Elle... Il... en duo

[...]

Nos mains l'une dans l'autre, nous parcourons les rues de la ville, nous flânons devant les vitrines des magasins.glam1
Si les passants savaient...
Que je n'ai aucune culotte sous mon pantalon, aucun soutien-gorge sous mon chemisier et mon pull... et les doigts encore couvert de ma mouille... mes joues en rosissent et je ne peux m'empêcher d'avoir un sentiment de fierté d'être ainsi obligée par celui qui passe son bras autour de mes épaules et m'attire à lui pour embrasser mes cheveux.
Nos pas nous amènent devant un sex-shop, une de ces enseignes qui se veut révolutionner la vente liée au sexe en mettant en avant son côté ludique.
Je marque une hésitation lorsqu'il me sourit et pousse la porte en m'entrainant avec lui.
Au milieu des jouets, tenues, objets de tout style et toute utilité, nous échangeons sur leurs utilités et imaginons les diverses sensations qu'ils peuvent provoquer, parfois en pouffant de rire, mais bien d'autre fois mon ventre s'embrase d'envies d'essayer.
Nos yeux se font plus gourmands et brillant de désirs.
Il décroche des vêtements et me montre du doigt la cabine d'essayage.
Je sais mon visage s'empourprer tant j'ai le feu aux joues.
Docilement, je me dirige vers la cabine, je m'y glisse. Quelques clients m'y voient entrer et lorsque le rideau se referme.  J''entame à retirer mon pull lorsque le rideau s'ouvre.
Il revient avec quelques pièces, suspendues sur des cintres. Je lui fais des grands yeux, ma bouche s'entrouvre pour lui signifier que ces vêtements sont... très... sexy.
Il m'encourage et me rassure sur le fait que je suis désirable et faite pour oser porter les tenues qu'il me veut revêtir.
Je reste interdite car il ne referme pas le rideau de velours pourpre.
D'un geste il me fait signe de ne pas m'en soucier et de procéder aux essais.
Je dégrafe mon chemisier avec des gestes fébriles, craignant que les quelques acheteurs et vendeurs, ne me remarquent.
Bien vite mes seins sont à l'air, arrogants, leurs pointes dressées au centre de mes larges corolles roses, sans pouvoir cacher le fait que j'en suis toute excitée.
Je me tourne pour, presque pudiquement, défaire mon pantalon.
Il glisse au sol.
Mes fesses nues lui apparaissent, mon bas ventre est en ébullition.
Il me fait me retourner.
Presque machinalement j'ai placé une main devant mon sexe lisse.
Il a ce sourire radieux qui me fait fondre.
Il me complimente sur mes courbes, sur mon obéissance, et je m'en sens instantanément mieux. Je le sais honnête et franc, alors chacune de ses paroles me touche au plus profond de moi.
Je roule des yeux lorsque je vois, derrière lui, un homme seul, et un couple, faussement occupés à faire un choix d'articles mais les regards en biais en ma direction.
Je lui révèle leur existence, il le savait déjà mais me rétorque que cela ne change rien... puis me tend la première pièce de vêtement à passer.
Une jupe bleue, courte... très courte.
Je la passe, tentant de ne pas montrer mon intimité aux voyeurs, en me cachant derrière le corps de mon homme.
Elle enveloppe mes hanches et mon séant, je la referme autour de ma taille..
Trop courte.
Le bas de la jupe, légère, ne masque qu'à peine courbure basse de mes fesses.
Il me félicite et me tend des bas... noirs opaques du bout du pied jusqu'à mi cuisses, et résilles ensuite, ornés d'un liseré bleue nuit.
Je pose mon pied sur le petit tabouret.
Mes seins lourds se balancent... la jupe remonte lorsque je me penche doucement.
Je cherche à ne pas me montrer aux clients mais je devine l'indécence de ma posture.
Il m'exhibe... et je mouille.
Je le regarde en faisant remonter mes bas, lentement pour masquer ma peau.
Ma jupe descend si peu qu'il sont intégralement visibles sur moi.
Il me gratifie d'un compliment alliant l'élégance et la sensualité.
Je me redresse, plus fière.
Le bustier qu'il me fait alors essayer est noir, lacé sur le devant. Il soulève ma poitrine sans aucunement masquer mes aréoles, la rendant encore plus visible et exagérément opulente.
Le petit chemisier blanc que je passe ensuite a du mal à se fermer. Sa transparence est telle que l'on distingue jusqu'aux petites aspérités de mes tétons.
