Partager l'article ! La cravache... fin: […] Ses deux seins étaient deux pommes rondes, pleines, aux petits mamelons bruns. Il ...
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Ses deux seins étaient deux pommes rondes, pleines, aux petits mamelons bruns.
Il admirait ce corps parfait dont les courbes de hanches disparaissaient sous le tissu grossier de toile bleu.
La badine vint alors frapper son fessier.
Elle se mordit les lèvres.
Elle se cru marquée au fer rouge.
Et elle cambra sa croupe pour en recevoir encore.
Il fit claquer une seconde fois la cravache.
Son regard de biche finit par se baisser.
Elle n'en revenait pas d'elle même. Si farouche, si fière d'être ce qu'elle était, là, devant cet homme qui manipulait ce... phallus... elle se voulait soumise.
"Je suis... votre". Murmura t-elle.
Ses joues rougirent.
Elle n'osait pas croire qu'elle tirait un plaisir incroyable de ce qu'elle venait de dire.
Son entrejambe était devenu humide en quelques secondes.
Trempée...
Il continuait à la caresser au moyen de la cravache.
Le cuir, le métal alternait sur elle.
Il soulevait ses seins, pressait ses tétons, filait sur son ventre, caressait les fesses encore recouvertes.
"Mets-toi nue".
Elle s'exécuta, tremblante d'excitation, faisant sauter les boutons trop rapidement.
"Plus lentement voyons"
Elle déglutit pour se calmer et fit descendre sa petite culotte avec plus de sensualité.
Son sexe était dégoulinant, le fond de son petit slip était collé à sa fente.
Lorsque le tissu s'écarta de son entre cuisse, une odeur de stupre envahit la pièce.
Il respirait avec joie.
Nul créateur de parfum n'avait réussi à créer un aussi voluptueux et subtil parfum.
Il admira alors la courbe de ses globes fessiers, parfaits, comme il l'avait soupçonné.
Il y apposa le cuir.
Elle gémit.
Enfin elle sentait la cravache sur sa croupe offerte.
Et enfin il la fessa doucement, si délicatement que chaque piqure lui faisait monter un à un les échelons de l'orgasme.
Son sexe coulait.
"Venez. Vous n'êtes pas assez en beauté ici". dit-il en la flattant d'une main sur ses fesses.
Ce contact... la fit chavirer et grogner, sourire.
Il la touchait.
L'empreinte de ses doigts sur sa fesse droite sembla rester alors que la main était déjà parti.
Ce mâle avait un pouvoir sur elle qui la faisait bouillir.
Elle se sentait en chaleur... gourmande... affamée de sexe.
"Avec la cravache vous allez... me dompter ?" murmura t-elle en le suivant dans une petite alcôve attenante.
Il ouvrit un lourd rideau de brocard rouge.
Il l'enveloppait de son regard.
"Ai-je besoin de la badine ?" l'interrogea t-il en la regardant avancer fièrement, nue.
Elle hésita un instant, rougit et baissa le regard.
"Ho... non... je suis déjà... à vous".
Elle avait oublié son fiancé.
Ce moment était à elle.
Cet homme lui faisait un effet dingue.
Elle monta sur une petite estrade dans cette pièce sombre entourée de canapés club.
Il était l'unique spectateur de cette femme superbe.
Le bout de cuir claque contre sa fesse gauche... et elle se mit à onduler pour lui, une danse lascive.
Jamais encore elle n'avait spontanément eu cette attitude de call-girl, car, s'il lui eut arrivé de danser pour un homme c'était le sien, et surtout lorsqu'elle était passablement éméchée.
Mais là, elle le faisait pour lui faire plaisir et elle en tirait un délicieux tortillement dans le creux de son sexe.
La cravache passait sur ses fesses, sur son ventre.
La tige de cuir soupesait ses petits seins orgueilleusement pointés.
Lorsqu'elle frottait ses tétons, elle gémissait sans se retenir.
Le métal chaud lui caressa l'intérieur des cuisses.
Elle écarta les jambes aussitôt.
