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Le soir venu Robin se dirige vers la chambre de son employeur.

Il frappe.

La voix féminine, lointaine, qui lui dit d’entrer est aussi douce que ferme.

Il pénètre dans ce lieu avec calme malgré une tension sensuelle qui ne l’a pas quitté depuis l’après-midi, depuis qu'elle lui a dit de passer ce soir... lorsque son mari aura quitté la villa.

 Il est arrivé dès que le petit coupé sport est passé devant sa maison de gardien.

Il pénètre dans le lieu le plus intime de la maison, la chambre, haute de plafond, au sol de parquet de bois foncé. Elle est immense.

Un lit à baldaquin en son centre, une glace de grande taille, un mur de placards, des objets de décoration tous plus luxueux les uns que les autres… mais aucune trace de la maitresse des lieux.

« Mon mari vient de partir à son club de bridge et je voulais prendre un bain… »

Il localise l’origine de l’appel, par la porte ouverte de la salle de bain privative.

« … et la baignoire semble bouchée ».

Elle sort de la pièce, simplement vêtue d’une nuisette de soie noire et prune.

Il la dévisage des pieds à la tête.

Ses jambes nues légèrement hâlée disparaissent à mi-cuisses sous le tissu.

Son ventre très légèrement visible dans la fluidité de son vêtement un peu serré et ses hanches marquées lui font instantanément de l’effet.

Une main posée sur le chambranle de la porte, l’autre dans ses cheveux, elle lui sourit alors qu’il est hypnotisé par sa poitrine volumineuse qui tend le tissu.

De fines bretelles, dont l’une est glissée sur son bras nu, des arabesques prune qui mettent en avant la sensualité de cette tenue.

Il déglutit avec peine tant cette femme de 10 ans son ainée est désirable.

 

Elle l’observe également.

De bonne stature, il a les yeux brillants, le teint mat.

Les deux premiers boutons de sa chemise sont défaits. Elle admire les quelques poils visibles qui ornent son torse puissant.

Lorsqu’elle s’efface de côté pour le laisser passer devant elle, elle pose son regard sur son jean dont l’entrejambe est révélateur de son émoi.

Le parfum masculin lui fait fermer les yeux.

« Regardez Robin, la baignoire ne veut pas se vider ».

L’eau savonneuse au parfum délicat remplit un petit fond.

« Vous allez devoir entrer dans la baignoire… »

Il se retourne et plonge ses yeux dans les siens.

Elle sourit très légèrement.

 

Il sait que tout ceci est une mise en scène et l’excitation qu’il en retire n’en est que plus forte.

Elle se plaque au mur de la salle de bain pour le regarder défaire sa chemise.

Avec une lenteur excessive il dévoile ses pectoraux et son ventre aux muscles fins.

La bande sombre et pileuse qui marque son ventre disparait sous la ceinture.

Elle frotte ses cuisses l’une sur l’autre.

Tel un chippendale il pose sa chemise et dégrafe son pantalon de jean.

Un à un les boutons claquent.

Peu à peu apparait le tissu noir de son boxer.

 

Elle respire un peu plus fort, plus rapidement.

Son cœur s’accélère devant ce bel homme, plus jeune, bien bâti et… bien pourvu.

Il se penche pour se débarrasser de l’encombrant jean.

Elle mate ses fesses musclées.

Il se redresse et lui sourit de ses dents blanches.

Elle parcourt des yeux ses épaules, ses bras, sa poitrine, son ventre, ses cuisses…

Une force souple se dégage du corps de l’homme qui se tient dans sa salle de bain.

« Vous risquez… de mouiller votre boxer » minaude t-elle sans quitter l’entrejambe où se distingue nettement l’érection de Robin.

 

Il glisse un doigt de chaque côté de son dessous et le fait très lentement glisser le long de ses hanches.

Le membre apparait, large, dressé.

Une verge épaisse, une veine très marquée sur le dessous, un gland rond, déjà décalotté, aux pourtours parsemés d’aspérités.

Le cep qu’elle a tout loisir d’admirer est légèrement arqué, nervuré et il surplombe deux bourses dépourvues de poils.

Entièrement glabre, son pubis met en valeur ce sabre de chair.

Il l’observe, elle sent les pointes de ses seins, tendre le tissu au point de le déformer. Dans son intimité humide s’écoule les premières gouttes de son désir.

« Et mon mari qui est partit… comment aurais-je pu faire sans vous. » Son soupir est presque un gémissement.

 

Il enjambe le rebord et se retrouve dans l’eau.

Il se penche, droit sur ses jambes.

Il sait qu’elle le regarde et il a envie de lui faire plaisir.

Les cuisses légèrement écartées elle peut, à loisir, voir ses bourses pendre.

 

Elle ne se prive pas de déguster du regard les fesses musclées, nues, et au-dessous les monts lisses et lourds.

Il ouvre la bonde et l’eau s’écoule.

Au moyen du jet elle enlève les bulles qui s’accrochent à la paroi.

Maladroitement, elle arrose Robin, l’eau tiède perle sur son corps.

« Ho. Je suis désolée. » fait-elle faussement.

« Ce n’est pas grave Madame. Voilà, c’est réparé ».

 

Il sort comme elle lui tend une serviette, minuscule, afin qu’il s’essuie.

D’une main il passe le tissu éponge sur son corps, doucement il essuie ses abdominaux, ses cuisses, son sexe en s’attardant sur le haut de ses jambes, caressant plus qu’il n’essuie.

La serviette ne cache rien et elle s’aperçoit qu’elle se mord la lèvre inférieure en l’admirant.

« Et puis j’ai aussi le lit qui grince… ça doit être le baldaquin. »

Il passe devant elle, toujours aussi nu qu’un ver pour aller chercher une chaise et y grimper afin de vérifier la barre la plus haute du lit.

