Partager l'article ! La débauche de Béatrice - 2: [...] Je n'étais pas retournée au bureau de mon mari depuis que son patron m'avait prise en ces l ...
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Je n'étais pas retournée au bureau de mon mari depuis que son patron m'avait prise en ces lieux.
Je m'efforçais de ne plus y penser mais mes rêves étaient parfois agités et des images me revenaient, précises, persistantes... érotiques... perverses.
Il m'était ardu de résister à poser mes longs doigts fins sur ma toison courte et blonde.
Mes mamelons se gonflaient soudain de plaisir, en pleine journée, ou au réveil à la simple pensée de cette incartade aux principes de mon mariage.
C'était horrible, cela me mettait le feu au bas ventre.
Je ne lui avais rien dit, gardant mon coupable méfait pour moi, portant ce fardeau comme un boulet de forçat.
J'étais punie par mes remords.
Comment avais-je pu faire une telle chose alors que Marc était un époux aimant, doux, attentif ?
Depuis nous avions refait l'amour.
Cela n'avait aucun rapport avec la débauche de sens que j'avais connu, c'était beaucoup plus sensuel et réservé.
C'est à ce moment, perdue dans mes pensées, alors que je rangeais la chambre de notre grande fille, que la sonnette retentit.
J'ouvre la porte et je sursaute.
La directeur de mon mari me sourit.
Mes joues deviennent aussi rouges que des fleurs de coquelicot.
Mon premier réflexe est de claquer la porte, de barrer le verrou.
Au lieu de cela je l'invite à entrer.
Des idées en tous sens dans mon cerveau qui s'affole.
Le refus, l'envie, la honte, la surprise.
Je me sens perdue mais je garde contenance.
Le souvenir de la dernière fois où je l'ai vu me fait l'effet d'une gifle.
"Vous désirez ?" parviens je à énoncer sans avoir la voix trop chevrotante.
Il pose ses yeux sur moi.
Son regard de mâle, si sur de lui.
Plus grand que moi je sens ses yeux passer de mon cou à mes seins puis glisser sur mes hanches.
Je me sens si fragile dans cette robe légère.
Ma poitrine se soulève au rythme de ma respiration.
Il lève un sourcil, le coin de sa bouche en sourire.
Je croise mes bras et ses yeux de braise remontent se plonger dans les miens.
"J'avais à faire dans les alentours, je suis passé vous saluer".
Que sa voix est grave, forte. Si différente de Marc.
"Mon mari n'est pas là". Je tente de garder mon aplomb.
Je revois ses mains se poser sur moi et j'en frémis encore.
"Je sais" lâche t-il en s'avançant vers moi.
Je recule, légèrement apeurée.
Ho oui je suis effrayée... de ce qu'il peut me faire... mais tout autant de mes démons qui me tentent et m'incitent à la luxure.
Il s'approche.
Face à moi, son corps, sa bouche avide, son regard qui me fouille, son parfum qui m'enivre, son sourire qui me donne chaud.
Du dos de sa main droite il caresse ma joue.
J'ai un petit hoquet de surprise.
Ses doigts font filer mes cheveux pour remonter quelques cheveux blonds rebelles derrière mon oreille.
"Béatrice vous êtes... splendide".
Je rougis.
Mon dos rencontre le mur.
Sa main gauche se pose sur mon épaule et caresse mon bras.
Mon cœur s'emballe, je voudrais résister mais il est si proche, si présent, que je ne peux qu'émettre un faible gémissement négatif.
Ses mains jouent sur mes bras, sur mon cou.
Il caresse ma peau qui frisonne sous les sinuosités torrides que font ses doigts sur moi.
Lorsque ses doigts viennent déboutonner le devant de ma robe, je sens mon intimité d'humidifier instantanément.
Le son mat que font les boutons qui s'ouvrent, me semble un bruit de canon à chaque fois.
Ses mains se faufilent sous le tissu, il effleure le tissu de mon soutien gorge, passe sur mes seins, ouvre ma robe qui tombe sur mes hanches.
Je ferme les yeux.
"Non... s'il vous plait.. je suis une épouse sérieuse..." parviens-je à émettre entre mes lèvres sèches, la gorge nouée.
Il prend alors mes seins à pleines mains.
Ses mains, grandes ouvertes, appuient, malaxent mes petits seins dont les tétons qui se tendent, trahissent mes envies inavouables.
Il tire sur le soutien gorge, ma poitrine bondit en avant, le harnais de dentelle sur mon ventre comme un porte jarretelle placé trop haut.
Je gémis à chaque massage qu'il me pratique.
Mes seins nus subissent un délice de caresses.
Il tire délicatement sur mes tétines raides, les fait rouler dans ses mains.
Je m'abandonne à sa bouche qui vient se poser sur mon mamelon, l'aspirer.
Il me tête langoureusement, mon bout de seins aspiré dans sa bouche vorace, soupirant comme une midinette.
"Hooo... non... c'est fou...." ma voix est une plainte.
Sa main vient de glisser sur mon entre cuisse.
Il a remonté ma jupe, enfouit ses doigts entre mes jambes.
Il palpe le tissu de ma culotte, frêle rempart, et m'oblige à écarter les jambes.
"Tu mouilles dis donc" me murmure t-il de façon osée.
Mes yeux s'ouvrent et se referment aussitôt.
J'ai l'image de mon corps totalement à sa merci.
Il me masturbe avec une habileté qui me fait soupirer.
Ma culotte est tombée sur mes chevilles sans que je m'en sois aperçue.
Ses doigts dans ma toison courte, dorée, il presse mes grandes lèvres, son index écarte mes nymphes de haut en bas.
Mon dos contre le mur je ne lui oppose aucune résistance lorsqu'il entre son doigt en moi.
"Oui... tu es toute trempée... petite cochonne."
Je crispe mon visage pour réprimer un gémissement de plaisir qui s'étouffe dans ma gorge.
Cette façon si crue qu'il a de ma parler est toute à la fois un camouflet injurieux et un acte hautement érotique.
Il joue avec ma fente, s'amuse avec mon clitoris qu'il a extraie, qu'il appuie et tire alternativement.
Mes jambes sont molles, je manque de tomber assise au sol, sa main sur mes seins me masse la poitrine pour la soulever et pouvoir sucer mes tétons.
Il me redresse d'un geste, ses deux mains sur mes hanches... puis sur mes fesses.
Il fait glisser la fermeture éclair de son pantalon, sa braguette s'ouvre dans un sifflement obscène.
Un mouvement de côté, je cherche à m'esquiver mais sa main me rappelle à l'ordre en me soulevant une cuisse.
J'ai les jambes écartées et son gland vient se poser contre mon pubis.
Tel un serpent qui sait où est sa proie, son sexe vient trouver le mien.
Il me pénètre alors d'une traite.
Je pousse un cri.
Il a posé un de mes pieds sur une chaise.
Plaquée, il me cloue au mur au moyen de sa verge qui remplit ma matrice, déforme ma motte de femme mariée.
Ma jupe autour de la taille, retroussée en bouchon, mon soutien gorge défait, ma poitrine ballottant, je subis sa saillie.
"Haa ! Hoo... non... Haaa !"
A chaque mouvement de ses reins, son pal de chair me perce un peu plus loin et me fait crier.
Sa verge est si large comparée à celle de Marc, qu'il me donne l'impression de me déchirer.
Ma fente ruisselle, je ne résiste plus à l'acte d'infidélité qui me donne des frissons et... je refuse de me l'avouer... du plaisir.
Il accélère, mes fesses et mon dos frappent le mur dans un rythme de plus en plus rapide.
Sa verge coulisse dans mon vagin en fusion.
Mes doigts se crispent sur ses épaules, mon visage révulsé.
"Tient... petite cochonne... prend ça... allez... tu l'aimes ma bite... quand elle te défonce la chatte..."
Ses mots... hooo... des mots que jamais n'ira me dire Marc, des choses que je n'ai jamais entendue et qui m'affolent.
Je pousse alors un râle, submergée par ces sensations interdites.
L'orgasme que je ne voulais pas atteindre déferle sur moi dans un torrent de gémissements.
Je jouis et il me force encore, attirant ma croupe vers lui, mes cuisses ouvertes.
Longuement, sa grosse tige va et vient, je gémis, je me laisse aller, espérant que lorsque mes yeux s'ouvriront je n'aurais fait qu'un rêve...
Il se cabre en moi, il sort de ma vulve et son jus m'éclabousse le ventre et les poils pubiens.
Un liquide épais, chaud, poisseux qui s'étale sur ma peau d'épouse sérieuse...
Mon regard découvre ma tenue.
J'ai honte.
Ma poitrine se soulève au gré de ma respiration rapide, mes seins douloureux d'excitation.
Mon ventre et ma jupe, souillé de son sperme.
Mon sexe ouvert, rouge et luisant de mes sécrétions orgasmiques.
Il répond à son téléphone, son visage tourné vers la porte.
Je découvre alors son sexe qui dodeline entre nous.
Ho ! Cet engin est d'une épaisseur conséquente !
Son méat semble me regarder.
Je fais descendre ma jupe sur moi et je remonte mon soutien gorge.
Je veux oublier ce moment d'abandon.
Mais il en désire autrement... et sa main empêche le tissu de recouvrir mes seins.
Dans un sourire carnassier.
"Béatrice... nous avons encore du temps..."
A suivre...