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Surprise à plat ventre sur le bureau, la jupe retroussée autour de ma taille, les fesses nues et à l'air, mon chemisier par-dessus la tête, les seins écrasés sur le bois, je suis certes cachée et ne peux être reconnue, mais ma posture ne laisse aucun doute.

Quel est cet homme qui arrive soudainement ?

Il va me reconnaitre ?

Non... je suis cachée.

Mais... ho... il voit mes fesses et...j'ai une queue qui me laboure le fondement.

Ha... je gémis... dire que je ne peux arrêter l'orgasme qui me submerge.

Prise en flagrant délit de baise dans le bureau de mon Maitre.

La honte s'empare de moi sans m'empêcher de prendre mon pied de façon bruyante.

Monsieur ne lâche pas mes reins et continue de me sodomiser en entamant la discussion avec l'inconnu.

- Bonjour Hector, ce n'est que moi, je finis ce que je suis en train de faire et je m'en vais.

Son ton est calme.

Il parle de moi comme d'un ouvrage.

Je jouis.

- J'ai entendu du bruit, tout est fermé, à cette heure-ci je m'attendais à tout... c'est mon boulot de gardien... je ne vais pas vous déranger plus avant.

La voix est sourde et profonde et j'imagine un grand gaillard.

Je me sens petite, je voudrais être minuscule, invisible. Tellement honteuse.

- Je n'en ai pas pour longtemps.

- Mon compte -rendu d'observation va être stupéfiant. Dit la voix de basse.

Ils rient tous les deux doucement alors que je râle de plaisir.

- Cela va vous donner du travail supplémentaire...

- Oui. Comme ci cela ne suffisait pas.

- C'est de sa faute, c'est à cause d'elle si je suis si tard.

Son manche toujours planté dans mon anus il ralentit ses coups de reins. Je n'ose pas me relever de peur que mon chemisier tombe et dévoile mon visage.

Je mords mes lèvres pour tenter de retenir mes gémissements, heureusement cachée sous le tissu.

La voix de mon Maitre prend cette intonation qui m'enflamme à nouveau.

- Il faut qu'elle s'excuse... et je pense que le compte-rendu n'en fera pas état, n'est-ce pas ?

L'inconnu semble comprendre instantanément le moyen de payer son silence.

Je sens son regard scruter mon corps.

Ses pas sur le sol... il se trouve devant mon visage caché.

Il détaille mon anatomie révélée.

Pourvu qu'il ne soulève pas le chemisier ! Quelle honte serait la mienne.

Je vois ses doigts saisir le bord du tissu et le relever.

Apparait alors une tige noire qu'orne un gros gland rouge.

La voix magnétique de mon Maitre me transperce comme une lance de glace.

- Tu vas sucer Monsieur le gardien. Pour te faire excuser une nouvelle fois.

Je suis prise de panique.

Toujours emmanchée par l'arrière je ne parviens pas à retrouver mon calme.

Loin de faire descendre mon envie, au contraire, le frisson d'effroi laisse place à un foyer ardent.

A contre courant de mes pensées et de la morale je me sens torturée.

Mon Maitre se penche sur moi, je sens son souffle sur mon cou.

Je frémis.

A son contact, tout mon dos se réchauffe.

Son vit frotte contre mes fesses. Il s'allonge sur moi.

Sa voix n'est qu'un murmure.

- Ma soumise... ma belle Eve. Tu me disais bien vouloir être ma pute ? Alors, donne libre cours à tes désirs. Voilà l'occasion de me le prouver.

Il se redresse, agrippe mes hanches, place son vit contre mon sexe en feu et me perce avec lenteur, reprenant une séance de baise qui ne l'a pas encore assouvit, devant le gardien de nuit.

Mon ventre est un brasier.

Mon esprit est le jeu d'émotions aussi diverses qu'obscènes.

A la morale vient bientôt se superposer une autre règle... celle de mon Maitre... celle de mes fantasmes.

J'avance doucement la bouche vers le gros mandrin noir.

Honteuse je rencontre la tige chaude et dure.

Je lèche du bout de la langue.

La surface tendue est lisse, je remonte jusqu'au gland d'une taille imposante.

Son odeur est musquée... excitante.

La courbe très accentuée de son vit m'oblige à m'avancer pour saisir bientôt le casque de chair entre mes lèvres.

