Elle... Il... en duo

Ce récit se situe dans la suite de ceux de Miss Kathleen.hp8zj5bt

 

Il s'est écoulé 3 jours depuis mon serment de soumission à Miss Kathleen.

Pendant ce temps mon hôtesse et moi avons repris notre "collocation" agréable et sympathique comme auparavant.

Ne seraient quelques effleurements de mes fesses par ses mains douces, je pourrais imaginer avoir rêvé cette éducation qu'elle m'a donnée.

Toujours aussi belle et altière, elle vient de me laisser après le souper pour regagner sa chambre.

Son parfum flotte encore dans le salon, mélange suave d'épices et de mandarine.

Je n'ose lui demander si notre aventure va avoir une suite.

J'en crève d'envie mais redoute une réponse négative.

Peut-être a-t-elle suffisamment jouée avec moi, ou bien s'est-elle lassée...

Et si le fait de lui poser la question me valait un refus définitif ? Ou une fessée ?

Hooo... je sens la braise de mes désirs honteux reprendre ardeur.

Ses mots me reviennent... ses gestes... mes attitudes et positions... osées et terriblement sources d'excitation et de jouissance.

Je décide d'aller me coucher à mon tour.

Elle s'est enfermée et lorsque je passe devant sa porte je n'entends nul bruit.

Je prends un livre pour m'enlever de l'esprit mes images et mes idées sensuelles où je suis son jouet, son "servant".

La lecture se fait avec peine, je dois relire de nombreux passages, tant je vagabonde en dehors de mon roman.

Son appel me fait jaillir d'un bon hors du lit.

Mon livre tombe, je l'enjambe et me précipite en dehors de ma chambre pour venir toquer à la sienne.

Ma Maitresse m'appelle... et j'accoure.

Mon cœur bat la chamade.

"Entre".

Sa voix sonne comme une flute irlandaise, douce mélodie elfique, envoutante dont je sens les fils s'emparer de mon corps et de mon âme.

Je pénètre dans son sanctuaire.

Telle une vénus callipyge, elle est allongée sur son lit.

Les draps d'un vert profond presque noir tranchent avec sa peau blanche constellée de petites tâches de rousseur.

Une lumière indirecte nimbe la pièce d'une clarté dorée.

Ses cheveux flamboyants détachés de leur sévère chignon habituel, cascadent sur ses épaules et sur sa poitrine opulente.

Ses larges mamelons roses et saillants, sont dressés vers l'avant, vers moi.

Ses hanches découpées et ses fesses bombées l'apparente à une statue d'Aphrodite.

Son corps est alangui, un genou relevé, une jambe posée sur le lit.

Au creux de ses cuisses, son sexe s'offre à mon regard.

Une fente entrouverte, cernée d'une courte toison rousse perlée de quelques gouttes de rosée corporelle.

D'une main, elle fait osciller un godemichet transparent sur son intimité.

Elle pose son regard bleu turquoise sur moi, détaille mon torse nu qui monte à chaque respiration, mon ventre aux muscles fins, mon entrejambe qui témoigne de mon vif intérêt pour elle malgré le caleçon qui cache ma masculinité.

Elle sourit, éclairant son visage, attisant le feu qui brûle en moi.

"Mon bel étalon... enlève ton caleçon..." m'ordonne t elle en se caressant avec son ersatz de phallus dans un geste ample, sans autre forme de procès.

Lentement je fais descendre le rempart de ma nudité.

Ma verge se tend, se décalotte seule sous l'excitation...

Mes bourses, qu'elle souhaite glabres, pendent entre mes cuisses.

Je me penche pour faire descendre et ôter définitivement mon caleçon.

Son regard est étincelant.

"Tu es vraiment bien monté." Lance t elle à mon égard.

Elle a fait entrer le bout de son jouet dans sa fente.

Avec lenteur elle le fait parcourir son orifice, de la proximité de son clitoris à celle de son anus.

Je reste immobile, nu, debout devant elle pendant de longues minutes.

Elle m'observe et se régale de me voir offert à elle. Elle se caresse en se trémoussant.

Je la dévore des yeux.

Elle gémit en enfonçant le manche en elle.

