Partager l'article ! Tensions insolentes.: [...] Il passe ses mains sur mes épaules et caresse ma nuque, remonte sous mes cheveux. Ses doigt ...
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Il passe ses mains sur mes épaules et caresse ma nuque, remonte sous mes cheveux.
Ses doigts se font griffes douces pour venir tracer des sillons tout du long de mon dos, provoquant ma cambrure un peu plus.
Ses paumes flattent mes fesses, nues, qui s'offrent aux pressions délicates qu'il me procure.
Je soupire, silencieusement, quand il descend le long de mes cuisses puis remonte dans leur intérieur jusqu'à frôler mes lèvres intimes
entrouvertes.
Sur mon ventre, son empreinte est délicate.
Sur mes seins, son emprise est ferme.
Je suis aux anges.
Mon visage vers le pied du lit, je regarde vers le sol comme il m'en a fait la demande. Je devine son ombre sur moi, dans la lumière tamisée des
rideaux tous justes tirés.
Mes mains sont liées ensemble, attachées par les poignets au montant inflexible du pied de lit..
Des liens identiques me maintiennent par les chevilles et les genoux, à la tête du lit.
Mon dos parallèle au matelas, les bras en avant, agenouillée et écartée, je suis totalement maintenue à sa merci.
Et j'en frémis de plaisir.
Ses pressions sur mes courbes me font me dandiner, un peu exagérément pour lui montrer mon plaisir d'être aussi obéissante.
Il s'éloigne et disparaît à ma vue, ne laissant que mon ouïe le sentir.
Je sais son regard sur moi.
J'adore.
J'entends ses gestes... je devine sa main qui flatte sa verge... qui caresse ses boules lisses et pleines...
Sans oser incliner mon visage pour le contempler, je m'enflamme de l'entendre se caresser en me contemplant.
Que sa main doit être belle, autour de son membre large !
Que son pouce doit être délicieux lorsqu'il étale sa prime goutte, perlant de son méat, pour exciter son gland pourpre...
Dans mon ventre, le brasier se diffuse. Ma gorge devient plus serrée. Mes joues rosissent. Mon corps réagit.
Il m'excite.
Je fantasme à simplement le savoir, à écouter le bruit de sa main qui astique son manche à mes côtés.
Ses soupirs soufflent sur les braises de l'incandescence qui m'anime.
Mon vagin palpite.
Mes tétons sont tendus, douloureux.
J'ai envie qu'il me touche.
J'ai besoin d'être libérée de mes tensions par des caresses, des pressions. Une fessée...
Mais il se joue de moi, il continue sa masturbation en me frustrant. Sans me toucher.
J'ondule du bassin pour qu'il profite de la vue et se fasse plaisir, je fais se contracter et se détendre mes orifices afin qu'il me désire et qu'il
soit fier de moi.
Un râle soudain me donne chaud.
Sur mon séant, je reçois le liquide chaud de son orgasme.
Les giclées se succèdent, maculant mes fesses de son sirop épais.
Le son de sa voix, mâle, grâve, lorsqu'il exprime son plaisir.
Un sourire immédiat éclaire mon visage, tellement heureuse d'être la source de ses plaisirs, et salie par son foutre que je prends comme un présent
précieux.
Le long de mes courbes, s'écoule son jus.
Il me réapparait.
Je le dévore des yeux. Sa verge encore grosse qu'il essuie avec ma culotte en me souriant.
J'aurais envie qu'il me la fasse lécher, la sentir appuyer sur ma langue tendue.
Il dénoue mes mains mais ce répit n'est que de courte durée.
Il me fait me redresser, m'agenouiller, lever mes bras vers le plafond pour m'attacher à un piton robuste.
Mes seins se tendent vers l'avant, mes cuisses ouvertes révèlent mon sexe dans toute sa splendeur, humide et entrouvert.
Une position de cambrure où seules mes omoplates touchent le mur.
Je l'entends lancer une vidéo... des gémissements emplissent la pièce.
Il regarde quelques instant les protagonistes et masque l'écran, ne laissant que le son.
Troublé... je me trémousse.
Il est nu, devant moi.
Dans sa main il tient 4 épingles à linge.
Il est obscène... envoutant.
Je grimace et réprime un gémissement lorsqu'il vient placer la première pince sur mon téton droit, dressé par tant que désirs.
Il ne me laisse pas le temps de respirer et m'inflige une seconde et délicieuse morsure sur mon autre sein, m'arrachant un petit cri.
Ma respiration est plus profonde, saccadée.
Il me sourit en passant les pinces restantes le long de mes hanches jusqu'à me caresser le sexe.
