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Je te dévore des yeux pendant la durée de notre trajet de retour.

Ton pull qui cache ta poitrine voluptueuse et remontée attire le regard des hommes.

Les courbes de tes hanches et de tes fesses, le galbe de tes cuisses que tu as caché sous ton jean mais qui ne laisse pas indifférent même les femmes.

Des envies comme des flashs me transpercent l'esprit comme je vois les yeux d'inconnus se repaitre de ton image.

Je suis à tes côtés dans la rue mais ce n'est que dans l'ascenseur que je peux être aussi prêt de toi que je le souhaite.

Ma main passe dans tes cheveux et je viens chercher ta bouche.

Tu te laisses aller à un baiser profond où nos langues se mélangent avec frénésie.

Tes mains sur mes hanches passent dans mon dos alors que je viens contre toi.

Tu écartes les jambes pour m'accueillir.

Je me colle à toi.

Mon sexe me fait mal tant il est dur et lorsque tu te mets à onduler, ton bas-ventre contre le mien, ma respiration s'accélère et mes mains glissent sous ton pull.

- Monsieur, me dis-tu d'un ton faussement outré, on pourrait nous surprendre.

Je saisi ton sein droit alors que de mon autre main je glisse prendre possession de ton postérieur rebondi et engoncé dans la toile épaisse de ton jean.

- Humm... oui... nous surprendre... souffles-tu à mon oreille.

La porte s'ouvre à notre étage sans que je ne cherche à cacher cette position éloquente.

Nos lèvres ne se lâchent pas.

Le couloir est vide.

La lumière s'éteint, la porte se referme.

Dans ma main ton sein ferme se laisse pétrir alors que ton mamelon se dresse doucement.

Tes mains ont soulevées ma chemise et tes ongles me griffent le dos et les flancs comme tu remontes une de tes jambes le long de mon corps.

Je lâche ta bouche pour venir déposer d'ardents baisers dans ton cou.

Ton parfum me fait chavirer, onctueux mélange de celle du cuir de ton collier qui se mêle aux fragrances fleuries d'un parfumeur célèbre.

La lumière se rallume soudain.

En un éclair nous reprenons une pseudo attitude digne alors que la double porte coulissante s'ouvre sur mes voisins, un couple âgé.

L'homme nous sourit et la femme, dans un clin d'œil nous lance un "bonne soirée les amoureux", alors que nous nous croisons.

Cette intrusion nous a démobilisé et malgré nos sourires complices, lorsque la porte claque, la pendule nous rappelle à l'ordre.

Nos esprits sont toujours échauffés mais l'heure tourne et il me faut préparer le repas.

Alors que tu te douches je prépare les vêtements que je veux te voir porter.

Quelques temps plus tard nous sommes prêts, dans l'attente.

Tu es restée en tenue intime alors que j'ai déjà passé le pantalon noir et la chemise pourpre aux reflets sombres qui vont m'accompagner pour ce diner.

Assis sur le canapé nous sirotons un petit verre.

Ma main caresse négligemment ta nuque douce.

Tu as recroquevillée tes jambes près de ton corps, pour reposer intégralement sur les cousins.

Dans l'entrebâillement du kimono se dessine la vallée de tes magnifiques seins.

- Monsieur...

- Oui ?

- Voulez-vous que je vous suce ? J'ai envie d'avoir votre sexe en bouche.

Ta voix douce fait réagir mon vit qui se gonfle automatiquement.

Je défais mes boutons en guise de réponse.

De ta main tu viens sortir mon sexe brulant qui grossi entre tes doigts alors qu'il est libéré.

Tu saisis mes bourses pour les faire rouler dans ta main.

Ton pouce passe autour de la base de mon manche pour continuer à masturber mes couilles tout en faisant osciller la tige dressée.

Tu te penches doucement vers le bâton tendu pour t'arrêter à quelques centimètres.

- Je ne sais toujours pas qui sont nos invités.

- Un couple qui va te plaire.

- Je les connais ?

- Lui oui.

Je te vois chercher sans résultat.

- Il est beaucoup plus jeune qu'elle.

L'indice ne te révèle rien. Tu poursuis tes manigances avec mon sexe désormais à pleine main.

- Je ne vois pas.

- Tu prends plaisir lorsqu'il te regarde alors que je te baise sur le balcon.

