Elle... Il... en duo

[…]

 

Son téléphone vient de disparaitre dans la poche de jean de l’étudiant, incapable de lui résister. soumise 

   

"Tu vas voir" lui dit-il "tu vas appeler..."

 

Elle rougit et se cambre sous ses sous-entendus, offrant de nouveau sa croupe à la main qui s'en ressaisit.  

 

Malgré elle, elle sent son corps la trahir.

 

A genoux devant elle le jeune homme délaisse sa cheville. Ses deux mains remontent sur ses jambes.

 

Sa jupe remonte, accrochée par les doigts longs et fins de celui qui ne cesse de la contempler de ses lacs azurs.

 

Il n'est pas long à trousser le tissu en haut de ses cuisses et dévoiler les bas adhésifs aux motifs brodés ainsi que le tissu transparent de son dessous.

 

Du bout des doigts il remonte très haut... elle gémit un "non..." mais ses jambes s'ouvrent en contradiction.  

 

Encore une fois son esprit ne parvient pas à endiguer les réactions de son être.

 

Il effleure le coton noir de sa culotte de bas en haut.

 

Sous les caresses conjuguées des mains qui malaxent ses seins et de celles qui s'attardent autour de son pubis, elle se sent mouiller de cette immoralité.

 

« Pitié… je suis mariée… »

 

Les doigts du blond se posent sur le tissu humide et masse avec lenteur avant de se glisser, chacun par un côté, sous celui-ci et venir découvrir la frange pileuse.

 

Elle les sent, des doigts doux et habiles, parallèles, monter et descendre sur ses lèvres, appuyer en douceur sur son sexe.

   

Elle se dandine malgré elle. Le soleil décline.

 

Les doigts se font crochets et tirent vers le bas le rempart de son intimité.

 

Obligée de resserrer les jambes le jeune homme fait coulisser son tanga sur ses bas jusqu’à ses chevilles.

 

Le second étudiant s’est placé sur sa gauche.

 

Il saisit sa main et la place sur son entrejambe.

 

Elle résiste mollement à ce geste qui lui est imposé.

 

Elle sent la dureté masculine de cet homme, engoncé dans son jean et tente de s’en soustraire.  

 

« Non… s’il vous plait… »

 

Les boutons se défont peu à peu et le pantalon tombe au sol.

 

Elle ne parvient pas à détourner le regard du boxer.

 

Une barre déforme le tissu et la partie basse est remplie de deux rotondités.

 

« Mon mari… va… »  

 

Il baisse le boxer d’un coup sec.

 

Elle ne termine pas sa phrase, surprise.

 

Ses yeux s’ouvrent en grand.

 

Un sexe long, en arc de cercle, dressé fièrement vers le ciel émerge d’une broussaille de poils bruns.

 

Sa main, petite dans celle de l’étudiant nu devant elle, est forcée à se poser de nouveau sur le membre viril.

 

« Oui, on sait, tu es mariée. »

 

Les mains du blond se glissent sous ses genoux et remontent ses jambes en les écartant.

 

Elle voudrait se lever, bondir, les empêcher de la violer, mais ses forces l’abandonnent.

 

Sa jupe n’est plus qu’une bande de tissu sur le haut de ses hanches.

 

Elle observe son alliance en contact avec le sexe inconnu. dans les derniers rayons du soleil elle brille d'un éclat orangé.

 

Elle pousse un gémissement alors qu’elle sent le visage se poser entre ses cuisses, le souffle se centre sur sa fente dont l’odeur d’excitation lui parvient.

 

Les mains halées la caressent.

 

Elle voudrait les supplier mais ne parvient qu’à gémir au contact des joues masulines qui glissent sur ses bas.

 

Sa main libre a enserrée le pieu et l’éclat de l’anneau monte et descend.

 

Elle ferme les yeux. « Ce n’est pas possible. Je dois me ressaisir… » pense t elle sans y parvenir en continuant de masturber l’homme debout à ses côtés pendant qu’un autre vient lécher sa fente largement écartée.

 

Elle sent son pull se soulever et disparaitre.

 

Soudainement, elle se lève, fait un pas en direction de la porte avant de tomber à genoux.

   

Trahie par sa cheville.

 

Ses mains au sol.

 

Sa forte poitrine ballotant, ses pointes tendes comme des mats de bateau.

 

Sa jupe retroussée sur ses hanches, les fesses à l’air.

 

Elle s’immobilise.

 

Sa position lui apparait.

 

Elle tourne la tête vers les deux hommes.  

 

« Je ne suis pas… pas comme ça… » peine t elle à leur dire.

 

Le blond tient à la main sa culotte.

 

Il s’approche d’elle, le tissu souillé dans ses doigts.

 

Avec douceur et précision il pose le tanga sur ses lèvres.

 

Elle ouvre la bouche, ses joues sont rouges. De confusion, de honte, de plaisirs impolis, d’envies inassouvies.

 

Elle découvre le gout de son sexe sur le tissu.