Enserré entre ses doigts fins, j'aimerais tant qu'il s'agisse de mon sexe.

Je suis contrains à la voir se procurer du plaisir, sans pouvoir la toucher, pourtant si proche.

Je bande de façon douloureuse.

Mes olives montent et descendent dans mes bourses sur lesquelles l'air qui les effleure suffit à m'exciter.

Elle extraie le pilon qui vient de la faire grogner et souffler, ravie.

"Approche".

J'obéis.

Elle me tend le gode, souillé de son jus.

"Lèche-le... il a mon gout" sourit-elle.

Je m'agenouille devant son lit et pose ma langue sur le plastique chaud et poisseux.

Lentement je fais remonter ma langue sur l'entière hauteur qu'elle me propose.

Mes lèvres se posent sur ses doigts, mon muscle recueille sa cyprine.

Obéissant je nettoie l'objet indécent.

Elle ne me quitte pas du regard avant de m'enlever le jouet de la bouche pour le plonger de nouveau dans son étui vaginal.

Elle a une petite grimace de plaisir qui me donne encore plus chaud.

Quelques va-et-vient puis elle me le présente à nouveau.

"Suce-le. Tu aimes ?"

J'ouvre ma bouche et embouche l'objet pour me délecter de son sirop de femme.

"Oui Miss Kathleen, votre jus est délicieux. Merci". Dis-je avant de reprendre l'objet entre mes lèvres.

A chaque fois elle le plonge en elle pour le ressortir, nappé de son humeur.

Dans sa main, je viens sucer son gode à chaque fois qu'elle m'y invite.

"Dis donc... tu à l'air de vraiment apprécier. Je pourrais t'ordonner de sucer... un vrai sexe d'homme". Me dit-elle soudain.

Je m'interromps, bloqué.

Mes joues rougissent.

Je retire le pseudo sexe de ma bouche.

"Continue". Ordonne t elle d'un ton sec.

Docile, je recommence à... sucer ce qu'elle me propose.

Mon esprit est en ébullition. Elle, oui, mais un homme non ! Je m'imagine dans cette position, alors qu'elle m'obligerait...

"Tu le ferais... pour mon plaisir ?" Sa voix est un murmure aussi doux que l'eau qui coule dans un sous-bois.

Je cligne des yeux en la regardant... mes paroles m'échappent, sincères, excitantes.

"Oui Maitresse. Pour votre plaisir".

Je n'en reviens pas de moi-même.

Mon visage s'empourpre, je baisse la tête, incapable de lui résister.

"Humm" gémit-elle en enfonçant son godemichet loin dans son abricot.

"Tu es vraiment un vilain petit cochon... que j'adore !"

J'avale le pseudo sexe dans une fellation intense.

Avec elles les barrières de mes tabous tombent l'un après l'autre... pour elle ma morale disparait au profit d'un plaisir complice.

Elle se redresse et saisit ses seins, abandonnant le sex toy sur ses draps froissés.

A genoux à côté de son lit j'admire sa voluptueuse poitrine se faire presser.

Le téton saillant parait gonfler en taille, en présence.

En son centre le téton est tendu, tel un pic.

"Viens me téter baby".

J'obéis, impatient, heureux d'avoir l'autorisation de poser mes lèvres sur sa poitrine si belle, si ample.

Le large bout de sein disparait dans ma bouche.

J'aspire avec délice ce cadeau qu'elle me fait.

Elle se trémousse, je suçote avec de plus en plus de gourmandise.

De ma langue je joue avec la tige, l'agitant de droite à gauche avant de la sucer, puis la relâcher et recommencer, plus fort, plus intense...

Elle gémit, ses mains ont abandonnées sa poitrine.

L'une d'elle masse sa fente ouverte, l'autre appuie sur ma nuque pour me maintenir en contact étroit avec ses seins.

Je passe de l'un à l'autre, enivré par leur molle fermeté, la texture de velours indicible.

Ses tétines sont des bonbons que je savoure.

"Hummm... arrête... tu pourrais me faire jouir rien que comme cela... tu sais..."

Je délaisse à contre cœur sa généreuse poitrine.

Elle tapote sur le lit.

Je monte la rejoindre.