Une vigoureuse poussée dans mon sexe m'ouvre la bouche, je gémis et je me trouve en contact étroit avec le sexe du gardien de nuit.

Les lèvres bien ouvertes j'ai peine à croire que je vais emboucher une bite alors qu'une autre me trousse en même temps.

L'envie me submerge soudain.

Ecartant mes lèvres, j'avale le sexe au gout de épicé.

A mi-chemin entre l'envie et le rejet je le suce doucement.

Une main large et ferme vient appuyer sur ma tête.

Il ne voit pas mes yeux qui s'ouvrent en grand alors qu'il s'enfonce loin, raclant mon palet, déformant mes joues.

Derrière moi le sexe vient s'immiscer une nouvelle fois dans mon anus.

Une barrière tombe en moi.

Le plaisir est là.

Ma langue presse le frein de ce sexe inconnu et je le pompe de plus en plus fort.

Il semble apprécier et je me laisse aller à l'avaler entièrement avant de remonter pour ne lui aspirer que le gland.

Mon interdit se trouve pilonné de plus en plus belle.

Je me cambre pour prendre au fond de moi la queue qui me baise le cul.

Je grogne sans relâcher le gros sexe qui remplit ma bouche.

Ma bouche fait un bruit indécent alors que je lui suce le gland comme prise de folie.

Le silence n'est troublé que par les souffles des deux hommes qui me prennent, l'un par devant, l'autre par derrière, et mes gémissements de contentement.

Dans mon esprit se bousculent les étoiles alors que je subis des orgasmes perlés.

Soumise... offerte... lui plaire... désirs... fantasmes...

Lorsque je reprends mes esprits je m'aperçois que j'ai lâché le sexe d'ébène pour faire place à des râles de plaisirs.

Mon étroitesse irradie de jouissance.

Je ne sais pas depuis combien de temps je jouis.

J'ai avalé sans m'en rendre compte, la semence qui tapisse encore ma gorge.

Entre mes fesses coule le suc épais de mon Maitre qui s'est vidé en moi, dans mon petit cul serré.

Je suis affalée sur le bureau.

J'entends les deux hommes, mes deux amants, se serrer la main et la porte claquer.

Seule avec lui, cet homme qui me transporte de bonheur, qui me révèle, je peine à me redresser.

Mes jambes tremblent.

Mon anus me fait mal.

Ma bouche est encore douloureuse et pleine du jus de l'inconnu.

Ma jupe retombe sur mes bas souillés de foutre et de cyprine.

Je dévoile mon visage, faisant retomber le chemisier pour cacher mes gros seins meurtris.

Mon rimmel a coulé.

Mon rouge à lèvre a disparu.

J'ai mal aux mâchoires, mon cul n'est qu'une douleur, mon sexe suinte.

J'ai honte.

Mais je suis heureuse.

Il me regarde de ses yeux gris.

Ses doigts viennent m'aider à refermer mon chemisier et déplacer une mèche de mes cheveux défaient.

- Merveilleuse.

Son compliment me touche.

Je m'effondre en larmes.

Ai-je été trop loin dans ma soumission ?

Ou bien n'est-ce que la compréhension d'un chapitre de ma vie qui débute et m'effraie autant qu'il me prodigue un plaisir insolent ?

Il me réconforte pendant un long moment, sans un mot, juste quelques baisers et ses mains qui me cageollent.

- Je me suis sentie humiliée.

Il faut que je lui dise.

- Mais le plaisir était tel que... c'était extraordinaire.

La tête sur son épaule je me laisse aller. Je lui avoue ma honte, mon envie... et cette source de jouissance tant physique qu'intellectuelle.

- J'aime vous être soumise, Monsieur.

Il m'embrasse sur le front.

Je me sens légère, bien, sereine.

- J'ai aimé ce moment avec vous. Avec... l'autre.

Je sais que je vais devoir être habile pour rentrer chez moi et éviter mon homme, mais en cet instant présent, je me sens femme et je profite de ce moment.

Sa voix me réchauffe de petits compliments avant de me saisir...

"Alors tu vas aimer lorsque je vais venir chez vous."

...entre l'effroi et la tentation !

 

A suivre....

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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[...]

Je suis droite devant lui.

Tout à côté.

Il m'a fait venir dans son bureau pour une raison fallacieuse, je le savais dès le début.

