Elle... Il... en duo

[...]

Ses yeux sont rieurs.
Nos regards se croisent et ses doigts font glisser au sol la serviette qui ceignait son corps, pour me révéler ses courbes nues.coeur rouge 
Mon sourire répond au sien.
Ses joues légèrement roses du désirs que je devine dans chacun de ses gestes.
Elle se rapproche et mes doigts effleurent sa peau, douce, lisse, soyeuses.
Son visage si proche du mien, sa joue contre la mienne et nos lèvres qui se cherchent, se frôlent, s'entrouvrent et se soudent.
Elle respire l'odeur de la douche, le parfum de ce savon au lait d'amande.
Dans le soleil qui filtre au travers des voilages ondulant au vent de la porte fenêtre entre-ouverte,, ses cheveux semblent luirent et s'embraser.
Un baiser lent, langoureux, où nos langues se mêlent et se trouvent comme nos lèvres se fondent les unes sur les autres, sans un mot, juste nos bouches qui se trouvent et se veulent.
J'effleure ses épaules délicates, mes doigts glissent sur ses bras.
Elle pose sa main gauche sur mon torse et ses doigts semblent jouer sur ma courte toison.
Son autre main s'affaire à retirer ma ceinture et mon pantalon.
Je l'aide et me retrouve rapidement nu, à mon tour, tout auprès d'Elle.
Mon cœur bat plus vite, ma respiration est plus forte.
Nous nous allongeons sur le lit sagement bordé.
Son souffle est plus rapide, sa poitrine se soulève et une boule de chaleur se répand dans tout mon être.
Je cueille l'un de ses seins pour le palper délicatement.
Si rond, si doux. Il allie fermeté et généreuse souplesse.
Ma bouche vient se poser sur le haut de cette rondeur dont je relève encore un peu plus l'auguste ampleur, de ma main passée sous lui, de ma paume qui semble le posséder.
Son visage n'est que sourire et plaisir.
Du bout de la langue je découvre l'aréole rose, large, et ses petites aspérités, avant de remonter sur la tétine noblement érigée.
Je sens son corps frémir et s'agiter sous mes lèvres et mon muscle lorsque je happe son mamelon pour le téter lentement.
Ses mains dans mon dos et dans ma nuque, ne cessent d'alterner caresses douces et crissements de ses ongles sur ma peau.
J'aspire et libère à peine sa tétine, comme un bébé vorace... et gourmet.
Je relève mon visage et étirant puis relâchant son auguste sein d'entre mes lèvres.
Ses yeux mi-clos, le feu à son visage m'invitent à me pencher alors sur le second mamelon.
A peine ai-je posé ma bouche autour de la corolle que ses doigts se crispent sur mon cou et mon dos.
Un soupir lui échappe.
Elle semble vouloir me maintenir plaquer à elle.
Je me réjouis et mes succions de sa tétine se font plus fortes. Ma langue presse son bout durcit. Mes aspirations sont gourmandes.
Elle gémit et ondule telle une liane.
Nos yeux se trouvent.
Nos bouches se veulent de nouveau, se frôlent à distance.
Nos langues se tirent, en retenue enflammée, juste pour se toucher par leurs extrémités.
Puis le baiser se forme, nos deux corps roulent l'un sur l'autre.
Sa main se glisse le long de mon ventre et vient caresser ma verge mise à nue.
Elle passe ses doigts le long de ma hampe de chair qu'elle a rendu aussi dure qu'une barre de fer.
Mon avant bras rejoint le sien et ma main trouve son sexe lisse.
Son bras frotte contre le mien au rythme de nos attouchements mutuels.
Nos caresses sont légères. Nos yeux complices. Nos sourires dévoués.
J'appuie doucement sur le haut de sa fente, là où se niche se perle.
Comme un déclic, elle enserre la base de mon sexe de son pouce et de son index pour me masser avec une emprise plus intense.
Je parcours la douceur  de ses nymphes et m'insinue entre elles, la faisant se tortiller avec lenteur de plus en plus ample au fil de la masturbation que je me plais à lui prodiguer.
La merveilleuse sensation d'humidité, de chaleur, qui entoure deux de mes doigts lorsque je la pénètre avec précaution.
Son visage est collé au mien, nos joues soudées.
Sa respiration semble se bloquer avant de laisser aller et pousser un soupir plus fort qui m'encourage à explorer plus avant son antre ruisselante.
