en tailleur sur son lit, Coralie l'attendait.
Sagement, la jeune femme lui souriait.
Ses cheveux blonds tombaient en cascades sur ses épaules dénudées.
Elle portait une nuisette de soie violine aux fines bretelles qui mettait son corps en valeur.
Sa bouche aux lèvres pleines, ses pommettes roses d'émotion, son cou gracile à la peau de velours lui donnait chaud à chaque fois qu'il l'apercevait.
Ses jambes croisées, légèrement enfoncées dans les plis de son drap, dévoilaient ses genoux et ses pieds délicats.
25 ans, 10 ans de moins que lui, la fille de l'homme qui l'employait depuis de longues années...
La fille de la femme dont il était l'amant depuis de longs mois...
Coralie, qui savait tout et qui l'envoutait.
 
Sa chemise bleue nuit ouverte sur son torse et son ventre laissait deviner les muscles fins qui roulaient à chaque geste.
Elle posa un coup d'œil sur son pantalon.
On y voyait le renflement de sa masculinité dans le jean qui le moulait avec sensualité.
Elle s'employait à garder contenance.
Cette sensualité animale qu'il dégageait et qu'elle ressentait au plus profond de son être lui donnait chaud.
Elle sentit ses seins se gonfler, tendre la soie autour de ses mamelons caressés par le frottement du tissu. Des rayons d'ombres faisaient ressembler sa poitrine à deux soleils.
Plus âgé qu'elle, il l'avait initié aux plaisirs de la chair. Il était l'homme, son homme... qu'elle partageait avec sa mère... qu'elle ne voulait pas laisser s'échapper.
Son parfum lui parvint. Mélange de Boss, de transpiration et de stupre.
Une fragrance qui, loin de la repousser, fit pulser son bas-ventre empreint d'une envie subite de se jeter sur son amant et l'inviter dans un entremêlement de corps furieux.
Elle respira profondément pour calmer ses désirs.
- Voulez-vous vous doucher Robin ?
 
La voix douce et joyeuse sonna délicieusement.
Il acquiesça et pénétra dans la salle d'eau de la jeune femme.
Il connaissait bien les lieux. A la fois réparateur, homme d'entretien, jardinier... il faisait tous les travaux que nécessitaient cette villa magnifique.
Ses vêtements pliés sur un meuble il passa sous la douche.
Peu à peu ses muscles se détendirent.
Coralie l'avait surpris en pleins ébats avec la maitresse de maison, sa mère, et il ressentait encore les appétits voraces de cette femme succulente et plus âgée que lui.
Le calme revenait en lui. Les deux femmes accepteraient-elles encore longtemps de se partager son corps... ? Lui oscillait entre raison et désir.
Il ne pourrait jamais avoir autre chose de chacune que ce qu'elles lui donnaient, du plaisir charnel.
Pourtant que Coralie était désirable... si belle...
Le jeu était risqué et il n'en était même pas le principal instigateur. Tant que son employeur, mari et père, ne savait rien, il pouvait peut-être encore conserver son travail... et ses amantes.
 
Elle l'admirait.
L'eau coulait sur son dos et la mousse glissait sur la forme en V de ses trapèzes pour couler dans le creux de ses reins et venir mourir sur ses fesses bombées et musclées.
Robin accaparait toutes ses pensées les plus osées depuis son adolescence.
Et maintenant il était là... pour elle...
Un pincement lui serra le cœur. Était-il là parce qu'il en avait envie ou bien parce qu'il ne pouvait pas faire autrement ?
Elle refoula cette pensée sombre.
Entre ses jambes musclées pendaient ses bourses lisses.
Elle distingua le bout de son sexe qui se balançait vers le sol, l'eau formant un petit torrent agité autour du gland confiné dans son capuchon.
L'eau magnifiait son corps trop souvent caché sous des vêtements de travail.
Elle sentit son intimité s'humidifier.
Lui revenaient les images de cet homme en pleine action.
Tel un sublime gladiateur charnel, il avait achevé de plaisir et de jouissance sa mère sous ses yeux.
Ce n'était pas la première fois qu'elle le voyait avec elle, mais cette fois-ci, il était comme auréolé de puissance orgasmique.
Elle se mordit la lèvre inférieure.
Sous sa courte nuisette, elle coulait.
 
