[...]sodomie

Ses caresses sur moi m'éveillent.
Avec délicatesse, ses mains flattent mon corps.
Mes épaules, mon dos, faisant naitre des frissons sur mes bras et dans le creux de mes reins.
La sensation chaude et apaisante de ses paumes qui effleurent mes courbes sous le drap. Je m'étire un peu pour profiter de ce traitement délicieux.
Ses doigts effleurent ma nuque. Ils sont bientôt suivis de sa bouche qui me dépose un léger baiser dans le cou.
Il remonte ses doigts sous mes cheveux blonds.
Il respire, hume, mon parfum de femme encore endormie.
Un nouveau baiser me fait ronronner. Il sait que mon cou est sensible et me rend féline.
Dos à lui, je sens sa main se poser sur mes hanches. Flatter mes cuisses.
Je pousse ma croupe, un peu indécente.
Son baiser dans le cou m'a émoustillée.
Sa main se fait coupe et palpe mes fesses. Cet homme me donne chaud.
Je sens son bas ventre contre mes reins, sa verge... ho... déjà si dure et si large. Ce gros sexe que je sens et contre lequel je me plaque. Si différent de celui... de mon mari.
Mes joues ne rosissent que légèrement à ce souvenir malgré le fait que je sois dans mon lit, avec un autre homme que mon époux.
Je l'entends d'ailleurs.
Ce dernier est sous la douche car il travaille tôt.
L'eau dans la salle de bain, coule... comme mon sexe depuis que mon amant s'est plaqué à moi.
"Bonjour ma petite geisha" me murmure t-il doucement.
"Bonjour... coquin" fais-je sans même y penser.
Ses doigts glissent sur ma poitrine, effleurent les pointes de mes seins qui réagissent immédiatement. Tendues, il les caresse et mes bouts deviennent si durs que je me cambre pour venir moi même me frotter sur sa main de velours.
"Moi un coquin ? Alors toi... Tu es une sacrée coquine... une adorable cochonne..."
Je rougis, incapable de retenir le balancement et l'agitation de mon corps. Un soupir de contentement s'échappe de ma bouche entrouverte.
Je me laisse aller à ses caresses matinales. J'en apprécie la douceur et le fait qu'il s'impose à moi sans me demander si j'en ai envie... Et de lui... j'ai envie tout le temps.
Il me soulève lentement et vient m'allonger sur lui.
J'ai le dos sur son torse, mes fesses sur son bas ventre, ma tête sur son épaule.
Si fragile, sur cet homme qui me semble un roc massif.
Mes cuisses s'ouvrent de part et d'autre de ses jambes, exposant ma féminité au ciel.
Mon ventre et ma poitrine se soulèvent vers le plafond au rythme de mes respirations de plus en plus prononcées.
Mes petites mains se posent sur ses avant bras, musclés, qui se prolongent par des mains qui savent se faire sévères ou être si douces que j'en fonds. Elles suivent ses mouvements sur moi. Il explore mon corps, la vallée de mes petits seins, le velours de mon ventre qui se tortille, le haut de mon pubis qui me fait souffler et respirer plus fort.
Son sexe est dur, calé dans le bas de mon dos.
Le mien est entrouvert, palpitant.
"Caresse-toi ma petite poupée". Son murmure est un ordre.
J'obéis.
Ma main vient passer sur ma fente. Si fine avant de le connaitre, il me semble qu'elle est désormais plus ouverte, que mes grandes nymphes sont plus molles depuis qu'il... m'utilise à loisir... que je me donne sans compter.
Je me flatte, allongée sur lui. Encore incapable de réaliser cette posture obscène il y a seulement quelques mois, désormais j'en ai envie... c'est ma source de plaisir.
Mes renflements sont humides. Du bout des doigts je passe dans la fissure trempée. Je cherche mon bourgeon... un soupir... il est gorgé de sang et d'envies. La caresse est si douce, je la voudrais plus forte mais je me retiens pour prolonger ces moments indécents.
J'entre mon index lentement dans ma motte qui me semble dégoulinante. Je me fais du bien, enfonçant mon doigt en moi, titillant ma perle ultra sensible, écartant mes petites lèvres pour venir me solliciter de façon profonde.