Sous mes gestes, s'ouvre sa fleur intime.
Allongée à plat dos sur le lit, elle écarte ses jambes, acceptation corporelle de ses désirs. Elle s'offre à moi sans retenue.
Sa bouche délicate laisse échapper un "Hooo" léger alors que je remonte index et majeur dans son antre féminine pour venir masser de l'intérieur, son clitoris, et ce point qui l'électrise.
Elle referme ses doigts autour de ma verge, en réponse à mes gestes, et me masturbe plus fort.
Sa main monte et descend tout en tournant légèrement sur elle même.
Je ne suis pas long avant de pousser moi-même un long souffle qui respire de plaisir.
Elle me sourit.
Du bout de ses doigts elle caresse ma bouche.
Je presse son intimité en m'attardant sur son centre enflammé, massant plus fermement dans son vagin.
Elle se cabre et lâche un soupir éloquent, sans retenue.
Je poursuis mes mouvements intimes en elle, nos mains, nos corps frémissent de nos caresses partagées.
Sa main me repousse pour m'allonger à mon tour sur le dos.
Elle flatte mon torse, mes petits mamelons bruns érigés.
Sa bouche se pose sur l'un d'eux.
Un baiser délicat rapidement suivi d'un pincement de ses dents.
Elle étire mon petit téton.
Je grimace.
Elle passe au second avec un petit coup de langue effectué avec grande attention.
Mes mains sur son dos, je la laisse me prodiguer des sensations électrisantes, tout en la caressant.
Je sais qu'elle aime les malmener délicatement autant que j'apprécie à mon tour.
Un chemin de baisers descend alors vers mon bas ventre.
Elle prend son temps pour faire monter en moi le désir, encore un peu plus fort qu'il ne l'est déjà.
Sa bouche se frotte à ma tige tendue.
Elle dépose ses lèvres douces par petites touches, du haut de mon gland jusqu'à la base de ma verge, puis sur mes bourses, aussi glabres que son sexe.
Je la sens m'envelopper de ses lèvres.
J'inspire profondément, cherchant à contrôler, à profiter au maximum de ce moment divin, comme ses lèvres épousent la largeur de mon membre dressé, dur.
Sa langue caresse ma virilité. Chaque renflement, nervure de mon vit est dégusté de sa langue et de ses lèvres.
Je souffle de plaisir sans gène, à chaque fois que sa bouche monte et descend autour de mon pal.
Mes mains sur ses cuisses, je l'invite à venir s'installer tête-bêche sur moi.
Ses genoux de part et d'autre de mes épaules, elle s'ouvre pour venir me présenter son intimité.
Avec délicatesse je dépose un baiser sur son sexe délicieusement offert.
Ma langue passe sur sa fente ourlée, au parfum envoutant.
Avec passion, je palpe ses fesses pour appuyer sur elles et déposer son bas ventre sur ma bouche qui s'ouvre, ma langue qui la pénètre.
Je la goute et la lèche.
Elle me suce avec gourmandise.
Nos soupirs et nos corps transpirent de désirs, d'abandon.
Large, mon muscle explore la fissure trempée...
Etrécit, il plonge au plus loin, plaquant mon visage contre ses lèvres, pour en aspirer le nectar.
Ma hampe est pressée par sa langue... aspirée par ses lèvres.
Mon gland est tété avant de disparaître au fond de sa gorge.
Les ondulations de son corps qui réagissent à mes caresses buccales, décuplent mes envies.
Sa peau est brulante, son corps est en feu comme le mien.
Elle coule de miel et je l'avale avec parcimonie, nectar précieux, délicieux.
Le bruit de nos bouches avides pour seule musique, accompagne nos ébats sexuels.
Ma langue vient alors  titiller son petit orifice le plus étroit.
Instantanément, elle bascule son bassin pour m'y donner un accès aisé.
Je lape l'œil qui se serre avant de se dilater par intermittences.
L'intromission de ma langue, presque immédiate, suit une série de cercles sur le pourtour plissé et sensible.
Elle immobilise l'aspiration de mon sexe, une seconde, avant de recommencer à me prendre à pleine bouche... son doigt caressant, à son tour, mon interdit.
Je redresse mes genoux, acquiesce à ses avances, elle me force avec une retenue, une douceur inflexible.
Son index tourne dans mes fesses au même rythme que ma langue lui dévore son trou le plus intime.
Nos envies se partagent sans honte, au son de nos soupirs et des froissements des draps.
