Je te dévore des yeux pendant la durée de notre trajet de retour.
Ton pull qui cache ta poitrine voluptueuse et remontée attire le regard des hommes.
Les courbes de tes hanches et de tes fesses, le galbe de tes cuisses que tu as caché sous ton jean mais qui ne laisse pas indifférent même les femmes.
Des envies comme des flashs me transpercent l'esprit comme je vois les yeux d'inconnus se repaitre de ton image.
Je suis à tes côtés dans la rue mais ce n'est que dans l'ascenseur que je peux être aussi prêt de toi que je le souhaite.
Ma main passe dans tes cheveux et je viens chercher ta bouche.
Tu te laisses aller à un baiser profond où nos langues se mélangent avec frénésie.
Tes mains sur mes hanches passent dans mon dos alors que je viens contre toi.
Tu écartes les jambes pour m'accueillir.
Je me colle à toi.
Mon sexe me fait mal tant il est dur et lorsque tu te mets à onduler, ton bas-ventre contre le mien, ma respiration s'accélère et mes mains glissent sous ton pull.
- Monsieur, me dis-tu d'un ton faussement outré, on pourrait nous surprendre.
Je saisi ton sein droit alors que de mon autre main je glisse prendre possession de ton postérieur rebondi et engoncé dans la toile épaisse de ton jean.
- Humm... oui... nous surprendre... souffles-tu à mon oreille.
La porte s'ouvre à notre étage sans que je ne cherche à cacher cette position éloquente.
Nos lèvres ne se lâchent pas.
Le couloir est vide.
La lumière s'éteint, la porte se referme.
Dans ma main ton sein ferme se laisse pétrir alors que ton mamelon se dresse doucement.
Tes mains ont soulevées ma chemise et tes ongles me griffent le dos et les flancs comme tu remontes une de tes jambes le long de mon corps.
Je lâche ta bouche pour venir déposer d'ardents baisers dans ton cou.
Ton parfum me fait chavirer, onctueux mélange de celle du cuir de ton collier qui se mêle aux fragrances fleuries d'un parfumeur célèbre.
La lumière se rallume soudain.
En un éclair nous reprenons une pseudo attitude digne alors que la double porte coulissante s'ouvre sur mes voisins, un couple âgé.
L'homme nous sourit et la femme, dans un clin d'œil nous lance un "bonne soirée les amoureux", alors que nous nous croisons.
Cette intrusion nous a démobilisé et malgré nos sourires complices, lorsque la porte claque, la pendule nous rappelle à l'ordre.
Nos esprits sont toujours échauffés mais l'heure tourne et il me faut préparer le repas.
Alors que tu te douches je prépare les vêtements que je veux te voir porter.
Quelques temps plus tard nous sommes prêts, dans l'attente.
Tu es restée en tenue intime alors que j'ai déjà passé le pantalon noir et la chemise pourpre aux reflets sombres qui vont m'accompagner pour ce diner.
Assis sur le canapé nous sirotons un petit verre.
Ma main caresse négligemment ta nuque douce.
Tu as recroquevillée tes jambes près de ton corps, pour reposer intégralement sur les cousins.
Dans l'entrebâillement du kimono se dessine la vallée de tes magnifiques seins.
- Monsieur...
- Oui ?
- Voulez-vous que je vous suce ? J'ai envie d'avoir votre sexe en bouche.
Ta voix douce fait réagir mon vit qui se gonfle automatiquement.
Je défais mes boutons en guise de réponse.
De ta main tu viens sortir mon sexe brulant qui grossi entre tes doigts alors qu'il est libéré.
Tu saisis mes bourses pour les faire rouler dans ta main.
Ton pouce passe autour de la base de mon manche pour continuer à masturber mes couilles tout en faisant osciller la tige dressée.
Tu te penches doucement vers le bâton tendu pour t'arrêter à quelques centimètres.
- Je ne sais toujours pas qui sont nos invités.
- Un couple qui va te plaire.
- Je les connais ?
- Lui oui.
Je te vois chercher sans résultat.
- Il est beaucoup plus jeune qu'elle.
L'indice ne te révèle rien. Tu poursuis tes manigances avec mon sexe désormais à pleine main.
- Je ne vois pas.
- Tu prends plaisir lorsqu'il te regarde alors que je te baise sur le balcon.
Tu te tournes vers moi.
Tes yeux grands ouverts...
- Mais ce n'est pas un couple ! C'est le fils et la mère !
Nous rions doucement et tu cales ton visage contre mon ventre tout en continuant de me branler en douceur.
- Tu vas l'aguicher ce soir, te dis-je calmement.
- Oui... Monsieur.
- Tu vas lui montrer qu'il te plait, sans que la mère n'en sache rien, tu devras être discrète et éloquente.
- Bien Monsieur.
- Autrement je te punirai.
Tu pousses un gémissement de bonheur à la simple évocation de la punition.
Ta main m'astique un peu plus vite...
Et tu plonges vers mon entrecuisse.
Ta bouche s'ouvre pour permettre à mon gland d'être englouti en une aspiration.
Dans la douceur de ta bouche, je sens ta langue s'enrouler autour de mon sexe.
Elle cherche mon gland pour y titiller le méat.
Large et gourmande ou fine et détaillant chaque parcelle de mon membre, tu la fais s'agiter avec ingéniosité.
Tu presses ma veine afin d'opérer un pompage en règle de ma queue désormais totalement aspirée.
Tes lèvres effleurent mes bourses et lorsque tu remontes le long de la large hampe, c'est pour mieux replonger et caler mon sexe au fond de ta gorge.
Tu t'appliques alors que je t'encourage, en flattant tes cheveux autant que par quelques mots sages.
Tu t'affaires ainsi de longues minutes.
Attentive et appliquée.
Je dégage une mèche de cheveux et tu comprends instantanément ce que je veux : ce regard que tu conserves tout en me suçant avec lenteur, inlassablement, docile.
Je bascule mon visage en arrière et je te laisse me tailler cette pipe princière.
Ta langue vient chercher mes couilles alors que mon pieu tape le fond de ta gorge.
Tu accélères le mouvement et ton visage va de droite et de gauche comme pour me faire entrer encore plus dans ta bouche affamée.
Tu sais que je suis long à jouir de cette façon et tu te démènes pour faire grimper mon plaisir.
Je lâche quelques gémissements qui t'encouragent et nous excitent.
Tes lèvres se plissent à chaque allers et venues autour de ma lance de chair.
Tes joues se creusent à chaque fois que mon membre manque de s'extraire avant d'être à nouveau avalé.
La jouissance point et tes yeux m'observent.
Mon sexe palpite, il se contracte.
Tu aspires, tu pompes, tu suces frénétiquement, oubliant toute autre chose pour ne te consacrer qu'à cette fellation.
Ta bouche est férocement malmenée par la dureté de mon membre.
De la salive suinte par les commissures de tes lèvres.
Tes mâchoires te font mal à force de sucer mais tu y prends un plaisir tellement intense que tu t'appliques à chaque montée et descente sur ma large tige.
Soudain, j'explose dans ta bouche.
Par giclées je me déverse dans ta gorge.
Tu avales sans ralentir ton rythme.
Tes yeux sont souriants.
Je te vois engloutir mon foutre par gorgée gourmandes avant de ralentir comme je suis vidé.
Lentement tu entreprends alors de me nettoyer avec ta langue.
Mes mains font s'écarter le kimono de satin et je caresse ton dos pendant que tu lèches avec soin la base de mon sexe jusqu'au gland.
Frôlant mes couilles, ta langue explore et recueille les goutes de sperme pour les avaler à chaque fois dans un sourire complice.
Et lorsque tu lâche ma verge, celle-ci est humide de ta salive exclusivement.
Tes lèvres sont rouges d'avoir tant sucée.
- Une vraie reine de la pipe.
- J'adore ça Monsieur. Vous en voulez encore ? J'ai encore envie de sucer.
- Il faut que ce soir tu me tutoies... nous avons des invités.
Tu souris.
- Tu ne t'amollis pas. Me dis-tu alors que tu agites toujours ma verge entre tes mains.
- Viens sur moi... je suis sur que tu es trempée.
- Tu veux me baiser ? Je suis toute mouillée...
- Je vais te faire sauter sur mes genoux...
Et tu m'enfourches.
Tes cuisses lisses de part en part.
Mes mains sur tes hanches.
Je veux te posséder.
Le satin rouge s'écarte et ton sexe rasé m'apparait.
Tu poses ton bassin sur mon pieu.
- Empales-toi sur ma queue.
Sans effort tu t'écartes et mon gland disparait dans ton ventre.
Tu pousses un gémissement sonore... "Haa...hummmm..."
Ton orifice est chaud et tellement humide que tu t'enfiles avec aisance autour de mon aiguille dressée.
Sur mon torse tu viens placer tes mains et ce sont tes cuisses qui imposent à ton corps la lente pénétration.
Tu ondules ton ventre et ton sexe se force sur le mien.
- J'ai la chatte en feu. Gémis-tu.
Je dénoue la ceinture rouge et ouvre les pans du kimono.
Tes seins sont pressés entre tes bras.
Je les saisi à pleines mains.
Tu gémis.
- Je vais jouer avec tes gros seins pendant que tu te fais limer.
- Oh... Oui... Prends mes grosses mamelles ! Oui !
Je pétris les rondeurs souples et fermes de ta poitrine.
Le téton se tend alors que je le tire vers moi.
Je les malmène, je les pince.
A chaque fois tu pousses un gémissement de plaisir.
- Humm oui... trais-moi... malaxe-moi...
Fortement cambrée tu poursuis ta lente descente sur mon sexe.
Ma bouche vorace vient téter chaque bout à son tour, parfois les deux à la fois alors que je les rapproche suffisamment pour qu'ils ne forment plus qu'un seul téton double.
Entre mes dents je les mordille avec délicatesse.
La succion que j'opère sur tes mamelons te fait atteindre un début d'orgasme.
- Ho.. Tu me fais venir...
Tu te laisses alors reposer sur mon pieu.
Ton vagin s'élargit et tu glisses autour de mon glaive de chair.
Ton corps devient le fourreau de velours dans lequel ma rapière s'installe entièrement.
Je perçois la fragilité délicate de tes lèvres sur mon pubis mais ton désir est ardent et tu t'agites de plus en plus vite autour de ma queue.
Abandonnant tes réserves tu me chevauches comme une amazone, uniquement animée par la recherche du plaisir.
Chaque enfoncée te procure un cri mais tu te redresses aussitôt, remontant sur ma verge, pour mieux te faire défoncer plus fortement la fois suivante.
Tes descentes viennent plaquer ton sexe sur mes cuisses.
Tes fesses claquent sur mes bourses.
Tes murmures sont inaudibles, entrecoupés de cris et de gémissements.
Je t'encourage.
- Allez petite soumise, vas y... baise toi.
Je vois ta jouissance arriver et loin de faiblir tu redoubles de vigueur.
Une lente plainte et tu doubles ton plaisir en quelques minutes.
Les deux orgasmes s'enchainent.
Tu coules sur moi avant de ralentir ton allure.
Je lâche tes seins maltraités alors que tu t'écroules sur mon torse.
Ta respiration est hachée.
Essoufflée tu me regardes en souriant.
Nos bouches se cherchent et se trouvent.
- j'aime être soumise... comme une... hummm...
Tu fermes les yeux dans un ultime frisson.
- Nettoie-moi. Te lance-je alors.
Mon sexe est tendu vers le ciel.
Tu chasses une mèche folle de cheveux collée à ton front moite de sueur avant de t'agenouiller entre mes cuisses.
- Je t'ai salie Monsieur, je vais nettoyer.
De ta langue tu lapes mes bourses pour en retirer ton jus qui a coulé.
Tu lèches lentement ma queue pour recueillir la moindre parcelle de cyprine que tu as répandue.
Consciencieusement tu passes autour de la hampe et dans chaque repli de mes couilles.
- Lèche mieux que ça.
Tu t'appliques tout en me regardant.
- C'est mieux ? Demandes-tu inquiète ... Avec mon regard de salope...
Encouragée ta langue passe de la base à mon gland pour s'affairer autour du casque pourpre.
Je te laisse œuvrer et me lécher la queue pendant de longues minutes avant de saisir ton visage.
Je me lève.
- Je vais forcer ta bouche.
A ces mots j'enfonce ma queue entre tes lèvres et je m'insère dans tes joues.
- Suce bien. Je vais me vider les couilles.
Mes hanches se déchainent et j'utilise ta bouche comme un orifice dans lequel je me fais plaisir.
Je retire parfois ma verge pour te l'enfoncer au fond du palais telle une nouvelle intrusion.
- Baise-ma bouche de salope... parviens-tu à gémir.
Enivré par ton désir je te force sans ménagement.
Mon pieu se gonfle de plaisir et sans te prévenir les jets poisseux t'envahissent au rythme de mes coups de reins.
Tu déglutis et avales mon foutre alors que je maintiens ton visage entre mes mains.
Ta langue presse mon membre pour en retirer la dernière goutte.
Satisfait je caresse tes cheveux.
- Oui... tu aimes ça.
Tout en reboutonnant mon pantalon tu me souris.
- Monsieur... j'adore ça ! Vous me rendez folle.
A suivre...