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Lorsque je pousse la porte de la chambre elle est sur le lit, adossée au mur. Je l'observe.

Entre ses jambes légèrement écartées elle a posée sa main.

Sur la couture du jean qui l'enserre, elle fait de petits mouvements circulaires.

Ses doigts pressent puis relâche la pression délicieusement subtile qu'elle effectue sur son entre jambes.

- Tu peux continuer de la voir si tu veux. Dit-elle dans son téléphone.

Sa voix est douce, tendre avec une pointe d'excitation.

"Cela nous fait du bien, à toi en tout cas" ...

Je devine qu'elle parle à son homme.

Ses yeux clos, elle à la tête basculée sur l'oreiller.

"Oui. Moi aussi, surement"...

Un soupçon d'agacement teinte ses paroles et je suis troublé par ses gestes plus appuyés.

" Tu es plus attentionné avec moi"..."Je veux que tu sois heureux."..."Oui"... "Nous n'avons jamais été si proches que depuis ta liaison" ..."Tu m'écoutes et nos sorties sont tendres"...Ne sois-pas surpris"... "Moi aussi je t'aime"..." Merci... oui".... "Je vais partir chez une amie ce soir"... "Non... je ne vais pas aller courir les hommes"..."Oui, tu me connais, je n'oserais pas de toute façon"...

Elle vient de placer la paume de sa main de façon à emprisonner son intimité cachée et elle se masse.

Je devine son pubis humide.

Sa respiration se fait plus profonde.

"Mais tu sais... je t'avoue que... cela m'excite un petit peu."..." Non, c'est vrai "...

Ses doigts descendent loin et remontent jusqu'au bouton de son jean serré qu'elle défait.

Le tissu se détend immédiatement dans un petit cou sec et je peux admirer une frange de peau pâle sous son nombril.

"Elle te fait des choses que je ne fais pas ?"..." humm"... "Dis-moi ce que vous faites."..." Je sais que tu n'oserais pas être aussi pervers avec moi".

Elle m'aperçoit alors que la pression qu'elle exerce sur son sexe se fait plus forte.

Elle me sourit, faussement surprise de ma présence.

Je m'approche et caresse ses jambes.

Elle déboutonne entièrement son pantalon.

Ses yeux dans les miens, elle ne me lâche pas du regard.

"Je me déboutonne..."..." Allez. S'il te plait au moins raconte-moi... "

Son petit bout de langue dépasse pour passer sur sa lèvre.

" Elle se caresse devant toi ?"

Je fais glisser son jean et la découvre en petite culotte.

Ses doigts s'enfouissent sous le tissu et elle se caresse en me fixant.

"Moi je n'oserais pas faire ça"... "Et toi ?"..." hum... tu caresses ses petits seins ? Cela doit te changer."

Mes mains suivent le cours de la discussion et je m'empare de ses globes pour les pétrir au travers du pull.

Dans mes mains je sens la ferme souplesse de sa poitrine dont les bouts ne tardent pas à pointer malgré la présence du soutien gorge.

Je les titille avec douceur.

Ses seins lourds sont une récompense que je palpe avec d'infinis précautions avant de les extraire de leurs logements et les dévoiler à ma vue.

Je forme un "Splendides" muet de ma bouche. Elle me sourit, ravie.

"Tu la tête, elle ?" ... "Oui j'aimerais bien tu le sais..."

Entre mon pouce et mon index je fais rouler le téton aussi dur qu'une pointe de crayon.

Je presse le haut du mamelon pour en faire saillir le téton afin de l'exciter avec mon doigt.

Il vibre sous mes agacements.

Je le tire.

Elle se mord la lèvre inférieure, luttant pour ne pas gémir.

Je m'empare de son autre sein pour leur faire subir tous deux, simultanément, les mêmes caresses appuyées.

Du bout des lèvres je pose ma langue que son mamelon excité pour lui pratiquer une succion bientôt ferme.

Son bout de sein raide va et vient au rythme de mes aspirations et son corps se cabre pour m'offrir sa poitrine avec envie.

"Tu la lèches ?"

Je pose ma tête entre ses cuisses et ma langue vient toucher sa fente au travers du tissu déjà humide.

J'appose ma langue largement pour ressentir les renflements de son sexe et l'exciter en pressant mon muscle avec force.

J'ai envie de la dévorer.