Je la bascule sur le lit.
Dans la clarté de cette fin d'après-midi, nos sourires reflètent nos passions.
Son visage est délicat... ses lèvres rouges... ses cheveux en bataille...
Je viens sur elle.
Entre ses cuisses qui s'écartent, je viens me placer, me poser, m'imposer.
La moiteur intense de son antre entoure déjà mon glaive de chair qui la transperce.
Ses yeux se ferment à cette première introduction.
Son vagin se contracte.
Nos ventre collés l'un à l'autre, je recule avant de m'avancer plus loin en elle.
Elle me regarde et nos yeux se perdent dans le regard de l'autre.
Je vais et je viens, aussi attentif à son plaisir qu'au mien.
Ses doigts se sont crispés sur mes omoplates, comme pour me retenir, pour que ce moment ne cesse jamais.
Mon bassin oscille, se baisse et s'élève avant de s'affaisser sur son corps pour reculer encore, rouler sur lui même en tous sens afin de la rendre folle de plaisirs, répondre à ses attentes... à ses envies... aux miennes.
Je me fonds en elle, m'imprègne de sa peau, de son visage, de sa fragrance.
Mon visage à côté du sien, nos joues soudées, sa bouche à mon oreille, je recueille chaque gémissement, chaque cri de jouissance...
Mes mots sont doux, crus, sensuels... Les siens en veulent encore... tout aussi osées, obscènes, fiévreux ou doux.
Son corps s'arc-boutent, enlacés dans la danse de l'amour, du plaisir charnel.
Elle plante ses ongles dans ma peau et rugit. Son bassin se relève vers moi, ses muscles se tétanisent.
Je me cambre au même moment.
Nos orgasmes à l'unisson, elle devient furie... je suis infernal...
Les craquements du lit masquées par nos cris, nous devenons liquides, puis apaisés.
Je me vide en elle, mêlant mon sirop à sa liqueur qui m'inonde.
Ses doigts sur mon visage, nos sourires, nos lèvres qui se cherchent et se trouvent.
Les mots sont inutiles.
Ce baiser est la promesse d'autres plaisirs toujours aussi intenses et partagés.

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]bd1

Je l'attends.
Je l'espère.
J'ai fini mon thé, noir, aux agrumes.
Il m'a laissé un gout parfumé qui n'est pas sans m'évoquer celui de sa peau lorsqu'il me fait le lécher ou bien quand je l'embrasse.
Il va arriver, lui mon "Maitre"... mais il ne m'a pas dit quand... je sais juste qu'il m'a dit d'être "prête à tout".
Et pour lui, je suis toujours prête, pour tout, pour tous ses désirs.
La nuit tombe, doucement, dans la chaleur douce de cette nuit de printemps.
Lorsque je sens une main se refermer sur ma bouche, je manque de crier de joie.
Il vient de me surprendre, dans le noir du couloir.
La poigne est ferme, franche, affirmée.
Ma bouche, ma joue, sont entièrement muselées par sa paume et ses doigts.
Dans l'obscurité, je ne l'avais pas vu.
Surement caché sous l'escalier.
Un frisson issu de mon cerveau reptilien me surpend cependant... et si ce n'était pas mon Alpha ? Mais un vrai cambrioleur ?
Je respire et je sens son odeur de mâle qui m'envoute. Je le reconnais, je le reconnaitrais entre mille.
Rassurée je me laisse aller à notre jeu...
Un jeu que j'ai attendu, qui n'a fait que me rendre humide tout au long de cette journée de patience, de frustrations attisants mes désirs.
Sa main agrippe mes cheveux et m'immobilise.
Il est un cambrioleur... et moi sa victime soumise. Un scenario que nous avons convenu à l'avance, pour notre plaisir.
Sa voix est un murmure sourd qui me berce.
Il me demande où sont les valeurs.
Je le sens aussi fébrile que moi et sa peau caresse mon visage.
Je reste sans geste.
Il poursuit, me dit qu'il va enlever sa main et que je dois rester silencieuse si je ne veux pas qu'il ne m'arrive des misères.
S'il savait comme je coule en ce moment même. Mes cuisses, je le sens, sont trempées, j'ai presque eu un orgasme rien qu'en le voyant enfin arriver.
Il s'est introduit dans la maison par la porte que j'ai "malencontreusement" laissée ouverte.
Et maintenant il me tient à sa merci. Comme j'aime l'être.