 

De chaque côté de son visage se tend sa culotte qui, tel un mors, force son visage à se redresser.

 

« Tu n’es pas comme cela ? »

 

Bâillonnée par son dessous elle ne peut qu’osciller la tête négativement.

 

« Tu es mariée ».

 

Elle hoche la tête, affirmative.

 

L’étudiant blond s’est placé à cheval sur elle, son pantalon rêche, ses cuisses musclées pressent ses flancs.

 

« Tu as déjà trompée ton mari ? »  

 

Elle hésite… s’empourpre… la saveur de sa mouille se mêle à sa salive… ne répond pas.

 

En face d’elle le jeune homme nu sourit à ce moment d’aveu muet.

 

« Tu as déjà eu deux hommes ? »

 

Elle secoue le visage de droite à gauche.

 

Elle le voit échanger un clin d’œil complice avec celui qui la tient… telle une pouliche.

 

« Et tu l’as déjà fantasmé ? »

 

Elle ferme les yeux. Une hésitation de plus qui la trahit.

 

Devant elle l’étudiant nu la détaille avec un regard gourmand.

   

Son sexe dressé sur son ventre il la regarde.

 

La culotte se détend et libère sa bouche, entrainant un filet de salive sur son menton.

 

« Tu n’es pas comme cela… tu es mieux que cela. » dit-il dans un sourire.

 

Tant de mots se bousculent dans son esprit, tant d’images, de contradictions, d’envies immorales et contre nature.

 

Il s’approche d’elle, se place à genoux, sa main caresse son membre viril devant son visage.

 

Derrière elle une main vient se placer sur sa fente et la caresse de plus en plus rapidement.

 

Elle, leur professeur, à 4 pattes, en train de se faire masturber, sans aide possible… sans personne pour l’aider… ni… la voir.

   

A ses narines parvient la fragrance de la virilité que l’étudiant fait coulisser à quelques centimètres d’elle.

 

Un geste d’oscillation et le gland effleure ses lèvres.

 

Elle ferme les yeux.

 

Le casque rond et chaud du pieu vient se frotter à sa bouche close.

 

Il se fait plus présent sur son visage, sur ses joues, écrasant sa bouche que seule une dernière pensée de raison maintient ainsi obstruée.

 

Lorsqu’un doigt s’enfonce dans son vagin, elle se cambre et couine.

 

Lourds, elle sent ses seins surexcités se balancer sous elle.

 

Un second doigt s’enfouit entre ses muqueuses béantes et molles… suintantes et offertes.

 

Les gestes précis de l’homme déforment sa matrice, écartent et malmènent son sexe, excitent sa perle gorgée de sang.  

 

Sa bouche s’entrouvre pour exhaler un souffle de plaisir alors que son clitoris est malaxé avec une expérience qu’elle n’aurait pas imaginée chez un homme si jeune.

 

Surprise du plaisir qui monte en elle, elle se découvre à pousser son bas ventre vers la main qui la tourmente, s’enfonçant volontairement sur le duo de doigts agiles.

 

La seconde main de l’homme caresse son dos, ses reins, ses fesses.

 

« S’il vous plait… » hasarde t elle « je ne dirais rien… »

 

Le sexe dur entre dans sa bouche.

 

« Nous non plus nous ne dirons rien » lance le brun devant elle.

 

Elle découvre la douceur et la chaleur de la verge courbée sur son muscle, contre la paroi intérieure de sa joue.  

 

Une main saisit ses cheveux et la force à monter et descendre sa bouche autour du sexe étranger qu’elle enroule de sa langue.

 

Elle sent son esprit faiblir et la main ne fait qu’accompagner son visage alors qu’elle suce désormais volontairement.

 

Une boule de chaleur gonfle dans son ventre.

 

Jamais encore elle ne s’était laissée flatter par 4 mains.

 

Son sexe est un four en fusion, ses hanches ondulent franchement et sa bouche émet bientôt des sons de succion où s’intercalent quelques soupirs de plaisir.

 

Elle aspire le sexe comme elle ne l’a plus fait avec son mari depuis longtemps, incapable de résister à l’appel de l’animal qui prend possession d’elle.  

 

Lorsqu’elle sent une langue s’insinuer dans son sexe écarté, les liens qui la retenaient à la moralité se dénouent, elle avale l’intégralité du sexe en ronronnant.

 

Dans son esprit tournent ces quelques mots « nous ne dirons rien »…

 

L’orgasme arrive brusquement alors que son clitoris est suçotté.

 

Par son sexe maintenu ouvert s’écoule le flot de la libération sensuelle.

 

Le long de ses cuisses coule son suc.

 

Elle relâche la tige verte qui l’empêche de crier.

   

Ses mains au sol, elle geint tout le long de son plaisir.

 

Les doigts, la langue l’abandonnent.

 

Elle respire avec peine, haletante, au sommet de son plaisir interdit.

 

L’introduction la paralyse.

 

Le jeune homme blond est devant elle. C’est donc le membre du brun qui force son intimité.