Tu te tournes vers moi.

Tes yeux grands ouverts...

- Mais ce n'est pas un couple ! C'est le fils et la mère !

Nous rions doucement et tu cales ton visage contre mon ventre tout en continuant de me branler en douceur.

- Tu vas l'aguicher ce soir, te dis-je calmement.

- Oui... Monsieur.

- Tu vas lui montrer qu'il te plait, sans que la mère n'en sache rien, tu devras être discrète et éloquente.

- Bien Monsieur.

- Autrement je te punirai.

Tu pousses un gémissement de bonheur à la simple évocation de la punition.

Ta main m'astique un peu plus vite...

Et tu plonges vers mon entrecuisse.

Ta bouche s'ouvre pour permettre à mon gland d'être englouti en une aspiration.

Dans la douceur de ta bouche, je sens ta langue s'enrouler autour de mon sexe.

Elle cherche mon gland pour y titiller le méat.

Large et gourmande ou fine et détaillant chaque parcelle de mon membre, tu la fais s'agiter avec ingéniosité.

Tu presses ma veine afin d'opérer un pompage en règle de ma queue désormais totalement aspirée.

Tes lèvres effleurent mes bourses et lorsque tu remontes le long de la large hampe, c'est pour mieux replonger et caler mon sexe au fond de ta gorge.

Tu t'appliques alors que je t'encourage, en flattant tes cheveux autant que par quelques mots sages.

Tu t'affaires ainsi de longues minutes.

Attentive et appliquée.

Je dégage une mèche de cheveux et tu comprends instantanément ce que je veux : ce regard que tu conserves tout en me suçant avec lenteur, inlassablement, docile.

Je bascule mon visage en arrière et je te laisse me tailler cette pipe princière.

Ta langue vient chercher mes couilles alors que mon pieu tape le fond de ta gorge.

Tu accélères le mouvement et ton visage va de droite et de gauche comme pour me faire entrer encore plus dans ta bouche affamée.

Tu sais que je suis long à jouir de cette façon et tu te démènes pour faire grimper mon plaisir.

Je lâche quelques gémissements qui t'encouragent et nous excitent.

Tes lèvres se plissent à chaque allers et venues autour de ma lance de chair.

Tes joues se creusent à chaque fois que mon membre manque de s'extraire avant d'être à nouveau avalé.

La jouissance point et tes yeux m'observent.

Mon sexe palpite, il se contracte.

Tu aspires, tu pompes, tu suces frénétiquement, oubliant toute autre chose pour ne te consacrer qu'à cette fellation.

Ta bouche est férocement malmenée par la dureté de mon membre.

De la salive suinte par les commissures de tes lèvres.

Tes mâchoires te font mal à force de sucer mais tu y prends un plaisir tellement intense que tu t'appliques à chaque montée et descente sur ma large tige.

Soudain, j'explose dans ta bouche.

Par giclées je me déverse dans ta gorge.

Tu avales sans ralentir ton rythme.

Tes yeux sont souriants.

Je te vois engloutir mon foutre par gorgée gourmandes avant de ralentir comme je suis vidé.

Lentement tu entreprends alors de me nettoyer avec ta langue.

Mes mains font s'écarter le kimono de satin et je caresse ton dos pendant que tu lèches avec soin la base de mon sexe jusqu'au gland.

Frôlant mes couilles, ta langue explore et recueille les goutes de sperme pour les avaler à chaque fois dans un sourire complice.

Et lorsque tu lâche ma verge, celle-ci est humide de ta salive exclusivement.

Tes lèvres sont rouges d'avoir tant sucée.

- Une vraie reine de la pipe.

- J'adore ça Monsieur. Vous en voulez encore ? J'ai encore envie de sucer.

- Il faut que ce soir tu me tutoies... nous avons des invités.

Tu souris.

- Tu ne t'amollis pas. Me dis-tu alors que tu agites toujours ma verge entre tes mains.

- Viens sur moi... je suis sur que tu es trempée.

- Tu veux me baiser ? Je suis toute mouillée...

- Je vais te faire sauter sur mes genoux...

Et tu m'enfourches.

Tes cuisses lisses de part en part.

Mes mains sur tes hanches.

Je veux te posséder.

Le satin rouge s'écarte et ton sexe rasé m'apparait.

Tu poses ton bassin sur mon pieu.

