Elle... Il... en duo

[...]sodomie

Sa question me fait sourire et mouiller instantanément.
Quel est mon aveu le plus obscène que je devrais lui confesser.
A la fois prise au dépourvu, et honteuse, il m'encourage.
Je sais qu'il ne me jugera pas.
Le ronronnement du moteur de la voiture, sa main qui caresse mon genou, finissent de m'hypnotiser et ma voix me parait fluette comme je me révèle à lui, une fois de plus, sans aucun tabou.
- Parfois j'imagine que... vous me prenez, plus que bestialement, brutalement. Je ne suis alors qu'un jouet pour vos désirs les plus pervers. Un simple trou que vous baisez. Je m'imagine n'être rien d'autre qu'un vide-couilles entre vos mains. Votre esclave... livrée à vos plus bas instincts. Je fantasme que vous me violez, que vous abusez de moi, m'humiliez jusqu'à ce que j'en jouisse.
Mes paroles lentes, s'égrainent, d'abord lentement, timidement, puis avec plus d'aplomb.
Il a baissé le volume de la radio pour me laisser parler.
Attentif, il écoute.
Le temps parait se diluer.
Mon fantasme me fait honte, et m'excite au point de sentir mon bas ventre être trempé.
Je peux tout lui avouer. Tout lui confesser. Je sais qu'il ne me jugera pas.
La voiture qui s'immobilise me fait reprendre contact avec l'instant présent.
Le silence s'est installé.
Mon regard dans le vague, j'ai perdu la notion du temps. Peut-être même ai-je été plus immorale dans mon aveu que je ne m'en souviens.
Mes joues s'empourprent soudain, alors que je le regarde, morte de honte, une boule de chaleur dans mon corps.
Nous sommes dans un lieu que je reconnais pas... le dernier sous-sol d'un parking sous-terrain à demi éclairé.
Il me sourit, sort de la voiture, ouvre ma porte et sa main vient se présenter pour que je pose la mienne dans sa paume. Un geste délicat et courtois pour m'aider à sortir de l'habitacle.
Je le reconnais là, prévenant, attentionné.
Sans que je ne m'y attende, il me pousse soudain sur le capot encore chaud.
Surprise, je pousse une exclamation de stupeur, mais il ne me laisse pas un instant pour comprendre, ses mains tirent sur mon chemisier. Ma peau se marque sous la pression forte qui fait sauter les boutons, libère mon soutien-gorge, me fait mal à la poitrine tant le geste est brusque.
J'ouvre la bouche pour lui demander pourquoi... Mais il poursuit son office, arrachant ma jupe en me forçant à m'allonger à plat dos sur le métal chaud, poursuivant ses gestes furieux en étirant ma culotte sur mes cuisses.
Mes jambes s'ouvrent, de ses mains il vient de me forcer à écarter les cuisses.
Mon tanga me rentre dans la peau, me marque... "de son sceau" me dis-je tout à coup surexcitée.
En quelques secondes il m'a débraillée et a sortit sa verge.
Il me prend alors, sans ménagement, sans préliminaire.
Son membre force sur ma fente, il me déchire d'un assaut brusque.
Je sens son pieu me défoncer.
Je crie.
Je n'en ai même pas honte.
Ma voix résonne dans le parking. Un cri qui vient du fond de mes tripes.
Possédée, vulgairement, sauvagement dans un parking, à même la voiture. Je réagis à chacune de ses pulsions par une montée de mon plaisir.
Ses mains sont des étaux qui me contiennent et me maintiennent... sur le capot encore chaud alors que ses reins me donnent des coups, que ca queue me ramone violemment.
Mes lèvres souffrent de ses percées franches.
Mon vagin peine à l'accueillir, il est large... moi à peine lubrifiée... et pourtant je me cambre... j'adore.
Dans ce lieu désert, entre des murs de béton, dans le clignotement de lampes froides déshumanisées, il me baise et je lis dans ses yeux son plaisir animal.
Ses mains se posent sur mes fesses, mes yeux s'arrondissent... je cherche à voir si nous sommes bien seuls, pris de peur d'être découverts.
Il m'écarte la raie et son gros gland trempé de ma cyprine, vient se placer sur mon petit trou serré.
La poussée est intense et impérieuse.
Il me sodomise, à sec.
Mon anneau me parait être déchiré... je bave sur la voiture, bouche ouverte dans un cri muet que j'expulse au bout de la 3e secousse qu'il impose à mes reins, une fois son manche bien en place.