Avec d'habiles gestes elle me caresse, et lie mes poignets aux barreaux de son lit...

Je me retrouve bientôt presque à 4 pattes, mains et pieds liés.

Elle flatte mon corps de ses doigts délicats, de ma nuque à mes cuisses.

Elle n'oublie aucun endroit, elle prend possession de mon être, ses doigts s'insinuent le long de ma verge, sur ma bouche...

Elle masse fermement mes bourses pendantes.

Son index se pose sur mon œil intime.

Elle s'y attarde par petits cercles.

Je me dandine, incapable de résister à ses manigances délicieuses.

"Tu as déjà été doigté..."

Je prends une grande inspiration quand son bout d'index flirte avec le centre de mon anus.

"Oui Miss Kathleen".

"Et tu aimes..."

"Ho... (Elle enfonce le bout de son doigt en moi)... oui Miss Kathleen..." soupire-je.

"Pour moi, tu accepterais de te faire... sodomiser ?"

Je me raidis une nouvelle fois.

"Je... "

Sa main vient me claquer doucement les fesses.

"Non... Miss Kathleen... non... je ne veux pas qu'un homme me prenne". Ose-je lui avouer.

Une nouvelle fessée tombe sur moi avant de se transformer en caresses.

Elle s'éloigne, ouvre une porte de placard.

 

A suivre…

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[...]

 

 

2-

 

"Robin... j'en ai rêvé... que tu baisais ma bouche". Ose t elle lui avouer en rougissant.

 

Il lui sourit.images.jpg

 

"Coralie... tu es... une adorable petite coquine".

 

Il saisit le visage ovale et opalin entre ses mains.

 

"Ouvre grand ta bouche..."

 

Elle obéit.

 

Il force son sexe à entrer en elle.

 

Immobilisée, il enfile sa bouche, lime dans son orifice, de plus en plus loin.

 

Elle hoquette, manque d'avoir un haut le cœur.

 

La tige entre et sort de la bouche, arrachant salive et grimace, faisant se tendre les lèvres, creuser les joues.

 

Debout devant elle, maintenant fermement le visage féminin, seules ses hanches vont et viennent dans un rythme soutenu.

 

Il gémit de plaisir, la tension de son corps semble s'apaiser alors qu'il bourre sa bouche avec lenteur et profondeur.

 

Lorsqu'il sort d'elle, elle aspire l'air dans une grande inspiration.

 

Ses lèvres sont devenues rouges par l'action qu'il lui a imposé.

 

Elle le regarde, à genoux devant lui, le mâle dans toute sa splendeur.

 

Lentement elle fait jouer ses mâchoires pour les détendre.

 

"J'aimerais..." elle n'ose plus rien dire, soudain honteuse.

 

Il l'encourage, ses mains caressent son visage.

 

"Coralie, vous pouvez tout me dire".

 

Sa poitrine se soulève d'excitation

 

"J'ai envie d'avaler, de sentir votre sirop... de vois boire." dit elle trop rapidement.

 

Elle pose de nouveau sa langue sur la tige brulante, et lèche en fermant les yeux.

 

"Hummm c'est si bon..."

 

Inclinant le visage elle saisit le sexe entre ses lèvres et exerce une masturbation douce.

 

Il gémit, elle sent son plaisir enfler dans le manche qu'elle enserre et la jouissance gonfler dans son bas ventre comme une bulle qui électrise tous ses nerfs.

 

Parvenue en bas du manche elle aspire une à une les 2 boules lisses et les tire vers l'intérieur de sa bouche puis relâche la pression avant de recommencer.

 

Il s'agite, ses bourses sucées avec délice.

 

Il a du mal à contraindre son plaisir à ne pas éclater.

 

De l'intérieur de ses cuisses jusqu'à sa nuque il ressent les picotements de l'orgasme qui croit.

 

"Je vais ... jouir... "dit-il dans un souffle.

 

Elle relâche la pression autour des deux orphelines et tire la langue, la bouche grande ouverte comme elle l'a vu faire.

 

Les jets explosent, giclent avec puissance dans sa bouche.

 

Le foutre chaud et épais tapisse sa gorge.

 

Elle tape le sexe contre sa bouche en le masturbant doucement à sa base.