Lorsqu'il se tourna et ouvrit les yeux, il la découvrit dans l'entrebâillement de la porte.
Elle le scrutait, son beau visage ovale appuyé contre le chambranle.
Il achevait de se rincer.
Elle ne le lâchait pas des yeux.
L'intensité de son regard le détaillait au travers de son âme.
Elle approcha, ondulant des hanches, sa poitrine orgueilleusement tendue sous la soie, faisant naitre des envies de luxure dans son esprit.
A quelques centimètres de lui il put sentir son parfum frais.
Elle posa ses deux petites mains sur son torse.
Il sentit aussitôt la fraicheur de ses doigts, la douceur de ses gestes... et la chaleur qui l'envahit.
Cette femme l'envoutait.
Sa poitrine semblait prête à jaillir de sa nuisette et ses cuisses paraissaient si tendres...
Il eu envie de la dévorer, d'assouvir la faim naissante qu'elle faisait naitre en lui.
 
Ses pieds nus sur le tapis de bain en bambou, elle fit glisser ses doigts sur les muscles fins de ses pectoraux puis de son ventre.
Une boule de chaleur émanait de son intimité, remontait sur son cœur, l'enveloppait des entrelacs de désirs défendus.
Elle avala sa salive avec difficulté et sa main effleura l'aine de son amant et initiateur.
Elle frôla puis caressa la verge de Robin.
A peine eut-elle posée ses doigts sur le membre de son vis-à-vis qu'il enfla.
Elle ronronna de plaisir à voir l'effet qu'elle lui faisait.
Concentrée sur cet homme elle ne voyait plus rien d'autre que son corps perlé de gouttes d'eau, faisant abstraction de tout le reste.
Ses doigts s'enroulèrent autour de son sexe, prenant possession de ce trésor tant convoité.
Il remontait vers le ciel, de plus en plus haut.
Il gonflait dans sa main, il durcissait.
Elle le prit à la base et remonta sa main.
Robin poussa un léger soupir.
Elle fit coulisser doucement le vit qui continuait de se dresser comme une hampe de drapeau.
Le gland rouge et lisse s'échappa de son logement.
Elle ne pouvait désormais plus faire le tour du sexe de Robin avec ses doigts, il était en pleine érection, dur comme un pieu, aussi brûlant que son intimité, large et épais.
Elle l'avait pour elle seule...
 
Il se laissait faire.
Les gestes si doux de Coralie l'avaient fait reprendre vigueur.
Il bandait comme un cerf entre les doigts de la jeune femme qui n'avait pas quittée des yeux la croissance de sa verte tige.
Elle fit glisser sa main à la base de son phallus érigé et malaxa doucement ses bourses.
Du dos de sa main il caressa la joue de son amante.
Sa peau était encore plus sensuelle que le toucher de la soie.
Il laissait s'échapper quelques souffles, entre soupirs et gémissements, incapable de se contenir tant la masturbation était douce.
Que cette femme était habile et sensuelle.
Il la surplombait de quelques centimètres et elle lui semblait une poupée de porcelaine.
Il soupira plus fort alors qu'elle faisait rouler les olives de ses boules d'une main tout en branlant son sexe de l'autre.
S'abandonnant aux caresses intimes de son amante il éprouva l'envie de la prendre avec force. Il musela son désir, savourant cette lente masturbation.
 