Je suis son Alphae... il est mon Alpha, mon Omega.
Je hoche la tête, signe que j'ai bien compris.
Sa main me libère mais il reste dans l'ombre derrière moi, tel un machiavélique forban ourdissant à mon encontre de sombres désirs pervers. J'en suis frémissante.
Je murmure que je n'ai rien de valeur, je tente de crâner un peu mais mes jambes flageolent.
Il me pousse alors, de manière rude, vers le salon totalement obscur désormais.
Il a attendu, il a du patienter pour faire durer et monter notre plaisir mutuel, gérer sa frustration autant que la mienne. Nous sommes ainsi... nos esprits sont jumeaux... en ébullition, empreints d'un ludisme sensuel exacerbé.
Il ouvre un tiroir puis un autre d'un air agacé, rapide, trop nerveux dans le rôle du cambrioleur je le sens s'investir et je suis honorée.
Sa voix résonne, implacable "Montre moi où tu caches ton trésor ?".
Je saisis le double sens, je lis à travers ses mots et, à petits pas, j'avance vers la chambre.
Il me suit dans le noir presque total qui nous enveloppe comme un drap de ouate assourdissant de silence.
Mes hanches se balancent, dans les rais épars de lumières extérieures, je veux qu'il me convoite, qu'il me voit me dandiner pour lui.
J'ouvre une petite boite, quelques bijoux dont il s'empare avant de fouiner encore... et de sortir, avec lenteur, un godemichet qu'il exhibe sous mon nez.
Ses yeux luisent, deux pierres azurées au centre d'un visage presque invisible.
"Je crois que j'ai trouvé la valeur sur laquelle je vais me récompenser" fait-il en frollant ma joue au moyen de l'oblongue forme du "rabbit" que je me suis offert récemment.
Je soutiens son regard.
Ma poitrine se soulève, ma respiration s'accélère, s'intensifie.
Le plastique glisse sur mes courbes, il caresse mes seins et le place entre mes cuisses.
D'un geste ferme il le remonte durement et me fait grimacer, il plaque le morceau raide sur la couture de mon jean et me soulève presque de quelques millimètres.
Je gémis malgré moi et tente un" vous n'aurez rien de moi" qui me semble totalement fade et inconsistant.
Sa main gauche s'empare de mes cheveux et d'un geste sec il me fait tourner sur moi même, déséquilibrée par le sex-toy, et je tombe en avant sur le lit.
Il me maintient fermement et jette l'objet sur le drap, devant moi avant de dégrafer brusquement mon jean et le baisser.
D'un mouvement je résiste mais il me plaque le visage sur la housse de couette et d'un pied écarte mes chevilles l'une de l'autre.
Mon jean sur mes pieds je lui dévoile ma croupe nue.
Il a une appréciation grivoise sur mon absence de culotte et je ne peux m'empêcher de me cambrer un peu plus, un peu trop ?
Sa main se pose sur ma fesse, et cela me fait l'effet d'un éclair. Je ferme les yeux. Aux anges.
" Pas mal du tout... ça vaut le fric que je n'ai pas trouvé" commente t-il en passant ses doigts sur le pourtour de mon sexe.
Ma bouche s'entrouvre au même moment où il glisse son index entre mes nymphes dégoulinantes, pour laisser échapper un gémissement étouffé par la couette.
Il me fouille, son doigt plonge et vient appuyer là où je ne peux réprimer un cri de plaisir, surprise par son habileté brusque.
Sa main me laisse ouverte après m'avoir exploré d'un doigt, puis de deux, écartant mes lèvres et après avoir appuyé sur mon clitoris à le faire devenir hyper sensible.
Il me masturbe pendant de longues minutes qui me paraissent si courtes.
Puis, j'entends le bruit sec de la fermeture de son pantalon.
Je n'ose plus bouger... j'en ai envie... tellement envie...
La sensation de son gland qui se pose sur moi, sur ma cuisse, il prend son temps pour faire remonter sa tige contre ma cuisse. Je la sens raide et dure et je fonds.
Nous arrivons au fantasme que nous avons convenu, au centre de notre accord.
Les mots me viennent, du fond de l'âme ... "vous allez... me violer ?".
Une boule dans ma gorge, une explosion de désirs à ce fantasme que je veux assouvir avec lui.
Il le sait, il sait les mots qui, à leur tour, vont me faire ruisseler et électriser mes pensées.