 

Ses bourses remontent, se libèrent de leur jus.

 

Elle avale par gorgées le liquide amer et onctueux.

 

Ses sens surexcités elle goute le plaisir défendu du résultat de sa fellation.

 

Au dessus d'elle, Robin râle son orgasme... un son qui l'enchante.

 

Elle le regarde, il sourit, un peu de jus blanc au coin de ses lèvres elle est aux anges.

 

"J'aime te tailler une pipe Robin. Peut-être ne suis je pas aussi douée que... d'autres, mais j'aime ça." Lui lance t elle en continuant de faire osciller de sa main le large membre qui se détend, toute honte disparue.

 

Elle se relève et il apprécie les yeux azurs qui étincellent alors qu'elle se retrouve presque collée à lui.

 

Il dépose un léger baiser sur les lèvres chaudes qu'elle entrouvre immédiatement.

 

Leurs langues se mêlent et s'enroulent dans la passion.

 

Elle a un parfum de suc d'homme et il s'étonne de l'embrasser avec encore plus de vigueur rien qu'à le ressentir.

 

Il s'écarte un peu d'elle pour l'admirer.

 

Son top est marqué par les pointes saillantes de ses seins qui, tels des phares, attirent son regard et sa convoitise.

 

"Tu es superbe" lui dit-il en la contemplant.

 

"Je ne suis pas la "reine des salopes" pourtant" lui rétorque t elle en utilisant les paroles qu'elle a du lui entendre proférer à sa mère.

 

"Non... Tu es la plus belle fleur de la roseraie. Une rose qui donne envie de butiner." Adoucit-il de sa voix grave.

 

"Et je suis toute... lisse, douce comme des pétales" lui avoue t elle en rougissant.

 

Les doigts de Coralie abandonnent son sexe pour caresser son torse et faire remonter son tee-shirt.

 

Il est nu devant elle, et son pieu reprend force.

 

Ses mains se glissent alors sous les fesses de la femme qu'il soulève et dépose sans effort sur un meuble de rempotage de chêne clair.

 

Sans un mot il dégrafe son jean et lui retire avec une vigueur mesurée, lui en levant son string dans le même temps.

 

" Hoo Robin... je suis toute mouillée" gémit elle.

 

Maintenue par les genoux, il ouvre le compas de ses cuisses fuselées pour découvrir sa rivière aux rives perlées de gouttelettes de plaisir.

 

Entièrement lisse, son abricot fendu lui donne envie.

 

"Elle est très appétissante" lui murmure t il.

 

Elle se contorsionne, agite son bassin, ses mains viennent s'emparer de ses seins et les masse devant lui qui la maintient fortement écartée, jusqu'à en faire s'ouvrir ses lèvres, son mont de venus offert à sa vue.

 

"Humm..." gémit elle doucement.

 

Il se penche en avant, souffle sur le sexe glabre qu'elle arbore avec insolence, lui provoquant aussitôt un gémissement plus fort.

 

Il pointe le bout de ses lèvres pour effleurer les lèvres nimbées de cyprine.

 

"J'ai envie de te bouffer" lui lance t il en posant sa langue large sur son sexe.

 

Il sent son corps réagir, entend sa voix douce gémir, ses cuisses s'ouvrir dans ses mains, il déguste son miel aux fragrances enivrantes.

 

Sa langue remonte lentement jusqu'à exercer des pressions sur le pistil qu'il fait s'extraire de son logement.

 

De deux doigts il écarte les lèvres délicates de son amante et lui arrache un cri.

 

Son corps se tend comme un arc, elle n'est que désir et sens exacerbés.

 

" Haaaa oui...Ouiii... bouffe moi la chatte à n'en plus pouvoir ... j'ai chaud, je suis trempée !"

 

Ses paroles lui échappent, souvenirs de ce qu'elle a lu, vu, entendu...

 

"...Tu m'attises ! Je suis en feu !"

 

Son corps est une liane qu'il maintient alors que sa bouche et sa langue explorent son antre dans les moindres plis.

 

" Lèche moi, aspire moi, je veux entendre les bruits de sucions, je veux sentir tes lèvres sur mes lèvres, partout... hannnn..."