Elle leva les yeux sur lui et plongea dans son regard.
Il l'enveloppait, il la rassurait de sa stature, de son calme.
Elle se sentait fragile devant lui et pourtant plus sure d'elle qu'elle ne l'avait jamais été.
Avec lenteur elle déposa un baiser sur la peau humide de son torse.
Lorsqu'elle le vit se saisir d'une serviette pour s'essuyer elle l'empêcha, mue par une envie soudaine.
"Non. Reste mouillé".
Il suspendit son geste et obtempéra.
Ruisselant, comme elle.
Il était si robuste, elle si fragile.
Elle était en feu, lui brulant.
Sa bouche était sèche... ses lèvres avides...
Alors, de façon délicate, elle s'agenouilla en embrassant ses pectoraux, son ventre, sa peau sans discontinuer, le visage bien vite à la hauteur de son glaive de chair.
Elle cajolait le membre vigoureux.
Sa voix planait dans l'ambiance feutrée de sa chambre.
"J'ai une énorme envie de te prendre en bouche. J'aime ça..."
Un instant de silence sembla durer une éternité.
"Mais j'ai envie que tu prennes ma bouche comme je t'ai vu faire tout à l'heure... avec ma mère... J'ai envie que tu baises ma bouche."
Elle rougit comme la première fois qu'il l'avait vu se caresser, honteuse de son indélicatesse et de sa demande.
 
Il posa ses mains de chaque côté de son visage.
Il avait noté le tutoiement qui n'était pas pour lui déplaire.
Dans le cadre de leur intimité le vouvoiement disparaissait au profit d'un tout autre registre de langage, plus cru, moins châtié...
Elle ouvrit largement la bouche et posa sa langue sur son sexe.
Elle léchait de bas en haut, à pleine langue, ses yeux plus clairs, plus brillants.
La douceur de son muscle humide sur son membre gonflé lui donnait déjà du plaisir.
Elle voulait qu'il soit comme avec elle...
Il lui fit incliner le menton et le gland trouva le chemin de sa bouche grande ouverte, prête à l'accueillir.
Elle embouchait sans effectuer le moindre mouvement.
Maintenue entre ses mains il donna un lent coup de reins qui fit progresser sa verge entre les lèvres de Coralie.
La jeune femme se laissait faire, ses yeux dans les siens, une étincelle de plaisir illuminait ses pupilles.
Il reflua pour s'enfoncer plus loin.
 
Elle sentait ses joues se creuser sous les intrusions qui s'enchainaient.
Le sexe de Robin allait et venait dans sa bouche.
Elle se sentait possédée par le manche large qui l'obligeait à forcer sur ses mâchoires pour les garder grandes ouvertes.
Les mouvements de bassin de son amant faisaient aller et venir le sexe brulant dans sa petite bouche.
Il utilisait sa bouche...
Il la baisait... comme il avait fait avec sa mère...
Elle voulu gémir.
Elle eu un haut le cœur... le sexe l'empêchait de faire un quelconque mouvement de langue, d'émettre le moindre son.
Il était planté dans sa bouche et se rapprochait de sa gorge.
Il lui sembla qu'elle allait manquer d'air, le visage complètement coincé entre les mains de son fougueux amant..
Elle paniqua.
Il s'enfonça loin en elle.
Elle grimaça, au bord de l'ecoeurement.
Il s'immobilisa, posé au fond de sa gorge.
Elle éprouvait des difficultés à se contenir.
Déglutir était une peine... respirer lui demandait un effort...
Sa bouche tentait de s'ouvrir... de se dégager...
Elle bavait... la salive lui coulait sur le menton de façon obscène.
Son bassin ondulait, agenouillée, elle sentit enfler le plaisir en elle.
Un plaisir fait d'interdits, de saveurs, de contraintes, de relâchement...
Sa garde se baissa complètement, elle sentit avec délice sa salive couler sur son cou jusqu'entre ses seins.
 