Il se penche sur moi, sa main tient fermement ma nuque tandis qu'il me maitrise par le dos de son autre paume mâle.
"Je vais te violer comme la salope que tu es" me murmure t-il, et je perçois dans le timbre de sa voix le même profond respect qu'il a pour moi, celui que j'ai pour lui, aussi obscènes que puissent être nos jeux.
Il entre alors en moi d'un mouvement de reins trop appuyé.
La douleur est vite remplacée par le plaisir de son membre large qui me possède avec vigueur.
Je subis les assauts de sa verge, mon séant vers le plafond.
Il m'empale sans ménagement, prenant néanmoins le temps d'opérer des mouvements spiralaires qui me vrillent les entrailles et me font couiner sans que je n'arrive à me contrôler.
Le godemichet oscille, ultime affront à la position qu'il m'oblige à prendre.
Je ne sens la marque de sa main sur ma fesse qu'au bout de la troisième fessée tellement son sexe me pilonne avec détermination.
Il me baise comme un soudard...
Il glisse soudain sa main sur ma joue, libérant ma nuque, je tourne un peu la tête pour respirer plus aisément.
C'est sans compter sur ses doigts qu'il enfoncent et qui appuient sur ma langue.
Il tire mon visage, ses doigts dans ma bouche, prisonnière lubrique de ses gestes immoraux... qui m'enflamment le bas ventre et le corps, le cœur.
Ses remarques sont plus grossières et je me sens devenir liquide, noyée sous la vague de plaisir qui me ravage soudainement.
Prise de cette manière, je ne suis que gémissements et cris étouffés par ses doigts masculins.
Il me "viole"... je lui offre tout...
Et...
La jouissance arrive, incontrôlable... foudroyante.
Un hurlement libérateur ou ma voix fait un trémolo à l'unisson des frissons qui animent tout mon être.
Mes yeux à demi clos il me dirige, pantelante, vers le bord du lit pour glisser son sexe dans ma bouche entrouverte.
Je lève mon regard, je voudrais le remercier mais, la bouche pleine, je le suce avec lenteur.
Son sexe est onctueux de saveur, de texture, et puis j'aime le prendre en bouche, l'aspirer et le faire aller et venir entre mes lèvres.
Il relâche mes cheveux, caresse ma joue.
Nous ne sommes plus dans le jeu.
Son regard est doux, généreux de tendresse.
Je me redresse pour mieux le prendre et l'aspirer, envelopper son manche délicatement arqué et nervuré, presser ma langue contre la veine épaisse.
Il s'allonge sur le lit je m'agenouille, le visage au dessus de son ventre, j'avale sa tige au plus loin, la lèche en la sortant d'entre mes lèvres.
Ses doigts viennent flatter ma fente béante et gluante... le parfum de stupre nous entoure.
Il me fait venir sur lui, les cuisses écartées, mes genoux de chaque côté de ses épaules.
Son souffle sur mon sexe et sa langue qui lape mon abricot mouillé.
Je dois me concentrer pour le prendre avec gourmandise car sa langue flatte mes lèvres, sa bouche aspire l'une, puis l'autre, sa bouche se plaque, m'appuie, me dévore avec force coups de langue.
Il me bouffe la chatte et je gémis, enfonçant son membre au plus profond de ma bouche.
Ma langue à son tour vient exciter ton méat... la peau lisse du bout de sa verge.
Je sens son corps se tendre sous moi, sa bouche devenir plus lente.
Je dégouline sur son visage car je sais qu'il va bientôt exploser.
Les giclées sont épaisses, chaudes... je les aspire, les avale sans cesser de pomper sa large verge.
Son foutre m'emplit la gorge, le ventre.
Ne laissant aucune goutte de son nectar précieux m'échapper je le nettoie avec expertise.
Il embrasse mon sexe.
Nos corps se collent, nos mains se trouvent, son torse sur mon dos.
Il m'enveloppe.
Je ronronne, ses bras autour de moi, sa bouche sur ma nuque.
Ses mots sont doux... les miens sont sucrés.
Dans l'ombre, nos envies obscènes s'expriment en connivence, sans honte.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]douce

J'avais laissé un mot sur le coffre au Trésors de nos plaisirs sensuels, pour que mon Alphae puisse se mettre en condition.
Je savais qu'elle allait obéir.
Aussi, lorsque je reçu son premier message m'indiquant qu'elle avait bien placé les deux pinces à linge dans le fond de son tanga, le sourire me vint instantanément.