Je passe les chaussures à talons, noires, qui accentuent la cambrure de mes reins et rehaussent le galbe de mes jambes.
Il se recule et efface ainsi le dernier paravent qui me cachait des 3 observateurs indiscrets.
Sa main prend la mienne et me fait avancer.
Je lui montre ma tenue, observée, mais pas uniquement par lui.
J'ai honte... je ne me sens pas à mon aise dans cette tenue trop courte et honteusement sexy.
Pourtant je marche, roule même de la croupe quand un des hommes me complimente, ses yeux reluquant mes seins.
Je le fais pour mon Maitre, pour lui faire honneur et montrer mon obéissance.
La femme me félicite et salue la sensualité que je dégage, son regard détaillant tout mon corps en connaisseuse.
Quelques autres compliments, un petit applaudissement, me font rougir de honte et de plaisir.
Je cherche mon Alpha du regard, il n'a d'yeux que pour moi.
Ses yeux gris bleus dans lesquels je me noies.
Son sourire est ma plus belle récompense.
Lié à sa main par le bout de mes doigts, il me fait réintégrer la cabine pour en fermer le rideau derrière nous cette fois-ci.
Il me trouve merveilleusement belle, désirable et excitante.
Ses compliments me vont droit au cœur.
Je lui avoue que j'en suis trempée...
Il baisse alors soudainement sa braguette et libère sa verge qui se gonfle en quelques secondes pour devenir cette barre dure dont j'ai envie.
Je m'agenouille aussitôt et ouvre ma bouche pour l'engloutir sans un préliminaire.
Mes lèvres s'étirent sur sa largeur et ma petite bouche est bien vite remplit de son pieu de chair que je déguste avec frénésie.
Son gland frotte dans ma bouche, sa peau chaude appuie sur ma langue.
Il me fait le sucer dans cette cabine d'essayage, et je suis sur que notre coupable entreprise ne passe pas inaperçue.
Je lève les yeux pour le regarder, il soupire doucement en me congratulant sur l'adéquation entre ma tenue et mes actions, ce qui ne fait que décupler mes mouvements de tête pour sentir son membre aller et venir entre mes lèvres.
Il retire son sexe trop vite à mon gout, me privant de l'envie de le sucer encore et encore.
D'un geste vif, il me gifle la joue de son manche couvert de bave et l'essuie sur mon visage.
Je me relève, consciente que je ne peux, ici, me livrer autant à mes bas instincts, ma bouche encore ouverte, ma langue qui passe sur ma lèvre supérieure pour recueillir un peu de son gout.
Il replie mes anciennes affaires.
Je comprends soudain qu'il va me falloir sortir, ainsi vêtue, et le visage luisant de ma salive.
Il se dirige vers la caisse, je le suis, légèrement en retrait, honteuse.
Mes talons claquent et semblent me signaler à la ronde.
J'ai l'impression que tous les regards sont tournés sur moi, ce qui n'est pas totalement faux car je ne manque pas d'éveiller des désirs chez certains et certaines, si j'en juge à l'attention qu'ils me portent, aux regards qu'ils me lancent et dans lesquels je vois de la convoitise..
Il paye.
Le vendeur ne m'accorde pas une attention folle, comme blasé. J'en suis presque blessée... et m'aperçois que je prends plaisir à porter cette tenue que je n'aurais pas osé porter sans l'ordre de mon Alpha.
Quelques minutes plus tard nous poussons la porte d'un de ces bar à ambiance lougne où la texture du bois, se mêle aux parfums des bougies.
Il choisit une table haute et je me perche sur le tabouret pour venir lui faire face.
Cette position révèle ma cuisse plus que de raison, tant ma tenue est courte.
Il s'en va nous commander deux verres et me laisse seule, attablée.
Mon sexe est directement posé sur le siège, par défaut de culotte et du fait également de la taille minimaliste de ma jupe.
Lorsque je sens un autre homme que lui venir m'approcher, mon cœur s'emballe, prise d'une légère panique qui me fait bafouiller et m'empêche de répondre à sa question déplacée.
Ses yeux sont fixés sur mes seins, sur les aréoles qui dessinent deux ombres circulaires sur la transparence de mon chemisier.
- C'est combien pour une pipe ? Me redemande t-il en me détaillant d'un air concupiscent.
Mon visage devient pivoine, comme je comprends sa question.