J'accepte sans un mot, en feignant de le toiser, provocatrice, faussement crâneuse.
Il s'amuse à faire durer le plaisir, une des pinces ouvertes, passée autour d'une de mes lèvres.
Le resserrement me fait geindre.
Il me regarde, je me tiens droite pour qu'il soit fier de moi.
Ma lèvre me lance, comme en feu...
La seconde pince, comme une délivrance, après de lents passage sur ma lèvre libre, me fait venir une larme à l'œil.
Ma bouche reste ouverte, haletante, des râles rauques auxquels succèdent bientôt une respiration plus posée qui fait se soulever ma poitrine, et
tirer sur mes mamelons.
Je tire sur mes mains mais je suis entravée, écartée et tendue devant lui, pour lui.
Il me sourit et vérifie que le lien qui lie mes poignets est bien assez serré.
Je lui rends ce sourire.
Tout du long de mes bras, il laisse courir ses mains jusqu'à mes épaules et mon cou.
Je suis électrisé par ses gestes.
Il caresse le haut de ma poitrine, passe avec délicatesse sur les flancs de mes seins durs.
Il monte sur le lit, faisant osciller les pinces qui étirent mes chairs sensibles.
Je geins sous l'effet du mouvement.
Sa verge à la hauteur de mon visage, je l'admire.
Elle est lisse, dressée vers le ciel comme un pal... sur lequel j'aimerais m'asseoir.
Son gland est pourpre et sur son pourtour je distingue nettement les aspérités qui me font un effet dingue lorsqu'il me pénètre.
Ses doigts enserrent son manche qu'il fait coulisse de nouveau, devant moi, à quelques centimètres et pourtant trop loin pour que je puisse y poser
ma langue.
Il me frustre du plaisir qui est le mien de le prendre à pleine bouche, de le sucer goulument, de sentir sa tige épaisse me remplir la
bouche.
Mes seins me lancent... mes lèvres sont incandescentes.
Des sons de saillies proviennent de la vidéo en fond sonore. Terriblement obscène.
Chaque mouvement de masturbation qu'il effectue face à moi, fait bouger les étaux qu'il m'a posé.
Sans me toucher, et en se faisant plaisir, il fait monter la jouissance en moi, la douleur des morsures laissant bientôt place à des sensations
ardentes et délicieuses.
Il se tend, souffle, soupire...
Et éjacule sur ma poitrine tendue vers lui.
Les secousses qui animent son membre forment des tâches sur mon corps.
Je suis hypnotisée par son méat qui libère son flot de foutre sur moi.
Son liquide blanc vient napper ma peau pâle, tel un lait chaud.
Il appuie de son pouce, tout le long de son gros sexe pour se vider entièrement.
Comme sur un piédestal, je me sens au bord de tomber dans le vide de l'orgasme.
Mon sexe est liquide.
Il s'empare de ma culotte noire et essuie le bout de son dard, en plongeant son regard dans le mien.
Je rougis.
Le lit bouge, les pinces me torturent avec extase, lorsqu'il redescend et jette mon dessous juste devant moi.
Il s'habille, me laissant, incrédule, le regarder faire.
En vérifiant les liens qui me maintiennent captive, il me lance qu'il doit "faire une course".
Je lui jette un regard de défi, sombre.
J'ai envie qu'il me prenne ! Qu'il me baise !
Il sourit et je me tais... il sait jouer de mes frustrations à ma plus grande satisfaction.
S'affairant sur le bureau, il lance une nouvelle vidéo qu'il ne me permet pas de voir... mais d'entendre.
Des gémissements encore plus crus... je suis en chaleur.
J'entends des inconnus prendre du plaisir alors que moi, je suis couverte de jus, sur ma croupe, sur mes seins, privée du contact d'un corps,
écartelée des membres et du sexe.
Je le regard sortir.
Les larmes me montent aux yeux.
La porte claque.
Mes sens sont en ébullition, mon bas ventre est un brasier.
Ma poitrine est serrée, au bout de mes aréoles les deux mâchoires sont implacables et le moindre de mes geste fait vibrer mon être de part en
part.
Mon dessous, souillé de son jus, semble me narguer.
Les sons pervers ont rapidement un effet sur ma libido qui grimpe en flèche.
Seule, abandonnée temporairement, exposée, mon vagin se contracte.
Je me masse intimement, multipliant les contractions, les ondulations de mes hanches, seules parties que je peut faire lanciner sans
contrainte.
Je lutte pour ne pas prendre mon pied sans en avoir l'autorisation, mais cependant mise dans une posture où je ne peux plus résister.