Mes chairs sont malmenées, son ardeur me transperce, il ne semble pas avoir de moment de répit.
Son corps cogne contre le mien, ses mains me maintiennent penchée, ouverte.
Je subis ses envies perverses, son pal qui possède mes orifices tour à tour, me retournant au gré de ses désirs.
Je mouille atrocement, je gémis, je crie, loin de toute discrétion.
Mon string pend comme une loque, ma jupe est dévastée, mon chemisier déchiré et mes seins sont écrasés sur la tôle ou bien dressés vers le ciel, pointes dures, témoignage de mon plaisir défendu.
Ma bouche, ouverte dans un couinement continu, coule de salive sans fin. Je ne fais plus l'effort, je ne peux plus le faire, d'empécher ma bave de sortir.
Sa queue me ravage à m'en faire pleurer.
Ma jupe relevée, pendante, ne masque pas mon arrière-train qu'il ravage à force coups de reins sans retenue.
Je ne suis plus qu'un vulgaire objet de jouissance entre ses mains, pour lui.
Il me tourne, me retourne et me plaque sur le capot, encore une fois... une nouvelle fois...
Mes fesses subissent ses coups de bélier. Entre douleur et plaisir intense.
Il me défonce le cul et je le sens jouir dans mon petit trou.
Je déguste... je hurle.
Sa main vient me tenir par les cheveux et il me force à venir au sol, pour que je lui suce la verge, souillée de son foutre, de mon anus.
Une vulgaire trainée , souillée, qui dégouline de lui. Je ne m'appartiens plus, je n'appartiens qu'à ses désirs...
Et...
Je jouis, accroupie, la bouche pleine, défoncée.
Je jouis, de cette situation, de le voir, de le savoir à moi.
Je jouis de ma soumission extrême pour lui... mon Maitre, mon mâle, Mon Alpha.
Sans hésiter je l'avale, je le nettoie, les yeux fermés, sa queue étouffe mes gémissements orgasmiques.
Nous repartons, je suis en transe.
Ailleurs...
L'impression de flotter.
Le temps n'existe plus.
A l'extérieur de l'habitacle tout me parait irréel.
Il glisse sa main entre mes cuisses sales. Mes vêtements sont en lambeaux.
Conduisant d'une main, il se glisse entre mes nymphes outragées et me fouille sans ménagement.
Je geins de ses doigts habiles et rudes qui me masturbent.
Mes cuisses se sont écartées en grand, comme par réflexe.
Puis il baisse sa braguette. Sa voix me redonne chaud. "Suce moi ma petite pute". Je suis à deux doigts de jouir de nouveau, sous ses ordres, sous ses gestes.
Toujours plus obéissante, gourmande d'envies, de désirs. Excitée par ce qu'il m'inspire et me fait faire et être, je le prends en bouche sans me faire prier.
Je me sais sous son emprise... prise.. prête.
Je le pompe, pendant tout le trajet, je coule sur le siège, son glaive de chair ne faiblit pas et sa main appuie sur mon crâne pour qu'il me glisse sa grosse bite jusqu'à fond de gorge, à me faire saliver, baver, hoqueter... et aspirer son gland délicieux.
Peu m'importe ma tenue, je ne suis plus que son jouet sexuel et cela me met en chaleur.
Je relève mon visage, ma bouche douloureuse de l'avoir autant pipé, un filet de salive sur mon menton.
Il se gare et ne range pas son dard que je contemple sans pouvoir détacher mon regard de ce mandrin qui m'attire inexorablement.
A peine sommes nous rentrés que je suis mise à nue, debout dans le couloir.
Il tire sur mes vêtements qui forment des marques sur ma peau.
Ses yeux me dévorent.
Il se fait bestial... j'aime ça...
Alors je viens à ses pieds, mon regard vers lui.
Il claque des doigts et je me place selon son désir muet.
La croupe en l'air, écartée, prete à me faire sodomiser de façon crue.
Cette fois mon anneau palpite, encore entrouvert, gluant de son jus.
Il m'enfonce un plug... large... qui me force la rosette de façon obscène, m'arrache un cri rauque. Encore.
Et sa verge glisse dans mon vagin d'un seul coup.
Il m'enfile... durement... ma bouche s'ouvre en grand sous l'effet des deux percées... incapable du moindre son tellement la douleur est intense.