Je me sens soudainement comme nu devant cet inconnu.
Ce qui était un jeu me met soudainement mal à l'aise.
Il plonge son regard de ma poitrine à mes cuisses, me sourit en me convoitant comme un porc sur un kilo de châtaignes.
Instinctivement je tire sur le bas de ma jupe.
- Cette femme est à moi, et elle n'a aucun autre besoin. Vous pouvez nous laisser. Résonne soudain la voix de Mon Maitre.
La tension est palpable. L'intrus tente un début de réponse, ne sachant pas trop à qui il s'adresse.
Mais avant qu'il ne puisse prononcer le moindre son, la sanction tombe comme un couperet.
- Ne t'approche pas d'elle. Elle m'appartient. Sourit-il au en prenant le soin d'énoncer distinctement chaque syllabe, mêlant le tutoiement et la force contenue à une légèreté feinte..
Mon émotion est à son comble. Rendue nerveuse et affolée par l'arrivée de cet inconnu, me voici en l'espace d'un instant comblé par la protection et la possession que m'apporte celui que je chéris.
L'homme comprend, autant que moi, soudainement, le choix des mots qui furent prononcés et il s'éclipse en s'excusant.
Je souris lorsque Mon Mâle, me pose la main sur l'épaule et me rassure. Il vient d'affirmer, une nouvelle fois, de façon très forte, ses droits et ses attentions sur moi.
Heureusement que je suis assise car mes jambes sont flageolantes.
Je le dévore des yeux.
Heureuse de et fière de ce qu'il vient de dire, de faire.
Les cocktails arrivent. Il a choisit pour moi un "Blue Moon" et pour lui une "Tequila Sunrise".
Les yeux dans les yeux, sans un mot, nous les dégustons.
Mes doigts dans les siens.
J'accepte... ma tenue... la position et le rôle qu'il me donne... Tout.
Je lui murmure
- Je suis Votre...
Mais il ne me laisse pas le temps de finir ma phrase.
Son inde est venue se placer sur mes lèvres.
- Je sais.
Il se place à mes côtés, son cocktail à demi finit.
Debout, je le contemple à mon tour. Il me convient... tellement.
Ses doigts flirtent avec mon bas, il caresse le petit nœud bleu.
Je colle... au siège... alors lorsque ses doigts se glissent en moi, j'écarte mes cuisses et dans un gémissement, je l'accepte dans ma fente en feu.
J'espérais ce moment, mes nymphes s'enflamment au contact de ses gestes qui me fouillent en public, dans le bar.
Il se retire trop vite à mon gout, passe ses doigts sur ses lèvres et les goute. Je me sens en totale ébullition.
Sa main, une nouvelle fois trempée, se glisse dans la mienne. Il m'attire vers les toilettes.
La lumière crue du néon me fait plisser les yeux.
Il pousse une petite porte et je m'y glisse à sa suite, là, dans l'étroitesse d'un réduit blanc.
De son pantalon ouvert, il sort sa tige, son bel éperon de chair.
Je m'accroupis et d'une main j'entoure la large barre chaude et tendue.
Je lève le regard vers lui.
Mes cuisses s'écartent et je prends une attitude de petite garce.
Sa main vient me tenir par les cheveux.
J'ouvre ma bouche et j'incline son membre pour qu'il vienne se glisser sur ma langue.
Je l'engloutis. Il est si bon à déguster que j'en ferme les yeux, plisse mes lèvres autour de son sexe imposant et savoure ce moment de plaisir.
Peu m'importe le lieu... j'aime le prendre en bouche.
Je l'enfonce loin et lui montre que je le désire, autant qu'il le souhaite.
Je m'applique à le sucer, de plus en plus vite, comme une damnée.
Mes doigts le masturbent en même temps, et mon autre main vient malaxer ses boules qui bougent dans mes palpations pressantes.
Je sens sa verge se gonfler, ses doigts resserrer son emprise sur mon crâne. Il sort soudain de mon étreinte buccale pour appuyer sur ma tête.
Il m'oblige à regarder mon entrejambe et sa verge se pose sur l'arrière de ma tête.
Je l'entends gémir et son foutre vient éclabousser ma nuque.
Il se vide à grandes giclées et je le devine, presser sa hampe pour que l'intégralité de son jus me souille.
Lentement, de chaque côté de mon cou, s'écoule les ruisseaux de son sirop d'homme.