- Empales-toi sur ma queue.

Sans effort tu t'écartes et mon gland disparait dans ton ventre.

Tu pousses un gémissement sonore... "Haa...hummmm..."

Ton orifice est chaud et tellement humide que tu t'enfiles avec aisance autour de mon aiguille dressée.

Sur mon torse tu viens placer tes mains et ce sont tes cuisses qui imposent à ton corps la lente pénétration.

Tu ondules ton ventre et ton sexe se force sur le mien.

- J'ai la chatte en feu. Gémis-tu.

Je dénoue la ceinture rouge et ouvre les pans du kimono.

Tes seins sont pressés entre tes bras.

Je les saisi à pleines mains.

Tu gémis.

- Je vais jouer avec tes gros seins pendant que tu te fais limer.

- Oh... Oui... Prends mes grosses mamelles ! Oui !

Je pétris les rondeurs souples et fermes de ta poitrine.

Le téton se tend alors que je le tire vers moi.

Je les malmène, je les pince.

A chaque fois tu pousses un gémissement de plaisir.

- Humm oui... trais-moi... malaxe-moi...

Fortement cambrée tu poursuis ta lente descente sur mon sexe.

Ma bouche vorace vient téter chaque bout à son tour, parfois les deux à la fois alors que je les rapproche suffisamment pour qu'ils ne forment plus qu'un seul téton double.

Entre mes dents je les mordille avec délicatesse.

La succion que j'opère sur tes mamelons te fait atteindre un début d'orgasme.

- Ho.. Tu me fais venir...

Tu te laisses alors reposer sur mon pieu.

Ton vagin s'élargit et tu glisses autour de mon glaive de chair.

Ton corps devient le fourreau de velours dans lequel ma rapière s'installe entièrement.

Je perçois la fragilité délicate de tes lèvres sur mon pubis mais ton désir est ardent et tu t'agites de plus en plus vite autour de ma queue.

Abandonnant tes réserves tu me chevauches comme une amazone, uniquement animée par la recherche du plaisir.

Chaque enfoncée te procure un cri mais tu te redresses aussitôt, remontant sur ma verge, pour mieux te faire défoncer plus fortement la fois suivante.

Tes descentes viennent plaquer ton sexe sur mes cuisses.

Tes fesses claquent sur mes bourses.

Tes murmures sont inaudibles, entrecoupés de cris et de gémissements.

Je t'encourage.

- Allez petite soumise, vas y... baise toi.

Je vois ta jouissance arriver et loin de faiblir tu redoubles de vigueur.

Une lente plainte et tu doubles ton plaisir en quelques minutes.

Les deux orgasmes s'enchainent.

Tu coules sur moi avant de ralentir ton allure.

Je lâche tes seins maltraités alors que tu t'écroules sur mon torse.

Ta respiration est hachée.

Essoufflée tu me regardes en souriant.

Nos bouches se cherchent et se trouvent.

- j'aime être soumise... comme une... hummm...

Tu fermes les yeux dans un ultime frisson.

- Nettoie-moi. Te lance-je alors.

Mon sexe est tendu vers le ciel.

Tu chasses une mèche folle de cheveux collée à ton front moite de sueur avant de t'agenouiller entre mes cuisses.

- Je t'ai salie Monsieur, je vais nettoyer.

De ta langue tu lapes mes bourses pour en retirer ton jus qui a coulé.

Tu lèches lentement ma queue pour recueillir la moindre parcelle de cyprine que tu as répandue.

Consciencieusement tu passes autour de la hampe et dans chaque repli de mes couilles.

- Lèche mieux que ça.

Tu t'appliques tout en me regardant.

- C'est mieux ? Demandes-tu inquiète ... Avec mon regard de salope...

Encouragée ta langue passe de la base à mon gland pour s'affairer autour du casque pourpre.

Je te laisse œuvrer et me lécher la queue pendant de longues minutes avant de saisir ton visage.

Je me lève.

- Je vais forcer ta bouche.

A ces mots j'enfonce ma queue entre tes lèvres et je m'insère dans tes joues.

- Suce bien. Je vais me vider les couilles.

Mes hanches se déchainent et j'utilise ta bouche comme un orifice dans lequel je me fais plaisir.

Je retire parfois ma verge pour te l'enfoncer au fond du palais telle une nouvelle intrusion.