Mes mains glissent sur sa peau le long des ses cuisses soyeuses.

Lentement je fais descendre l'infime rempart de coton pour dévoiler sa motte fendue.

Glabre, hormis un petit point pileux taillé au plus ras au dessus de sa cicatrice sexuelle qui fait ressembler son sexe au "i" de désir, elle à les lèvres luisantes de mes manigances et de leur effet.

Délicatement je laisse entrer ma langue entre ses nymphes.

Etroite et serrée elle a cette odeur qui me rend passionné.

Ses lèvres s'écartent. De ses doigts elle m'accompagne pour extraire son clitoris.

Je l'excite en allant de plus en plus vite.

"Elle aime ça"... "Et toi ?" ... "Tu es vicieux avec elle"... "Tu oses lui ... comment ? Entre ses fesses ?"

Elle se cambre pour m'offrir son petit trou.

Elle suit de son corps le fil de sa discussion.

Je décide alors de m'occuper de son anus.

Ma langue descend l'ensemble de son sexe parfumé avant d'atteindre son orifice ridé.

Elle relève ses cuisses pour positionner son interdit au plus près de ma bouche vorace.

J'explore les contours de son œillet alors que de ses mains elle continue de se masturber.

"Et c'est bon de lui lécher le petit endroit ?"... "Oui... c'est une perverse..."..."Et elle ? Elle te fait une fellation... ho...".

Je me redresse et déboutonne mon pantalon.

Mon pieu est dressé, excité de l'avoir lapé.

Son regard est brillant, les yeux grands ouverts, au summum de son excitation.

Elle m'embouche sans perdre un instant.

Son téléphone toujours collé à son oreille j'entends les grésillements de son homme qui lui parle alors qu'elle me suce comme une affamée.

Elle extraie mon sexe de sa bouche, pour reprendre le fil de sa discussion.

"Non. Je n'oserais pas."..."Des attitudes de ... de prostituée". Dit-elle en me regardant avant de ré-emboucher ma tige épaisse et de pomper avec furie dans un rictus prometteur.

Je glisse un doigt dans son sexe et je prends le relai de sa masturbation.

Elle pousse un petit gémissement alors que deux de mes doigts la fouillent.

Il a entendu et elle s'empresse de répondre.

"Ca m'excite ce que tu me dis là... alors j'ai fais un peu de bruit"... "Continue, dis-moi ce que vous faites et que tu n'oses pas avec moi"... "Hum... ça nous arrive... rarement."..."Oui, je n'aime peut-être pas trop cela"..."Oui... cela fait animal"...

Elle se tourne et s'offre à quatre pattes devant moi.

Son cul se trémousse devant moi.

Elle écarte les cuisses et me dévoile la fourche de son sexe.

Mon gland se glisse en elle avec aisance.

Son sexe est lubrifié et je peux l'introduire sans effort malgré la largeur qui lui écarte la vulve sans ménagement.

Je la sens frémir alors qu'elle prend conscience de la grosseur qui va se fourrer dans son ventre sur de longs centimètres.

Lentement je vais et je viens, de plus en plus loin à chaque pénétration.

Son échange est entrecoupé de pauses de plus en plus longues alors qu'elle ondule le basin sous mes coups de reins.

"Oh Oui ! " lâche t-elle soudain.

Elle vient de crier sans s'en apercevoir.

"Excuse-moi. Je vais bientôt jouir... continue... encore..."

Je prends ses demandes comme autant d'invitations à la chevaucher.

"Oui... en levrette..."..."une vraie trainée"..."une fessée"..."non, pas moi..."

Elle a du mal à maintenir son téléphone en place, le visage sur le lit.

Son corps subis mes assauts.

J'ai saisi fermement ses hanches et je la bourre lentement.

Sa vulve humide et chaude se contracte par saccade pendant qu'elle est traversée par mon pieu raide.

Elle pousse une plainte plus longue que les autres.

Son orgasme la paralyse, elle se raidit, le téléphone tombe sur le drap et elle crie une ultime fois, un râle long et profond.

Sans arrêter de la parcourir, je la maintiens fermement pour assouvir à mon tour mon désir.

J'explose alors en elle, silencieusement.

Quelques élans brefs et secs et je me suis vidé entre ses cuisses.

Elle tâtonne pour s'emparer du combiné avant de répondre à la question que je devine de plus en plus impatiente à l'autre bout du fil.