Il me ramone, enfonçant son pal au fond de moi.
Sa queue me pillonne sans cesse, son ventre vient cogner contre mes fesses et l'objet qu'il ma posé me taraude atrocement.
"Ecarte".
Un simple mot et je prends mes globes fessiers pour lui obéir sans une hésitation.
Le visage plaqué contre le sol, j'obéis, lui présente mon cul.
Il retire l'objet...
Je n'ai plus qu'à l'accepter... crier... cambrée, offerte, souillée. Humiliée de plaisir.
Il viole mon cul comme jamais il ne me l'a baisé. Il m'oblige à avancer à chaque fois qu'il me défonce profondément d'un élan viril.
Mon anneau se fait ouvrir, dilater, par sa queue volumineuse en furie qui ne cesse de me couvrir avec une énergie décuplée par nos désirs pervers, mutuels.
La douleur a fait place bien vite à une déferlante de plaisirs.
Mon vagin s'ouvre, se met à cracher ma cyprine. Mon orgasme est ravageur, je m'affale sur le sol mais ses mains me retiennent. Il n'a pas fini de me sauter...
Je râle... je hurle.
Je subis.
Comme un jouet livré à ses obscénités.
Lorsqu'il se retire... le vide m'envahit.
Je tombe au sol, mon bas ventre me fait mal, ma rosette est en feu. Elle palpite et ne se referme plus.
Je l'entends jouir, ses souffles masculins que je connais si bien et qui éveillent en moi les plus folles des pensées.
Difficilement je me redresse comme il me tend sa paume couverte de son jus.
Il a juté dans sa main, il m'a privé de son sirop.
Alors je le lape, je lèche et je nettoie sa main gluante de son jus chaud.
Prise de furie, comme affamée, insatiable, sans même qu'il me le demande, je me hisse jusqu'à lui et je lèche ses bourses, je remonte le long de la tige jusqu'à l'orée de son gland.
De bas en haut uniquement.
Mon regard vers lui.
Je le rends luisant de salive,  je fais remonter son foutre sur sa queue que j'aime sentir, chaude, sous ma langue.
Il s'assoit, et me fait avaler sa verge entièrement avant de me la retirer de la bouche, puis recommencer, ses deux mains autour de mon visage.
Ma bouche est ouverte, juste en forme de trou bien rond.
J'aime sa queue lorsqu'elle coulisse dans mes lèvres plissées.
J'aime lorsqu'il est en moi, j'en ai besoin.
Je bave de nouveau. Il est vite couvert de mon jus buccal.
Parfois son gland cogne contre une joue, parfois au fond de ma gorge.
Des hauts le cœur me prennent mais je continue de suivre ses gestes. J'ai envie qu'il me douche de foutre, d'en avoir partout, d'être salie pour lui, de lui.
Une simple poupée de luxure entre ses désirs pervers.
Une simple femme qui veut lui plaire et le faire jouir... milles fois.
Lorsqu'il m'aide à me relever, je peine à marcher, mon bas ventre me semble douloureux, liquide.
Je lui fais face, me montre à la hauteur de ce qu'il aime que je sois : une salope. Sa salope.
Il me sourit.
Je suis sur un nuage, aux anges...
Il sort mon collier et une laisse.
Hoooo... je sais qu'il n'en a pas fini avec moi.
Je mouille de nouveau à l'idée d'être... Sa Chienne.
J'aime... ça.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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 [...]noel-copie-1

Pour lui j'ai mis ma jupe noire, courte, si courte.
Mes collants blancs, sont des collants coutures, je sais qu'il aime ce petit détail, lorsqu'ils sont maintenus par mon porte-jarretelles noir.
Mes bottes remontent au dessus du genou.
La fermeture en zip descendant sur tout l'arrière du mollet, masquée sous un petit rebord de daim noir. En les enfilant j'avais comme pensée qu'il me les fasse retirer.
Mon pull est blanc lui aussi, un col en V qui dévoile la vallée de ma poitrine généreuse.
Elle est soutenue par un soutien-gorge qui englobe mes seins et dont la dentelle sombre se distingue dans le décolleté de mon pull.
Je porte enfin une dentelle assortie qui recouvre la moitié de mes fesses et ne voile que par transparence mon sexe, cette culotte qu'il m'a fait essayer devant lui... et qui lui avait tellement plu. Cette dentelle qui est déjà humide rien qu'à penser qu'il va...me...
