[…]

 

Nous nous sommes donné rendez-vous dans un parc public.

Endroit idéal pour une pause du midi, loin de tout.

Lorsque je te vois arriver je sens mon cœur se serrer.

Je détaille tes formes alors que tu avances vers moi.

Les courbes de tes hanches dans ta jupe stricte m’évoquent des désirs de te saisir pour t’attirer à moi.

Ta poitrine engoncée dans un chemisier au ras du cou me donne envie de me blottir contre toi et de me laisser aller à te caresser.

Tu déposes un petit baiser sur mes lèvres.

Instantanément ton parfum m’enivre et me transporte.

Nous avisons un coin calme sur l’herbe, loin des chemins de passage, abrité par une large gerbe de fleurs odorantes.

Nous devisons de tout, de rien, tout en mangeant un sandwich qui, pour moi, n’a aucun gout face à toi.

Assise de côté je ne me lasse pas de t’observer.

-         Tu es superbe habillée ainsi.

-         Merci Monsieur. Vous n’êtes pas mal non plus. Votre chemise est très belle. Me dis-tu en passant ta main sur le tissu et en effleurant mon téton. Et votre ceinture est … attirante. Tes yeux se plissent sous ton sourire coquin.

Nous sourions doucement.

Je profite de ce moment avec toi.

-         N’est-ce pas trop habillé pour vous ? Me dis-tu en passant ta main nonchalamment sur ton sein droit comme pour t’épousseter.

-         Cela te confère un côté très « bourgeois » qui n’est pas pour me déplaire.

Tu te rapproches, les genoux pliés de côté telle une amazone.

Tes yeux brillent de milles feux et je sens gronder en moi le désir qui enfle comme un orage d’été.

 Tes lèvres s’entre ouvrent pour venir m’embrasser. Je te rends ce baiser avec lenteur.

Le gout de tes lèvres et le parfum de ton cou éclipsent sons et fragrances de ce lieu pourtant charmant.

Autour de moi tout est sombre et seule ta présence dans mes bras est source de lumière.

- Ce côté strict vous plait ? Je croyais que vous me désiriez moins ... prude...

- Il m'évoque ces femmes qui ont une carapace et qui dans l'intimité sont toutes autres.

Je sens ta poitrine se soulever et ma main vient la presser doucement.

-         Monsieur, fais-tu d’un air légèrement outragée, on pourrait nous voir…

Ma main palpe lentement et suffisamment fermement ton sein pour que l'excitation te gagne et que ton téton durcisse.

Je le sens au travers du tissu et je joue avec lui.

Ta main vient se poser sur mon entre-jambe et tu enserres de tes doigts la bosse qui se détache sous la ceinture.

Tes dents mordillent mon oreille. Ma verge grossit sous le jeu de tes caresses.

- Je vois que les femmes de bonne famille vous font bander...

Ma main se glisse sous ta jupe et remonte le long de tes cuisses.

- Elles m'excitent.

Tu es gainée de nylon. Sous mes doigts le tissu de tes bas crisse puis disparait pour laisser place à ta peau, douce, chaude.

L'étroitesse de mouvements dont t'impose le port de cette jupe rend mes caresses plus rudes.

Tu es obligée de remonter quelque peu tes genoux pour me permettre d'atteindre ta féminité.

Je passe mes doigts sur ta peau jusqu'à venir frôler ton trésor.

Au bout de mes doigts s'offre ta nudité. Les pourtours de tes lèvres sont humides et lorsque je m'y aventure tu te contractes alors que ton clitoris roule sous mon index.

- Pour une femme prude vous ne portez pas de culotte... et vous mouillez entre mes doigts.

Tu laisses échapper un soupir alors que j'entreprends de te masturber au milieu de l'herbe.

Ta main a cessé de me caresser, tout à ton excitation.

Mes doigts entre-ouvrent tes nymphes et excitent ta perle gorgée de désir.

Lentement roulée en tout sens elle devient de plus en plus grosse et dure. Je décide alors d'enfoncer un de mes doigts dans ton sexe.

Il s'ouvre sans effort sous la pression. Dans ton suc je me faufile et j'entreprends de te masser le sexe de ma main tout en te doigtant.

Les pressions sont lentes et appuyées. Dans ton vagin mon doigt explore et réagit aux mouvements de ma main pour te procurer encore plus de sensations.

Tes yeux clos, le visage  peu à peu vers le ciel, tu oublies le lieu au profit de ton plaisir, lorsqu'un son plus fort nous ramène à la réalité.