Son foutre me dégouline autour du cou jusqu'à se rejoindre et venir goutter sur mes seins.
Il relève mon visage.
Mes lèvres sont purpurines de cette pipe que je viens de lui tailler.
Mon cou scintille d'un collier de sperme dont le pendentif serait une perle de foutre glissé entre mes lourdes mamelles.
Un nouveau collier qui me ravit.
Son miel se répand sur mes seins, dans la vallée qui les sépare, il coule dans mon dos.
Lorsque nous retraversons la salle, je devine ma peau qui brille.
Fière de lui appartenir, je passe mn bras sous le sien.
Je suis Sa...
Il me sourit.
- Conserve mon jus dans ton cou. Et trouvons-nous un hôtel afin que tu puisses crier à ton aise. Me susurre t-il dans le creux de l'oreille.
Je fonds...me liquéfie... soudainement très en chaleur devant l'évidence de la suite de la soirée et de ce qu'il veut que je sois pour lui. Ce que je veux être pour lui, Mon Mâle.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

[...]

p1_mains_liees.jpg

Il passe ses mains sur mes épaules et caresse ma nuque, remonte sous mes cheveux.
Ses doigts se font griffes douces pour venir tracer des sillons tout du long de mon dos, provoquant ma cambrure un peu plus.
Ses paumes flattent mes fesses, nues, qui s'offrent aux pressions délicates qu'il me procure.
Je soupire, silencieusement, quand il descend le long de mes cuisses puis remonte dans leur intérieur jusqu'à frôler mes lèvres intimes entrouvertes.
Sur mon ventre, son empreinte est délicate.
Sur mes seins, son emprise est ferme.
Je suis aux anges.
Mon visage vers le pied du lit, je regarde vers le sol comme il m'en a fait la demande. Je devine son ombre sur moi, dans la lumière tamisée des rideaux tous justes tirés.
Mes mains sont liées ensemble, attachées par les poignets au montant inflexible du pied de lit..
Des liens identiques me maintiennent par les chevilles et les genoux, à la tête du lit.
Mon dos parallèle au matelas, les bras en avant, agenouillée et écartée, je suis totalement maintenue à sa merci.
Et j'en frémis de plaisir.
Ses pressions sur mes courbes me font me dandiner, un peu exagérément pour lui montrer mon plaisir d'être aussi obéissante.
Il s'éloigne et disparaît à ma vue, ne laissant que mon ouïe le sentir.
Je sais son regard sur moi.
J'adore.
J'entends ses gestes... je devine sa main qui flatte sa verge... qui caresse ses boules lisses et pleines...
Sans oser incliner mon visage pour le contempler, je m'enflamme de l'entendre se caresser en me contemplant.
Que sa main doit être belle, autour de son membre large !
Que son pouce doit être délicieux lorsqu'il étale sa prime goutte, perlant de son méat, pour exciter son gland pourpre...
Dans mon ventre, le brasier se diffuse. Ma gorge devient plus serrée. Mes joues rosissent. Mon corps réagit.
Il m'excite.
Je fantasme à simplement le savoir, à écouter le bruit de sa main qui astique son manche à mes côtés.
Ses soupirs soufflent sur les braises de l'incandescence qui m'anime.
Mon vagin palpite.
Mes tétons sont tendus, douloureux.
J'ai envie qu'il me touche.
J'ai besoin d'être libérée de mes tensions par des caresses, des pressions. Une fessée...
Mais il se joue de moi, il continue sa masturbation en me frustrant. Sans me toucher.
J'ondule du bassin pour qu'il profite de la vue et se fasse plaisir, je fais se contracter et se détendre mes orifices afin qu'il me désire et qu'il soit fier de moi.
Un râle soudain me donne chaud.
Sur mon séant, je reçois le liquide chaud de son orgasme.
Les giclées se succèdent, maculant mes fesses de son sirop épais.
Le son de sa voix, mâle, grâve, lorsqu'il exprime son plaisir.
Un sourire immédiat éclaire mon visage, tellement heureuse d'être la source de ses plaisirs, et salie par son foutre que je prends comme un présent précieux.
Le long de mes courbes, s'écoule son jus.
Il me réapparait.
Je le dévore des yeux. Sa verge encore grosse qu'il essuie avec ma culotte en me souriant.
J'aurais envie qu'il me la fasse lécher, la sentir appuyer sur ma langue tendue.
Il dénoue mes mains mais ce répit n'est que de courte durée.