Je frissonne.
Je place sur mes épaules la capeline rouge ourlée de fourrure blanche, et sur ma tête le petit bonnet assorti.
Le visage dans le miroir me sourit.
La Mêre Noël va, je l'espère, surprendre et faire son effet.
A mon cou j'ai noué un large ruban rouge, liseré de veinures plus intenses, qui forme un noeud de belle taille dans mon cou.
Je lui apporte son cadeau : Moi, sans aucune restriction.
Cette simple pensée me rend encore plus humide.
Et lui... que va t-il me prendre ?

...

Pour elle, j'ai décidé de lui faire honneur.
Une veste anthracite qui met en valeur la chemise bleue nuit qu'elle m'a offert.
Mon pantalon est en accord, de même que mes chaussures.
J'ai fait le choix de revêtir des habits qui reflètent l'importance de ce moment particulier et de ne pas être en tenue de "tous les jours", afin que ce moment que nous passons en tête à tête, soit à la hauteur des exigences que je place en moi et en elle.
Mon boxer moule mes bourses et ma hampe qui reste à demi gorgée, tant l'envie de la retrouver m'obsède.
Je resserre ma ceinture de cuir et ajuste les pans de ma veste.
Avec l'impression d'aller à un premier rendez-vous quand j'étais adolescent, je sens mon sexe palpiter à l'idée de...
Je souris.
Dans ma poche, je vérifie que son cadeau est bien présent, dans une petite boite en velours.
Niché dans son écrin, la bague en argent est délicatement posée. Sur la face intérieure elle y découvrira deux prenoms.
Sur l'extérieur une simple lettre.
Je lui fais ce cadeau : de notre lien, sous la forme d'un cercle précieux, sans fin.
Cette simple pensée me fait durcir.
Et elle... que va t'elle m'offrir ?

Joyeux Noël !!

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]string

Je l'entends, je la sens à mes côtés.
Son souffle, particulier, envoutant, dans le noir total où le moindre frôlement de tissu résonne.
Ma main se faufile sous la couette pour venir se poser au dessus de son entrejambe, sans un mouvement brusque.
Mes doigts effleurent les siens. J'y trouve sa main ainsi que je le sentais.
Elle s'immobilise, sursaute.
Je la devine rougir.
Sa respiration s'arrête comme surprise en faute.
"Ne t'arrête pas", lui dis-je en caressant délicatement sa main quelques instants avant de la laisser œuvrer seule, ses caresses devenues plus timides.
Elle veut oser une parole mais sa gorge est serrée et sa respiration courte.
Sa timidité me touche.
"Je trouve cela très sensuel et empreint de liberté", ajoute-je en lui souriant dans l'obscurité presque totale.
Le tissu se tend, sous ses genoux qui se sont redressés légèrement.
Sa voix est un murmure.
"Je ne voulais pas vous manquer de respect", m'avoue t-elle tendrement sans cesser de se caresser.
Cette précaution, cette confidence me séduit.
"Je pensais à vous..." poursuit-elle.
Ma bouche se rapproche de son oreille.
"Tu seras punie... plus tard. Pour le moment...continue. J'aime lorsque tu prends du plaisir et ce, quelque soit le moyen".
Elle susurre un "Bien... " de son intonation la plus sensuelle.
"J'aime tes mots, tes murmures, tes soupirs... continue de te masturber Mon A...".
Son corps se tend.
"J'aime ta peau, pâle, douce sous mes doigts, rayée de mes ongles parfois... chaude, aux courbes affolantes... rougie sous mes fessées."
Elle soupire et lâche un "Haa" court et rauque.
"Je t'aime en soumise, docile, obéissante et délicieusement offerte..."
Son affirmation soudaine s'ancre en moi "Oui, Votre Dévouée...Votre".
"J'aime tes mains, tes petits doigts, fait pour Nos corps... tes jambes à caresser pour se nouer autour de moi... ta nuque à orner d'un collier ou de mes mains... tes cheveux qui caressent ma peau..."
Un gémissement accompagne des mouvements de sa main plus rapides.
"Je t'aime en adorable cochonne, gourmande et transpirante de sexualité..."
Un "hummmm" me réjouit.
"J'aime tes seins, lourds, aux aréoles larges, qui me font devenir fébriles..."
Son parfum de femme en effluves, me régalent.
"Je t'aime, rougissante et honteuse, en divine catin..."