 

Il tête son bouton, elle manque de défaillir tellement le plaisir monte en elle.

 

" Je veux te sentir te faufiler dans ma fente, je veux bouger sur ta bouche, je veux gémir encore ouiiii..."

 

Ses lèvres sucées, son intérieur envahit par la langue et les doigts de Robin, elle sent l'excitation remonter jusqu'à sa nuque.

 

" Hooo Robin ! Bouffe-moi ! J'ai envie ! Envie de toi ! Ouiiii"

 

L'orgasme la surprend.

 

Elle se cabre, son sexe pourtant maintenu et dégusté avec une frénésie incroyable par l'homme qui lui pratique un cunnilingus depuis de longues minutes.

 

Elle tente de retenir son plaisir et le sirop qu'elle sent s'écouler... avant de s'abandonner dans les bras de la jouissance et lui offrir son offrande liquide.

 

Ouvrant les yeux vers le ciel, au centre de la roseraie, elle crie son bonheur.

 

Et Robin l’avale.

 

 

Quelques minutes plus tard les deux amants sont encore enlacés.

 

Dans les bras l'un de l'autre, sans un mot, seuls leurs yeux se croisent, leurs sourires se fondent quand leurs bouches se rejoignent.

 

"Au fait Robin... je ne t'ai pas dit pourquoi je venais." lui dit elle d'un air malicieux.

 

Il relève une mèche blonde pour la questionner.

 

"Ma mère avait besoin de te voir... tu vas être en retard." Minaude t elle tout en massant son sexe qui avait repris de la vigueur.

 

"Tu... mérites une fessée ! " lui dit-il en souriant et en remettant son pantalon.

 

Elle le regarde, admire son corps qui s'habille.

 

"Ho oui je mérite d'être punie... et toi... tu vas l'être aussi. Mais avec ce que tu m'as donné, elle va pouvoir en avoir pour un moment."

 

Il dépose un dernier baiser sur ses lèvres.

 

"Je suis toujours aux ordres de ma maitresse... et de sa fille" lui déclare t il avant de s'éclipser et répondre, très en retard, à la demande de sa patronne.

 

Elle saisit un sécateur, se coupe une rose de couleur carmin... "Une rose pour une rose" dit-elle en la humant, souriante et lascive.

 

Fin.

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La roseraie est un endroit particulier de la villa dans lequel Robin apprécie de venir passer un moment à s'occuper des plantes qui y sont dorlotées.21

 

Dans cette vaste coupole de verre et de ferronnerie, au milieu des jardins à diverses hauteurs, il s'immerge dans l'ambiance de Jules Verne, rêvant parfois à des lieux incroyables lorsque le soleil fait flamboyer les fleurs.

 

La pluie qui s'écrase ne trouble en rien sont travail méticuleux.

 

Par des gestes précis il coupe, ôte les épines, écarte les mauvaises herbes.

 

Il est surpris lorsqu'il entend derrière lui un bruit de sécateur.

 

Tenant dans sa main l'appareil, Coralie lui sourit.

 

"Bonjour Robin ".

 

Sa voix de cristal lui fait instantanément un effet sensuel.

 

Elle porte un petit top sans manche, rose pale, un jean bleu avec une ceinture où des brillants forment des arabesques florales.

 

Ses pieds dans ses baskets, elle danse d'une jambe sur l'autre.

 

La bretelle de son top a glissée sur son épaule.

 

Il devine qu'elle ne porte aucun soutien-gorge, ce que ne démentent pas les saillies que forment ses tétons sur le tissu qui cache sa poitrine aguicheuse.

 

" Mademoiselle Coralie, bonjour."

 

Il lui rend le sourire qui illumine son visage de jeune femme.

 

Quelques questions banales sur le moment, le temps et un silence s'installe.

 

"Ma mère vous apprécie énormément" murmure t elle.

 

Elle l'observe attentivement, ce mâle brun au regard perçant, ses grandes mains habiles et son corps a la musculature fine.

 

Simplement revêtu d'un tee-shirt, ses épaules et son torse évoquent la force et l'agilité.

 

Son pantalon, parsemé de poches où il range divers accessoires, est resserré par une ceinture de tissu aux multiples fixations. Une paire de chaussures épaisses achève sa tenue.