   

« Haaa… non… »

 

La tige coulisse dans son fourreau ruisselant.

 

« Hooo… je… hummm… »

 

D’avant en arrière, elle est embrochée par un sexe inconnu… et elle cambre ses reins, en offrande à cet homme qui la chevauche.

 

Saisie par les hanches, le plaisir remonte instantanément, improbable, plus fort.

 

« Oui… ho oui… »

 

Elle accentue ses mouvements d’ondulation, secouant ainsi sa poitrine, jusqu’à ce qu’elle sente les cuisses de l’homme frapper sur ses fesses, et sa vulve se contracter et s’ouvrir par intermittences.  

 

L’homme blond devant elle lui caresse le front.

 

Elle lui sourit. Il lèche ses doigts, ceux-là même qui l’ont masturbé.

 

« Le coquin » pense t-elle, « il est doué ».

 

Il l’aide à se redresser.

 

Son ami la lime avec une vitesse égale, lente, presque insupportable tellement elle voudrait qu’il la prenne avec plus de force.  

 

Elle se retrouve avec les bras sur les genoux du blond qui, assit, à défait son pantalon à son tour.

 

Il sort son sexe.

 

Un membre d’un calibre impressionnant, presque droit, veiné, surmonté d’un gland rond et pourpre, sans prépuce.

 

Elle roule des yeux devant le manche qui s’offre à elle.

 

Nettement plus gros que ce qu’elle a déjà vu auparavant, elle lui jette un regard affolé auquel il répond par un sourire.

 

« Je suis sur que vous allez réussir à me pomper ».

 

Elle ne répond rien, ouvre sa bouche et la pose en rond sur le bout.

 

Ses lèvres s’écartent largement pour l’accueillir.

   

Elle suce doucement ce gland trop imposant, refusant de faire entrer plus que cela ce piton en elle, espérant que sa pratique lui suffira.

 

Il appuie sur son crâne et la force à avaler plus loin son manche.

 

Elle résiste mais la pression est telle que, centimètre par centimètre, le glaive de chair progresse dans sa bouche.

 

Elle ne peut fermer ses mâchoires, déglutit avec difficulté, la bouche outragée.

   

« Allez Madame… montre nous que tu es une bonne tailleuse de pipes. Personne n’en saura rien ».

 

Le langage familier la flagelle comme un fouet.

 

Dans son sexe la cadence s’accélère, et son corps est secoué, poussé vers l’avant à tel point que, maintenue par les deux paires de mains viriles, elle ne peut que s’exécuter.

 

Elle suce, accueille, ondule, aspire, gémit, oscille, avale et se laisse utiliser par les deux étudiants, un sexe dans son ventre, un autre en bouche.

 

Un plaisir inconnu la saisi.

 

Incrédule devant son aisance à se livrer et s’abandonner, elle sourit tant bien que mal alors qu’elle sent dans sa bouche se gonfler le vit qui va et vient entre ses lèvres.

 

Les deux sexes sortent en même temps de ses orifices, la laissant avec un sentiment d’absence.  

 

Sur son échine se répand le jus chaud de l’orgasme du brun.

 

Le suc lui coule sur les côtés.

 

Les mâchoires douloureuses, elle peine à refermer sa bouche alors que les giclées du brun viennent sur son front et sa joue gauche.

 

Elle le regarde, le visage tendu et crispé, se vider sur elle, la salir…« personne n’en saura rien… » se remémore t’elle.

 

Les mains la caressent, font entrer dans sa bouche le jus épais qu’elle suce et avale.

   

Un gout nouveau, mélange de saveurs…

 

Une envie nouvelle…

 

Elle vient lécher une à une les deux bites qu’ils lui présentent, nettoie le foutre qui les macule jusqu’aux bourses.

 

Désormais complètement soumise à son envie de sexe, elle aspire les boules de ses deux pseudos violeurs.

 

« Vous allez encore me violer ? » minaude t’elle ?« Personne ne saura tout ce que vous aurez pu me faire… » lance t’elle dans un sourire alors qu’elle lâche une couille après l’avoir sucée longuement et avant d’en téter une autre.

 

« Madame… vous allez être prise comme jamais ».  

   

Elle gonfle sa poitrine, bombe le torse…

 

« Je ne vais pas pouvoir résister à vos deux queues… ni à vos envies les plus viles » dit elle en masturbant les sexes qui se dressent de nouveau, un dans chaque main, parfois léchés de bas en haut.

 

« Je vais être obligée de tout accepter… de me soumettre à vos moindres désirs… comme… une gentille petite chienne ».

 

Sa langue s’enroule autour de la verge la plus courbée, l’éclat doré de son alliance visible dans la masturbation qu’elle exécute auprès du plus large des pieux.

 

 

Elle ne rentrera que tard… salit… ouverte...  béante.
Tous ses orifices auront été défoncés maintes fois par les deux étalons qui l’auront saillit tour à tour même après qu’elle n’en puisse plus.