Il me fait me redresser, m'agenouiller, lever mes bras vers le plafond pour m'attacher à un piton robuste.
Mes seins se tendent vers l'avant, mes cuisses ouvertes révèlent mon sexe dans toute sa splendeur, humide et entrouvert.
Une position de cambrure où seules mes omoplates touchent le mur.
Je l'entends lancer une vidéo... des gémissements emplissent la pièce.
Il regarde quelques instant les protagonistes et masque l'écran, ne laissant que le son.
Troublé... je me trémousse.
Il est nu, devant moi.
Dans sa main il tient 4 épingles à linge.
Il est obscène... envoutant.
Je grimace et réprime un gémissement lorsqu'il vient placer la première pince sur mon téton droit, dressé par tant que désirs.
Il ne me laisse pas le temps de respirer et m'inflige une seconde et délicieuse morsure sur mon autre sein, m'arrachant un petit cri.
Ma respiration est plus profonde, saccadée.
Il me sourit en passant les pinces restantes le long de mes hanches jusqu'à me caresser le sexe.
J'accepte sans un mot, en feignant de le toiser, provocatrice, faussement crâneuse.
Il s'amuse à faire durer le plaisir, une des pinces ouvertes, passée autour d'une de mes lèvres.
Le resserrement me fait geindre.
Il me regarde, je me tiens droite pour qu'il soit fier de moi.
Ma lèvre me lance, comme en feu...
La seconde pince, comme une délivrance, après de lents passage sur ma lèvre libre, me fait venir une larme à l'œil.
Ma bouche reste ouverte, haletante, des râles rauques auxquels succèdent bientôt une respiration plus posée qui fait se soulever ma poitrine, et tirer sur mes mamelons.
Je tire sur mes mains mais je suis entravée, écartée et tendue devant lui, pour lui.
Il me sourit et vérifie que le lien qui lie mes poignets est bien assez serré.
Je lui rends ce sourire.
Tout du long de mes bras, il laisse courir ses mains jusqu'à mes épaules et mon cou.
Je suis électrisé par ses gestes.
Il caresse le haut de ma poitrine, passe avec délicatesse sur les flancs de mes seins durs.
Il monte sur le lit, faisant osciller les pinces qui étirent mes chairs sensibles.
Je geins sous l'effet du mouvement.
Sa verge à la hauteur de mon visage, je l'admire.
Elle est lisse, dressée vers le ciel comme un pal... sur lequel j'aimerais m'asseoir.
Son gland est pourpre et sur son pourtour je distingue nettement les aspérités qui me font un effet dingue lorsqu'il me pénètre.
Ses doigts enserrent son manche qu'il fait coulisse de nouveau, devant moi, à quelques centimètres et pourtant trop loin pour que je puisse y poser ma langue.
Il me frustre du plaisir qui est le mien de le prendre à pleine bouche, de le sucer goulument, de sentir sa tige épaisse me remplir la bouche.
Mes seins me lancent... mes lèvres sont incandescentes.
Des sons de saillies proviennent de la vidéo en fond sonore. Terriblement obscène.
Chaque mouvement de masturbation qu'il effectue face à moi, fait bouger les étaux qu'il m'a posé.
Sans me toucher, et en se faisant plaisir, il fait monter la jouissance en moi, la douleur des morsures laissant bientôt place à des sensations ardentes et délicieuses.
Il se tend, souffle, soupire...
Et éjacule sur ma poitrine tendue vers lui.
Les secousses qui animent son membre forment des tâches sur mon corps.
Je suis hypnotisée par son méat qui libère son flot de foutre sur moi.
Son liquide blanc vient napper ma peau pâle, tel un lait chaud.
Il appuie de son pouce, tout le long de son gros sexe pour se vider entièrement.
Comme sur un piédestal, je me sens au bord de tomber dans le vide de l'orgasme.
Mon sexe est liquide.
Il s'empare de ma culotte noire et essuie le bout de son dard, en plongeant son regard dans le mien.
Je rougis.
Le lit bouge, les pinces me torturent avec extase, lorsqu'il redescend et jette mon dessous juste devant moi.
Il s'habille, me laissant, incrédule, le regarder faire.
En vérifiant les liens qui me maintiennent captive, il me lance qu'il doit "faire une course".
Je lui jette un regard de défi, sombre.
J'ai envie qu'il me prenne ! Qu'il me baise !