 

Elle se mord les lèvres devant lui... son initiateur, son premier amant.

 

" Je ne vais pas vous le cacher" lui répond-il.

 

Elle lui avoue les avoir vu dans le hall ce dimanche, guettant sa réaction.

 

Loin d'en avoir honte il se rapproche d'elle et pose son sécateur.

 

Elle frémit involontairement, sentant son sexe s'ouvrir par intermittence et souiller sa culotte.

 

"Votre mère est une femme très belle, elle est aussi ma patronne. Et vous n'ignorez pas qu'elle est aussi mon amante."

 

Il voit sa poitrine se soulever, sa respiration s'accentuer.

 

Si proche d'elle, il peut en sentir le parfum délicat, rose parmi les roses.

 

"Je le sais Robin... et quand je vous ai vu la... prendre... j'aurais voulu être à sa place... J'espère qu'elle ne sait pas pour nous ?"

 

La lumière tombe sur elle et la magnifie alors que ses joues rosissent.

 

"Je ne lui ai rien dit" lui répond il, si proche d'elle qu'il sent son parfum au milieu des fragrances florales.

 

Elle lui répond d'une œillade complice, rassurée.

 

Il voit son bras nu et ses doigts fins se lever.

 

Il sent sa main délicate se poser sur son torse.

 

Il en apprécie le geste, son sexe réagissant aussitôt.

 

"Vous m'espionniez... vous avez tout vu... et... cela vous a plu ?" ose t il lui demander alors qu'elle caresse son corps au travers de son tee-shirt.

 

"J'ai tout vu... tout." Ses yeux bleus se baissent vers le sol, légèrement honteuse tout autant qu'excitée par cette situation.

 

Elle hésite à poursuivre... "Et j'ai apprécié..."

 

Elle relève les yeux, croise son regard qu'elle sait plongé dans son décolleté.

 

Instantanément ses tétons se tendent avec orgueil.

 

Il pose sa main sur la sienne, emprisonnant ses doigts dans sa main large.

 

"Et cela vous a plu ?"

 

Involontairement ses joues prennent une teinte cramoisie.

 

"Vous vous êtes caressée ?" continue t il de la questionner.

 

Elle rompt avec les yeux sombres qui l'observent et la détaillent.

 

Elle voudrait crier son plaisir d'alors et l'envie qu'elle ressent dans son ventre comme une boule de feu qui irradie tout son corps en ce moment même.

 

"Oui..." avoue t elle timidement.

 

Sa petite main dans celle de Robin, elle vient déposer un baiser sur les doigts masculins.

 

Sur sa joue, la caresse de l'homme en face d'elle la réconforte.

 

"Et j'ai tout entendu..." sourit-elle en relevant le visage, "... tous ces mots très crus..."

 

Ses yeux pétillent alors qu'elle le voit sourire.

 

Elle partage ce sourire qui la fait fondre.

 

"J'ai entendu comme elle aimait savoir que vous aviez eu une autre femme... plus jeune qu'elle..." ses mots se bousculent.

 

Il fait descendre sa main pour que celle de Coralie vienne découvrir l'ampleur du désir qu'elle a fait naitre chez lui.

 

La jeune femme continue de lui révéler, de se livrer.

 

"J'ai aimé lorsque vous lui avez tenu tête pour ne rien révéler. J'avais peur. J'avais honte..."

 

Sa voix si douce l'envoute.

 

Ses doigts posés sur l'entrejambe, elle palpe avec douceur son membre qui s'agite.

 

"Et je me suis caressée... rêvant d'être elle... et encore après, toute seule...ho... Robin..."

 

Il laisse la main de la femme masser son sexe sous le pantalon, remontant ses mains sur ses hanches.

 

Les rondeurs de ses fesses bombées ondulent imperceptiblement alors qu'il se pose sur elles.

 

"J'ai envie de vous" lui dit-elle soudain.

 

Il la contemple.

 

Ses formes mises en valeur par sa tenue qui épouse ses courbes délicieuses sont un appel à la passion.

 

"J'ai envie que vous... preniez ma bouche" poursuit elle en accentuant les palpations sur sa verge durcit.