Tu rougis car tu te découvres les jambes écartées, la jupe relevée jusqu'aux genoux, une de mes mains sur ton sein, l'autre glissée sous ta jupe et mon doigt inséré dans ton sexe trempé.

Nous nous écartons l'un de l'autre et ramassons nos affaires.

- Quel dommage que nous puissions être vus Monsieur, je m'abandonnais sous vos caresses.

- J'ai repéré une petite cabane où les jardiniers déposent leurs affaires... nous pourrions voir si, pendant leur pause de midi, elle nous accueillerait à l'abri des regards.

Dans un sourire complice tu prends ma main.

- Faisons vite alors. Je mouille.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[...]

 

Nous sommes d'accord et cela fait plusieurs jours que je sens dans tes messages que ton excitation, tout autant que ton appréhension, croit.

Tu n'as pas su résister à l'envie.

Et si ton acceptation des premiers instants a fait place par la suite à quelques tentatives de rétractation que je n'ai pas crédité, ton dernier message était éloquent. Tu es impatiente.

Dans quelques instants je serais chez toi.

Nous serons trois pour une séance de photos de charme où ton homme va te voir te dévoiler devant un autre homme.

 

Devant ta porte c'est lui qui m'accueille.

La poignée de main est franche et son regard, sans un sourire, me fait me demander comment tu as fait pour qu'il accepte.

Assez grand, brun, au demeurant d'un physique assez banal dans une tenue décontracté, il me fait plutôt bonne impression.

Il m'entraine jusqu'au salon où je peux poser mon matériel.

Après m'avoir proposé un verre, il m'indique que tu te prépares.

Nous devisons de tout et de rien durant quelques minutes.

Ton salon, très classique, ne manque pas de charme lui aussi et il cadre parfaitement avec l'idée que je me fais de ton intimité.

Comme j'observe l'environnement il me demande à quel endroit je désire me situer pour pouvoir réaliser de beaux clichés.

Lorsque je lui rétorque que le décor importe peu face au sujet, s'esquisse son premier sourire.

Il comprend que je vais suivre et t'indiquer quelques endroits, quelques poses.

Il se détend.

Puis je lui pose la question, n'y tenant plus.

- Cela ne vous dérange pas ?

Il me répond dans un sourire honnête alors que j'installe quelques sources lumineuses indirectes.

- Pas du tout. Cela lui plait. Je ne vais pas aller contre son désir. Et puis... je vais en profiter.

C'est dans cette ambiance plus détendue que tu fais ton apparition.

Tu portes une robe écrue, boutonnée sur le devant par de la nacre. De petites manches ourlées plus sombres, semblables à la ceinture qui enserre tes reins, font ressortir avec douceur la couleur de ta peau. Ta robe te dévoile jusqu'à mi-cuisses. Aucune matière ne gaine tes jambes. Les lanières de tes sandalettes, assorties, te confère un caractère naturel qui fait grandir en moi le désir d'en voir plus. Le maquillage délicat de tes yeux et de tes lèvres nous renvoie l'image d'une femme sensuelle.

Il me regarde en souriant. Je lui renvoie ce sourire qui veut dire "elle est superbe".

Il s'installe dans un fauteuil pour profiter du spectacle que tu vas lui offrir... et m'offrir.

Tu me salues et de quelques mots tu t'empares des verres où nous nous désaltérons dans un silence gêné.

Quelques conseils pour te dire que je vais parfois te guider, mais que tu pourras aussi agir à ta guise.

Tu ne sais par où commencer. Je vois tes joues rosir.

Je t'indique alors la première position.

 

Les deux boutons du bas de ta robe en moins créent une ouverture presque jusqu'à ton entre jambes. Tu défais les deux du haut, le regard en coin, sourire aux lèvres.

Clic.

 

Puis les positions s'enchainent.

Une main relevant le bas de ta robe sur ta fesse. Le string que tu as choisis nous laisse apercevoir l'intégralité de la rondeur pâle de ta fesse droite... ronde... douce.

Clic.

Les pans supérieurs de ta robe écartée, seulement tenue par la ceinture, dans l'ombre se dessinent tes seins galbés et la blancheur du soutien-gorge.

Clic.

Robe sur les épaules, les bras en avant, gros plan sur le profil de ta poitrine majestueusement mise en avant.

Clic.

Je sens l'observateur se trémousser sur sa chaise.

Un pied posé sur l'accoudoir de son fauteuil, sa main en premier plan, ta cuisse nue encadrée de ta robe.

