Partager l'article ! La Muse - 2: [...] Sans un mot je fais claquer le premier bouton. Sa main descend de son sein à sa cuisse. ...
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Sans un mot je fais claquer le premier bouton.
Sa main descend de son sein à sa cuisse.
Je ne peux plus détacher mon regard de cette femme envoutante.
Le tissu fluide laisse apercevoir le haut du bas.
Un liseré... une attache... une vraie paire de bas. Je suis aux anges.
De son pied elle masse toujours mon sexe à travers le tissu du jean.
Il est devenu dur.
Elle se penche vers moi, son pied me quitte.
Proche de mon entrejambe je perds mon regard dans la vallée de ses seins.
Une de ses mains dans ses cuisses a remonté sa jupe.
L'autre se pose sur ma braguette et, sans me quitter du regard, elle défait les autres boutons de mon pantalon.
Je respire vite, fort.
Mon sexe est chaud, agité.
Il déforme mon boxer gris.
Elle se recule, les yeux fixés sur ma bosse.
Puis, brisant le silence après quelques instants à contempler mon pantalon ouvert sur mon dessous déformé, mes bourses qui remplissent le tissu, me lance sèchement :
"Tu sens le sexe".
Je rougis.
"Tu aimes comme je te parle ?"
Je parviens à murmurer un "oui madame", impressionné.
"Tu sais, je sens aussi le sexe..." Sa voix est douce, suave.
Elle se lève et s'approche de moi.
Ses mains sous sa jupe elle se trémousse pour retirer son string en gigotant.
Ma respiration s'accélère encore, mon cœur frappe comme un sonneur dans ma poitrine.
Je ne cherche plus à cacher à quel point mon érection est intense.
Sa culotte tombe au sol entre ses cuisses.
Je découvre le tissu roulé en boule.
Elle glisse un pied puis l'autre en dehors de la dépouille de son string.
L'odeur me parvient, épicée, boisée.
"Tu veux le sentir ?"
Je la sais désormais sans culotte sous sa jupe".
"Hoo. oui..."
"Ramasse alors..."
Je suis surpris. Je m'attendais à ce qu'elle me parle de sa fleur intime...
Néanmoins je me penche, incapable de résister à ce qu'elle exige de moi.
Je prends le string souillé et l'approche de mon visage sans oser croiser son regard qui me brule.
Une couleur un peu blanchâtre en tapisse le fond.
Je sens sous mes doigts la poisse de ses écoulements.
Un mélange de désir, de sécrétions vaginales...
Je le hume."Tu aimes ?"
J'ose la regarder.
"Oui. Ho Oui. Vous sentez si bon."
"Il parait que cette odeur a des vertus sur les sens de l'homme... Cela éveille son côté animal... Ce côté que j'aime."
Je perds pied.
A quelques millimètres du tissu sali je le respire plus fort pour m'imprégner de son intimité.
"Lèche. Lèche-le".
J'ai un moment de recul.
"Lèche. Aspire mon suc".
Je ne l'imaginais pas comme cela, si... dirigeante... si... perverse !
Et l'idée me chavire de plaisir.
J'ouvre ma
bouche et sors le bout de ma langue...
Je touche le tissu souillé.
Elle se radoucit.
"Mange moi à travers de bout de chiffon que tu m'as fait salir".
Je passe le bout de ma langue sur sa souillure.
Je lèche... lentement.
Son gout me parvient, puissant.
"Ferme les yeux et mange tout."
Je n'ose à peine croire ce que j'entends et encore moins ce que je fais.
Lentement je le suçote, désormais les yeux clos.
J'aspire, je tète le tissu, j'ai honte mais j'avale sa saveur qui se mêle à ma salive.
Sa main se pose sur mon front et me caresse, m'apaise.
Je tends le tissu entre mes doigts.
Je lape l'onctueuse nappe blanche, ravi intérieurement d'avoir ce plaisir.
Elle se place à genoux devant moi, sa main toujours dans mes cheveux.
"Vous avez très bon goût" lui dis-je en ouvrant mes yeux pour la contempler entre mes cuisses largement ouvertes.
"Meilleur que tout ce que j'ai pu découvrir auparavant".
Elle approche son visage du mien et me souffle à l'oreille en se hissant sur la pointe de ses pieds et de ses genoux :
"Alors mange, aspire, lèche tout et nettoie".
Je frissonne de la savoir si proche, je prends le tissu en bouche et je suce goulument.
Le souffle de sa respiration à mon oreille, dans mon cou...
Je tête son dessous.
Elle se glisse entre mes jambes.
Ses seins sur mes abdominaux.
Je pousse un hoquet en sentant leurs pressions contre moi.
Ses lèvres délicieuses effleurent ma joue.
Je poursuis mes sucions.
Elle s'approche, sa bouche à la commissure de mes lèvres.
"Mange moi la bouche maintenant que tu as bon gout".
C'est si... cru... et osé que je tourne le visage.
Nos lèvres s'effleurent, nos bouches s'ouvrent.
Ma langue sort et s'enroule autour de la sienne.
Un baiser lent, langoureux, passionné.
Ses mains douces ont quitté mon visage pour venir se poser sur mes cuisses.
Elle goute à mes lèvres, mélange de salive et de son odeur intime
Je profite de ce moment hors du temps.
"Hummm" je gémis sans me retenir.
Je m'applique alors à l'embrasser, à dévorer sa bouche, explorer ses dents, chercher sa langue, l'aspirer.
