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"Ma douche fut calme et chaude.
Je passais longuement le jet doux sur mon sexe et mon interdit meurtri avant de me reposer quelques minutes.
J'étais emplie d'un bien être incomparable.
Lentement, sur mon lit j'ai alors ouvert la dernière enveloppe.
Elle en contenait deux.
J'ai gloussé de bonheur à l'idée de leur contenu.
J'ai cliqué sur l'adresse que vous m'avez indiqué, sage, hésitante quant à son contenu.
Je devais monter le son et me préparer aux images tout en sachant que j'allais avoir autre chose à faire.
Devant mes yeux une femme se faisait prendre par un homme, lentement, longuement.
Je restais à les regarder quelque peu hypnotisée par cette vision particulière et peu fréquente pour moi.
Il la besognait alors qu'elle exprimait bruyamment son plaisir.
C'est dans cette ambiance sonore que je descendis, nue, entre-ouvrir ma porte d'entrée.
Puis je me mis à quatre pattes comme vous me l'aviez demandé pour nettoyer mon sol.
La croupe tendue vers l'accès à l'extérieur, je passais une brosse en parfaite servante.
Mes joues étaient rouges de honte à l'idée que l'on puisse entendre du dehors les gémissements érotiques que poussait la femme sur la vidéo tout autant qu'au fait que l'on puisse s'introduire chez moi, me voir en cette position évidente et… s'introduire en moi.
A cette honte se mêlait le plaisir et l'envie de voir ce fantasme se réaliser... prise par un inconnu... je mouillais tout au long de mon nettoyage.
Lorsque je parvins dos à la porte, j'avoue avoir espérée votre visite et écarter mes cuisses pour me frotter au bois avant d'interdire toute intrusion en refermant derrière moi.
Revenue devant l'écran je vis la femme qui s'empalait sur le sexe de bonne taille qui lui était présenté.
Je devais choisir entre deux scènes.
Dans l'une d'elles je la vis sucer sous le bureau alors qu'un intrus entrait, il la maintenait fermement en position de pompeuse.
Dans l'autre elle le suçait dans le métro, devant un homme qui se branlait à quelques rangées de sièges de là.
Je m'identifiais à la première scène que je me repassais pour voir sa bouche engloutir le gland turgescent qu'il lui maintenait dans la gorge.
S'il eut été votre, Monsieur, je vous aurais avalée comme nulle autre.
Mes doigts avaient glissés malgré moi sur mon sexe trempé.
Je me suis rendu compte que je me branlais devant la vidéo en pensant à vous.
Excitée je poursuivis mes consignes.
Vos ordres me surprirent et c'est très perturbée que j'ouvrais mon sac.
Vous y aviez glissé un god.
Mon premier réflexe fut de me demander comment m'en débarrasser lorsque mon homme allait arriver.
Le second fut de le passer sur ma fente ce qui m'électrisa instantanément.
Je revins donc à vos ordres, caressée par le sexe de bakélite.
Deux nouveaux choix.
L'une des scènes me fit rougir et m'enfoncer l'engin au plus profond, ce fut la réponse de mon corps à votre question.
La femme, attachée, les yeux fermés, se faisait prendre par deux hommes.
Pendant que l'un lui fourrait sa queue dans la bouche, l'autre l'enfilait par derrière, forçant alternativement son sexe et son anus.
Ils échangeaient et elle les suçait avec toujours plus de frénésie.
Ses gémissements et ses cris se mêlèrent bientôt à mes soupirs comme je me tourmentais la chatte.
Vous m'avez ensuite demandé une chose particulière.
Je m'y suis livrée avec un plaisir intense.
Pour la première fois je m'introduisis seule un objet dans le cul.
Le god s'enfonça dans mon étroitesse rectale que vous aviez déjà pourtant beaucoup forcé durant ce week-end.
Lubrifié par ma cyprine je m'enculais pour vous, heureuse sous l'intensité de ces sensations.
Je n'avais pas coupé les images, juste baissé le son.
Avec mes deux doigts j'appuyais sur mon clitoris, je le malmenais tandis que je tournoyais dans mon interdit, gémissante.
J'approchais de l'orgasme, les yeux rivés dans le vide sur les images qui se mêlaient à mes fantasmes et mes envies.
Elle se faisait prendre par les deux hommes, l'un était dans son cul, l'autre dans son sexe et ils la baisaient sans un mot alors qu'elle les exhortait à la souiller comme une salope dans un langage ordurier, invitant un troisième individu à se faire sucer la queue.
C'est les yeux mi-clos, les cuisses écartées, que ma jouissance arriva.
Mon jus coulait sur le manche que j'enfournais dans mon petit trou.
Je gémissais avec force, de plaisir, d'envie.
Lorsque je rouvris les yeux elle était en train de signer sur l'écran son contrat de soumission.
Je venais de réitérer le mien avec vous Monsieur, Mon Maitre.
J'espère avoir été une élève studieuse dans ces devoirs que vous m'avez donné.
J'attends avec impatience votre jugement.
Votre Salope, Eve."
"Ce matin je vous écris car lorsque mon homme est arrivé hier j'ai obéis à vos commandements.
Je lui ai demandé s'il avait passé un bon moment avec sa maitresse.
Je me devais de rester affable et compréhensive comme une bonne épouse soumise à son mari.
Ce qu'il me racontait me donnait envie de le gifler mais je me repassais vos directives.
Et c'est un peu honteuse que je l'écoutais me raconter sa piètre prestation avec une autre alors que je me remémorais ce que vous m'aviez fait subir et l'intensité de mes cris de plaisir.
Je lui ai refusé mon corps, jouant la prude et sainte nitouche. Ce que j'allais devoir faire désormais pendant un bon moment comme vous l'exigiez.
Prise au jeu j'ai alors décidée d'en ajouter et d'être particulièrement réticente à parler de sexe, trouvant ça "sale", "dégradant".
Si seulement il savait...
Je vous espère au bureau... bientôt.
J'ai le cul en feu.
Eve."
A suivre...