Je la laisse ainsi finir sa discussion.

"C'était bon mon amour"..." J'ai aimé"..."Oui. Je n'oserais pas autrement qu'en le fantasmant... mais... c'était bien. Bonne soirée à toi aussi"...

Je ferme la porte pour passer sous la douche.

Elle est immobile, le téléphone encore en main, la croupe relevée vers le ciel.

Son sexe coule de mon jus d'homme.

Je crois percevoir quelques sanglots entrecoupés de soupirs plus intenses.

Tout le temps de ma douche je devine en elle le conflit des sentiments, la tempête de ses sensations et je n'ai qu'une crainte, qu'elle décide de me fuir.

Je ne veux pas la perdre ma belle Eve.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[...]

 

Je suis surpris de recevoir un message d'Eve un samedi matin.

Le message est court, laconique.

Elle me demande si elle peut passer.

Je ne peux qu'acquiescer mais je me demande ce qu'elle peut bien avoir à me dire pour que cela soit aussi urgent.

C'est donc avec un peu d'appréhension, mais aussi avec joie, que je l'attends à arriver.

Lorsque j'ouvre la porte ce n'est pas son jean moulant que je remarque le plus, ni son pull sans forme qui donne à sa poitrine un aspect avantageux.

Au delà de cette apparence inhabituelle, c'est un visage où les larmes ont coulé mais qui me sourit, qui me frappe.

Elle me tombe dans les bras et sanglote doucement.

Je la fais donc rentrer et l'accompagne jusqu'au sofa, mon bras autour de ses épaules.

Il lui faut quelques instants avant de m'annoncer la nouvelle.

- Mon homme me trompe.

Je reste sans voix et décide de la laisser poursuivre, à son rythme.

- J'ai reçu un message qui ne m'était pas destiné. Il me l'a avoué. Il a une liaison.

Je ne peux m'empêcher de lever un sourcil.

Elle, mon élève, ma soumise, vient m'annoncer que son homme voit une autre femme.

Mon ego est flatté mais au-delà de cette arrogance, je mesure le lien qui nous unit.

- Cela fait quelques mois déjà.

Je garde le silence, en caressant ses joues, sa chevelure, sa main dans la mienne.

- Il ne veut pas me quitter. Je ne le veux pas non plus. Je ne sais pas quoi faire.

Quand elle lève ses yeux humides sur moi je peux ressentir sa peine.

- Je suis contente que tu m'ais autorisée à venir.

Je lui souris, elle me le rend, timidement.

J'ose une première question.

- Comment est-il avec toi depuis qu'il a cette... aventure ?

Elle hésite.

- Il est attentionné.

- Cela a changé son comportement ?

- Un peu, il revient plus calme et surement est-ce elle qui supporte les tracas.

- Et toi, depuis que tu es ma soumise, comment es-tu avec lui ?

- Je fais peut-être aussi plus attention à lui. Mais...

Un sanglot s'étrangle dans sa gorge.

- Cela te fait mal qu'il voit une autre, je peux le comprendre.

- C'est étrange car oui je me sens trahie, mais je sais aussi que cet espace de liberté est profitable aux moments que nous avons ensemble. Nous sommes plus tendres l'un avec l'autre depuis que... enfin...

Son regard se pose sur moi.

Elle saisie qu'il n'est pas le seul en cause.

- Que dois-je faire Monsieur ?

- Veux-tu lui révéler ta soumission ?

- Ho non !

- Veux-tu y mettre un terme ?

- Non... surtout pas. J'apprécie et j'ai encore à apprendre. Ne me laissez pas.

- Je n'ai pas envie de te perdre. Tout comme chacun de nous n'a pas envie de perdre l'autre.

Elle a un moment de silence.

- Il veut bien cesser de la voir, mais je sais qu'il sera aigri.

Je prends ses épaules alors qu'elle se redresse, un peu rassurée.

- Il a changé son attitude avec toi ? En pire ou en mieux ?

- En mieux. Nous sommes encore plus heureux de nous retrouver. Nous partageons encore plus de choses... c'est fou...

- Et au niveau du sexe ?

Elle hésite. Place ses yeux dans les miens, et avoue, comme elle a l'habitude désormais de faire avec moi, elle ose, se livre sans peur.