- Baise-ma bouche de salope... parviens-tu à gémir.

Enivré par ton désir je te force sans ménagement.

Mon pieu se gonfle de plaisir et sans te prévenir les jets poisseux t'envahissent au rythme de mes coups de reins.

Tu déglutis et avales mon foutre alors que je maintiens ton visage entre mes mains.

Ta langue presse mon membre pour en retirer la dernière goutte.

Satisfait je caresse tes cheveux.

- Oui... tu aimes ça.

Tout en reboutonnant mon pantalon tu me souris.

- Monsieur... j'adore ça ! Vous me rendez folle.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[...]

 

Après t'avoir passé autour du cou ton collier et déposé sur tes lèvres délicieusement ourlé de rose un baiser passionné, nous passons l'après-midi sagement.

Quelques emplettes pour un petit haut très échancré où le tissu ne peut camoufler tes deux épaules douces à la fois et qui, lorsque tu te penches vers l'avant, laisse apparaitre très largement ta poitrine généreuse ainsi qu'une robe noire, moulante et qui laisse voir la presque intégralité de ton dos.

Quelques achats destinés à la préparation du diner du soir.

Et nous arrivons devant le magasin de lingerie où je te sens ralentir le pas.

Nous entrons et rapidement je te vois chercher du regard la femme à la caisse, Marie.

Lorsqu'elle nous voit à son tour, ses joues rosissent et elle nous fait un petit sourire avant d'avancer vers nous.

Cela faisait quelques temps que vous ne vous étiez pas rencontrés.

La première fois, tu avais découvert entre ses bras ta première expérience avec une autre femme.

Elle s'avance et nous salue.

Sans rien paraitre elle s'inquiète de notre demande.

- Je voudrais un haut sensuel qui mette sa poitrine en valeur ainsi qu'un bas léger et ample.

Tu la regardes et elle te sourit avant de revenir avec un ensemble particulièrement charmant.

- Vous voulez l'essayer ? Demande t-elle.

- Bien volontiers.

Nous nous dirigeons vers les cabines.

Je te laisse te déshabiller.

Le rideau est entre-ouvert.

Tu nous tournes le dos.

Elle se place à côté de moi alors que le magasin n'est que peu fréquenté.

Une autre cliente dont une autre serveuse s'inquiète et un couple qui flâne sans réelle volonté d'achat visiblement.

Elle ne se prive pas pour te regarder.

Tu dégrafes ton jean et tu le fais glisser au sol.

Il est moulant et tu ne peux faire autrement que te pencher légèrement et te trémousser pour lui faciliter la descente.

- Elle est toujours aussi belle. Me dit-elle.

J'acquiesce et lui signale à quel point ce jean près du corps mets en valeur ton séant.

Elle sourit et me répond par l'affirmative.

Alors que l'épaisse toile découvre tes cuisses tu nous révèles bientôt la nudité de tes fesses.

- Hum... fait-elle d'un air gourmand... j'avais oublié à quel point elle avait un beau cul. Un toujours libre…

Tu te raidis un instant à ces paroles, puis, avec encore plus de lenteur, continue de te dévêtir, encouragée par notre présence.

Le pantalon passe chacune de tes chevilles et nous savourons l'ensemble de tes jambes ainsi que tes fesses nues.

- Un cul formidable.

- Oui... exquis.

Sans la regarder tu ôtes ton pull.

Tes mains cherchent l'agrafe du soutien-gorge.

- Jolie croupe et belle cambrure, tu ne trouves pas ?

Dans ses yeux je vois que le désir est enflammé.

- Oui, répond-elle simplement presque dans un murmure.

Je poursuis de détailler ton corps.

- Elle a des hanches auxquelles il fait bon s'agripper pour pouvoir profiter de sa fougue.

Tu libère tes seins et tu te tournes lentement vers nous.

Nue.

D'une main tu tentes vainement de cacher tes seins, alors que de l'autre tu as placé tes doigts devant ton entre cuisse.

Elle te tend les deux pièces de tissu et t'oblige à lui montrer tes deux tétons dressés.

- Une sacré paire de seins comme je les aime, me glisse t’elle à l'oreille comme une cliente gagne la cabine voisine.

- Et elle est excitée... visiblement.

- Elle pointe, je vois cela...

- Elle aime se faire regarder.

