Partager l'article ! Béatrice... offerte et lubrique - 3: [...] Mon époux gare la voiture, ouvre la porte, j'entre à sa suite. Il referme et me regar ...
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Mon époux gare la voiture, ouvre la porte, j'entre à sa suite.
Il referme et me regarde.
Le bras de son patron autour de mes épaules. J'ai le visage niché sur son torse.
Dans le secret de notre maison je ne me cache plus pour être si souvent proche de celui qui est devenu mon Maitre.
Après la soirée de réception et l'état de ma robe, de mes cheveux... Marc sait que je ne suis plus à lui mais que j'appartiens désormais à l'homme
qui dort chez nous, qui m'a révélé à des plaisirs insoupçonnés... à des désirs qui me rendent folles.
Je suis à lui et je le suis dans les chemins détournés de la morale qu'il me fait prendre.
Il caresse mes cheveux blonds... salis du jus de ses collaborateurs.
Mon entrejambe encore douloureux d'avoir été pris si longtemps par de nombreux sexes, j'avance, ma main dans celle de celui que je regarde en
rougissant alors qu'il interpelle mon mari.
"Béatrice a été splendide. Elle a également bien récompensée les meilleurs collaborateurs".
Marc baisse la tête.
"Je ne voulais pas que tu vois ça."
Sa voix douce est pour moi un rappel suggestif et pour Marc une évocation qui doit lui faire étrange... de ce à quoi je me suis livrée, de cette
orgie de débauche dans laquelle j'étais l'actrice principale et qu'il ne fait qu'imaginer.
"Mais tu as bien mérité toi aussi d'en profiter".
J'ai un frisson, je sursaute.
Mes yeux cherchent le regard de mon Maitre.
Va t-il me livrer à mon époux ?
Je me sens si sale, encore souillée dans mon intimité, la robe tachée.
"Agenouille toi sur le tapis" m'ordonne t-il.
J'obéis sans rechigner.
Il fait s'approcher Marc.
Je dois lui ouvrir le pantalon et lui caresser le sexe au travers du tissu de son slip.
Je le fais et mon mari s'excite.
Je me sens fille de joie.
Ce n'est plus mon époux... c'est un homme... simplement.
Son sexe durcit dans son dessous.
Mon Maitre se joue de nous.
Je lui lance un coup d'œil, il ne regarde que moi et cela me fait un effet dingue, un sentiment de réconfort et de fierté.
Lorsqu'il me demande de sortir sa queue je suis surprise de la taille si réduite de ce membre.
Je l'agite au gré des ordres puis le lèche comme il me le commande.
Comparée aux manches que je viens de déguster, celui-ci est modeste et ma bouche, bien que meurtrie d'avoir tellement sucée, n'a aucun mal à
l'engloutir.
Je fais ce que je lui ai si souvent refusé.
Mais là... obéissante... pour celui qui me donne chaud... je gourmanderais n'importe quelle verge.
Les soupirs plus forts de mon homme me rappellent à lui. Dans mon désir de plaire à mon Maitre j'en ai oublié celui a qui je suis mariée.
La voix suave me murmure qu'il faut que je sois "une belle petite cochonne pour Marc".
Je m'applique.
Jamais je ne lui ai pratiqué une telle fellation.
Ma langue et mes doigts sont au service de ces plaisirs buccaux tellement osés que j'en rougis.
Je mets en œuvre tout ce que j'ai appris depuis que je suis soumise et obéissante. Je déguste et aspire le bout du gland avant de titiller le méat,
envelopper le col et le bout rond de ce petit dard jusqu'à en faire sortir une goutte de plaisir.
Mon muscle presse la veine comme mes lèvres enveloppent le manche et viennent se coller à la base de sa verge pour mieux remonter lentement... et
redescendre rapidement pour l'emmener au plus loin dans ma bouche.
Mon Maitre me félicite et je cesse mon action à sa requête.
Nous savons tous les deux que Marc est en rut...
Il ordonne, j'obéis.
Nous savons tous les trois que cela pourrait être n"importe quel sexe.
Pour mon Maitre, j'obéis.
Je m'allonge et je relève ma robe devant mon époux.
Je retire ensuite la culotte gluante qui recouvre mon sexe lisse.
J'ai honte... mais j'ai envie d'être obéissante, je le fais, et mon mari découvre mes lèvres, rouges, molles... entrouvertes... dégoulinantes de
foutres de plusieurs hommes.
Le tissu est trempé des jus différents. Il colle. Il fait un bruit d'humidité lorsque je le pose sur le sol à côté de moi.
"Baise-la. Tu l'as mérité, comme les autres".
Il me semble recevoir une claque, surement la même que celle que prend Marc.
Il s'allonge sur moi et... sans remettre en cause son statut de soumis lui aussi, enfonce son membre dans mon vagin.
Je suis visqueuse, poisseuse, de sirops.
Le sexe fin de mon mari touille dans mon puits inondé.
Il s'affaire en moi.
Une sensation de honte... de plaisir tellement fort...
Devant mon Maitre, notre Maitre, nous "baisons".
Il ne dit pas un mot, se contente de nous regarder.
Je gémis bien malgré moi, terriblement emportée par une rafale de luxure.
C'est mon époux qui me chevauche, après tous les autres... dans leurs semences encore tièdes... sur l'ordre de celui avec lequel des liens plus
étroits qu'une cordelette de soie autour des mes poignets se sont tissés.
Le plaisir que j'éprouve est tout à la fois physique et mental. Mon esprit chavire dans un délice osé.
J'entends à peine les souffles de Marc.
Mes yeux cherchent mon autre homme.
Il m'observe.
Les jambes ouvertes, les genoux relevés, Marc me prend, comme d'habitude.
Mes cuisses nues n'attirent pas l'attention de mon admirateur. Il ne lâche pas mon visage, mon regard dans le sien.
Il me sourit et ma jouissance arrive comme une lame de fond, comme une autorisation, comme un agrément à mon plaisir. Je fonds. L'orgasme me
traverse comme un arc électrique.
Il ordonne à Marc d'éjaculer sur mon ventre.
Le petit sexe sort de mon antre et son jus chaud vient éclabousser mon nombril. Son foutre se mélange à ceux qui me décoraient déjà la
peau.
Mon plaisir continue, enfle malgré l'absence de membre en moi. Simplement en m'abandonnant à mon Maitre.
Lui... par qui j'ai découvert le plaisir de façon plus intense que je ne l'aurais imaginé.
Un cri m'échappe.
Je suis trempée, essoufflée... contente de lui appartenir.
Je suis sa petite putain... sa poupée... sa s...
Lorsque je rejoins notre chambre après un long bain où je me suis nettoyé de tous ces hommes, Marc n'y est pas. Il a été envoyé dormir dans la
chambre de Céline, absente la semaine depuis qu'elle à son studio.
La lumière de le lampe de chevet est allumée.
Je suis nue, comme le désire celui qui me regarde en souriant et qui m'invite à le rejoindre dans le lit.
Toujours honteuse et pourtant si heureuse.
Je me love contre lui.
Son cœur bat si fort.
Sans un mot nos lèvres se soudent, nos langues se cherchent, se trouvent, s'emmêlent.
Ses mains trouvent mon corps parfumé.
Mes doigts glissent sur son torse et sur ses bras.
Il éteint.
L'obscurité nous enveloppe.
Enlacés dans notre chambre...
Sait-il l'effet qu'il me fait ?
Je sombre dans des rêves voluptueux...
A suivre...