Je la laissais ainsi, elle m'envoyait l'évolution de ses sens.
Ils s'exacerbaient.
Les pinces la rendaient humide à frotter sur ses lèvres, à chaque mouvements de sa vie quotidienne.
A chaque pas, elles appuyaient sur ses lèvres et imprimaient un mouvement de va et vient qui avait rendu son dessous trempé.
Je lui indiquais alors, au bout d'un certain temps, lorsqu'elle m'avoua que parfois elle était obligée de s'arrêter pour reprendre sa respiration tellement les pinces l'excitaient, de les retirer.
Obéissante, elle s'exécuta instantanément.
A la fois à regret... mais sachant que nous n'allions pas en rester là.
Elle du les retirer pour les faire mordre ses tétons.
Les réactions furent instantanées.
Ses mamelons, déjà tendus par les frottements précédents, étaient hyper sensibles. La première pince lui arracha un gémissement. La seconde un cri... et le début d'un orgasme.
Je l'obligeai alors à ne pas se caresser et effectuer ses gestes de tous les jours, les deux tétines maintenues fermement serrées.
Je recevais des petits messages où elle m'indiquait que le frottement la rendait folle d'envies, que son top était déformé de façon obscène, que les oscillations la malmenait avec délice.
L'effet que j'espérais était là, je le savais, elle subissait l'excitation que je désirais lui apporter malgré mon absence temporaire.
Elle me demanda si je revenait bientôt...
Affamée, au bord du précipice du plaisir ultime, elle espérait mon arrivée rapide afin de l'assouvir.
Je décidais alors, de jouer encore un peu plus avec son corps et ses envies.
Elle s'empara, à ma demande, de ficelle.
Le travail manuel que je lui faisais effectuer avait un impact décadent sur ses pensées... elle imaginait... elle espérait... et elle devenait fébrile.
Lorsque je lui indiquais que chaque bout de ficelle devait pouvoir faire largement le tour de ses cuisses, un moment se passa avant qu'elle n'accuse réception et m'indique qu'elle était prête.
Dans chaque anneau de métal du ressort de chaque pince, passait un fil.
Elle baissa ses dessous et plaça chaque pince sur une lèvre.
Elle avait la respiration courte, me déclara t-elle, le plaisir se mélangeait à la douleur de façon torride.
Avant même que je lui demande elle me déclara qu'elle se sentait "perverse".
Lorsque je l'obligeais à nouer chaque lien autour de ses cuisses, elle m'envoya un simple "bien".
Il ne fallu que quelques minutes avant que la suite n'arrive... Elle avait le sexe grand ouvert et n'avait pas pu remettre son dessous tellement le moindre frottement la paralysait de plaisirs impolis.
Je sonnais alors à la porte.
Je la vis arriver, écarlate, cherchant à avoir une attitude digne, ne sachant pas qui venait ainsi la déranger.
Vêtue d'un simple peignoir de soie, ses pointes dardaient ostensiblement sous la matière fine.
Quelle ne fut pas sa surprise de voir qu'il s'agissait de moi.
Elle se laissa tomber dans mes bras en murmurant "Hooo Mon Alpha..."
Ma bouche se posa sur son front, elle sentait bon... sa peau, son parfum et ce capiteux poison qu'est la fragrance de ses sens.
Elle m'enivra instantanément et ma verge, déjà large et dure, se tendit encore, trop à l'étroit dans mon pantalon.
Elle me faisait un effet... immédiat, fantastique... animal.
L'envie d'elle, en tout instant, devint plus fort lorsque je sentis ses doigts se presser sur le tissu de ma chemise, son souffle dans mon cou et que j'entendis la respiration et ses petits soupirs divins.
Je la repoussais doucement.
Droite devant moi elle écarta lentement les pans de soie pour me dévoiler son corps totalement nu.
Ses seins lourds se balançaient délicatement.
Aux bouts des aréoles roses, se distinguait encore les marques qui l'avaient rendu humide quelques temps auparavant.
Sa peau pâle, délicate, aux courbes sensuelles me fit sourire.
Je disposais d'elle... vestale sublime dévouée corps et âme à nos plaisirs.
Son pubis, lisse, se dévoila.
Ses joues s'empourprèrent.
Ses nymphes intimes étaient largement ouvertes et nettement visibles, étirées, pincées, écartées sur ses cuisses.
