Voici un texte haut en couleur dont les 2 première parties se situent là :
 
 
Mes Diamantsless
 
 
Tout de suite un peu de lecture que je partage avec vous tellement l'auteur(e) est délicieuse.
J'espère qu'elle acceptera mon emprunt.
 
"
Sorti de ton étonnement, tu pars fermer la porte à clé de ton bureau, pour revenir face à moi.
Cela te semble tellement fou que tu n’oses croire ce qui se passe devant tes yeux.
« Tu … tu as dialé alors ? »
« Oui »
Tu approches ton visage de mon cou, le mordille doucement, mon épaule, un effleurement, embrasse mes joues, saisie délicatement mon visage entre tes mains et d’un souffle, tes yeux dans les miens «tu es habillée comme une p…. j’ai envie de toi »
D’un sourire espiègle je relève « une p … quoi? »
« Une garce, tu as décidé de me rendre fou ? »
Tu écartes mes cuisses en caressant le bas nylon, le regard émoustillé, brillant, pour te placer entre. Je sens ton envie grossir contre mon ventre.
« Je n’ai pas le temps, tu le sais. Tu me rends dingue là, avec cette tenue, tu es folle de venir ici ainsi vêtue »
Ma tenue des plus érotiques, provocantes et indécentes ne t’empêche pas de penser à lui, à nous « De quoi avez-vous discuté ? »
Ma correspondance sensuelle avec mon ami complice t’intéresse et en même temps, tu n’aimerais ne pas savoir. Je dose mes mots et mes aveux pour ne pas trop te blesser et juste titiller tes sens positivement, juste la dose qu’il faut.
« Un scénario à Venise, les masques, un homme et une femme qui se donnent en offrande lors d’une réception dans un lieu mystique, charmant, le charme de la Vénétie »
« J’aime pas les masques » ta réplique est boudeuse et j’adore ces instants où tu affiches un air de jeune homme boudeur comme un enfant privé de son jouet, de son cadeau, ou privé de friandises.
Je te souris, ma tête penchée sur le côté, un sourire de diablesse, les petits cratères aux creux de mes joues te font fondre.
« J’adore quand tu boudes »
Tu penches ta tête dans le même sens que la mienne, un jeu que tu affectionnes particulièrement, cet effet de miroir «Je ne boude pas, je n’aime pas les masques, on ne voit pas les visages … »
Un silence absolu, juste le crissement de mes bas sous tes mains qui longent mes cuisses, le flanc.
« Tu es tellement désirable, j’ai envie de toi »
Tes mots sortent de ta bouche comme ton désir grandit dans ton pantalon.
J’avance ma main à ta ceinture et la défais méticuleusement, calmement, je dégage ton bassin des entraves du jean et du boxer souillé de ton jus, déformé par ta raideur, attrape avec douceur ta verge décalottée et palpitante. Le gland rond, gros coule de désir, tu es dur, très dur. Je joue de mes doigts sur le méat, en nappe toute ta tige, je tapote le bout, joue avec les petits fils de ta mouille. Je te prépare à une douce pénétration.
Mais ton désir sauvage et bestial me conte une autre chanson. Ta main est déjà à fouiller mon antre luisant et humide. Tu joues de mon bouton, le tire, l’écrase. Il grossit sous tes coups de doigt, de pincement. Quelle délicieuse torture. Je frémis et gémis, le buste en avant, cherchant ton contact.
Il faut dire que mon corps juste vêtu de cette lingerie des plus aguichantes m’a rendu sensible.
Mes sens sont en éveil dès que j’ai enfilé mes bas, fixé les attaches, et ajusté la ceinture de mon manteau de pluie.
Ton autre main joue de mes tétons que tu martyrises avec autant de violence et d’envie.
« Tu es folle de venir ici ainsi, je bande comme un fou là »
Ton déchainement me pousse à serrer ta verge avec un peu plus de force, ma main emprisonne ta hampe et intime quelques léger va et vient.
Nos souffles se font courts et fort comme tu pousses deux doigts dans ma chatte gluante d’envie et de mouille.
Mes lèvres recouvrent tes doigts, les nappent de mon jus, tu me masturbes, m’ouvres les chairs, tu joues dans mon vagin contre les parois, mes gémissements étouffées de part tes baisers te surexcitent.
« Tu dois gémir en silence. Il y a du monde !! »
« hooo, j’ai envie de toi, prends moi !! »
« Non attends, pas de suite »
Ton côté mâle prend le dessus. Tu imposes tes directives à mes manœuvres de diablesse et cette montée en puissance n’est pas pour me déplaire, et tu le sais, tu en abuses.
Tu glisses à mes seins, les suce et les tête, tu nargues de la pointe de ta langue les tétons sorties de la guêpière. Tu aspires ce bout élastique comme pour en tirer le jus, il double de volume sous tes effets de sucions.
Mon gémissement et mon souffle profond te font cesser les caresses pour flirter avec mon ventre et venir humer ma chatte en feu. Je suis brûlante et pousse un petit cri lorsque je sens ta langue chaude se poser sur mon clitoris. Tu taquines du bout de ton muscle buccal pour l’énerver et le sentir gorgé de plaisir entre tes lèvres fines. Tu le suces, l’aspires comme tu as goulument tété mes tétines.
Je les maintiens en éveil de mes mains. Je les pince entre mes doigts pour intensifier au maximum mon désir. Je masse mes seins souples et fermes, ta tête fouineuse entre mes cuisses, tes mains chaudes reposent sur mes jambes gainées.
Je lâche mes seins pour venir prendre ton visage entre mes mains, les appose au niveau de tes oreilles, mes doigts massent ton cuir chevelu, tes cheveux souples glissent à mes phalanges. Je bouge ta tête et me masturbe tout contre ta bouche. Cette caresse est diabolique, extrêmement érotique, un délice.
Tu te redresses après ce traitement des plus excitants pour te saisir de mon visage et embrasser ma bouche goulument. Elle a le gout de ma chatte et j’aime cette odeur acre d’amour, d’envie d’être prise.
Te serres mon visage et m’oblige à me pencher vers ton sexe fier et droit.
« Suce-moi »
Le ton d’exigence est limite, bestial, tout comme tes gestes qui se font avides et fougueux.
Tu ne contrôles plus grand-chose, ton envie est au dessus de tout.
Je penche mon buste et viens à genoux devant toi, ma bouche au niveau de ton sexe odorant d’envie, raide, énorme, j’admire les aspérités, les détails, la veine palpitante. Au moment où j’embouche ton gland, tu étouffes un gémissement entre tes lèvres « hummm ouiiii » un murmure « oui, suce bien, bouffe moi »
Tu agrippes mes cheveux et intime des va et vient sur ta verge gonflé et prête à gicler.
Tu te masturbes dans ma bouche, ton visage crispée, tu retiens ton envie de jouir entre mes lèvres.
Je lâche ton mat pour reprendre ma respiration et venir lécher tes bourses chaudes et pendantes. Elles sont dures, douloureuses et remplies de jus pour moi. Je les roule au creux de ma main, mon autre posée à tes fesses rondes et musclées, que je masse fermement, énergiquement, les approchant et collant à mon visage.
Je suis féline et tigresse, mon envie de toi devient insoutenable.
Tu me redresses, écartes le compas de mes cuisses non sans avoir caressé la douceur de mes bas, joué des attaches, du liseret. Tu prends ta verge raide et énorme entre tes doigts, la dirige vers mon intimité frémissante, le bassin en avant, je viens au contact, mes lèvres gluantes s’ouvrent, se décollent et d’une poussé, me pénètre lentement, tes yeux dans les miens.
Nos gémissements se font courts et sourds.
Des va et vient de ton bassin dans mon antre me comble. « oh iuiiii »
« Oui c’est bon »
Tu pinces mes tétons au moment où tu entres fort dans mon vagin et cognes bien au fond.
Tu cognes fort, te fais sauvage, tu me baises, tu m’astiques profondément, sans ménagement. Je suis tellement ouverte et offerte, chaude et humide. Je n’ai qu’une envie, de me sentir transpercée par ta queue avide et raide dingue.
Tes vas et vient se font plus lent, amples, tu frottes de ton gland sur mes parois internes, tu me manges du regard, éveilles tes sens de mon corps frémissant et diaboliquement excitant, face à toi.
« Tu es incroyable !!! Très vilaine de venir me narguer ici, très vilaine et sublime aussi »
Tes mots sont des murmures, une douce mélodie au creux de mon oreille, un souffle chaud.
« Laisse venir ma chérie … Tu es bonne ma douce»
Cette phrase, ces quelques mots ont le don de me faire perdre pied, je sens venir ma jouissance, une énorme contraction au fond de ma grotte, un cri s’échappe de ma bouche, tes yeux sortes de tes orbites, et tu gicles ton foutre dans mes chairs à cet instant, dans un souffle et un baiser pour étouffer mes cris de jouissance.
En nage tu intimes quelques va et vient plus lents, et fini de te déverser. Nos gestes se font tendres, enlacés, nos corps chauds et en nages s’apaisent.
« pfeuuuu c’est dingue !!! »
Nous rions et sourions de notre audace.
Le téléphone nous ramène à notre réalité, débraillé tu réponds, « oui, j’arrive, j’imprime un dernier document et j’arrive »
Tu rajustes tes vêtements, je referme mon trench. Tu m’enlaces tendrement et m’embrasse délicatement les lèvres. Nos langues humides et encore pleines d’envies se mêlent pour un baiser profond.
« On se revoit quand ? »
Je ris… « je ne sais pas, on vient de ce voir !!! »
« Mais moi j’ai tout le temps envie de toi !!! »
On se quitte sur un dernier baiser, un dernier regard … un dernier sourire.
C’était un jour de match !! 
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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