Il sourit et je me tais... il sait jouer de mes frustrations à ma plus grande satisfaction.
S'affairant sur le bureau, il lance une nouvelle vidéo qu'il ne me permet pas de voir... mais d'entendre.
Des gémissements encore plus crus... je suis en chaleur.
J'entends des inconnus prendre du plaisir alors que moi, je suis couverte de jus, sur ma croupe, sur mes seins, privée du contact d'un corps, écartelée des membres et du sexe.
Je le regard sortir.
Les larmes me montent aux yeux.
La porte claque.
Mes sens sont en ébullition, mon bas ventre est un brasier.
Ma poitrine est serrée, au bout de mes aréoles les deux mâchoires sont implacables et le moindre de mes geste fait vibrer mon être de part en part.
Mon dessous, souillé de son jus, semble me narguer.
Les sons pervers ont rapidement un effet sur ma libido qui grimpe en flèche.
Seule, abandonnée temporairement, exposée, mon vagin se contracte.
Je me masse intimement, multipliant les contractions, les ondulations de mes hanches, seules parties que je peut faire lanciner sans contrainte.
Je lutte pour ne pas prendre mon pied sans en avoir l'autorisation, mais cependant mise dans une posture où je ne peux plus résister.
Les minutes s'écoulent... je perds la notion du temps.
Mon intimité est un foyer de sensations bouillonnantes... je couine à l'unisson des invisibles amants dont ne me parviennent que des gémissements bestiaux.
Je me cabre et râle... mes yeux mi-clos, la bouche entrouverte... je coule sans me toucher... longuement... dans une demi-jouissance infernale.
Mes cheveux bruns collent à mon cou, à mes joues.
Le bruit de son arrivée fait bondir mon cœur de joie. Enfin ! Il me revient !
Et la honte, instantanée, d'avoir jouis... même partiellement.
Il entre dans la chambre.
Je le dévore des yeux. Son jean, sa chemise... cette ceinture... et ses mains, son regard azur... son sourire.
Je fonds. En chaleur en sa présence.
Il coupe le son, redonne à notre intimité un caractère sacré, dépose un baiser sur ma joue, chaste alors que je suis... tirée à 4 épingles... et sans aucune pudeur.
- Tu sens le sexe. Me dit-il d'un ton affectueux.
Ses mots me font vibrer et bien plus d'effet que n'importe quel objet ou image.
Ses yeux glissent sur ma poitrine, admire son œuvre qui macule mes seins.
Son jus a coulé entre mes deux globes, son miel a formé de longues arabesques jusqu'à mes corolles carmins.
Soudainement sa main vient se placer entre mes jambes.
Je pousse un petit cri de surprise.
De ses doigts, il se fait une place entre les pinces.
Mon clitoris est gorgé de sang, mes lèvres sont gonflées et hyper sensibles.
Je me tortille en tout sens sous sa prise de position.
- Tu as coulé...
Je hoche la tête, affirmative, tentant de lui faire ce regard le plus lascif et attendrissant possible.
- ... comme une petite salope. Lui susurre-je.
Hooo... mes mots me font aussi un effet extraordinaire.
Je me sens faire venir mon bassin au contact de ses doigts, instantanément, instinctivement offerte à ses envies.
Il me masturbe plus fortement, rapidement.
Les pinces me font mal... me procurent des sensations inouïes, d'une intensité incroyable.
Lorsqu'il libère mes seins, l'un après l'autre, sans relâcher la vitesse de ses doigts sur ma chatte, je ne suis que gémissements sans fin.
Quand ma première nymphe se fait ôter de son emprise... je jouis en hurlant dans une jouissance libératrice.
La seconde disparaît dans un flou orgasmique de plaisirs impolis et intenses.
Mes poignets, mes chevilles me font mal tant je tire dessus, mon corps cabré comme une pouliche.
Le visage vers le ciel, je m'affranchis dans une série de cris continus...
Il essuie ses doigts sur mes cuisses, sur mes hanches, me salissant encore plus, cette fois de ma cyprine gluante et abondante.
Je tombe sur le lit, la tête sur le matelas lorsqu'il délace mes mains.
Je reste écartée, croupe en l'air, lorsque mes pieds retrouvent leur liberté. Incapable de resserrer mes jambes, exténuée.
Horriblement frustrée puis délicieusement assouvie, je flotte sur un nuage.
Il me caresse, masse les endroits par lesquels j'étais attachée.