- C'est pareil... calme... il me fait l'amour avec douceur. Moi, je sais que j'aurais avec vous ce que je ne m'autorise pas avec lui. Il m'a dit que ce n'était pas pour le sexe avec une autre, qu'ils passaient surtout du temps ensemble à parler. C'est vrai qu'il est souvent absent et je comprends qu'une présence lui manque. Comme à moi.

- Tu lui en veux ?

- Oui, non, un peu... surement un peu.

- Mais ?

- Je le comprends et... cela m'autorise aussi un peu plus à être votre soumise.

Avec un petit sourire en coin elle embrasse la paume de ma main.

- J'ai envie de vous Monsieur.

Cette seule phrase me prend aux tripes et je sens mon désir de la posséder m'envahir.

- Je me sens moche. Me dit-elle.

- Tu ne l'es pas pourtant.

- Si, mes yeux sont moches.

Je les embrasse tour à tour. Le rimmel nacre ses joues roses.

- Ils sont beaux lorsqu'ils ont pleuré.

Elle m'offre son cou.

- Mon cou ne me plait pas non plus.

Je viens le saisir et y déposer quelques baisers.

- Il est doux et son odeur m'enivre. Réponds-je.

Ses mains caressent ma nuque.

- J'ai de trop gros seins. Murmure t-elle.

Je les caresse au travers du pull. Je les sens bouger à l'intérieur de leur logement, souples et fermes.

- Ils sont à croquer. Je ne me lasse pas de les téter.

-Et je trouve mes fesses trop grosses aussi. Dit-elle en enfouissant son visage dans mon épaule.

Mes mains saisissent les deux globes au travers du jean et je les pétri.

- J'aime ton cul. Moulé dans ton jean il est divin.

- Dites-moi… que vous aimez prendre mon gros cul... je veux l’entendre.

Elle ronronne, se frotte à l'excroissance qui se fait sentir entre mes jambes.

Je continue de caresser son fessier.

- Vous l'aimez hein ? Dites-le moi encore...soyez cru.

Je plote son arrière train bombé mais loin d'être trop gros...

Je le pétri tout en écartant les deux monts, forçant la couture du pantalon à frotter contre son sexe.

- Cela t'excite qu'il soit avec une autre ? Dis-je, tranchant avec la discussion.

La question la laisse interdite.

- Je ne sais pas. Pourquoi ?

- Il est parti ?

Elle acquiesce.

- Il va donc la retrouver ce soir ?

- Non. Il m'a dit qu'il n'irait pas la voir. Enfin... est-ce vrai...

- Il est peut-être avec elle en ce moment.

Elle rougit.

- Cela ne te déplait pas tant que ça. N’est-ce pas ?

- Ca me trouble. Je me suis surpris à l’imaginer avec elle, comme si je les voyais, cachée…

La phrase reste en suspens.

- Et ? Continue.

Dans un murmure elle poursuit.

- Je me suis caressée. Je les imaginais, il la baisait et elle le suçait comme une salope. J’en ai poussé des gémissements. Je ne comprends pas ce mélange de tristesse et de plaisir.

Je la regarde, si belle dans sa tenue mise en hâte.

Eve… trompée… excitée de l’être… libérée de ses dernières barrières morales.

- Appelle-le.

- Que dois-je lui dire ?

- La décision te revient. Après ce que tu m'as dit, tu dois pouvoir savoir quoi faire. Cette partie là de ta vie ne m'appartient pas.

Je dépose un baiser sur son front.

- Je sais. Je comprends.

Et elle saisie son téléphone.

- Je peux aller dans... ma chambre ? Me dit-elle en montrant cette chambre que je lui ai attribué le premier jour de son éducation.

Je souris, la complicité revient entre nous et le sourire m'est rendu.

- Bien sur. Tu peux y laisser libre cours à ta passion.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[...]

Il est là, allongé à côté de moi, nu.

Je détaille son corps.

Ses bras musculeux qui savent m'étreindre, son torse sur lequel je passe mes mains, les doigts jouant dans sa pilosité, ses hanches, ses jambes... et... je m'attarde sur son sexe.

Tel un serpent il repose doucement sur ses bourses en attendant la chaleur qui le fera se dresser.

Je suis comme hypnotisée par ce cylindre alanguie dont le bout lisse et rose me fascine.