Tu te tournes afin d'enfiler la culotte et tu nous offres une vue imprenable sur ton fessier qui, lorsqu'il se penche, nous révèle l'orée de ton sexe.

Le tissu vient flotter sur tes fesses.

Nous pouvons voir tes seins se relever alors que tu passes le haut, un bustier aux fines bretelles.

Nous poursuivons notre discussion sans nous soucier de ta présence.

Nous commentons tour à tour la rondeur délicieuse de tes fesses, la grosseur admirable de tes seins et les courbes excitantes de ton corps, de tes épaules, de tes cuisses...

Lorsque tu te tournes nous restons tous deux muets devant cet ensemble qui embelli, s'il est encore plus possible, ton corps.

Le tissu est transparent, ocre, il est finement brodé de motifs plus sombres qui ombrent et donnent à ta silhouette une allure sensuelle dont émane un érotisme troublant.

- Peux-tu sortir un instant s'il te plait, te demande-je, afin d'observer cet ensemble avec plus de recul ?

Tu avances vers nous et sors de la cabine.

Du regard tu cherches d'éventuels observateurs indiscrets.

Il est vrai que ta tenue est des plus affriolante et elle n'échappe pas à l'homme qui attend sa femme.

Les regards qu'il coule à la sauvette en ta direction sont sans ambigüité, il te trouve désirable.

Marie réajuste le tissu.

La bretelle droite un peu trop haute...

La gauche un peu roulée...

Avec le dos de sa main elle caresse ton téton qui darde au travers du tissu.

- Ce haut n'est-il pas un peu trop petit ? Dis-je.

Elle pose sa main sur le haut de ton sein droit et le saisit avec délicatesse comme pour en comprendre toute la lourdeur.

- Ses gros seins lui permettent ce genre de top, vante t-elle, commerçante... ça les met en valeur.

De son autre main elle a désormais pris possession de toute ta poitrine.

- Il lui va très bien. Achève t-elle en pétrissant et en faisant rouler tes tétons sous ses pouces agiles pendant quelques secondes.

Tes yeux dans les siens je te vois rougir légèrement alors que tu commences à respirer plus profondément et soulever ta poitrine prisonnière.

Tendues, tes mamelles laissent flotter la délicate étoffe à quelques distances de ton ventre, révélant ton nombril délicatement creusé.

J'ai envie d'aller y placer ma langue avant de descendre encore plus vers ton jardin intime.

L'excitation croît en moi comme elle le fait chez Marie à cette pointe cassée que j'entends dans sa voix.

- Tournez-vous.

Son ton est professionnel. Tes seins quittent ses mains.

Tu nous tournes le dos.

La peau visible entre les deux étoffes est affolante de sensualité.

Elle s'agenouille afin de saisir entre le pouce et l'index le tissu qui repose avec grâce sur tes fesses.

Ses autres doigts frôlent ta peau.

Elle s'applique à remettre d'aplomb une culotte qui n'en a pas besoin, prétexte pour caresser tes fesses devant moi.

- Penchez-vous.

Tu obéis.

Le tissu remonte sur la blancheur de tes globes et l'entrejambe vient se plaquer à ton sexe.

Elle a un point de vue sur l'ensemble de ta féminité qui m'est également nettement visible.

Avec délicatesse elle se saisit du tissu et s'affaire à le replacer pour qu'il ne vienne pas dans ta fente.

Elle glisse ses doigts sur tes lèvres.

Par trois fois du bout des doigts elle caresse ton sexe humide.

Remontant de ton anus vers l'avant elle joue de ses doigts, loin, vers ton clitoris.

A la quatrième fois, elle prend son temps avant de lâcher la culotte et te libérer de ses caresses.

Tu te redresses les joues rosies par ce plaisir impoli que tu viens de prendre devant nous.

- On va le prendre alors, il lui va très bien.

L'homme qui t'observe un peu plus loin cache difficilement son érection alors que sa femme ressort de sa cabine, la mine boudeuse.

Tu réintègres l'alcôve pour te rhabiller.

- Elle te fait toujours envie ? Lui demande-je soudain.

- Oui. Comment ne pourrais-je pas avoir envie d'elle ?!

Avec lenteur tu te débarrasses de ces vêtements.

Ta culotte semble légèrement avoir collée, ce début de plaisir te fait suinter.