Lorsque le bout du manche vint lui effleurer les lèvres, elle ne pût s'empêcher de se cambrer, de gémir.
Son corps transpirait de désirs et de volupté.
Chaque ondulation formait une courbure artistique dont il se régalait.
Il enfonça lentement le gland métallique en elle.
Elle grogna, feula... et l'accepta.
Pourtant large, elle le sentit entrer en elle sans effort.
Sa cyprine dégoulinait sur l'acier... souillant la main qui tenait fermement l'objet.
Elle montait et descendait d'elle même sur le godemichet.
Sa fente s'écartait, s'ouvrait de plus en plus.
Ce pieu artificiel la remplissait, elle poussa de petits cris alors qu'elle sentait la jouissance arriver.
Il se retira, la frustrant de son plaisir trop immédiat.
Lorsqu'il vint face à elle, lui présentant le mandrin recouvert de mouille luisante.
Elle plongea ses yeux noisettes dans ceux de son adorable tourmenteur, et ouvrit grand sa bouche pour englober le pseudo sexe antique pour le nettoyer de sa souillure.
"Il est temps de passer à autre chose" lui dit-il en dégrafant sa ceinture.
Elle roula des yeux et hochant la tête, aspirant toujours le manche de la cravache.
Il retira l'objet d'entre les lèvres rougies.
Elle s'agenouilla et le déboutonna.
Sa petite main fine s'engagea dans le pantalon et elle découvrit en aveugle, l'ampleur de la masculinité de son dresseur.
Lorsqu'elle tira la verge à l'air libre elle ne put s'empêcher de pousser une exclamation.
"Ho... mon... elle est ! Si grosse... si belle".
Elle tira la langue pour la toucher.
Sa main enserrait la tige rose et raide.
Son doigts n'en faisaient pas le tour.
Il se laissait masturber doucement alors qu'elle goutait son pal au moyen de sa langue agile.
Le muscle sinuait autour de son gland, irritant les aspérités, léchant délicatement le méat.
Elle léchait la grosse glace avec plaisir.
C'était le sexe dont elle avait rêvé depuis qu'elle était en âge de penser à la bagatelle.
Elle releva son visage.
Un sourire éclairait son visage délicat.
"Je peux la sucer ?"
Il lui rendit son sourire en appuyant légèrement sur sa nuque.
Elle ouvrit la bouche en engloba le gland puis, doucement, fit coulisser le manche tendu de plus en plus profond.
Ses aspirations étaient gourmandes.
Elle pompait, le sexe en bouche. Elle tétait le gland au moyen de contractions de sa gorge, découvrant spontanément des gestes qu'elle ignorait savoir et pouvoir pratiquer.
Sa langue qui s'enroulait et frottait le morceau conséquent qu'elle prenait à pleine gorge lui fit monter un orgasme.
Il caressait les joues douces, remontant une mèche de cheveux pour mieux apprécier le visage angélique de cette démone qui lui taillait une pipe comme une véritable succube.
Il la repoussa lentement.
Elle semblait affamée.
Sans qu'il n'eu à dire quoi que ce soit, elle compris son invitation et se tourna, se plaçant à 4 pattes.
Il posa son sexe sur celui, trempé, de la jeune femme.
Doucement il la masturbait au moyen de son piston.
Elle roucoulait... elle dégoulinait.
Il l'enfonça.
Elle poussa un cri.
Son écrin était serré.
Elle sentit l'énormité la parcourir.
Il la posséda d'un coup de reins.
Brusque... animal... elle eu un orgasme immédiat.
Il la besognait pour mieux la voir, la sentir, dans les méandres du plaisir, perdue et gémissante.
Sous ses mains la peau chaude de la femme montait encore en température.
Son corps de liane se tordait et ses fesses gigotaient alors qu'elle se faisait prendre sans retenue.
Elle ne voulait pas fermer les yeux, elle voulait vivre ce moment totalement.
Dans son ventre, le manche la labourait et lui faisait enchainer les jouissances comme des perles sur un collier.