Je n'ai qu'une envie, qu'il me pénètre et me force. Mes pensées deviennent salaces et j'aimerais qu'il me possède sans ménagement, crûment. Mes pensées me surprennent et je remémore les quelques mots que j'ai lancé tout à l'heure, quand il me chevauchait.

- Tout à l'heure j'ai pu dire...

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que d'un doigt sur mes lèvres il me fait faire silence.

- Pour l'instant seul ton plaisir compte... et le mien... tu peux t'exprimer, sans tabou. Me répond-il.

Ma main cherche son sexe.

Lentement je le prends dans mes doigts.

Il palpite dans la paume de ma main.

Je le caresse avec douceur, il grossit.

L'envie de le sucer me traverse l'esprit.

Ne pouvant détacher mes yeux de son membre qui commence à se tendre, j'entame une lente masturbation.

J'aime le sentir grossir dans ma main et le voir devenir large, se tendre à m'en desserrer les doigts.

Je le branle avec une extrême lenteur, sa verge se dresse fièrement.

La veine saillante palpite et mes doigts pressent vers le haut, son gland rougi d'envie.

Je vois ses yeux se fermer alors que mon indexe passe effleurer le méat dont perle une goutte de plaisir.

Je l'étale sur la surface tendue de son gros gland pourpre.

Sous la pulpe de mon doigt je le sens frémir, je presse et éprouve la souplesse de sa peau.

Je me rapproche de lui.

Il bande. Sa queue est large dans ma petite main, j'en ai envie.

Il ne dit rien alors que je m'approche de lui.

Il se laisse faire comme que je viens le frotter sur mon clitoris.

Le bout de mes doigts caresse ses bourses et la pince de mon pouce et mon index le masturbe contre mon bouton qui s'enfle.

Il se hisse sur ses coudes et me surplombe.

Tout en m'embrassant il vient poser son gland sur ma vulve.

Il s'enfonce avec lenteur, je l'aide sans en avoir besoin tellement je suis lubrifiée.

Il me pénètre et je sens mon sexe s'écarter sous la largeur du sien.

Je pousse un soupir de plaisir.

- Parle-moi... ose. Son ordre murmuré me fait chavirer.

Je lance mes reins à sa rencontre.

La lance de chair m'ouvre et je gémis de plaisir.

- J'aime avoir votre gros sexe au fond de moi... ma voix est fébrile.

Il s'enfonce dans ma plaie de plaisir.

- J'ai envie de me faire labourer... sans ménagement.... de me faire bourrer... hum... baisez-moi !

Le ton de ma voix s'éraille alors que ses assauts se font plus profonds.

Je m'attends à des phrases crues mais ce sont des mots sensuels, doux, agréables, qu'il me susurre alors qu'il me force un peu plus à chaque coup de reins.

Avec assurance il s'installe dans mon bas ventre en feu.

Son glaive de chair me perce.

Mes parois s'écartent alors qu'il me prend de plus en plus fort.

Les coups de reins deviennent plus longs et plus rapides.

Il m'entraine dans un rythme croissant.

Ses mains saisissent mes hanches et me soulèvent.

Dans un coup prolongé il m'enfourne ses derniers centimètres et je pousse un cri muet, bouche grande ouverte, aux portes du plaisir.

Il redouble de vigueur et les vas et vient sont de véritables coups de butoirs, il me défonce sans se soucier d'autre chose que de me baiser.

Je vois mes seins aller en tous sens et son visage devenir plus animal.

Presque bestial il me retourne.

Il va me prendre en levrette. "Ouiii..." je ne peux finir mon exclamation que dans un " hannn" sonore alors qu'il me perce avec violence et force, défonçant mon sexe dans un élan féroce qui me déchire en deux !

Ses cuisses viennent frapper mes fesses.

Ses couilles claquent contre ma vulve ruisselante de mouille.

Il me chevauche, je suis sa pouliche, sa femelle, remplie de son sexe.

Je crie, passant outre toute réserve, je hurle mon bonheur.

Mes bras ne tiennent pas la cadence qu'il m'impose et je finis la tête presque hors du lit, en subissant ses assauts incessants.

Je ne sens plus mon corps et je râle de plaisir.

La jouissance arrive... fulgurante.

Je suis un pantin dans ses bras et c'est la moitié de mon corps hors du lit qu'il continu de me posséder.

Il ne me semble pas me souvenir d'une séance de sexe aussi violente.

Je grogne. Je jouie. Je suis à lui.