- Tu voudrais que je te la prête ? La question arrive alors que ni l'une ni l'autre ne s'y attendait.

Tu te figes à cette évocation, ramenée à ta condition de soumise par cette simple évocation.

Elle te scrute alors que tu nous fais voir ton corps dans son absolue nudité.

Nous pouvons voir tes tétons pointer sous le coup de l'excitation de la situation.

L'espace d'un instant me traverse l'esprit que tu prends un plaisir inouï à te laisser dicter ma loi.

Elle me regarde avec un sourire.

- Comment ne pas avoir envie de la gouiner. Répond-elle sans cesser de te dévorer des yeux. Avec un plaisir intense oui, je veux bien.

- Je t'appellerais alors.

Je referme le rideau sur ton visage interdit, afin de te laisser te rhabiller, humide de cette séance d'exhibitionnisme hors du commun.

 

Ce n'est qu'au dehors que tu reprends la parole.

- Vous allez me prêter alors ?

- Oui... cela ne te convient pas ?

Tu as un instant de silence.

- Si mais...

- Mais ?

- Je voudrais que vous veniez.

- Bien sur ! Je veux t'accompagner.

Ton bras se resserre alors autour de moi, dans un élan de tendresse.

- Merci Monsieur.

- J'aime bien te voir avec une autre femme.

- Je ne suis pas contre, avec vous...

Tes yeux sont clairs et je vois que ceci ranime en toi des souvenirs de plaisirs inédits.

- J'ai appréciée ces quelques minutes d'érotisme intense.

- Tu as mouillée, je t'ai vu.

Tu souris et ta tête se penche sur mon épaule.

- Vous bandez Monsieur, cela aussi se voit...

  

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[...]

 

La douche est chaude et je sens mes muscles se détendre sous l'eau qui coule sur moi.

La buée masque la vitre qui, opaque, ne m'a pas permis de la voir entrer dans la salle de bain.

La silhouette mouvante se distingue faiblement.

Lorsque la porte s’ouvre je découvre son visage souriant.

Elle me regarde dans ma nudité, le corps ruisselant.

Pour simple vêtement elle porte une de mes chemises qui, trop longue, est cependant largement  remplie par sa poitrine opulente.

Ses cuisses fuselées, ses mollets galbés, ses pieds fins, elle représente la femme désirée.

D’une main elle s’empare du savon et entreprend de me savonner simplement de ses doigts.

Son index décrit un petit rond et je me tourne sous ce geste impératif, docile et sous le coup d’une excitation soudaine.

Je sens les gestes habiles et doux qui glissent sur ma peau.

Elle prend son temps et explore chaque centimètre de mon corps qui lui est offert.

Son contact est des plus subtils, liant les pressions et les caresses pour parcourir le territoire qui est le mien.

Elle palpe mes épaules et descend sur mes bras avant d’engager ses massages circulaires dans le haut de mon dos et descendre lentement jusqu’aux creux des reins.

Elle s’attarde sur mes hanches et ses saisi de mes fesses une à une.

Le prétexte de me savonner lui octroi celui de me caresser sans vergogne.

Je me détends alors qu’elle passe sur mes cuisses et mes genoux.

Ses mains remontent sur l’intérieur de mes jambes. 

J’attends le moment où ses doigts vont me frôler et mon sexe en est déjà en émoi.

Au lieu de parvenir à l’orée de mes bourses, elle me fait pivoter et je me trouve face à elle.

Je ne lui cache pas l’effet qu’elle me fait, visible à mon début d’érection.

A peine un regard vers mon membre.

J’en suis presque fâché mais ne dis rien, déconcerté par son regard acéré.

Elle applique ses mains sur mon torse et plante ses doigts dans mes muscles.

Je ne lui connaissais pas ses talents de masseuse.

Sous les passages de ses phalanges elle joue avec mes tétons avant de les saisir et de me pincer légèrement.

Je pose mes mains sur les parois de la douche.

L’eau qui coule étouffe le son de mon gémissement.

Elle s’attarde à me faire subir se délicieux supplice avant de descendre sur mes abdominaux et flirter avec la barre noire et pileuse qui forme un chemin jusqu’à mon bas ventre.

Sans croiser mon regard, appliquée et concentrée sur ses gestes, elle prolonge son geste jusqu’à effleurer mes boules velues.