Elle avait lacée les mâchoires de ficelle et de bois de façon telle que son sexe était béant.
Le peignoir glissa au sol, elle respirait profondément en faisant onduler tout son être, en proie à la fusion de ses sens.
- Tu es merveilleusement belle. Lui lançais-je en l'admirant.
Elle baissa les yeux et s'empourpra de joie.
Ma main se posa sur le haut de ses seins.
Les caresses la firent respirer plus fort, plus profondément.
Le bout de mes doigts glissèrent sur les larges corolles roses. Du bout de l'ongle je griffais légèrement la pointe érectile rouge. Elle tressaillit, ses yeux se fermèrent sous ses lunettes et sa bouche s'entrouvrit pour laisser s'échapper un soupir aux intonations sensuelles.
Son corps se trémoussait en accord avec mes gestes.
Je posais alors ma seconde main sous son sein et le soupesais, en évaluais la générosité en le faisant remonter.
Mes doigts pressaient l'obus fier.
Elle poussa un gémissement lorsqu'entre mon pouce et mon index, je vins pincer son bout tendu pour le faire rouler et l'étirer à chaque traction.
- Mon... Alpha... je suis... entièrement à vous... Murmura t-elle les yeux mi clos.
Mes mains glissèrent alors sur ses bras puis sur ses hanches.
Splendide.
Je sentais les fils qui la maintenaient écartée largement.
du bout des doigts je jouais avec ces cordes comme d'une cithare, elle soupirait et gémissait au gré des roulements, frottements et pincements que je faisais sur les deux fils tendus qui, à chaque mouvement, agissaient sur ses lèvres et la faisaient frémir ou s'arc-bouter au gré de mes mains.
Elle était le plus bel instrument au monde.
Lorsque mes mains se firent sages, son visage se releva vers moi, ses yeux avaient cette couleur d'intense clarté que je lui connaissais, signe de son émoi profond.
Elle me suivit jusque dans la chambre.
Allongée sur le canapé je recommençais mes manigances et ses gémissements reprirent de plus belle.
Je me posais sur le bois de la pince, si proche de sa lèvre étirée... luisante...
La pince s'inclina de façon infime mais elle lui arracha un "haaaa" sonore.
Ses hanches se tendaient vers le ciel lorsque je pressais, je poussais chaque pince.
Les morsures du bois sur ses nymphes en feu la rendaient... dégoulinante.
Elle coulait abondement.
Son sexe grand ouvert était ruisselant de sucs qui s'accumulaient dans ce puits béant, au gré de mes deux pouces qui, tour à tour, appuyaient, poussaient ou faisaient s'incliner les pièges implacables.
Je m'efforçais de résister au désir de venir accéder à son envie que je connaissait : la caresser directement.
Cette frustration que je créais le faisant soulever son bassin dans ma direction... son sexe palpitait.
Son clitoris vint à sortir, seul, de son écrin.
Je l'admirais, honteusement ondulante, écartées. Ouverte.
Avec un tempo plus rapide, je donnais de petites impulsions sur les hauts des pinces.
Les décharges électrisantes qu'elles lui renvoyaient, firent exploser sa vulve.
Elle se cabra et poussa son bas ventre vers moi.
Ses seins étaient dressés.
Sa bouche grande ouverte.
Elle criait de plaisir.
Son petit bourgeon rouge semblait grossir, son intimité palpitait devant moi sans aucune retenue.
Je ne cessais de m'amuser, de triturer les deux pinces que je lui avais imposé.
Elle eu un ultime cri orgasmique et son corps devint un arc bandé avant de s'affaisser sur le lit, vaincue.
Lorsque son corps s'immobilisa, elle baignait dans une flaque de cyprine qui lui maculait les cuisses et les fesses.
Je profitais de ce moment d'hyper sensibilité apaisée pour lui retirer les étaux qui l'avaient fait jouir avec intensité.
Elle grimaça avant de me sourire.
Je déposais ma bouche sur la sienne et l'embrassais avec tendresse.
Ma main caressait sa joue, ses cheveux.
- J'ai l'impression d'être encore... toute ouverte... prête à me faire prendre.
J'esquissais un sourire à mon tour avant de venir au dessus d'elle et m'introduire en elle.
- Han. Je suis à toi mon Alpha...
Nos corps s'unirent, nos esprits et nos gémissements à l'unisson pour un nouveau concerto intime.

A suivre....

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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