Clic.

Il me jette parfois quelques regards.

Penchée en avant, de dos, de profil, ta nuque, les contre-jours, tu enchaines les positions les plus sensuelles pour notre plus grand plaisir.

Puis les bretelles tombent.

Quelques clichés dans lesquels tu parais faussement négligée, rêveuse, solitaire et te voila simplement vêtue de ton string blanc, tes mains parent tes seins pour en cacher l'intégralité.

La robe au bas de tes pieds, foulée.

Ton soutien-gorge pendu à un coin de meuble.

Allongée les contre-jours enchainent les prises de tes formes.

Ici un sein dont le mamelon apparait en découpe.

Là une cuisse où l'on aperçoit déjà l'orée de ton sexe au travers du tissu.

Tes regards passent de lui à moi. Amusée et excitée je vois tes joues rougir lorsque tu t'accoudes à la table, face à nous, et que ta main glisse sous le coton.

Tu entames une légère masturbation, ta fente cachée à notre regard.

Tes cuisses s'écartent, ta main se fait plus insistante.

Il n'en peut plus et moi non plus. Je sens mon sexe tendu devant ce que tu nous offres depuis presque une heure. Et je vois une bosse planté dans son pantalon. Il ne peut pas cacher l'effet que tu lui fais.

Je te demande alors de t'en approcher.

Tes mains sur les accoudoirs, tes seins à hauteur de son visage.

Clic.

Dune main tu caresses ton mamelon devant sa bouche entre ouverte par le désir intense qui l'habite.

Clic.

Tu mimes un coït à distance de son sexe engoncé, le fuselage de tes cuisses prolongeant les rondeurs aguichantes de ton petit cul cambré.

Clic.

A genoux devant lui tu poses ta main sur son sexe.

Tu le sors de son logement avec rapidité. Il n'ose dire un mot, surpris par ton geste.

Je vois alors pour la première fois le membre de cet autre qui te force.

Je ne peux m'empêcher de le détailler.

Un bel engin sortant d'une broussaille de poils sombres que tu décalottes avec lenteur.

Clic.

Ta langue passe sur le gland.

Son sexe est presque aussi long que le mien mais moins large.

Telle une glace, tu y passes ta langue de bas en haut.

Il semble aussi surpris que ravi. Le regard qu'il me passe est empreint de fierté autant que de malaise.

Clic.

D'un mouvement tu l'embouches. Tes lèvres resserrées pour lui procurer ces sensations que j'adore.

C'est devant moi, avec un petit regard à mon attention, que tu le pompes doucement.

Je ne peux m'empêcher de bander et d'être jaloux... excité de te voir sucer une autre queue que la mienne.

Tu le relâches pour t'offrir à d'autres poses.

Tu fais rouler le tissu à mi hauteur de tes fesses.

Clic.

Vision de ton sexe que tu nous exposes barré par le coton, rasé impeccablement.

Le string désormais à tes genoux, tes doigts se baladent sur tes lèvres et tu te caresses en fermant les yeux.

Clic.

Il roule au sol.

Nue, simplement devant nous, les mains largement ouvertes pour essayer de cacher ta nudité.

Clic.

Allongée sur la table, tu poursuis tes manigances, une main tire un téton alors que l'autre fouille ton entrecuisses.

Clic.

Il ne débande pas lorsque tu ouvres largement tes reins, cambrée, pour une vision pleine et parfaite de ton sexe sous tes fesses relevées.

Clic.

Quelques nus dans les rideaux de la pièce où apparaissent tes formes onctueuses, comme une pause dans cette séance où j'ai très chaud.

"Approchez-vous d'elle", lui demande-je.

Derrière toi il disparait pour s'emparer de tes seins sur mon commandement. Ses mains les enserrent. Tes bras se lèvent haut au-dessus de ton visage un instant figé par le vertige sensuel. Les jambes serrées tu sembles totalement soumise à ces doigts qui se crispent sur tes mamelles.

Clic.

Les coudes en arrière, la croupe tendue vers l'avant il est penché sur toi, sa chemise frôle ta poitrine.

Clic.

Il t'embrasse.

Tu saisis son vit et le frotte sur ton clitoris.

Il te laisse faire, il semble totalement dépourvu de volonté tant son envie de toi l'accapare.

Puis je te vois t'enfoncer doucement autour de son sexe qui écarte tes lèvres.

Tu pousses un gémissement.

J'ai le sentiment que tu m'as oublié dans ce désir qui te submerge.

Mais lorsque je t'entends murmurer un "Monsieur" qu'il prend pour lui, un rictus me vient car loin de là c'est bien vers moi que ton plaisir se porte.

 Je n'ai alors que l'embarras du choix pour te saisir en image lors de la saillie qu'il me montre.

Devant mes yeux je te vois te faire baiser, les cuisses relevées sur la table, entièrement nue, la bouche encore pleine de son sexe il y a quelques minutes.

Il te fourre sans relâche et tu gémis sous les coups de reins qu'il t'occasionne.

Je le vois s'éreinter dans l'acte auquel tu l'invites à aller plus loin.

En parfaite amante tu le griffes dans le dos alors que son sexe s'est totalement perdu dans l'intimité de ton être.

La jalousie me prend comme une gifle et j'en suis encore plus excité au point que mon sexe perle de plaisir.

Sur ton visage serein se peint l'ultime moment.

Tu atteins l'orgasme dans un cri qui n'en finit pas de résonner à mes oreilles.

Il s'extraie presque automatiquement et c'est avec une délicatesse inouïe que tu le finis en le branlant.

Son foutre vient s'écraser sur ton ventre et ruisselle doucement sur ta fente large ouverte.

Il pousse un petit râle.

Tu essuies doucement puis, comme reprenant conscience de ma présence, tu rougis fortement pour finir par t'éclipser dans la salle de bain.

Je reste seul avec lui qui bredouille quelques mots avant de te suivre.

Seul et planté dans ton salon, une trique monumentale entre les jambes je perçois alors quelques bribes de votre conversation.

Cela lui a plu, gêné mais ravi il te félicite.

Tu es également heureuse et tu le remercies de t'avoir permis de réaliser ce désir.

De mon côté c'est une douleur qui accompagne mon entrecuisses mais c'est également un plaisir que de t'avoir vue, immortalisée, dans ton fantasme.

Vous revenez me dire au revoir, gênés et amusés

A la porte tu parviens à me glisser un baiser sur la bouche alors qu'il s'éclipse non s'en m'avoir dit "à bientôt", lorsque je viendrais vous redonner vos images.

 

Votre porte se referme et me voilà seul.

Le retour se fait avec cette dernière image de toi, souriante, heureuse.

Et mon cœur se réchauffe, comme mes sens.

Seul avec tes photos.

Je sais que je vais me les repasser dès que je serais rentré chez moi.

Et alors dans mes rêves, ce sera toi que j'aurais au bout de ma verge.

Comme chaque jour.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[...]

 

Nous regardions cette femme se faire trousser, sans un bruit pour ne pas nous faire découvrir.

Nous étions deux voyeurs complices.

L'homme relève sa robe lentement.

Il descend une petite culotte noire qui bientôt glisse au sol sur les chevilles de la femme.

Pendant ce temps, les gestes un peu brusques, elle réussi à défaire son pantalon.

Il s'éloigne pour libérer ses jambes, elle fait de même avec son petit slip.

- Je la connais, murmures-tu. C'est une collègue !

- Elle ne semble pas s'ennuyer ta collègue.

- Je ne l'imaginais pas comme ça.

Elle extraie le sexe de l'homme et le regarde, bien en main elle commence à le caresser.

- Et lui, tu le connais ?

- C'est un stagiaire. Il a une belle bite. Murmures-tu proche de mon oreille.

L’homme se laisse faire.

Face à cette femme dont la jupe relevée laisse apparaitre ses formes les plus intimes, il ne fait pas un mouvement.

C’est elle qui le masturbe lentement.

Elle le regarde des yeux jusqu’au sexe sans cesser de le caresser.

Il pose alors ses mains sur son chemisier et le déboutonne avec une lenteur extrême. Nous entendons le souffle de la femme qui s’accélère.

Elle ne porte pas de soutien gorge et ses petits seins nous apparaissent soudainement.

-         Ses seins sont tendus. Te dis-je.

-         Ils sont petits, me réponds-tu.

-         Ses mamelons sont jolis. Elle darde.

Elle lui intime l’ordre de venir lui sucer les seins et il obéit avec vélocité.

Nous pouvons voir ses jambes se croiser et s’agiter alors qu’il a en sa bouche, le mamelon excité.

-         Il bande, me dis-tu, comme toi…

Il est vrai que tu sens contre ta cuisse la dureté de mon membre.

Tu te frottes doucement alors à moi sans faire de bruit.

Dans la pénombre de notre cachette, tels deux espions, nus, nous observons ce couple faire l’amour et cela ne fait que faire croitre notre excitation.

-         Elle te plait sa queue ? Te glisse-je alors que mon vit se colle à ta cuisse.

-         Elle est pas mal, oui…

-         Tu l’aimerais bien en stagiaire ?

Tu marques un temps d’arrêt pendant lequel je te sens rougir.

-         Je préfère le regarder faire.

Elle l’empoigne par les cheveux et le force à descendre vers son sexe.

Il se retrouve bientôt à genoux et tout en écartant les cuisses, elle lui ordonne de la lécher.

-         C’est une "maitresse" ta collègue.

Du bout de la langue il lèche son sexe qu’elle écarte de ses doigts manucurés.

-         Elle n’est pas mal.

-         Tu la baiserais ?

-         Autant que tu te ferais le petit jeune.

Tu m’embrasses la joue et je sens ton fruit s’ouvrir le long de ma tige.

La femme se tourne et se cambre pour mettre son séant à la hauteur de son visage.

« Lèche-moi l'oignon... ta langue bien partout...Ouii... comme ça... petit lèche-cul ! »

Tes mains se crispent sur mes hanches. Tu m'attires à toi.

-         Prends-moi pendant qu’on les observe. Me murmures-tu. J'ai envie de baise.

Je m’enfonce doucement en toi, dans la chaleur incomparable de ta vulve lubrifiée.

Très lentement je vais et je viens dans ton ventre alors qu'elle se retourne et lui fait face.

Elle le gifle et lui demande de la prendre d’un « baise-moi bien... et tu seras récompensé » sonore.

Ordre qu’il exécute tout en la prenant dans ses bras. Ses petits seins pressés contre son torse, il enfile son membre dans son sexe désormais ruisselant.

-         C’est une vraie salope, me susurres-tu entre deux petits gémissements. Elle profite de son statut... hoo... doucement tu vas me faire crier.

-         Il n’a pas l’air de s’en plaindre… Serais-tu jalouse ?

-         Humm... non. Il a un beau sexe mais... oui... profond comme ça... il ne me plait pas... je le trouve... haa, c'est bon... je le trouve laid.

-         Elle aussi, mais j’aime son cul.

-         Tu l'enfilerais je suis sur... hummm...

-  Elle en prendrait plein les fesses oui.

- J'aimerais bien la voir se faire... ho oui !... Han... tu crois qu’elle va lui demander de…

Tu n’as pas le temps de finir ta phrase qu’elle se tourne pour se faire prendre par derrière.

Il s’accroche à ses hanches et vient se positionner entre ses fesses. Elle se cambre et il se fait plus pressant, obéissant et tendu.

« Prends-moi le cul petit salaud » lui déclare t-elle.

Je te sens te trémousser, tes ongles s’enfoncent dans mon dos. Je donne un léger coup de reins qui te fait te cabrer légèrement.

Collé à toi je te murmure le plus doucement possible :

-         Je le vois, ça t’excite.

Tu me réponds par l’affirmative dans un gloussement.

Tu ne perds pas une miette de la scène qui se déroule sous nos yeux.

Elle écarte ses fesses d’une main.

Il se présente à l’entrée de sa rondelle.

«  Si tu veux un bon rapport, tu as un intérêt à bien me ramoner le fion. »

Tu ouvres de grands yeux et il te faut quelques instants pour te reprendre.

-         Je ne la voyais pas comme ça du tout, me dis-tu, effarée.

Le jeune homme s’affaire, avec vigueur il la sodomise contre le mur alors qu’elle se met à geindre.

«  Plus vite petit con… plus vite ».

-         Elle mérite à être connue, te dis-je, tout en m’enfonçant en toi un peu plus loin.

-         Plus vite… me dis-tu dans un sourire.

Mais je continue de te pénétrer sans changer d’allure.

Il a de la ressource et il parvient à lui arracher quelques cris qui enflent alors qu’elle atteint l’orgasme. Ses mains se saisissent de celles de son amant et elle le maintient en elle alors que nous voyons son corps agité de soubresauts. Son visage vers le sol elle a les yeux clos et la bouche largement ouverte. Un cri muet s’échappe dans un soupir pendant un temps qui semble infini. Elle vient de jouir devant nos yeux.

Le stagiaire sort son sexe de l’anus de cette femme qui ne bouge plus pendant encore quelques secondes.

Lorsqu’elle se retourne pour lui faire face, elle le saisi et le branle sans un mot.

« Continue comme ça et tu auras une excellente note », lui dit-elle tout en le branlant.