Elle relève son visage et je la vois sourire alors que sa main droite soupèse mon paquet.

Entre ses doigts elle fait rouler les deux gonades qui bougent d’elles même sous l’excitation.

De son autre main elle flatte ma verge qui se tend de plus en plus.

Elle fait alors glisser le prépuce et me décalotte.

Mon gland apparaît, rouge, gonflé d’envie.

Elle le caresse en excitant le méat.

Ses mains pleines de bulles, glissent sans effort sur l’intégralité de ma virilité.

Elle me masturbe avec une lenteur qui confine à la torture, avec une délicatesse exacerbée par la matière savonneuse.

Je ne peux que fermer mes yeux sous ses manigances délicieuses.

Un bref arrêt de son geste me fait reprendre un peu mes esprits.

Je suis échauffé par ses mains et l’envie qu’elle continue de ma masturber de la sorte est intense, lorsque je la sens appliquer sur ma virilité une substance plus consistante.

Elle vient de m’enduire de mousse à raser.

Je suis interloqué et en un éclair je saisi son idée.

Dans ses mains se profile le rasoir.

Je décide de la laisser faire, mon cerveau est en ébullition.

Entre ses doigts elle tend mon sexe et avec une précision minutieuse la lame rend bientôt glabre mon manche de chair.

Elle presse ma chair, tire la peau, faisant se placer dans toutes les positions mes couilles et ma queue afin de parvenir à me dégarnir de ma toison.

Sous ses actions je sens le plaisir croitre après quelques secondes d’angoisses.

Quelle meilleure preuve de confiance lui offrir que celle de pouvoir passer une lame aiguisée sur mes parties intimes.

Elle prend son temps et s’applique à me rendre lisse.

Peu à peu je découvre ma peau.

Elle fait autour de ma virilité une zone claire et dépourvue de pilosité, sorte de triangle étroit au centre duquel se dresse un pieu gorgé de sang.

Le métal passe de la base de mes couilles à ma veine saillante.

Pas un millimètre de chair n’échappe à son éradication pileuse.

Avec une délicatesse incroyable elle glisse alors sous mes bourses jusqu’à mon entre fesses.

Je me tourne afin de lui faciliter l’accès.

La lame parcoure mes fesses, bientôt nues comme celle d’un nouveau-né.

De ses mains elle écarte mes muscles et entreprend de raser l’étroitesse de ma vallée sombre.

Je me contracte avant de me relâcher.

Le rasoir m’effleure presque comme souffle d’air.

Le métal glacé me fait l’effet d’un fer rouge par l’excitation qu’il me procure.

Elle refait un passage sur l’intégralité de mon sexe avant de s’emparer du jet d’eau et s’appliquer à me nettoyer.

La pression des jets sur mes couilles glabres me font me cambrer sans pouvoir y résister.

Elle s’amuse de ma réaction et poursuit pendant de longues et merveilleuses minutes à m’arroser de la sorte.

Chaque passage sur mes bourses me fait pousser un gémissement de plaisir sans pouvoir le contenir, tout autant que lorsque l’eau frappe mon vit et le fait se tendre à son maximum.

Je ne cherche pas à contenir mon excitation et je me repais de ce moment, les yeux fermés, abandonné à sa volonté de femme.

Je pose mes mains sur le mur, le bassin en arrière, les jambes écartées.

Elle me fait bander sous les effets conjugués du jet d’eau et des ses caresses.

Elle le sait et elle l’apprécie.

Alors que l’eau cesse de couler, je prends conscience du silence.

Ses mains n’ont pas cessées de me masturber, enduites désormais d’un onguent destiné à calmer le feu du rasoir, elle s’empare de mes couilles pendantes et les malaxe.

Elle en a plein les mains et prend un net plaisir à me palper de la sorte.

Ma verge n’est pas longue à se faire malmener de la sorte.

Je sens son souffle dans le bas de mon dos.

Plus rapide et plus court je sais qu’elle est excitée à son tour et cela augmente encore l’effet qu’elle me fait.

Lorsque ses doigts entrent entre mes fesses je me raidi.

Elle n’en a cure et poursuit le passage de la crème bienfaisante sur l’intégralité de ma raie.

Ses doigts passent et repassent sur mon œil plissé.

Je devine son envie contre nature. 

Son index me masse la rondelle avec délicatesse.