Ses mains quittent mes cuisses après les avoir massées doucement pour ma bosse sous le boxer.
Je pousse un "Hoooommmm"
Elle réplique d'un "C'est bon, tu es bon..."
Le compliment le plus beau de toute mon existence.
Elle masse, appuie sur mes bourses.
Je redouble d'intensité dans ce baiser que je veux éternel.
"Bon et dur..."
Lourdes, mes boules roulent entre ses mains.
Elle alterne avec des caresses appuyées tout au long de la tige à travers le tissu fin de mon boxer.
"Je sens que tu vas me faire beaucoup de bien..."
Je grogne sous ses caresses et relâche sa bouche à regret.
"Tout ce que vous voudrez madame"
Elle sourit.
"Tout ?"
"Je... oui..."
Elle a un large sourire.
Elle se recule, s'assoit et s'enfonce dans le fauteuil.
Quasiment nu, mon boxer en triste état, tâché, détendu, je la regarde lascive et excitante.
"J'ai beaucoup d'idée à ce "tout" tu sais..."
Je rougis jusqu'à ne plus sentir mes oreilles.
"Alors viens me téter un petit peu."
Je me lève, hypnotisé par son ordre.
"Mes seins sont tellement tendus..."
Je m'agenouille à mon tour devant elle comme devant une déesse.
"J'en rêve, de vous téter".
"Vraiment ? Tu es un sacré coquin".
Je pose mes mains de chaque côté de ses jambes.
Elle écarte ses cuisses.
Je m'avance entre elles.
Je peux admirer sa courte toison fine, découvrant ce sexe qui me fait entrer en érection comme jamais auparavant.
"Tu aimes ?" me questionne t’elle.
"Hoo... c'est splendide".
"Elle te fait bander ma chatte ?"
Je garde le silence, surpris par cette attitude chez cette femme que je croyais si BCBG.
"Tu aimes les mots crus mon jeune ami ?"
Je hoche la tête, affirmatif mais timide.
"Moi aussi..."
"Vous ne direz rien alors... à mes parents..." ose-je avancer.
"Dire quoi ? A qui ? Je ne te dirais... que des mots très crus..."
J'effleure ses cuisses du bout des doigts.
L'extérieur... le liseré... puis la peau.
"Viens me téter".
Près, de plus en plus près de sa poitrine cachée.
"Pas un mot à tes copains non plus". Me dit-elle.
J'ouvre ma bouche et la pose, grande ouverte sur le sein recouvert.
"A moins que ... enfin nous verrons plus tard..." finit-elle avant de pousser un petit soupir et de s'agiter.
"Humm oui... tête bien".
J'aspire le tissu, le téton se dévoile sous ma langue.
Je lèche le top. J'aspire.
Je découvre l'absence de soutien-gorge qu'elle a pris soin d'enlever sans que je ne m'en rende compte.
L'odeur de son sexe me vient.
Mes mains saisissent le tissu.
Je le remonte lentement, puis plus vite, presque brouillon.
Il passe par dessus ses épaules puis son visage et ses cheveux qu'elle replace délicatement.
Muet, admiratif de cette poitrine.
Elle a posé une main entre ses cuisses. Je la vois s'agiter sur son intimité.
Je l'observe faire.
Elle remonte son doigt gluant.
Elle le pose à sa bouche et elle le suce en plongeant ses yeux dans les miens.
Je repose ma bouche sur son sein nu... lourd... en poire... profond...
Ma bouche aspire profondément.
L'auréole disparait...
Le téton se tend...
Du bout de la langue je titille la longue tétine.
Goulu, gourmand, je le serre.
Elle gigote... son doigt alterne entre son sexe et sa bouche.
Je libère le premier sein avant de me jeter sur le second.
Lapé... léché... j'en apprécie les aspérités qui ponctuent le mamelon large et sombre ainsi que lé tétine longue et dure.
Je mordille doucement.
"C'est un supplice... si tu continues comme ça je ne vais pas tenir !!"
Elle gémit.
Ses effluves m'enhardissent.
Je le suce alors de façon intense comme j'ai toujours rêvé de la téter.
Entre mes mains je perçois l'onctuosité de sa poitrine, je la palpe tout en la mangeant.
Je ne peux me retenir à grogner de plaisir en profitant de sa paire de seins qu'elle m'offre.
Son bassin effectue de petits mouvements, des soubresauts.
Je plaque ma bouche à son gros pis et, gourmand, je l'avale entier.
"Haaa oui Encore ! Tête moi encore comme ça mon cochon"
Je le tire vers l'intérieur de ma bouche, sa main posée sur ma nuque, mes joues creusent à force de sucer.
Je joue de ma langue pour l'exciter et le titiller, si long, si dur.
Elle avance ses reins et colle son sexe au plus près de mon corps.
Je l'aspire, il s'étire.
Je sens le corps mur qui me frôle.
Mon sexe au-dessus de l'assise effleure ses poils pubiens.
Ses jambes ouvertes, je suis dans un rêve, un fantasme.
Elle appuie fort sur ma nuque et je tête avec une envie renouvelée.
Dans mon boxer ma verge est douloureuse, à l'étroit.
Je me laisse plaquer contre son sein... elle gémit... je le mange...
De ces deux mains elle me force à descendre.
Je résiste mais si peu, avant de me laisser diriger vers son sexe.
"Bouffe moi la chatte maintenant... bouffe moi... "
A suivre...