Les minutes s'écoulent... je perds la notion du temps.
Mon intimité est un foyer de sensations bouillonnantes... je couine à l'unisson des invisibles amants dont ne me parviennent que des gémissements
bestiaux.
Je me cabre et râle... mes yeux mi-clos, la bouche entrouverte... je coule sans me toucher... longuement... dans une demi-jouissance
infernale.
Mes cheveux bruns collent à mon cou, à mes joues.
Le bruit de son arrivée fait bondir mon cœur de joie. Enfin ! Il me revient !
Et la honte, instantanée, d'avoir jouis... même partiellement.
Il entre dans la chambre.
Je le dévore des yeux. Son jean, sa chemise... cette ceinture... et ses mains, son regard azur... son sourire.
Je fonds. En chaleur en sa présence.
Il coupe le son, redonne à notre intimité un caractère sacré, dépose un baiser sur ma joue, chaste alors que je suis... tirée à 4 épingles... et
sans aucune pudeur.
- Tu sens le sexe. Me dit-il d'un ton affectueux.
Ses mots me font vibrer et bien plus d'effet que n'importe quel objet ou image.
Ses yeux glissent sur ma poitrine, admire son œuvre qui macule mes seins.
Son jus a coulé entre mes deux globes, son miel a formé de longues arabesques jusqu'à mes corolles carmins.
Soudainement sa main vient se placer entre mes jambes.
Je pousse un petit cri de surprise.
De ses doigts, il se fait une place entre les pinces.
Mon clitoris est gorgé de sang, mes lèvres sont gonflées et hyper sensibles.
Je me tortille en tout sens sous sa prise de position.
- Tu as coulé...
Je hoche la tête, affirmative, tentant de lui faire ce regard le plus lascif et attendrissant possible.
- ... comme une petite salope. Lui susurre-je.
Hooo... mes mots me font aussi un effet extraordinaire.
Je me sens faire venir mon bassin au contact de ses doigts, instantanément, instinctivement offerte à ses envies.
Il me masturbe plus fortement, rapidement.
Les pinces me font mal... me procurent des sensations inouïes, d'une intensité incroyable.
Lorsqu'il libère mes seins, l'un après l'autre, sans relâcher la vitesse de ses doigts sur ma chatte, je ne suis que gémissements sans
fin.
Quand ma première nymphe se fait ôter de son emprise... je jouis en hurlant dans une jouissance libératrice.
La seconde disparaît dans un flou orgasmique de plaisirs impolis et intenses.
Mes poignets, mes chevilles me font mal tant je tire dessus, mon corps cabré comme une pouliche.
Le visage vers le ciel, je m'affranchis dans une série de cris continus...
Il essuie ses doigts sur mes cuisses, sur mes hanches, me salissant encore plus, cette fois de ma cyprine gluante et abondante.
Je tombe sur le lit, la tête sur le matelas lorsqu'il délace mes mains.
Je reste écartée, croupe en l'air, lorsque mes pieds retrouvent leur liberté. Incapable de resserrer mes jambes, exténuée.
Horriblement frustrée puis délicieusement assouvie, je flotte sur un nuage.
Il me caresse, masse les endroits par lesquels j'étais attachée.
Si protecteur, prévenant.
Je le regarde et lui souris.
Sa bouche vient se poser sur mes lèvres.
Il m'embrasse, alors que j'ai encore le souffle court.
Autour de mon cou il vient attacher mon collier de dentelle noire au centre duquel brille un petit anneau.
Je suis si fière.
- Tu es...
J'achève sa phrase, en prenant soin de choisir chacun de mes mots, sans même faire d'effort.
-... Votre Chienne... Votre trainée... Votre Soumise, VotreDévouée. Je suis Votre Alphae
Son contact me rassure et m'emporte.
- Nous sortons. Me fait-il dans un clin d'œil.
Je m'habille, comme dans un rêve. Mon pantalon colle, je suis poisseuse de nos jus. Mon chemisier s'orne d'auréoles de son foutre. Le petit pull que
je passe échauffe ces sirops humains qui reprennent de la viscosité.
J'ai la sensation d'être gluante... intégralement.
L'esprit encore ailleurs, l'air frais me fait du bien.
Je marche à ses côtés. Je suis bien. Heureuse. Comblée.
Il prends ma main.
Mes doigts glissent dans les siens... encore trempés de ma mouille !
J'en ouvre de grands yeux.
Au milieu de la foule, le corps souillé, nos doigts mêlés de souillures, invisibles et pourtant exposés à la vue de tous.
Je resserre mes doigts dans les siens... j'aime lui appartenir... être salie de lui.
A suivre...