Un hoquet de plaisir précède "Oui, Votre Pute, Hooo.... uniquement pour vous".
Sous le tissu épais je la sens onduler et chercher son plaisir.
"Je t'aime lorsque tu es transpirante et moite de désir, poisseuse de mon sirop... dégoulinante du tien... merveilleusement souillée..."
Un petit "ouiii..." file de ses lèvres mi-closes.
"J'aime ton regard, tes prunelles brillantes d'envies, immorales et sublimes... J'aime te faire fantasmer, te faire jouir."
Elle pousse un nouveau gémissement plus profond... "Je suis... Votre salope..."
Elle me rend dingue d'envies, et je la sens monter les échelons du plaisir sous mes mots.
"Je t'aime en petite garce perverse, exigeante et dominatrice..."
Son gloussement de plaisir témoigne de l'effet de mes mots sur ses pensées. "Vous restez mon Maitre..."
Sa main libre vient effleurer ma joue.
"Tu me donnes chaud... j'aime ton contact. Tu me fais vibrer"
Son visage se tourne vers le mien.
Ses lèvres si proches des miennes.
Nos bouches se frôlent, se cherchent, s'entrouvrent. Nos langues se cajolent avant de s'éloigner.
"Vous me rendez ivre de vous. Vous me faites mouiller..."
Je me glisse alors sous la couette, descend lentement en embrassant le haut de son sein.
"J'aime cette mamelle..."
Ma langue passe sur le téton dressé et dur comme une mine de crayon avant de tracer un sillon jusqu'à sa cuisse droite.
Je caresse ma joue sur l'intérieur, doux, de sa jambe relevée.
"J'aime tes courbes. Toi, comme tu es, Ma Source, Ma Muse. Ma Femelle dont je suis fier."
Ses doigts se resserrent dans mes cheveux.
Du bout de la langue je caresse la frontière entre sa cuisse et son entrejambe.
Elle se redresse légèrement, ouvre ses cuisses... "Mon Mâle... Mon Alpha. Je suis à toi. Dévore moi."
Son tutoiement me fait l'effet d'un coup de sang.
Mon corps déjà tendu de désirs pour elle se raidit encore sous sa demande affirmée.
Ma verge est une barre à mine douloureuse, délicieusement ainsi.
Je pose ma bouche sur son bas ventre, ses doigts tournent sur son sexe au parfum capiteux.
La fragrance me tourne les sens.
J'embrasse ses doigts, la peau lisse de sa fente glabre.
Elle se tortille et son index et son majeur viennent se poser sur mes lèvres.
Je pointe ma langue pour gouter son suc délicat puis ouvre ma bouche et les engloutis lentement. De ma langue je joue entre ses doigts gluants. A ma salive se mêle sa cyprine que j'avale en savourant.
Ses doigts se crispent sur mon crâne.
"Hooo oui... lèche..." me demande t-elle de ce ton où je sais reconnaître l'instant où nous acceptons d'être l'un pour l'autre à l'unisson de nos esprits.
J'aspire ses doigts, les déguste avec avidité avant qu'elle ne les soustrait à mes succions pour me permettre d'aller me poser sur sa fente que ses doigts maintiennent écartée.
Mon muscle lape, lentement.
J'explore son antre trempée.
Elle n'est que gémissements ininterrompus, tremblante du corps et de la voix.
J'aime la lécher et ma bouche se plaque, je la dévore à grands cops de langue, d'aspirations... m'enfonçant dans son vagin délicieux au plus profond. Mon visage collé à son sexe qu'elle m'offre sans retenue.
De mes lèvres j'étire chacune des siennes avant de replonger en elle, ma bouche grande ouverte.
J'explore son calice subtil, me délectant de chaque dentelle de chairs sensibles et trempées.
Son orchidée intime est gonflée. Avec délicatesse je l'extraie de son nid en lui arrachant un cri de plaisir.
Avec gourmandise je suçote ce bourgeon gorgé de sang, le presse de ma langue contre mon palais, l'étire et le titille jusqu'à sentir ses doigts tenter de me repousser...
Sa grotte est nimbée de son nectar.
Je reflue à contre cœur.
Elle est haletante... mes mains caressent ses cuisses, le compas de ses jambes grand ouvert.
Ses doigts se posent sur mes poignets et elle tire ses genoux vers sa poitrine, cambrant son séant vers moi.
Je la sens prête à parler.