 

Lorsqu’elle les reverra, dans l’amphi, elle rougira longtemps des plaisirs osés dont ils l'auront fait se rassasier.

 

Sa culotte se souillera encore alors qu’elle élaborera sa prochaine sortie…une sortie d’une semaine cette fois…
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Elle avait laissé le car s'en aller.  
   
Attendre au point de rendez-vous, c'était la meilleur des choses à faire.
 
Certe ses élèves étaient largement majeurs mais elle en avait la responsabilité.
 
Il en manquait deux.
 
Au moins les autres étaient en lieu sur, rappatriés vers l'établissement.
 
Deux qu'elle n'avait pas vu depuis le repas du midi.
 
Plus le temps passait et plus elle regrettait d'avoir organisé cette sortie en forêt, même s'il n'y avait pas mieux pour étudier les métabolisations végétales, que de se confronter au milieu naturel.
 
Heureusement il faisait doux et la fin d'après-midi était belle.
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L'angoisse montait lentement, entre la raison et l'idée folle qu'ils aient pu avoir un accident.
 
Elle cligna des yeux, génée, un éclat lui parvenait d'entre les bois.
 
Le soleil qui déclinait se reflétait.
 
Elle plissa les yeux, incapable de savoir ce que c'était.
 
Un petit mot griffoné et appliqué sur le poteau signifiant qu'elle revenait de suite. "Ainsi", pensa t elle, "s'ils reviennent ils resteront là, juste le temps que j'aille voir si jamais ce n'est pas eux".
 
Etre seule à ce moment là la fit soupirer.
 
Elle s'avança dans les bois, un peu à l'aveugle dans la direction du reflet.
 
Une branche lui fit défaut sous le pied, et elle glissa.
 
Sa chaussure venait de se casser et son pied fut parcouru d'une vive douleur.
 
Cette journée devenait de plus en plus catastrophique.
 
Elle en avait perdu le sens où elle allait.
 
Un juron lui échappa, massant sa cheville elle se releva.
 
Le soleil qui déclinait lui permit de nouveau de localiser la fenêtre de la petite maisonnette sur lequel il brillait.
 
"Une maison de chasseurs" pensa t-elle, "peut-être y sont-ils ces sales gamins".
 
Des gamins de 25 ans, mais, de presque 15 ans plus jeunes qu'elle, elle en était responsable.
 
La petite maison était fermée.
 
Elle regarda par le carreau.
 
Une petite cuisine rangée et propre, elle devait servir souvent.
 
En tout cas ils n'étaient pas là et elle grommela en faisant demi-tour.
 
Amusant comme elle voyait clairement la route d'où elle était alors que la bâtisse était invisible de l'autre point de vue.
 
Soudain un bruit venant de l'intérieur la fit se retourner.
 
Elle osa poser sa main sur la poignée.
 
La porte n'était pas entièrement close, elle s'ouvrit.
 
L'espace d'un instant une peur sourde la saisit, une peur antique, installée dans les tréfonds de l'âme et qui n'attendait que ce moment pour revenir à la vie.
 
"Reste lucide ma fille. Ce n'est qu'une angoisse de gamine !"
 
Elle décida cependant de pénétrer dans le gite.
 
La porte s'entrebailla et elle passa sa tête.
 
"Je suis folle de rentrer dans une maison qui appartient à quelqu'un d'autre" pensa t-elle.
 
La petite cuisine ordrée semblait prête à accueillir ses propriétaires.
 
"Il ne peut rien m'arriver. Tu n'es pas dans un film. C'est la réalité." Poursuivit-elle dans un murmure qui la surpris.
 
De la petite porte dans le fond de la pièce lui parvint un bruit de paroles.
 
Elle s'avança et poussa la curiosité, et ses recherches, jusque dans cette seconde partie de la maison.
 
Sur des fauteuils dépareillés se tenaient les deux étudiants.
 
Elle eu d'abord envie de rugir de colère tout autant que de rire de joie de les avoir retrouvé sains et saufs, puis elle se ressaisit pour garder une apparente maitrise de la situation.
 
"Vous n'avez pas vu l'heure ?" parvint-elle à déclamer la voix un peu éraillée qui trahissait sa peur.
 
Ils la regardaient.
 
Sur la table basse quelques canettes et un jeu de cartes témoignaient de leur activité principale de la journée.
 
"On vous a attendu ! Le car est déjà parti."
 
Sans se lever les deux hommes la dévisagaient de la tête aux pieds.
 
Elle se sentit hésitante, seule.
 
Sa poitrine se soulevait à chaque respiration sous son petit pull et elle jura de toujours porter un soutien-gorge. "Qu'elle idée j'ai eu... Il doivent s'en rendre compte".
 
Soudain elle prend conscience de sa tenue.
 
Elle qui aime avoir un côté sexy, savoir le regard de ses collègues masculins et même parfois ceux des étudiants se poser sur elle, pour une fois elle le regrette.
 
Leurs yeux lui semblent rivés sur sa poitrine.
 