A peine avait elle l'impression d'être à bout de souffle que les poussées intimes du gros sexe de son inconnu la faisaient de nouveau gémir et de nouveau couler et être en fusion.
Elle se cambra, elle en voulait encore, oubliant qu'elle n'avait jamais été aussi assoiffée de sexe, oubliant où elle était, laissant aux orties ses derniers remparts d'éducation prude.
A peine avait elle l'impression d'être à bout de souffle que les poussées intimes du gros sexe de son inconnu la faisaient de nouveau gémir et de nouveau couler et être en fusion.
Elle se cambra, elle en voulait encore, oubliant qu'elle n'avait jamais été aussi assoiffée de sexe, oubliant où elle était, laissant aux orties ses derniers remparts d'éducation prude.
Il accéléra le rythme.
La colonne de chair la pilonnait.
Elle hurla de plaisir.
Il ne débandait pas, cette femme le maintenait en pleine action virile.
Il sortit de la matrice grande ouverte.
Son pieu était recouvert de jus de femme.
Elle se pencha vers le sol, posant son visage sur le piédestal.
D'une main sur sa fesse, elle ouvrit sa raie en signe de soumission.
De l'autre main elle agrippa son autre globe pâle et l'écarta à son tour.
Elle avait envie d'être entièrement à lui.
Il posa son pouce sur l'étroitesse palpitante.
A peine l'avait-il effleuré qu'elle soupira d'aise.
Il la sodomisa alors avec une extrême douceur tellement elle était serrée.
Elle comprit sans même s'en rendre compte qu'elle devait pousser pour la faire entrer dans son arrière train.
Un plaisir contre nature l'emporta plus loin que toutes les jouissances passées.
La verge la parcourait...
Elle adorait.
Ce n'était pas sa première sodomie, mais jusqu'alors la douleur avait été plus importante que le plaisir. Là, c'était l'inverse, elle était traversées de sensations incroyablement magiques.
Ses pensées n'étaient qu'étoiles filantes, feu d'artifices et vagues de bonheur.
Lorsqu'il lui sortit de son anus, resté béant, et qu'il lui présenta sa verge, elle l'engloutit, découvrant le gout de musc, mélange de saveurs.
Elle lui avalait le sexe.
Il éjacula en elle.
Sa bouche se gonfla du foutre blanc qu'il lui répandit jusqu'à la gorge.
Pour la première fois de sa vie elle avala sans rechigner.
Son jus était un délice, tiède, il nappait sa langue.
Il la sentit aspirer jusqu'à la dernière goutte.
Elle lécha le gland, la dernière goutte perlait et disparu dans la bouche de la jeune femme.
Marie Jo resta a genouillé.
Elle haletait.
Elle souriait.
Il la trouva artistiquement divine, une nouvelle fois, dans la position de fatigue, assouvie, le visage radieux, les seins encore tendus.
Il lui donna la main pour qu'elle se relève.
Sa main large était si douce, si chaude qu'elle lui fit monter des envies dans le creux de ses cuisses... à peine rassasiée, cet homme la faisait remonter en pression.
Elle se rhabilla sous le regard de gourmet de son admirateur.
Il remit son pantalon, faisant disparaitre le sexe qu'elle couvait d'envie.
"Alors mademoiselle ?" lui demanda t-il en lui ajustant son pull.
Elle respira et le regarda.
"Pourrais je revenir pour être de nouveau dressée ?" lui dit-elle doucement.
Il lui sourit.
"Autant que vous voulez".
Lorsqu'elle sortit dans la rue, retrouvant les agressions sonores et visuelles, son abricot était encore humide... Elle lança un dernier regard à la vitrine de la galerie d'art.
Il l'avait prise... avec l'art et le manière.
Ses pas l'entrainaient sans but.
"Elle est mignonne". La voix de sa secrétaire était suave.
"Oui." répondit-il sobrement.
"Dois-je l'inscrire sur votre répertoire ?"
"Ce sera avec plaisir... merci Carole".
A suivre ?