"Demande le moi..." lui dis-je, affirmant mon statut et l'acceptation de notre switch de façon aussi subtile qu'éloquente.
Elle soupire, son souffle est court.
D'une main elle vient poser son majeur sur sa petite rondelle plissée.
Je la sens se caresser l'orifice le plus sensible.
Son doigt se pose sur ma bouche.
Je caresse de mes lèvres la pulpe de son doigt insidieux.
Ma bouche s'ouvre pour l'accueillir et lécher ce gout immoral.
Elle se tend comme un arc et lâche un rugissement extatique, aux portes de l'orgasme par mon acceptation de son offrande la plus offensante.
Elle feule, ronronne de contentement.
De l'un et de l'autre, nous acceptons les plaisirs sans s'en priver.
"Oui... bouffe-moi le cul" m'ordonne t-elle dans un murmure où se dessine l'abandon total, la confiance pleine et entière.
Je ne me fais pas prier pour déguster son petit trou qui palpite.
M'introduis rapidement en son sein pour faire devenir ma langue, plus large afin de le dilater et le manger.
La pression de son anneau cède rapidement et ma langue est vite libre de se faire étroite et dure pour mimer une sodomie délicate... alors que plus large, mon muscle la régale et pressions intimes et interdites.
Ses mains se sont posées sur ses deux fesses rondes, elle les maintient écartées, me permettant de m'introduire dans son conduit sombre au plus profond que ma langue le peut.
Bouche grande ouverte, je salive, je lèche, j'avale...
Elle pousse des petits cris de plaisirs.
Sa rosette agitée de tressaillements semble vouloir s'unir à ma bouche avide et affamée de son cul divin.
Sa dextre vient se poser sur le haut de sa fente pour entamer de léger cercles.
Je joins à ma langue, mon index.
Elle se tend vers moi.
"Hoooo... doigte-moi... mon... cochon..."
Sans aucun effort, mon doigt la pénètre et met fin à sa phrase.
Elle hurle, un vibrato de plaisirs. Elle se trémousse en proie aux démons de ses envies.
Son orifice est ouvert, trempé de ma bave.
Mon doigt joue aux côtés de ma langue, une douce sarabande intime et goulue.
J'écarte son petit trou de mon muscle et d'une pression digitale.
Elle rugit, devient grossière... crue...
Je la perce alors d'un second doigt.
"Mets en plus !" me dit-elle d'un voix forte et suppliante.
Mes 4 doigts se resserrent et la perce tel un pic qui s'élargit rapidement.
Son corps se cabre, un cri muet, étouffé, retenu qui se fait attendre.
Je m'enfonce en elle jusqu'au pouce, que je replie sur son sexe pour la branler simultanément.
"Haaaaa ! " hurle t-elle de plaisir.
Je viens lui prodiguer un cunnilingus rapide, sans répit, tout en lui déformant l'anus de mes doigts qui vont et viennent durement entre ses fesses.
Les mouvements de piston lui ramone le conduit intime, les mouvements en forme de huit, l'écarte outre mesure.
Je sors ma main rapidement pour venir plonger ma langue dans l'orifice béant.
Je déguste son cul, lèche son intimité outragée... je lui bouffe, comme elle me l'a demandé.
Son corps se tend.
Je la sens aux frontières de la jouissance.
Ses gémissements, ses cris, sont devenus une symphonie en rut majeur.
Un flot de sirop vient s'écouler, gicler de son sexe en feu.
Elle coule... sur mon visage, entre ses fesses.
Je remonte ma langue pour m'abreuver à sa source mystique.
Ma bouche vient se plaquer et avaler son jus, mon trésor, ma récompense la plus chère au monde.
Elle jouit.
Longuement.
Intensément.
A mon plus grand contentement.
Ma langue passe, recueille, ma bouche aspire, son sirop de femme me coule dans la gorge... un gout délicieux dont je ne me lasse pas.
Sous les caresses de sa main dans mes cheveux, sur mon visage, je nettoie son sexe apaisé, son cul défloré et palpitant.
Elle m'invite à me rapprocher d'elle.
Ma peau contre la sienne.
Ma Verge, raide, contre sa cuisse.
Nos visages se frôlent dans le noir, nos bouches se soudent et ce baiser d'amants passionnés à le gout de la luxure qui est notre désir le plus ardent.
"Je t'..."
La phrase a deux voix, se perd dans un nouvel élan de tendresse.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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