 

De quelques années plus jeune que lui, Coralie est désirable autant que sa mère.

 

Il tente de résister...

 

Quelle sorte d'homme est-il ?

 

Il possède sa patronne, de plus de 10 ans son ainée... Et déflore sa fille de 25 ans... Mais comment résister à ces deux merveilleuses femmes qui incarnent chacune autant l'amour et le désir.

 

Elle dégrafe le pantalon et faufile sa main pour venir saisir le manche raide.

 

Elle en apprécie la forme, la dureté.

 

Il semble hésiter tout en la couvant des yeux comme un prédateur.

 

"Je suis sa proie" pense t elle avec un sentiment d'excitation supplémentaire.

 

Sous ses doigts elle caresse le sexe tendu qu'elle a vu en action.

 

Lorsqu'il lui sourit, son cœur bondit, son corps est parcouru d'un frisson de plaisir.

 

La voix est grave, chaude..." Agenouille-toi..." lui dit-il.

 

Elle a soudain le tournis mais s'exécute, refrénant ses envies d'aller vite.

 

Tout en se positionnant devant Robin, elle fait descendre son pantalon et le boxer.

 

Dodelinant devant ses yeux, le sexe devient de plus en plus roide, dressé vers le ciel.

 

L'objet de sa convoitise enfin à portée de ses doigts, de sa bouche, elle pousse un soupir de satisfaction.

 

Elle caresse le pylône de chair. Il est brulant.

 

Ses doigts glissent de la couronne du gland parsemé de petites aspérités, à la base étonnamment large en suivant la veine et les nervures qui décorent ce glaive majestueux.

 

Du bout de son index elle s'attarde sur le méat, une fine fente qui sépare le gland rond et turgescent, en le faisant s'entrouvrir délicatement à chacun de ses passages appuyés.

 

La douceur de la peau de cette pointe la fait chavirer.

 

Mais quel genre de femme est-elle pour être aussi excitée ?

 

Elle attire à elle l'homme qui baise sa mère... son ainé de quelques courtes années...

 

Mais pourquoi résister à cet homme qui la fait atteindre la jouissance.

 

Elle ouvre la bouche et avale goulument le gland turgescent.

 

Sa petite bouche aux lèvres roses s’ouvre et forme un rond presque parfait pour entourer son bout lisse.

 

Il l'observe s'affairer lentement sur le casque sensuel.

 

Elle aspire, relâche, tête avec gourmandise comme il lui a appris à faire.

 

Très vite son pieu grossit et enfle sous la pression des lèvres et de la langue agile qui flirte avec le méat.

 

Cette femme est affamée, elle le gobe, l'aspire et le tire vers elle avant de faire coulisser sa verge dans sa bouche.

 

Il caresse son front, relève une mèche blonde, la regarde et lui sourit.

 

"Hoo... Coralie... oui...continue".

 

A ces mots la jeune femme engloutie le sexe dressé, douloureux et tendu à l'extrême.

 

Il admire sa patience et la dextérité qu'elle met en œuvre pour le sucer.

 

Un peu maladroite compte tenu de la largeur de la verge qu'elle avale presque entièrement, elle compense son inexpérience par une envie sauvage.

 

Il se délecte de la petite bouche avide qui s'affaire le long de la colonne nervurée.

 

Elle prend ses invitations à continuer comme autant de récompenses et de remerciements.

 

Dans sa bouche le sexe déforme ses joues par moment, cogne contre le fond de sa gorge et la fait saliver, baver le long de la colonne.

 

Enfin elle peut le sentir pulser sous sa langue, comme dans ses pensées intimes et osées.

 

Du plat de sa langue elle presse la veine saillante d'arrière en avant puis relâche le membre viril.

 

Avec son bout de langue elle caresse le dessous du gland, s'attarde sur les replis.

 

Elle reprend sa salive et sa respiration.

 

Son menton est humide, elle l'essuie puis se saisit des bourses glabres, lourdes, pleines, qui pendent sous le cep dressé.

 

Dans ses mains elle apprécie les boules qu'elle malaxe et fait rouler.

 

Elle lèche doucement la glace de chair...

 

A suivre...

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