Des voilages transparents aux dessins de velours noirs sont accrochés sur la structure de métal.

Ainsi juché sur une chaise, son sexe est à hauteur de son visage.

 

Elle pose une main sur le haut de la cuisse de Robin, caresse la peau en remontant sur le côté des fesses fermes.

A moins de 20 cm de ses yeux la verge se dresse, palpitante, pointée vers le ciel comme un mat de bateau.

Il reste ainsi, les mains sur le métal, la tête penchée vers le bas, une vue plongeante sur la poitrine lourde de sa patronne.

La soie écartée par ses seins généreux, il savoure la vallée qui lui est agréable à regarder. Ses mamelons sont visibles jusqu’à la forme de ses auréoles tant ils tendent le tissu fin. De longues tétines semblables à des pointes de crayons.

« Au fait je voulais m’excuser pour tout à l’heure. » fait-elle d’une voix douce.

« Je n’aurais pas du dire que votre amie était une « petite pute », ce n’était pas très élégant de ma part. » poursuit-elle.

Elle ponctue cette phrase en faisant glisser sa main sous les bourses de son amant.

Avec le dos de ses doigts, feignant de caresser l’intérieur des cuisses, elle les fait remonter par petites secousses.

« Ce n’est pas très grave Madame, je n’ai pas été choqué par vos paroles »parvient-il à articuler alors que son cœur s’emballe sous les gestes hautement érotiques.

« Vous savez que parfois, avec vous, je peux être un peu crue… »

 

Sa main s’est retournée, elle soupèse maintenant les deux boules dans ses doigts puis dans sa paume.

Elle referme ses doigts et les malaxe avec délicatesse.

Il ouvre instinctivement les cuisses, elle s’empare alors de son paquet pour le masser entièrement.

« Vous allez la retrouver ce soir ? »

« Non Madame… humm » il ne peut s’empêcher de lâcher un soupir.

Elle a saisit la base large entre son pouce et son index, tout en continuant de caresser les boules glabres, le sexe se voit pencher et osciller sous le geste précis de sa main.

« Alors vous allez être seul ? »

Il répond en hochant la tête, affirmatif.

« Vous allez… vous caresser ? »

Elle relève son visage vers lui, ses yeux brillent du feu du désir.

« C’est possible oui » fait-il en la regardant le masturber avec lenteur.

« Vous allez penser à elle ? A moi ? »

Elle affermit sa prise et la verge oscille.

Il pousse un petit gémissement.

« A vous…Comme très souvent ».

Elle lui lance un grand sourire.

« Faites moi voir, comment vous faites. » dit-elle en relâchant l’appareil génital pour s’éloigner un peu et s’adosser au mur, les mains dans le dos, jambes croisées sur ses chevilles comme une étudiante.

 

Il fait descendre sa main sur son ventre.

Sans la lâcher des yeux il saisit son sexe et le flatte.

Ses doigts glissent jusqu’à ses bourses qu’il fait rouler.

Sa main remonte et caresse la hampe, lentement, doucement.

Du bout du pouce il forme de petits cercles sur son gland rouge, excitant le méat jusqu’à en faire perler une goutte qu’il étale sur la surface délicate.

Debout sur la chaise son membre maintenu entre pouce et index, il entame une lente masturbation.

Pris à la base il joue avec son manche de façon à la faire aller de droite à gauche, de haut en bas.

Elle pose une main sur un de ses seins, incapable de résister à la tension douloureuse qui les anime.

Elle le malaxe afin de calmer sa sensation.

« Oui…continue… à quoi penses-tu ? » l’interroge t-elle.

« A vous. A vos seins. A votre main… à votre bouche… »

Elle dandine, ses mains saisissent le bas de sa nuisette.

« A vos cuisses… »

Elle la soulève lentement avant da la laisser retomber et faire glisser ses mains sur sa poitrine lourde et les bretelles.

La soie dévoile petit à petit la blancheur pâle de sa poitrine.

« A la douceur de vos seins… »

Elle continue de se dévêtir et lui offrir son corps.

Le tissu tombe à ses chevilles.

« A cette fente adorable… »

Elle pose une main sur son bas ventre, une autre en travers de ses seins comme pour se cacher.

« A vos hanches… »

Elle se tourne doucement, lui montre son fessier.

« A votre séant somptueux… »

Elle se dévoile, s’approche de lui.

Il n’a pas cessé de se masturber devant elle, sans gène, prenant un plaisir intense à se mettre en scène autant qu’il lui semblait lui en donner.

« Descend… » lâche t-elle dans un murmure.

Il obtempère et va replacer la chaise dans le couloir.

Il laisse la porte légèrement entrouverte.

 

Elle s’est allongée sur le lit, ses seins libres, une jambe repliée sur l’autre, les hanches voluptueuses ondulantes.

« Quelqu’un aurait pu te voir ! » fait-elle.

« Il n’y a personne ».

« Si, ma fille ! »

« Mademoiselle Coralie doit –être couchée à cette heure-ci ». Ment-il en ayant aperçu un fin rayon de lumière sous la porte de sa chambre.

« Elle aurait découvert un homme… dans… toute sa puissance virile » lâche t-elle les joues un peu rouges.

« Elle a peut-être déjà eu un amant »

« Arrête, elle est encore trop jeune… 23 ans… je ne veux pas en entendre parler. Approche-toi plutôt. »

Il s’avance vers elle, son sexe en étendard.

Il monte sur le lit, s’agenouillant près de la femme qui pose une main sur son torse.

« Alors comme cela tu te caresses en pensant à mes seins… à mes fesses ? Explique-moi un peu plus précisément à quoi tu penses… » fait-elle en caressant sa peau musclée.

 

A suivre…

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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