Il sourit et lui répond simplement « merci ».

Elle le laisse alors, son sexe énorme dressé vers le ciel et elle commence à se rhabiller.

Il semble savoir ce qu’elle veut car il ne bouge pas, nu, telle une statue grecque dans son plus simple appareil, un beau javelot entre les jambes.

Elle s’apprête et, lorsqu’elle a retrouvé son apparence naturelle, elle hoche la tête en le regardant.

« Branle-toi petit con. Montre-moi comme je te fais jouir. »

Et il obéit, sa main s’empare de son sexe et commence à se masturber.

Tu te tortilles à cette seule vue et je sens ton sexe se contracter autour du mien.

Tu n’as d’yeux que pour cet homme dont ta collègue fait ce qu’elle veut.

Son gland rouge disparait parfois sous la peau alors qu’il fait remonter sa main, mais bien vite il est à nouveau visible lorsqu’il fait coulisser vers le bas son geste avec délicatesse.

-         Le spectacle te plait ? Te demande-je.

-         Humm… Oui… et toi ?

-         J’adore. Mais je préférais lorsqu’elle était active également. Dommage qu’elle ne l’ait pas sucé.

-         Oui. Dommage. Ca m’aurait plus de voir ça.

Sous nos regards indiscrets l’homme s’agite. Elle le regarde faire, les yeux étincelants, profitant de ce spectacle qu’il lui offre. Il se tend et gémit faiblement.

Elle passe sa main sous son sexe. Il baisse son engin et en pose le gland dans sa paume.

Puis, bien vite il éjacule par saccade, remplissant sa main de la femme de son jus onctueux.

Il se vide ainsi dans un gémissement.

Elle le regarde et lui sourit, carnassier.

« A genoux et avale ton foutre ».

Il se met au sol et vient lécher et aspirer dans la main de se maitresse, l’épais liquide blanchâtre qu’il vient d’éjaculer.

Tu te raidies.

-         Quelle salope...

Ce sont les seuls mots que tu trouves à murmurer.

-         Je ne pourrais plus la regarder de la même façon désormais, poursuis-tu en te trémoussant sous mon sexe.

Elle l’embrasse sur la joue et il se rhabille.

Elle ouvre la porte et ils s’en vont, laissant la lumière allumée.

- Il a tout léché...

- Gourmande jalouse…

- Hummm... oui....

Tes mains se font plus pressantes autour de mes hanches.

-         Prenez-moi Monsieur, ça m’a excité.

Mes assauts se font plus forts pour répondre à ton désir que je sens grandir.

- Tu aimes mater.

- Oui. Tu souffles la réponse dans une grimace de plaisir.

- Moi aussi…

Ton sexe se trouve agité de pressions et de contractions.

-         Je vais venir chez toi.

-         Ho oui… ta voix n’est plus qu’un soupir.

Mon coup de reins vient de m’enfoncer jusqu’à la garde et tu en as relevé la tête sous l’impact.

-         Je veux te voir avec ton homme.

-         Haaa… ouii….

Tu râles ta réponse alors que je te chevauche désormais comme un hussard.

-         Nous allons trouver une excuse mais je veux te voir baiser. Je veux te voir te faire défoncer par ton mec.

- Oh oui... vous me verrez... baisée... chevauchée...

Tu te cambres soudainement alors que je te prends sans ménagement et tu pousses un grognement de plaisir. L’orgasme vient de te parcourir. Je te rejoins alors dans un élan ultime.

Accrochés l’un à l’autre, naufragés sur les rives de la sensualité, la jouissance nous laisse coi.

Lentement le temps reprend ses droits et notre tenue s’améliore, nos vêtements réapparaissent.

-         Tu viendras faire des photos de moi ? me dis-tu dans un sourire en coin.

Je te souris largement.

-         Des photos de charme bien sur.

-         Oui. Ainsi tu pourras profiter du spectacle que t’offre ta soumise.

Nous reprenons le chemin de la surface. Ta main vient prendre la mienne.

Je t’arrête dans la montée et t’embrasse.

Tu frémis à l’idée que quelqu’un puisse nous voir mais t’abandonnes finalement à mon baiser.

Lorsque le hall se profile nous nous éloignons et, comme deux enfants qui auraient fait une bêtise, nous sortons sans se regarder, à quelques instants d’intervalle, non sans avoir regardé si la voie était libre.

Tu te retournes vers moi, au bout du couloir et je peux lire sur tes lèvres « Je le ferais pour vous, Maitre ».

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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