Mon bassin se tortille sous ma masturbation.
Il appuie sur les pointes de mes seins, presse mes tétines durcies contre ses doigts.
La douleur est là... nimbée de plaisirs ennivrant...
Il étire mes aréole et allonge mes tétons puis malaxe mes seins avant de recommencer... faire rouler mes bouts, les presser...
Je râle, ma main accélère ma masturbation.
"Tu sais que je préfère pourtant les grosses mamelles... les gros culs... mais toi... ma petite poupée... je ne peux plus me passer de toi".
Son langage cru à mon égard et cette comparaison qu'il fait de moi... ce compliment cru me fait tourner la tête.
Ma respiration s'accélère.
Je rentre mon doigt loin en moi.
Il me soulève doucement pour ôter son sexe, pris en sandwich entre mon dos et son ventre.
Il le place à 90°... un angle droit qui le fait venir s'appuyer sur mon abricot ouvert.
Je me caresse.
Mes doigts frottent le bout lisse au méat fin, son gland rond et large.
J'appuie mes grandes lèvres contre la barre de chair.
De deux doigts j'ouvre légèrement mon sexe pour venir me plaquer à cette grosse verge qui me rend dingue d'envies toutes plus perverses les unes que les autres.
Je me frotte comme un ver lubrique.
Soufflant mes envies par petits gémissements incessants.
D'un mouvement de la main sur ma nuque et sur mes reins il me place assise sur lui.
De dos il doit pouvoir voir mes fesses, mes cuisses ouvertes.
Je suis agenouillée sur le lit, son bas ventre entre mes jambes.
Ma main glisse sur son sexe.
Hooo... il est... énorme et d'une raideur qui me fait peur.
Je me redresse pour le placer sur ma fente.
Sa verge est un pieu sur lequel je vais m'empaler.
Sans même qu'il me l'ai demandé, je sais ce qu'il aime, ce qu'il veut que je sois.
Lorsque je me pose sur le large gland, je réprime une grimace tant j'appréhende l'introduction de ce volumineux engin. Cependant, je suis tellement trempée, qu'il s'enfonce en moi presque sans effort.
J'ondule, je danse sur son bas ventre.
Sa verge progresse, plus profond en moi à chaque fois que je glisse autour de cette chose énorme qui m'arrache des petits cris presque continus.
Mon bassin va de droite à gauche, obscène pour lui qui peux m'admirer à loisir.
Dans les miroirs du placard je me découvre, haletante, cambrée, affamée de sexe.
Hypnotisée par mon image j'ondule plus encore pour accentuer ma position lubrique. Je geins. Impudique. Je veux le rendre fier, fou, autant que je me révèle dans mon côté le plus cochon.
Il caresse mon séant, son regard ne semble pas le quitter jusqu'à ce qu'il lève ses yeux azur et croise le mien.
Mes joues s'empourprent.
Je ne cesse pas mes ondulations sensuelles.
Au bord de la jouissance, celle-ci ne semble pas vouloir me ravager.
Il me laisse faire, venir, m'enfoncer sa verge dans mon vagin...
Je m'agite, je m'offre sans compter sans que l'orgasme ne me terrasse.
Et je comprends.
L'odieuse vérité.
J'ai besoin d'être soumise pour atteindre ces sommets qu'il m'a fait découvrir.
Je ralentis alors et je vois son sourire de conquérant.
"Mon... maitre... " murmure-je... "je suis toute à vous".
Que j'ai honte de me sentir si bien !
Il me redresse.
La perte de son membre viril en moi me laisse un gout de néant.
"Non..." ose-je lancer sans m'en rendre compte.
Mais il est déjà debout et moi... je m'allonge sur le lit pour venir lécher son sexe trempé de mon suc.
Je lape le bout pourpre, turgescent.
De ma langue je m'enrouler autour du manche et aspire mon miel.
Ma bouche se fait ronde, s'ouvre, je le prends entre mes lèvres.
Sa grosseur me fait plisser les lèvres, m'étire les joues.
Je le suce... comme il aime... en levant mes yeux vers lui... lentement... à pleine bouche... jouant de ma langue pour caresser sa veine large.
Je le pompe goulument.