Mon orgasme se prolonge alors qu'il continue de me bourrer sauvagement.

Je n'en peux plus mais il me défonce comme un mâle dominant sait le faire, comme le Maître le doit sur sa soumise.

Il extraie soudainement sa queue et la pose entre mes fesses.

J'exulte et j'attends qu'il répande sa semence sur moi en une ultime récompense.

Je sens alors son liquide s'étaler sur mon dos.

Sa première giclée m'atteint entre les omoplates.

Chaudes, les deux suivantes nappent bientôt mon dos enfiévré d'un jus que je devine épais.

Il coule et me salis les flancs, je prends soudain un plaisir insolite à être souillée et ainsi possédée.

Je le rejoins, à bout de force il s'est allongé sur le lit.

Il me fait venir sur lui.

De ses mains il m'attire dans une position qui m'excite.

Je viens plaquer mon sexe sur sa bouche.

Assise sur son visage je me frotte.

Je me sens comme une chienne en chaleur. J'ai envie de sexe.

Sa bouche s'ouvre et c'est toute ma chatte trempée qu'il dévore à nouveau.

Je m'écrase sur lui et je le devine, avalant ma mouille, je le sens sucer mon clitoris, lécher avec avidité l'intégralité de ma féminité.

De ses lèvres, de sa langue, il m'explore en tout sens alors que je me cabre pour qu'il prenne également possession de mon petit orifice.

Son jus coule de son dos jusqu'entre mes fesses.

Il doit l'avoir en bouche et cette idée me rend folle.

Je me caresse d'une main, je sens sa langue entrer profondément en moi "Oh oui bouffe moi la chatte ! Humm !".

J'ose me montrer vulgaire et mon excitation s'accroit encore.

Accrochée à la tête du lit, mon corps ondule.

Je livre mon sexe à sa bouche affamée.

Je livre mon corps à sa langue experte.

Lorsque je m'éloigne de lui, je vois son visage.

Il luit, trempé de nos fluides.

Sous son menton coule ma cyprine.

Des coins de sa bouche sourd un filet nos jus d'amour.

Je me tourne pour venir flatter son vit qui repose sur sa cuisse.

Du bout de la langue je le flatte.

Il me lape alors que je prends dans ma bouche son sexe qui grossit au fur et à mesure que je le suce.

Quelle délicieuse sensation que de sentir croitre en moi son pieu de chair alors qu'il me lèche avec lenteur.

Je m'amuse à passer son sexe sur mon visage avant de le ré-engloutir.

Son gout, son odeur, où je perçois ma part de plaisir, me réjouissent.

Il a sa langue loin en moi, large, il joue en moi et je coule alors dans un dernier soubresaut de jouissance.

Je reste ainsi, la bouche grande ouverte autour de son sexe, haletante, je jouis en poussant des gémissements atténués par la présence de sa grosseur sur ma langue.

Il m'allonge alors sur le lit et vient au dessus de moi.

J'ouvre ma bouche, il me force.

A la limite de l'écœurement il prend ma bouche et me baise comme s'il eut été question de mon sexe.

Il utilise ma bouche pour venir se vider.

Je subis les coups de reins où son pubis vient s'écraser contre mes lèvres.

Lorsqu'il remplit ma bouche de son foutre je suis surprise par la quantité que je ne peux endiguer.

J'avale et je laisse ma gorge se faire envahir par son sirop d'homme.

Le liquide coule en moi. Je déglutis, sage.

A la commissure de mes lèvres je perle de blancheur.

Je le nettoie avec application sa liqueur.

Il s'allonge à mes côtés.

Nous sommes repus.

 

Lorsque je lui ferais un café, seulement vêtue de la chemise de mon homme, il viendra me câliner, passant ses mains sur mon corps, attentif à mes désirs.

Après un moment de silence, tous deux attablés à savourer l'instant, il recommencera à me faire l'amour dans cette chambre désormais lieu d'infidélité.

Avec beaucoup de tendresse il attendra que je m'endorme à ses côtés avant de repartir sans un bruit.

Au matin lorsque je m'éveillerais, il ne restera de son passage que le souvenir de douces jouissances et, dans les draps froissés, les traces de nos ébats que, rouge de honte autant que de plaisir, je mettrai à nettoyer.

 

Sur la table mon Maitre m'a laissé un message : A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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