Machinalement et gênée elle croise ses bras devant elle avant de tirer sa jupe vers le bas.
 
Les deux paires d'yeux des jeunes hommes suivent ses gestes, glissent de haut en bas pour revenir à son visage et ses cheveux blonds emmêlés.
 
Un pas en avant la fait boiter et légèrement grimacer.
 
"Asseyez-vous madame". Déclare le jeune homme brun aux cheveux en bataille.
 
Le second se lève et propose son fauteuil pour qu'elle vienne s'y installer.
 
Derrière sa mèche blonde elle voit ses yeux bleus briller alors qu'il lui sourit.
 
Après un temps d'arrêt elle s'installe dans le fauteuil, découvre qu'ils la contemplent de haut.
 
L'un d'eux ôte sa chaussure.
 
Elle se redresse alors que le brun lui pose la main sur l'épaule.
 
"Laissez-vous faire... c'est pour le bien de votre pied".
 
Sa bouche s'ouvre pour protester mais les pressions du jeune homme sur son pied la réchauffent instantanément.
 
"Je... nous devrions... il faut prévenir et... partir... il n'y a plus personne." Balbutie t elle.
 
Les mains sont douces et massent avec lenteur et habileté sa cheville.
 
Elle se sent rougir sous le contact de ces gestes qui effleurent la peau au travers de son bas de nylon.
 
Derrière elle le jeune homme pose sa seconde main sur sa nuque, flatte doucement son cou avant de se placer sur sa seconde épaule.
 
"Nous sommes seuls alors." murmure t il sans qu'elle ne le voit.
 
Son masseur relève le visage, elle découvre ses dents blanches dans le sourire entendu qu'il échange avec son ami.
 
Elle prend conscience de la situation, s'affole, tente de se lever sans y parvenir, maintenue assise par les mains fermes qui pèsent sur ses épaules.
 
"Allons madame... que vous arrive t il ?"
 
"Laissez-moi. Vous êtes fous ?"
 
Sa voix cherche à être assurée mais son affolement la rend plus faible qu'elle ne le souhaite.
 
A genoux devant elle, sans un mot, le jeune homme continue de lui masser le pied... la cheville... le mollet.
 
Elle rougit à l'idée de ce qui doit leur passer par la tête... et à la pensée indécente qu'elle ne veut pas s'avouer et qui, telle une petite étincelle, fait naitre une flamme inconsidérée dans le creux de son ventre.
 
Son talon tenu par une main ferme, elle voit la main remonter sur sa jambe sans que les yeux bleus ne quittent un seul instant le vert des siens.
 
Avec une force contenue les mains remontent autour de son cou puis glissent de nouveau sur ses épaules en emportant avec eux le tissu de son pull pour dévoiler la pâle douceur de sa peau.
 
Elle hoquette... "non... vous ne pouvez ..." peine t elle à articuler "il ne faut pas..."
 
Le parfum masculin de son gardien lui parvient.
 
Un musc aux senteurs sauvages.
 
"Madame. Laissons le devoir de côté pour le plaisir."
 
A peine a t il achevé sa phrase que son bras frôle son cou, sa main plonge sur le décolleté du pull tendu.
 
Elle baisse le regard, découvre ses pointes dressées malgré elle et ferme les yeux.
 
"Ho... non... je suis mariée..."
 
Sans autre réponse qu'une saisie de son sein gauche, elle souffle un peu trop fort alors qu'elle ouvre légèrement ses jambes.
 
Une seconde main vient s'emparer de son second sein.
 
Elle pourrait se relever, fuir, au moins essayer... mais elle n'en fait rien, sans volonté.
 
"Je suis votre professeur... " Sa voix est faible.
 
"Oui madame... Et si vous saviez combien nous avons soif d’apprendre avec mon ami. Cette journée est décidemment merveilleuse".
 
La voix chaude du jeune homme brun souffle sur les braises qui brulaient en elle. La chaleur remonte le long de sa colonne vertébrale, sinue et emplit son crâne.
 
"Je... non... hooo... " lâche t elle alors que la main agile de son jeune masseur atteint la lisière de son bas en haut de ses cuisses... dans l'intérieur de celles-ci.
 
Sur sa nuque se déposent des lèvres fraiches.
 
"Nous n'aurions pas... imaginé... un seul instant... un tel cadeau..." ponctue les légers baisers où pointent les dents de son entreprenant geôlier.
 
Elle incline son visage vers le bas pour le laisser faire.
 
Ses seins volumineux, pétris lentement au travers du pull, sont douloureux... de désir... elle le sait et n'ose se l'avouer.
 
Devant elle l'homme souffle sur sa cheville, une main plongée sous sa jupe.
 
Incapable se résister à ses envies elle écarte alors plus largement ses cuisses ombrées.
 
Ecarlate elle regarde progresser la main qui caresse l'intérieur de ses jambes vers son intimité.
 
"...et mariée... votre mari... doit être un homme... comblé..." poursuit il en passant d'une oreille à l'autre.
 
"Non... arrêtez..." sa voix s'etouffe " vous êtes des... "
 
"Des ?"
 
"Des cochons." Sa voix n'est qu'un souffle.
 
Prisonnière de ces deux jeunes mâles, elle saisi son téléphone dans un dernier baroud d'honneur.
 
"Je vous préviens, je vais appeler... si vous ne me lâchez pas".
 
Le brun lâche un de ses seins pour venir poser sa main sur la sienne et le téléphone.
 
Sans un mot, en douceur, il saisit l'appareil.
 
Ils vont la violer.
 
L'éclair de cette révélation remonte tout du long de son échine.
 
Les doigts masculins enchâssés dans ses doigts féminins elle le regarde.
 
Il lui sourit, ses yeux sont deux billes noires brillantes dans son visage mat.
 
Lui reviennent à l'esprit ses fantasmes les plus fous, ceux où elle s'abandonne, où elle devient... une autre femme...
 
Elle relâche lentement la pression sur son petit téléphone pour lui laisser le saisir et le déposer sur la table.
 
"Tu vas voir" lui dit-il "tu vas appeler. Tu vas même crier." sourit il, carnassier. 
 
 
A suivre…
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[...]

Nue, Coralie approche de l'homme en face d'elle.bnb

Le balancement de ses hanches fines et le souffle de l'air sur son sexe offert au regard masculin la ft monter un à un les crans de l'excitation.

Elle pose une main sous son sein et le presse lentement.

Son téton est saillant... encore humide d'avoir été suçoté.

Robin est assis dans un large fauteuil.

Entre ses jambes se dresse son sexe large au gland rond décalotté.

La jeune femme se mord la lèvre inférieure et, sans même s'en rendre compte, pince son bout tendu à lui arracher un gémissement.

Elle sent couler son sexe, pour la première fois... elle va se donner à un homme.

Sa virginité va disparaitre et, malgré que le calibre, que l'homme fait coulisser dans sa main, soit des plus larges, elle n'en a pas peur mais uniquement un désir farouche et sauvage.

Les mots de Robin planent encore dans l'atmosphère de sa chambre.

Elle murmure "Oh oui... je vous la donne. A lécher, à aspirer..." tout en frôlant sa peau douce sur celle, mate, du mâle face à elle.

Guidée par les gestes surs de son amant elle se retrouve bientôt installée sur le fauteuil dans une position qu'elle n'avait même pas imaginée.

Les jambes sur le fauteuil, ses mains sur les épaules musclées de l'homme, elle a son sexe grand ouvert à la hauteur de la bouche masculine.

Il prend le sexe féminin avec toute sa bouche...

Il lèche et l'aspire.

Lentement.

Du bout de la langue il dégage le petit pénis féminin.

Quelques coups de langue et le bouton gorgé de sang glisse entre ses lèvres pour être tété avec délicatesse.

La fragrance douce du sexe de Coralie envahit la pièce et enivre l'homme qui redouble d'ardeur pour caresser de son muscle lingual la fente ruisselante de la jeune femme.

Sa langue s'enfonce... écarte les muqueuses

Il explore la fente vierge... retourne à la perle grossie et gorgée de désir qui se fait tirer vers l'avant, aspirant avec délice le suc féminin qu'il sent couler dans sa gorge.

Coralie pousse un gémissement devant cette pratique totalement inédite.

Robin incline son visage. Plaqué au pubis il lape, aspire le suc....

Elle ondule, ses hanches, ses fesses nues; accepte sans retenue, en rejetant son visage en arrière, que la bouche de Robin lui bouffe la chatte.

Elle pousse un cri de plaisir.

La langue passe sur l'entière surface du sexe vierge...

Bouche grande ouverte il enfourne sa langue entre les lèvres délicates.

Les mains maintiennent fermement ses fesses fermes et rebondies, alors que le muscle buccal tourne dans l'intimité dévoilée.

Coralie ote ses mains des épaules musclées et en pose une sur son sein pour le caresser alors que l'autre vient se poser sur sa nuque.

Au paroxysme du plaisir elle n'est plus maintenue en équilibre que par ses genoux de part et d'autre du jardinier.

Penchée vers l'arrière, en appui sur les mains fermes de celui dont elle gémit le prénom dans un souffle rauque.

Il tourne dans l'intimité de la femme.

Il la pratique de façon experte en la maintenant fermement plaquée à lui.

Dévorée... alors qu'il accélère en insistant sur les parois de son vagin, remuant sa langue pour la faire s'écarter et se rétracter sans cesse, dégustant son calice... elle pousse un cri sourd...

Des petits coups de langue sur le clitoris...

Il le découvre...

Elle gémit sans retenue, s'oublie dans les voiles du plaisir.

Il enfourne un doigt dans son sexe trempé.

Lubrifiée, elle l'accueille sans effort.

Les cercles qu'il effectue dans son intérieur l'ouvre et le font chavirer.

Sa langue entière lape les nymphes brulantes...

Il la regarde, son menton, ses joues, recouverts de la mouille de la jeune femme qui se pâme et se contracte sous les soubresauts de l'orgasme qui déferle en elle.

Il observe son visage fin et délicat, ses yeux fermés, sa bouche grande ouverte, crispée et attentive dans son plaisir.

Exaltée elle soupire en ondulant son corps félin.

Robin se penche à nouveau vers le sexe qui lui fait face et sa bouche pince chacune des lèvres.

Tour à tour il les suçote, les tire doucement...

Coralie est en nage... elle s'abandonne...

Il avale le sirop qui s'écoule... délicieux nectar.

Elle jouit avec force, exhalant un râle sonore qui semble ne pas avoir de fin.

Elle voudrait que cela ne s'arrête jamais tant le plaisir la parcourt de la pointe des pieds, à la pointe des seins.

Les mains de l'homme ne lâchent pas les deux petits globes fessiers charnus... le bout des doigts de la main gauche caressent l'intérieur de la raie largement ouverte par sa position très écartée.

Elle semble syncoper sur son visage avant d'ouvrir les yeux et regarder son amant.

Ils se sourient.

"Tu sais que tu as un très bon gout" lui dit-il.

"Meilleur sur maman ?" lance t elle, encore surexcitée...

Il plonge ses yeux dans les siens.

Elle rougit.

"Voyons voir si tu as... un aussi bon gout... ailleurs."

Elle s'empourpre, incrédule.

Les mains larges la font se redresser.

"Pose tes genoux sur les accoudoirs."

Se laissant diriger, encore sous le coup de son orgasme, elle se place, malhabile.

"Ton cul vers moi". lance t-il d'un ton qui la fait devenir écarlate.

Ses mains viennent se poser sur l'assise du fauteuil, elle voit le sexe dressé devant elle.

"Qu'allez vous me faire ?" se hasarde t elle à balbutier alors qu'elle n'en revient pas de sa position des plus indécente.

"Je vais te bouffer le cul..."

Elle ferme les yeux, lâche un soupir, honteuse et enivrée par la situation.

Elle dandine ses fesses désormais juste devant le visage de Robin dont elle sent le souffle sur son entre cuisse écarté.

Timidement, doucement, son fessier ondule devant lui.

Les jambes relevées, ses seins frottent la peau de l'homme qui la positionne pour la dévorer.

Largement offerte, sa croupe apparait dans son intégralité.

"Hooo Robin... votre langue, votre bouche... c'est divin !"

La respiration masculine se fait plus rapide et encore plus proche de sa raie.

Soudain elle couine... la langue vient de passer sur son œil plissé.

Lentement le muscle se fait gourmand.

Il frôle, passe, pousse lentement, cercle autour de la rondelle virginale.

Elle ne se retient plus et gémit par intermittence, incrédule devant le plaisir qui la parcourt du plus profond de son être jusqu'aux mains qui se crispent sur le tissu du fauteuil.

Attentif à ses réactions, Robin modère son rythme et la force avec laquelle il s'occupe de l'anus velouté et palpitant.

Coralie souffle plus fort.

Du bout de la langue il sollicite les moindres aspérités avec une lenteur extrême.

"Hummm qu'elle est bonne ta langue..."

Il lèche avec application, remontant de la frontière de sa fente suintante de mouille, jusqu'au haut de sa raie, faisant remonter le suc de jouissance féminine sur la cuvette de son petit orifice.

"Tu aimes ?" lui demande t-il.

"Ho oui. C'est bon... si dur, si souple... Hoo ta langue... hOOo!"

Elle ondule, perd bien, abandonne ses muscles et son visage vient se coller sur la cuisse musclée de son initiateur.

Sur sa joue elle sent la pulsation de la verge chaude et dure alors que la langue pousse doucement l'entrée de son anus.

Elle s'électrise...

Il lèche plus fortement, appuyant sur le centre du cercle qu'il voit se détendre et se dilater par intermittence.

Ses mains écartent alors les fesses bombées.

Les doigts agrippés sur la peau pâle, il ouvre la raie, provoquant chez la jeune femme un gémissement plus long.

elle se cambre, pousse ses fesses vers la visage...

"Encore..." soupire t elle "Encore... ouiii"

La langue s'agite, irrite le pourtour de la rosette, force sur le centre pour faire entrer le bout de la langue dans le premier cercle de cet anneau au gout incroyablement délicieux.

"Tu as un beau cul" assure t-il juste avant de forcer l'entrée de l'anus.

Coralie tourne son visage vers celui qui va la déflorer. Le sexe de l'homme dressé devant elle.

Le sang a ses tempes, Robin pétrit avec une excitation croissante, les fesses souples de la jeune femme qui, telle une liane, ondule devant lui.

Il s'installe dans les premiers millimètres de l'orifice secret.

"Elle te plait ma position ?" questionne la demoiselle, hasardant le bout de sa langue vers la base de la verge à sa portée.

"Elle te va très bien" affirme t-il.

Sa langue s'enfonce de nouveau tel un petit sexe avant de revenir en arrière... et recommencer.

Il tourne sur l'œil plissé qu'il sent se détendre et se dilater sous les pressions continues qu'il lui intime.

Sous ses actions inavouables Coralie bouge son fessier. Des petits cercles qui se ponctuent par une cambrure qui la fait se plaquer à la bouche de son premier amant.

Le visage délicieusement pressé contre l'onctueux séant, la bouche grande ouverte pour en apprécier le contact que sa féminine conquête recherche désormais avec force gémissements, il tire sa langue qui perce plus profondément l'anus offert.

Il la sent se tendre alors qu'il élargit sa langue dans l'orifice.

Elle exhale un soupir profond.

Percée, il pousse de sa main droite la nuque de la femme pour faire approcher de son sexe, la bouche aux lèvres délicates.

Elle réagit aussitôt à cet ordre muet en approchant sa main et ouvrant sa bouche.

Avec fermeté, implacable la langue pénètre le fondement qu'une main masculine maintient ouvert.

Elle caresse les bourses pendantes, les fait rouler, les sent chaudes dans sa main fine avant de saisir la verge et prendre en main le mat tendu vers le ciel.

Lâchant la fesse bombée, l'homme vient saisir le sein collé à sa cuisse. Il le dégage de côté et découvre le téton hyper tendu.

Avec une délicatesse qui la fait ouvrir en grand la bouche avant de la reposer tout autour de la verge de l'homme, elle subit les pressions et les excitations de son téton qui se fait traire.

Elle effectue alors des mouvements réguliers de sa main, masturbe l'homme, le sexe coulisse en travers de sa bouche.

"Haaa ouii... branle-moi !" dit-il dans un gémissement où le plaisir est intense.

Encouragée, il la voit s'appliquer, mettre en œuvre tout ce qu'elle sait pour le satisfaire. Il ne peut s'empêcher de sourire.

"Engloutis-moi... hoooo... oui, comme ça"

Obéissante elle avale alors la large masse jusqu' à s'en déformer la joue.

Caressant sa nuque, il relâche la pression pour la voir s'affairer autour du vit.

Il replonge sa langue dans le petit trou de la femme qui lui offre son interdit.

Elle aspire le sexe.

Il avance et recule, mimant une sodomie.

Elle relâche le membre pour pousser de petits cris.

"Continue... suce... pompe-moi" lui ordonne t-il.

Elle se jette alors sur le vit en feu et l'avale entièrement avant de pointer sa langue sur le méat et essayer de l'ouvrir.

La rose ouverte, il dévore maintenant son petit trou et son vagin l’un après l’autre comme il la pénétrerait de son attribut masculin.

La bouche pleine, elle soupire, geint, approuve le traitement qu'il lui procure pour la première fois, découvrant de nouvelles sources de plaisirs.

Elle s'amuse de la douceur du manche et des aspérités du gland.

Il arque sa langue dans son anus.

Elle suit les nervures des veines palpitantes.

Il découvre sa béance avant de la relâcher lentement, lapant par intermittence l'intérieur de sa raie trempée de salive et de son jus alors qu’il lèche en profondeur sa chatte ruisselante de mouille.

Le sexe ressort de sa bouche, elle penche son visage de côté pour voir le visage radieux de son entreprenant complice.

Elle lui sourit, il se félicite du rouge qui lui pare les joues, sa virilité plaquée contre son visage ovale.

Sans un mot elle se glisse au sol, à 4 pattes, tendant sa croupe vers l'homme qui se place derrière elle.

Sa première fois. Aucun des deux n'a voulu autant que cela ce moment de plaisir qu'ils s'apprêtent à vivre.

Leurs yeux se font brillant, les sourires se figent dans l'extase du moment ou le duo n'est que fusion des corps.

Leurs regards se mêlent, les lèvres se cherchent... leurs peaux se collent... leurs respirations s'unissent...

De la fenêtre s'échappent les respirations et les bruits étouffés de leur activité.

Durant une partie de l'après-midi le jardin se fait silencieux pour accueillir l'hymne sexuel qui emplit l'espace.

La transparence des rideaux ne laissent apercevoir que les corps qui se chevauchent en alternance.

Leurs souffles semblent agiter les cimes des arbres.

Et puis le cri libérateur.

Allongés côte à côte, le corps souple et félin de Coralie semble lové contre un rempart masculin protecteur.

Elle s’étire, sa peau est luisante de la sueur qui témoigne de leurs ébats.

Robin se redresse sur un coude pour observer l’adorable poitrine aux tétons tendus de son amante se soulever.

Elle lui sourit.

Il devine à son air qu’elle est apaisée tout autant que légèrement honteuse d’avoir perdue sa virginité.

« Il me reste encore beaucoup à apprendre ? » lui susurre t elle, les pommettes roses à l’idée de ce qu’elle lui propose.

Le feu se ranime en lui…

« Approche… ».

 

 

Fin... sauf si la Villa et ses personnages vous inspire...

 

 

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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