Il appuie sur ma nuque, rentre son membre au fond de ma gorge, appuie sur mon muscle pour le fourrer si loin que je manque d'air et que je suis obligée de respirer par le nez, comme une forge.
Il baise ma bouche...
Son sexe pousse mes joues, force mes lèvres, frotte contre ma langue... un délice...
J'aspire, son gout est unique, délicat, musqué.
Sa texture est un velours d'acier.
Il reflue et je reste bouche ouverte encore demandeuse de son sexe, un filet de salive s'écoule sur mon menton pour finir sa course sur mes seins dardés.
Il tire sur mes cheveux pour redresser mon visage.
"Qu'est ce que tu suces bien ma petite cochonne. Tu le sais ?".
Je lui souris timidement. Son compliment me fait rougir.
"Mais j'ai envie d'autre chose."
Je me sens perdue... et je lui appartiens... il le sent, il le sait.
"Montre moi que tu es à moi".
Je baisse la tête, ferme les yeux et je me tourne.
Je remonte mon bassin, face à lui.
Mon visage sur le bord du lit.
J'ouvre mes cuisses.
Mes mains viennent se poser sur mes globes fessiers.
Il me regarde faire, je le vois savourer son plaisir à l'avance.
Jamais je n'aurais pensé qu'un jour... je me mettrais dans une position si honteuse.
Offerte...
Dépravée...
Le compas de mes cuisses grand ouvert.
Avant de le rencontrer, je n'aurais jamais accepté de m'offrir... par là.
Et depuis lui, depuis qu'il est devenu mon maitre... j'en ai envie, j'en éprouve du plaisir, un plaisir sans nom... tellement intense qu'il me semble surnaturel.
Mes doigts se placent sur ma raie culière.
Mon petit fessier tendu vers lui.
Je m'écarte pour lui offrir ma rosette brune.
En même temps que je m'ouvre, mon sexe dégouline, une première vague de jouissance déferle sur moi.
Il prend son temps.
Il sait que je ne vais pas bouger, en attente de ses demandes, de ses ordres.
Je me mords la lèvre inférieure.
Mon anneau palpite... bien malgré moi je dois reconnaitre que j'attends son intromiscion.
Au lieu de cela il choisit... de m'humilier encore plus.
"Doigte toi."
Deux mots.
Je sens ma gorge se serrer.
J'hésite.
Mon index, déjà souillé de cyprine, se rapproche de l'œil bistre.
Je l'effleure, je m'effleure.
Il ne m'avais encore jamais demandé une action si vile.
Mon petit trou est chaud et pris de petites secousses qui le font s'entrouvrir.
J'en découvre la texture plissée.
"Caresse-toi le cul".
Hooo... ces mots osés !
J'accède à sa requête, je me caresse, obéissante.
Sous mes effleurements mon petit orifice s'ouvre, s'assouplit.
Je gémis... incrédule de prendre autant de plaisir à cette pratique odieuse.
"Allez, doigte -toi".
L'ordre me claque les oreilles.
J'enfonce mon doigt dans la partie la plus intime de mon anatomie.
Pour la première fois je me... mets un doigt... dans les reins.
Mes yeux s'ouvrent en grand.
Je pousse un petit cri.
La deuxième vague de ma jouissance monte, enfle, inonde mon vagin.
"Tu veux ma queue ?"
Ce langage cru ! Si différent de Marc... mon mari si loin... qui s'éloigne... dont la douche s'est tue.
"Oui... Monsieur..."
"Demande-le".
Je me mords la lèvre.
Il y a quelques temps les larmes me seraient montées aux yeux.
Si je rougis encore, et je rougirais toujours car c'est dans ma nature, je n'ai plas envie de faire couler une larme, je sais au contraire le bien que je vais ressentir et combien j'apprécie cette position indécente... ma position de soumise.
"Prenez-moi les reins. Enculez-moi... s'il vous plait".
Ma supplique résonne dans mon esprit.
Oui, c'est bien moi.
Et Marc, qui doit s'habiller... va m'entendre...
Et son gland se pose sur mon anneau ouvert.
Les aspérités qui couronnent son gland me frottent les parois intimes.
Je crie alors que sa grosse tige s'enfonce entre mes fesses.
Mon mari a du entendre. Il sait ce que me fait mon maitre. Il comprend que je suis à lui comme je ne serais jamais avec mon époux.