Il reprit ses mouvements après ce temps d'arrêt où il l'avait vu peiner à accueillir son membre.
Elle avait des larmes aux yeux mais elle ne le quittait pas des yeux.
Il relâcha la pression sur son visage pour lui donner le temps de se reprendre.
Stupéfait il resta un instant interdit.
Son sexe disparut presque entièrement dans la bouche de Coralie.
Il était amusé et agréablement surpris par la réaction de la jeune femme qui le pompait de façon effrénée.
Elle le suçait comme si sa vie en dépendait, faisant tourner le mandrin dans sa bouche, aspirant, suçant, enroulant se langue autour de la tige et du gland.
Jamais encore elle ne l'avait pris en bouche avec tant de fougue et d'envie.
Il releva une mèche qui lui barrait le front.
Peine perdue, la jeune femme se donnait tellement après s'être fait baiser la bouche, que les cheveux retombèrent sur sa peau délicate.
 
Elle avait subi... appréciée... et elle en voulait encore, comme folle... folle de désirs, de sexe ! Du sexe de Robin.
Ralentissant peu à peu elle se concentrait sur le gland avant de ne faire que d'en lécher l'extrémité... et recueillir la première goutte de foutre qu'il émit.
Elle le tétait.
Un gout de noisette. C'est l'impression qu'elle eu.
Elle le savoura.
Elle était à bout de souffle.
Son cou était sali de sa fellation hors norme.
La gorge profonde l'avait ravie.
Elle n'imaginait pas que cela puisse être aussi bon, mélange de difficulté, d'appréhension et de plaisir partagé.
Elle lui sourit.
Il avait ce sourire à son tour, un sourire qui lui disait "viens... continue... continuons".
Elle se releva et lui prit la main pour l'attirer dans sa chambre.
Tenaillée par des désirs impolis.
 
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Voici un texte haut en couleur dont les 2 première parties se situent là :
 
 
Mes Diamantsless
 
 
Tout de suite un peu de lecture que je partage avec vous tellement l'auteur(e) est délicieuse.
J'espère qu'elle acceptera mon emprunt.
 