Elle hésite à appuyer son geste au risque de me courroucer.

Je ne sais que faire, perdu entre l’envie de lui laisser accès à mon intimité pour une découverte d’un nouveau plaisir et la volonté de rester maitre de ma masculinité en lui interdisant l’accès à mon petit orifice.

Lorsque je me cambre en écartant les cuisses dans une position presque obscène, elle comprend mon acceptation et son doigt s’insinue en moi.

Je ressens cet écartement de ma rosette au plus profond de mon être comme un viol accepté.

La douleur est presque inexistante face au déferlement de sensations qui courent dans mon esprit.

Je la laisse me pénétrer de plus en plus loin.

Avec difficulté je réprime un gémissement ou le plaisir prend le pas sur le reste.

Sa main droite vient se saisir de mon sexe et entame une masturbation au rythme de ses intrusions dans mon anus.

Lentement elle fait aller et venir son doigt en moi, lentement sa main monte et descend sur la colonne de chair que ses doigts enserrent à peine entièrement.

Elle s’extraie de mon fondement avant de m’enfoncer un second doigt savonné.

Il glisse sans effort.

Mon œil sombre s’écarte et mon souffle se fait plus rauque sous l’effet de ses deux intrus qui me ramonent entièrement.

Je me sens glisser vers le bas de la douche pour me retrouver à 4 pattes, le cul en l’air à me faire doigter par cette femme superbe qui me branle dans le même temps.

Ses gestes se font de plus en plus rapides.

Ses doigts entrent au fond de mon trou pour le malmener dans des vas et vient secs et implacables.

Chaque pénétration me fait pousser un petit cri de plaisir et je sens l’orgasme monter en moi.

Elle cesse de me baiser de la sorte en sortant une ultime fois ses doigts de mon cul meurtri, puis elle me caresse les fesses comme pour apaiser la fin de cette séance inédite.

Je me retourne pour la regarder, entre la honte et la joie.

Son sourire me désarme.

D’un geste précis elle vient cueillir ma verge.

Je me redresse pour lui présenter.

Elle s’agenouille et me branle avec une énergie et une perfection qui rendent fou.

Ses doigts prennent et masse mes boules en même temps que sa main fait monter et descendre ma tige et l’inclinant de droite à gauche.

-         Tu as aimé… n’est-ce pas ?

Sa voix est douce et pour une fois, c’est moi qui rougis.

-         Oui… c’était extraordinaire.

Je n’ai pas envie de me priver de ce plaisir et je ne veux pas le nier.

Elle ouvre la bouche comme mon sexe expulse une giclée de foutre blanc qui lui macule la joue.

Je pousse un grognement de bonheur.

Elle approche son visage et la seconde vague entre dans sa bouche grande ouverte.

La langue tirée, c’est elle qui reçoit la suivante.

Mon jus coule sur son visage radieux et souriant.

Elle se place sous la semence, sa main poursuivant sa masturbation pour me vider entièrement, et tout son visage est bientôt recouvert de mon sirop d’homme.

Radieuse elle me lance un sourire désarmant que je lui rends avec plaisir.

-         Je dois me laver, tu m'as sali. Me dit-elle.

-         Tu es parfaite…

Son doigt se pose sur ma bouche pour m’imposer le silence. Elle s’approche de moi pour me murmurer de sa voix douce « Je vais encore te baiser le cul ».

Je la laisse prendre sa douche, troublé par ce qu’elle m’a fait vivre, impatient de pouvoir reprendre avec elle cette joute sexuelle, ces jeux qui nous ravissent.

 

Lorsqu'elle sort, revêtue d'un simple peignoir nous nous embrassons.

-         Cela ne vous ennuie pas que je reste avec vous ce week-end Monsieur ?

Son ton est redevenu celui d’avant cette douche chaude.

-         Bien sur que non.

-         Vous aviez prévu quelque chose peut-être ?

-         Oui. J’attendais de la visite pour diner. Mais tu vas rester avec moi non ?

Un large sourire fend son visage en guise de réponse à cette question qui n’en n’était pas une.

-         Nous allons trouver une tenue plus approprié que ce peignoir. Lui dis-je en écartant les pans pour révéler son sexe rasé et ses formidables seins aux tétons excités.

Ses joues rosissent.

-         Qui vient diner ?

-         Mes voisins…

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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