Son pieu de chair me laboure.
Etroite, je subis les pressions intérieures qui m'écartent l'anus et me donnent l'impression d'être ouverte en deux.
Ses mains posées sur mes hanches il me ramone sans discontinuer.
Les déferlantes de jouissance s'enchainent.
Mes doigts crispées sur le bord du lit, agrippés au drap.
Je mords un bourrelet de tissu pour étouffer mes cris d'orgasme.
Son sexe puissant me déflore le plus intime orifice.
Et je me cambre pour l'accueillir plus loin, comme une vestale lubrique.
Il est Pan, je suis la nymphe qu'il chevauche à loisir.
Il y a quelques temps j'aurais refusée, mais là je reste offerte, et j'ecarte mes cuisses.
Pour lui.
J'écarte mes fesses.
Pour qu'il me baise et me soumette encore.
Les coups de reins s'enchainent.
Ses coups de butoirs me déchirent.
Mes cris sont rauques et mes soupirs à la hauteur de l'intensité du plaisir que je prends.
Il passe d'un orifice à l'autre.
Je ne sens plus mon bas ventre.
Il prend mes cheveux et me force à me regarder dans le miroir.
Sur les genoux, le cul en l'air, une main pour m'ouvrir à lui. Je suis une femme de petite vertue lorsqu'il me prend à loisir.
Je suis transpirante.
Sa main vient flatter et me donner une fessée.
"Ca, c'est pour le plaisir que tu as pris hier."
La piqure de la claque légère sur ma fesse blanche, me fait l'effet d'un tison.
Il me punit d'avoir pris du plaisir avec tous ces hommes, hier... tous ceux auquel il m'a offert et qui n'ont pas eu le droit à mon puits sombre.
Un seconde fessée sur l'autre rondeur me fait dégouliner de bonheur.
J'aime lorsqu'il est sévère... lorsqu'il me soumet.
Ses coups de sexe, de reins, sont rudes, bestiaux.
Il me domine... et... hoooo.... que j'aime cela.
Un second orgasme, me terrasse.
Et me laboure plus doucement, plus lentement.
Ses mains se font flatteuses, ses caresses plus lentes.
Il me cajole les hanches, le dos.
Je suis liquide.
"Ca, c'est pour le plaisir que tu m'a donné hier".
Il me fourre profondément, son calibre large me défonce avec lenteur, m'arrache un râle animal.
A ce compliment je me sent grandit, honorée... fière de le rendre heureux.
Il me chevauche encore, me faisant gémir, prenant possession de chacun des orifices, à sa guise, sans se hater.
Il sait que je suis à lui et que je ne suis qu'un pantin entre ses liens de sensualité.
Je m'offre totalement.
Je me donne à ses envies, je me livre à mes désirs innavouables.
Mes bas instincts mélés de plaisirs cérébraux ont raison de ma dignité dont je me moque.
Seuls compte la délectation de nos appétits de délices.
Pour lui... pour moi... je jouis... une nouvelle fois... à l'unisson avec lui.
Ses bruits rauques me donnent chauds, ils sont empreints de virilité et de masculinité.
Je sens les jets chauds venir m'inonder l'intérieur.;
Il se retire de mon petit trou et m'arrache un dernier cri... celui du manque terrible...
Je suis essouflée, incapable de bouger, cambrée.
De mon orifice intime, telle une source de sperme, je recrache son foutre gluant qui me ruisselle sur les cuisses jusqu'aux genoux.
Je suis une fontaine de liquide primaire.
Ravie.
Il me caresse les cheveux. Son gros sexe dodeline entre ses jambes, luisant.

 

Il ouvre la porte, mon mari avait du frapper et je ne l'avais pas entendu.
Il pose ses yeux sur moi, nous échangeons un regard.
Je ne fais pas un mouvement pour me cacher et il passe devant moi en baissant les yeux, avant d'aller prendre une cravate et ressortir dans le même mouvement.
Il est mon mari oui, mais mes plaisirs ne lui appartiennent plus.

 

Je souris à mon Maitre qui m'accorde sa main pour m'entrainer sous la douche.
Si sale, souillée, et si heureuse d'être soumise.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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