"
Sorti de ton étonnement, tu pars fermer la porte à clé de ton bureau, pour revenir face à moi.
Cela te semble tellement fou que tu n’oses croire ce qui se passe devant tes yeux.
« Tu … tu as dialé alors ? »
« Oui »
Tu approches ton visage de mon cou, le mordille doucement, mon épaule, un effleurement, embrasse mes joues, saisie délicatement mon visage entre tes mains et d’un souffle, tes yeux dans les miens «tu es habillée comme une p…. j’ai envie de toi »
D’un sourire espiègle je relève « une p … quoi? »
« Une garce, tu as décidé de me rendre fou ? »
Tu écartes mes cuisses en caressant le bas nylon, le regard émoustillé, brillant, pour te placer entre. Je sens ton envie grossir contre mon ventre.
« Je n’ai pas le temps, tu le sais. Tu me rends dingue là, avec cette tenue, tu es folle de venir ici ainsi vêtue »
Ma tenue des plus érotiques, provocantes et indécentes ne t’empêche pas de penser à lui, à nous « De quoi avez-vous discuté ? »
Ma correspondance sensuelle avec mon ami complice t’intéresse et en même temps, tu n’aimerais ne pas savoir. Je dose mes mots et mes aveux pour ne pas trop te blesser et juste titiller tes sens positivement, juste la dose qu’il faut.
« Un scénario à Venise, les masques, un homme et une femme qui se donnent en offrande lors d’une réception dans un lieu mystique, charmant, le charme de la Vénétie »
« J’aime pas les masques » ta réplique est boudeuse et j’adore ces instants où tu affiches un air de jeune homme boudeur comme un enfant privé de son jouet, de son cadeau, ou privé de friandises.
Je te souris, ma tête penchée sur le côté, un sourire de diablesse, les petits cratères aux creux de mes joues te font fondre.
« J’adore quand tu boudes »
Tu penches ta tête dans le même sens que la mienne, un jeu que tu affectionnes particulièrement, cet effet de miroir «Je ne boude pas, je n’aime pas les masques, on ne voit pas les visages … »
Un silence absolu, juste le crissement de mes bas sous tes mains qui longent mes cuisses, le flanc.
« Tu es tellement désirable, j’ai envie de toi »
Tes mots sortent de ta bouche comme ton désir grandit dans ton pantalon.
J’avance ma main à ta ceinture et la défais méticuleusement, calmement, je dégage ton bassin des entraves du jean et du boxer souillé de ton jus, déformé par ta raideur, attrape avec douceur ta verge décalottée et palpitante. Le gland rond, gros coule de désir, tu es dur, très dur. Je joue de mes doigts sur le méat, en nappe toute ta tige, je tapote le bout, joue avec les petits fils de ta mouille. Je te prépare à une douce pénétration.
Mais ton désir sauvage et bestial me conte une autre chanson. Ta main est déjà à fouiller mon antre luisant et humide. Tu joues de mon bouton, le tire, l’écrase. Il grossit sous tes coups de doigt, de pincement. Quelle délicieuse torture. Je frémis et gémis, le buste en avant, cherchant ton contact.
Il faut dire que mon corps juste vêtu de cette lingerie des plus aguichantes m’a rendu sensible.
Mes sens sont en éveil dès que j’ai enfilé mes bas, fixé les attaches, et ajusté la ceinture de mon manteau de pluie.
Ton autre main joue de mes tétons que tu martyrises avec autant de violence et d’envie.
« Tu es folle de venir ici ainsi, je bande comme un fou là »
Ton déchainement me pousse à serrer ta verge avec un peu plus de force, ma main emprisonne ta hampe et intime quelques léger va et vient.
Nos souffles se font courts et fort comme tu pousses deux doigts dans ma chatte gluante d’envie et de mouille.
Mes lèvres recouvrent tes doigts, les nappent de mon jus, tu me masturbes, m’ouvres les chairs, tu joues dans mon vagin contre les parois, mes gémissements étouffées de part tes baisers te surexcitent.
« Tu dois gémir en silence. Il y a du monde !! »
« hooo, j’ai envie de toi, prends moi !! »
« Non attends, pas de suite »
Ton côté mâle prend le dessus. Tu imposes tes directives à mes manœuvres de diablesse et cette montée en puissance n’est pas pour me déplaire, et tu le sais, tu en abuses.
Tu glisses à mes seins, les suce et les tête, tu nargues de la pointe de ta langue les tétons sorties de la guêpière. Tu aspires ce bout élastique comme pour en tirer le jus, il double de volume sous tes effets de sucions.
Mon gémissement et mon souffle profond te font cesser les caresses pour flirter avec mon ventre et venir humer ma chatte en feu. Je suis brûlante et pousse un petit cri lorsque je sens ta langue chaude se poser sur mon clitoris. Tu taquines du bout de ton muscle buccal pour l’énerver et le sentir gorgé de plaisir entre tes lèvres fines. Tu le suces, l’aspires comme tu as goulument tété mes tétines.