Si protecteur, prévenant.
Je le regarde et lui souris.
Sa bouche vient se poser sur mes lèvres.
Il m'embrasse, alors que j'ai encore le souffle court.
Autour de mon cou il vient attacher mon collier de dentelle noire au centre duquel brille un petit anneau.
Je suis si fière.
- Tu es...
J'achève sa phrase, en prenant soin de choisir chacun de mes mots, sans même faire d'effort.
-... Votre Chienne... Votre trainée... Votre Soumise, VotreDévouée. Je suis Votre Alphae
Son contact me rassure et m'emporte.
- Nous sortons. Me fait-il dans un clin d'œil.
Je m'habille, comme dans un rêve. Mon pantalon colle, je suis poisseuse de nos jus. Mon chemisier s'orne d'auréoles de son foutre. Le petit pull que je passe échauffe ces sirops humains qui reprennent de la viscosité.
J'ai la sensation d'être gluante... intégralement.
L'esprit encore ailleurs, l'air frais me fait du bien.
Je marche à ses côtés. Je suis bien. Heureuse. Comblée.
Il prends ma main.
Mes doigts glissent dans les siens... encore trempés de ma mouille !
J'en ouvre de grands yeux.
Au milieu de la foule, le corps souillé, nos doigts mêlés de souillures, invisibles  et pourtant exposés à la vue de tous.
Je resserre mes doigts dans les siens... j'aime lui appartenir... être salie de lui.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Son regard...

Son regard est le miroir des nos âmes dans lequel se reflètent nos désirs...
J'aime...

masque
Son regard de salope, lorsque par dessus ses lunettes, elle me fixe alors que sa bouche est obsédée par des succions délicieuses, que sa langue lèche toute ma verge, s'enroulant autour de mes boules pour remonter dans un ultime claquement sur le haut de mon gland.
Son regard de braise, où se reflètent les flammes de la cheminée à laquelle elle est attachée, alors qu'elle subit les pires outrages sensuels et qu'elle en veut encore.
Son regard au travers les fente du masque vénitien, honteuse et excitée, de se savoir exhibée à des yeux anonymes d'une caméra.
Son regard embué et content après une fessée qui n'a d'autre vocation que lui montrer à qui elle appartient.
Son regard brillant, quand elle s'approche à 4 pattes, sa laisse en bouche, la croupe relevée et ondulante, chienne perverse en chaleur.
Son regard étincelant de joie quand, à la vue de ma verge dressée pour elle, elle attend de se faire saillir, avec la certitude que rien ne lui sera épargné.
Son regard au travers de ses paupières à demi closes, le son de ses gémissements de plaisir, prise avec tendresse, mon membre coulissant dans son antre ruisselante.
Son regard complice lorsque ma main se glisse sous sa jupe, palpant avec grâce, son cul nu, au milieu de la foule.
Son regard tendre lorsqu'elle vient se coller à moi, sa joue posée sur mon torse, apaisée après l'orgasme.
Son regard soumis et pervers, soulignant son sourire radieux, quand elle est obéissante, dans l'attente, attentive et prête ) se faire dresser.
Son regard hautain, lorsque je la fais se tenir à mes pieds, fière de sa condition.
Son regard flou, alors qu'elle se voit dans le miroir, ses mains écartant ses fesses, sodomisée bestialement.
Son regard amusé, lorsque nous switchons...
Son regard éloquent lorsque mes doigts frôlent sa peau et qu'elle m'avoue avoir envie de se donner comme une garce.
Son regard implorant, maintenue à distance de ma queue, sa langue tirée, salivant d'envies.
Son regard de cochonne, lorsqu'elle enfile les vêtements que je lui ai préparé et qui ne laisse aucuns doutes sur nos envies partagés... sexuelles.
Son regard maquillé, divinement envoutant.
Son regard lubrique quand je l'admire à se masturber devant moi, ses doigts réagissant à chacun de mes ordres.
Son regard, volontairement vaincu, quand elle passe elle même autour de ses chevilles, les liens de soie avec lesquelles je vais l'attacher pour la soumettre.
Son regard de trainée, les paupières couvertes de mon foutre, où je lis le désir et la reconnaissance.


Son regard, miroir du mien, où j'y lis à l'unisson, toute la fierté de nous appartenir,

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • Le blog de M.
  • : Le blog de M.
  • : Récits érotiques sur les rives du plaisir.

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés