[…]
Son téléphone vient de disparaitre dans la poche de
jean de l’étudiant, incapable de lui résister.
"Tu vas voir" lui dit-il "tu vas appeler..."
Elle rougit et se cambre sous ses sous-entendus, offrant de nouveau
sa croupe à la main qui s'en ressaisit.
Malgré elle, elle sent son corps la trahir.
A genoux devant elle le jeune homme délaisse sa cheville. Ses deux
mains remontent sur ses jambes.
Sa jupe remonte, accrochée par les doigts longs et fins de celui qui
ne cesse de la contempler de ses lacs azurs.
Il n'est pas long à trousser le tissu en haut de ses cuisses et
dévoiler les bas adhésifs aux motifs brodés ainsi que le tissu transparent de son dessous.
Du bout des doigts il remonte très haut... elle gémit un "non..."
mais ses jambes s'ouvrent en contradiction.
Encore une fois son esprit ne parvient pas à endiguer les réactions
de son être.
Il effleure le coton noir de sa culotte de bas en haut.
Sous les caresses conjuguées des mains qui malaxent ses seins et de
celles qui s'attardent autour de son pubis, elle se sent mouiller de cette immoralité.
« Pitié… je suis mariée… »
Les doigts du blond se posent sur le tissu humide et masse avec
lenteur avant de se glisser, chacun par un côté, sous celui-ci et venir découvrir la frange pileuse.
Elle les sent, des doigts doux et habiles, parallèles, monter et
descendre sur ses lèvres, appuyer en douceur sur son sexe.
Elle se dandine malgré elle. Le soleil décline.
Les doigts se font crochets et tirent vers le bas le rempart de son
intimité.
Obligée de resserrer les jambes le jeune homme fait coulisser son
tanga sur ses bas jusqu’à ses chevilles.
Le second étudiant s’est placé sur sa gauche.
Il saisit sa main et la place sur son entrejambe.
Elle résiste mollement à ce geste qui lui est imposé.
Elle sent la dureté masculine de cet homme, engoncé dans son jean et
tente de s’en soustraire.
« Non… s’il vous plait… »
Les boutons se défont peu à peu et le pantalon tombe au
sol.
Elle ne parvient pas à détourner le regard du boxer.
Une barre déforme le tissu et la partie basse est remplie de deux
rotondités.
« Mon mari… va… »
Il baisse le boxer d’un coup sec.
Elle ne termine pas sa phrase, surprise.
Ses yeux s’ouvrent en grand.
Un sexe long, en arc de cercle, dressé fièrement vers le ciel émerge
d’une broussaille de poils bruns.
Sa main, petite dans celle de l’étudiant nu devant elle, est forcée à
se poser de nouveau sur le membre viril.
« Oui, on sait, tu es mariée. »
Les mains du blond se glissent sous ses genoux et remontent ses
jambes en les écartant.
Elle voudrait se lever, bondir, les empêcher de la violer, mais ses
forces l’abandonnent.
Sa jupe n’est plus qu’une bande de tissu sur le haut de ses
hanches.
Elle observe son alliance en contact avec le sexe inconnu. dans les
derniers rayons du soleil elle brille d'un éclat orangé.
Elle pousse un gémissement alors qu’elle sent le visage se poser
entre ses cuisses, le souffle se centre sur sa fente dont l’odeur d’excitation lui parvient.
Les mains halées la caressent.
Elle voudrait les supplier mais ne parvient qu’à gémir au contact des
joues masulines qui glissent sur ses bas.
Sa main libre a enserrée le pieu et l’éclat de l’anneau monte et
descend.
Elle ferme les yeux. « Ce n’est pas possible. Je dois me ressaisir… »
pense t elle sans y parvenir en continuant de masturber l’homme debout à ses côtés pendant qu’un autre vient lécher sa fente largement écartée.
Elle sent son pull se soulever et disparaitre.
Soudainement, elle se lève, fait un pas en direction de la porte
avant de tomber à genoux.
Trahie par sa cheville.
Ses mains au sol.
Sa forte poitrine ballotant, ses pointes tendes comme des mats de
bateau.
Sa jupe retroussée sur ses hanches, les fesses à l’air.
Elle s’immobilise.
Sa position lui apparait.
Elle tourne la tête vers les deux hommes.
« Je ne suis pas… pas comme ça… » peine t elle à leur
dire.
Le blond tient à la main sa culotte.
Il s’approche d’elle, le tissu souillé dans ses doigts.
Avec douceur et précision il pose le tanga sur ses
lèvres.
Elle ouvre la bouche, ses joues sont rouges. De confusion, de honte,
de plaisirs impolis, d’envies inassouvies.
Elle découvre le gout de son sexe sur le tissu.
De chaque côté de son visage se tend sa culotte qui, tel un mors,
force son visage à se redresser.
« Tu n’es pas comme cela ? »
Bâillonnée par son dessous elle ne peut qu’osciller la tête
négativement.
« Tu es mariée ».
Elle hoche la tête, affirmative.
L’étudiant blond s’est placé à cheval sur elle, son pantalon rêche,
ses cuisses musclées pressent ses flancs.
« Tu as déjà trompée ton mari ? »
Elle hésite… s’empourpre… la saveur de sa mouille se mêle à sa
salive… ne répond pas.
En face d’elle le jeune homme nu sourit à ce moment d’aveu
muet.
« Tu as déjà eu deux hommes ? »
Elle secoue le visage de droite à gauche.
Elle le voit échanger un clin d’œil complice avec celui qui la tient…
telle une pouliche.
« Et tu l’as déjà fantasmé ? »
Elle ferme les yeux. Une hésitation de plus qui la
trahit.
Devant elle l’étudiant nu la détaille avec un regard
gourmand.
Son sexe dressé sur son ventre il la regarde.
La culotte se détend et libère sa bouche, entrainant un filet de
salive sur son menton.
« Tu n’es pas comme cela… tu es mieux que cela. » dit-il dans un
sourire.
Tant de mots se bousculent dans son esprit, tant d’images, de
contradictions, d’envies immorales et contre nature.
Il s’approche d’elle, se place à genoux, sa main caresse son membre
viril devant son visage.
Derrière elle une main vient se placer sur sa fente et la caresse de
plus en plus rapidement.
Elle, leur professeur, à 4 pattes, en train de se faire masturber,
sans aide possible… sans personne pour l’aider… ni… la voir.
A ses narines parvient la fragrance de la virilité que l’étudiant
fait coulisser à quelques centimètres d’elle.
Un geste d’oscillation et le gland effleure ses lèvres.
Elle ferme les yeux.
Le casque rond et chaud du pieu vient se frotter à sa bouche
close.
Il se fait plus présent sur son visage, sur ses joues, écrasant sa
bouche que seule une dernière pensée de raison maintient ainsi obstruée.
Lorsqu’un doigt s’enfonce dans son vagin, elle se cambre et
couine.
Lourds, elle sent ses seins surexcités se balancer sous
elle.
Un second doigt s’enfouit entre ses muqueuses béantes et molles…
suintantes et offertes.
Les gestes précis de l’homme déforment sa matrice, écartent et
malmènent son sexe, excitent sa perle gorgée de sang.
Sa bouche s’entrouvre pour exhaler un souffle de plaisir alors que
son clitoris est malaxé avec une expérience qu’elle n’aurait pas imaginée chez un homme si jeune.
Surprise du plaisir qui monte en elle, elle se découvre à pousser son
bas ventre vers la main qui la tourmente, s’enfonçant volontairement sur le duo de doigts agiles.
La seconde main de l’homme caresse son dos, ses reins, ses
fesses.
« S’il vous plait… » hasarde t elle « je ne dirais rien…
»
Le sexe dur entre dans sa bouche.
« Nous non plus nous ne dirons rien » lance le brun devant
elle.
Elle découvre la douceur et la chaleur de la verge courbée sur son
muscle, contre la paroi intérieure de sa joue.
Une main saisit ses cheveux et la force à monter et descendre sa
bouche autour du sexe étranger qu’elle enroule de sa langue.
Elle sent son esprit faiblir et la main ne fait qu’accompagner son
visage alors qu’elle suce désormais volontairement.
Une boule de chaleur gonfle dans son ventre.
Jamais encore elle ne s’était laissée flatter par 4
mains.
Son sexe est un four en fusion, ses hanches ondulent franchement et
sa bouche émet bientôt des sons de succion où s’intercalent quelques soupirs de plaisir.
Elle aspire le sexe comme elle ne l’a plus fait avec son mari depuis
longtemps, incapable de résister à l’appel de l’animal qui prend possession d’elle.
Lorsqu’elle sent une langue s’insinuer dans son sexe écarté, les
liens qui la retenaient à la moralité se dénouent, elle avale l’intégralité du sexe en ronronnant.
Dans son esprit tournent ces quelques mots « nous ne dirons rien
»…
L’orgasme arrive brusquement alors que son clitoris est
suçotté.
Par son sexe maintenu ouvert s’écoule le flot de la libération
sensuelle.
Le long de ses cuisses coule son suc.
Elle relâche la tige verte qui l’empêche de crier.
Ses mains au sol, elle geint tout le long de son plaisir.
Les doigts, la langue l’abandonnent.
Elle respire avec peine, haletante, au sommet de son plaisir
interdit.
L’introduction la paralyse.
Le jeune homme blond est devant elle. C’est donc le membre du brun
qui force son intimité.
« Haaa… non… »
La tige coulisse dans son fourreau ruisselant.
« Hooo… je… hummm… »
D’avant en arrière, elle est embrochée par un sexe inconnu… et elle
cambre ses reins, en offrande à cet homme qui la chevauche.
Saisie par les hanches, le plaisir remonte instantanément,
improbable, plus fort.
« Oui… ho oui… »
Elle accentue ses mouvements d’ondulation, secouant ainsi sa
poitrine, jusqu’à ce qu’elle sente les cuisses de l’homme frapper sur ses fesses, et sa vulve se contracter et s’ouvrir par intermittences.
L’homme blond devant elle lui caresse le front.
Elle lui sourit. Il lèche ses doigts, ceux-là même qui l’ont
masturbé.
« Le coquin » pense t-elle, « il est doué ».
Il l’aide à se redresser.
Son ami la lime avec une vitesse égale, lente, presque insupportable
tellement elle voudrait qu’il la prenne avec plus de force.
Elle se retrouve avec les bras sur les genoux du blond qui, assit, à
défait son pantalon à son tour.
Il sort son sexe.
Un membre d’un calibre impressionnant, presque droit, veiné, surmonté
d’un gland rond et pourpre, sans prépuce.
Elle roule des yeux devant le manche qui s’offre à elle.
Nettement plus gros que ce qu’elle a déjà vu auparavant, elle lui
jette un regard affolé auquel il répond par un sourire.
« Je suis sur que vous allez réussir à me pomper ».
Elle ne répond rien, ouvre sa bouche et la pose en rond sur le
bout.
Ses lèvres s’écartent largement pour l’accueillir.
Elle suce doucement ce gland trop imposant, refusant de faire entrer
plus que cela ce piton en elle, espérant que sa pratique lui suffira.
Il appuie sur son crâne et la force à avaler plus loin son
manche.
Elle résiste mais la pression est telle que, centimètre par
centimètre, le glaive de chair progresse dans sa bouche.
Elle ne peut fermer ses mâchoires, déglutit avec difficulté, la
bouche outragée.
« Allez Madame… montre nous que tu es une bonne tailleuse de pipes.
Personne n’en saura rien ».
Le langage familier la flagelle comme un fouet.
Dans son sexe la cadence s’accélère, et son corps est secoué, poussé
vers l’avant à tel point que, maintenue par les deux paires de mains viriles, elle ne peut que s’exécuter.
Elle suce, accueille, ondule, aspire, gémit, oscille, avale et se
laisse utiliser par les deux étudiants, un sexe dans son ventre, un autre en bouche.
Un plaisir inconnu la saisi.
Incrédule devant son aisance à se livrer et s’abandonner, elle sourit
tant bien que mal alors qu’elle sent dans sa bouche se gonfler le vit qui va et vient entre ses lèvres.
Les deux sexes sortent en même temps de ses orifices, la laissant
avec un sentiment d’absence.
Sur son échine se répand le jus chaud de l’orgasme du
brun.
Le suc lui coule sur les côtés.
Les mâchoires douloureuses, elle peine à refermer sa bouche alors que
les giclées du brun viennent sur son front et sa joue gauche.
Elle le regarde, le visage tendu et crispé, se vider sur elle, la
salir…« personne n’en saura rien… » se remémore t’elle.
Les mains la caressent, font entrer dans sa bouche le jus épais
qu’elle suce et avale.
Un gout nouveau, mélange de saveurs…
Une envie nouvelle…
Elle vient lécher une à une les deux bites qu’ils lui présentent,
nettoie le foutre qui les macule jusqu’aux bourses.
Désormais complètement soumise à son envie de sexe, elle aspire les
boules de ses deux pseudos violeurs.
« Vous allez encore me violer ? » minaude t’elle ?« Personne ne saura
tout ce que vous aurez pu me faire… » lance t’elle dans un sourire alors qu’elle lâche une couille après l’avoir sucée longuement et avant d’en téter une autre.
« Madame… vous allez être prise comme jamais ».
Elle gonfle sa poitrine, bombe le torse…
« Je ne vais pas pouvoir résister à vos deux queues… ni à vos envies
les plus viles » dit elle en masturbant les sexes qui se dressent de nouveau, un dans chaque main, parfois léchés de bas en haut.
« Je vais être obligée de tout accepter… de me soumettre à vos
moindres désirs… comme… une gentille petite chienne ».
Sa langue s’enroule autour de la verge la plus courbée, l’éclat doré
de son alliance visible dans la masturbation qu’elle exécute auprès du plus large des pieux.
Elle ne rentrera que tard… salit… ouverte...
béante.
Tous ses orifices auront été défoncés maintes fois par les deux
étalons qui l’auront saillit tour à tour même après qu’elle n’en puisse plus.
Lorsqu’elle les reverra, dans l’amphi, elle rougira longtemps des
plaisirs osés dont ils l'auront fait se rassasier.
Sa culotte se souillera encore alors qu’elle élaborera sa prochaine
sortie…une sortie d’une semaine cette fois…