Je les maintiens en éveil de mes mains. Je les pince entre mes doigts pour intensifier au maximum mon désir. Je masse mes seins souples et fermes, ta tête fouineuse entre mes cuisses, tes mains chaudes reposent sur mes jambes gainées.
Je lâche mes seins pour venir prendre ton visage entre mes mains, les appose au niveau de tes oreilles, mes doigts massent ton cuir chevelu, tes cheveux souples glissent à mes phalanges. Je bouge ta tête et me masturbe tout contre ta bouche. Cette caresse est diabolique, extrêmement érotique, un délice.
Tu te redresses après ce traitement des plus excitants pour te saisir de mon visage et embrasser ma bouche goulument. Elle a le gout de ma chatte et j’aime cette odeur acre d’amour, d’envie d’être prise.
Te serres mon visage et m’oblige à me pencher vers ton sexe fier et droit.
« Suce-moi »
Le ton d’exigence est limite, bestial, tout comme tes gestes qui se font avides et fougueux.
Tu ne contrôles plus grand-chose, ton envie est au dessus de tout.
Je penche mon buste et viens à genoux devant toi, ma bouche au niveau de ton sexe odorant d’envie, raide, énorme, j’admire les aspérités, les détails, la veine palpitante. Au moment où j’embouche ton gland, tu étouffes un gémissement entre tes lèvres « hummm ouiiii » un murmure « oui, suce bien, bouffe moi »
Tu agrippes mes cheveux et intime des va et vient sur ta verge gonflé et prête à gicler.
Tu te masturbes dans ma bouche, ton visage crispée, tu retiens ton envie de jouir entre mes lèvres.
Je lâche ton mat pour reprendre ma respiration et venir lécher tes bourses chaudes et pendantes. Elles sont dures, douloureuses et remplies de jus pour moi. Je les roule au creux de ma main, mon autre posée à tes fesses rondes et musclées, que je masse fermement, énergiquement, les approchant et collant à mon visage.
Je suis féline et tigresse, mon envie de toi devient insoutenable.
Tu me redresses, écartes le compas de mes cuisses non sans avoir caressé la douceur de mes bas, joué des attaches, du liseret. Tu prends ta verge raide et énorme entre tes doigts, la dirige vers mon intimité frémissante, le bassin en avant, je viens au contact, mes lèvres gluantes s’ouvrent, se décollent et d’une poussé, me pénètre lentement, tes yeux dans les miens.
Nos gémissements se font courts et sourds.
Des va et vient de ton bassin dans mon antre me comble. « oh iuiiii »
« Oui c’est bon »
Tu pinces mes tétons au moment où tu entres fort dans mon vagin et cognes bien au fond.
Tu cognes fort, te fais sauvage, tu me baises, tu m’astiques profondément, sans ménagement. Je suis tellement ouverte et offerte, chaude et humide. Je n’ai qu’une envie, de me sentir transpercée par ta queue avide et raide dingue.
Tes vas et vient se font plus lent, amples, tu frottes de ton gland sur mes parois internes, tu me manges du regard, éveilles tes sens de mon corps frémissant et diaboliquement excitant, face à toi.
« Tu es incroyable !!! Très vilaine de venir me narguer ici, très vilaine et sublime aussi »
Tes mots sont des murmures, une douce mélodie au creux de mon oreille, un souffle chaud.
« Laisse venir ma chérie … Tu es bonne ma douce»
Cette phrase, ces quelques mots ont le don de me faire perdre pied, je sens venir ma jouissance, une énorme contraction au fond de ma grotte, un cri s’échappe de ma bouche, tes yeux sortes de tes orbites, et tu gicles ton foutre dans mes chairs à cet instant, dans un souffle et un baiser pour étouffer mes cris de jouissance.
En nage tu intimes quelques va et vient plus lents, et fini de te déverser. Nos gestes se font tendres, enlacés, nos corps chauds et en nages s’apaisent.
« pfeuuuu c’est dingue !!! »
Nous rions et sourions de notre audace.
Le téléphone nous ramène à notre réalité, débraillé tu réponds, « oui, j’arrive, j’imprime un dernier document et j’arrive »
Tu rajustes tes vêtements, je referme mon trench. Tu m’enlaces tendrement et m’embrasse délicatement les lèvres. Nos langues humides et encore pleines d’envies se mêlent pour un baiser profond.
« On se revoit quand ? »
Je ris… « je ne sais pas, on vient de ce voir !!! »
« Mais moi j’ai tout le temps envie de toi !!! »
On se quitte sur un dernier baiser, un dernier regard … un dernier sourire.
C’était un jour de match !! 
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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