Mécontent il m'a obligé et me désavouer de mes compétences et ma fait languir de savoir comment il allait me réprimander.

Il savait qu'en agissant ainsi il allait m'exciter au plus haut point.

Alors, lorsqu'il me demanda de m'excuser je ne pu faire autrement qu'en rajouter, tellement mon ventre me brulait sous le feu du désir intime qui grondait en moi.

Je me suis salie de comparaisons avec des femmes de petite vertu et mon désir s'en est trouvé accru.

Lorsqu'il me fit m'installer dans la position inconfortable sous le bureau et qu'il me présenta sa queue à sucer, je n'ai même pas enlevé mes lunettes, m'imaginant dans le rôle de la petite salope qui se fait prendre comme ce qu'elle est.

J'avais l'impression d'être plutôt récompensée que punie quand j'ai avalé cette grosse bite à pleine bouche.

Il m'a baisé la bouche et j'ai pris un orgasme simplement en le pompant, c'était un moment divin qui s'acheva longuement pour mon plaisir quand le flot de son foutre se déversa dans ma bouche.

Le liquide chaud m'a envahit et je n'en revenais pas de prendre autant de satisfaction à l'avaler.

Je croyais en avoir fini mais il m'a vite fait comprendre qu'il n'en était rien et, dans le soir désormais tombé sur les bureaux, seuls dans l'immeuble, il me fit signe de poser mes mains sur le bureau en lui tournant le dos.

 

Je le sens reboutonner son pantalon.

Il pose ses mains sur mes épaules.

Ses mains descendent sur mon postérieur nu livré à ses caresses.

Il glisse sur mes hanches jusqu'à à caresser mes cuisses.

L'envie renait en moi comme un phénix, plus forte, plus vive.

Il est mon Maitre et dans cette position je commence à m'humidifier à nouveau.

Et si quelqu'un nous surprenait ? Non... de plus je suis habillée et je pourrais rapidement sauver les apparences.

Ses doigts frôlent mes genoux pour saisir ma jupe et la redresser quelque peu avant de la refaire tomber.

Sans transition il vient prendre mes seins à pleine main par dessus mon chemisier.

Mes mamelles montent au rythme de ma respiration accélérée, emprisonnées et dardées.

Sous ses gestes lents et experts je commence à m'abandonner aux plaisirs qu'il me provoque.

Imperceptiblement ses mains sont venues s'emparer de mes seins sous le chemisier pour les malaxer avec délicatesse mais suffisamment de fermeté pour m'exciter de plus en plus.

Je me laisse palper ainsi, tendant le cul vers lui pour sentir sa queue raide qui point entre ses jambes.

Elle est là, dure, appuyée sur mes fesses fragiles.

Je la veux au fond de moi. Partout.

L'envie me submerge, le désir qu'il me baise sur la table est si fort que je m'en mords les lèvres.

Des images me percutent… je me fais chienne.

Ses doigts pincent mes tétons et je grogne de contentement.

Comme il fait rouler les pointes dans ses mains je ne peux plus m'en empêcher... je murmure mes envies.

- Baisez-moi... ho oui.... baisez-moi....

Il me malaxe plus fort et mes souffles sont de plus en plus forts.

Le feu dans mon ventre est douloureux, il irradie dans tout mon corps qui veut être assouvit.

- Prenez-moi... humm... chevauchez-moi...

J'ai envie de crier de joie alors que l'une de ses mains vient soulever ma jupe jusqu'au dessus de mes hanches.

Il a dévoilé mon cul et je sens son regard lécher mes formes.

Je me cambre telle une assoiffée de sexe.

- Oui... défoncez-moi.

Il vient caresser ma fente trempée.

Ses doigts se fraient un passage dans mon intimité.

Je suis humide et il écarte sans effort mes grandes lèvres, ces renflements de mon sexe extrêmement sensibles, pour saisir entre son index et son médius, mon clitoris gorgé de sang.

Mes gémissements l'incitent à me branler de la sorte, penchée vers l'avant, jupe retroussée, mes seins extraient de leur logement.

Je me fais l’impression d’une vraie petite salope qui se fait prendre sur le bureau et j'aime ça.

Il me masturbe de plus en plus vite.

Les cercles qu'il me fait ressentir me transportent de bonheur.

Lorsqu'il enfonce deux de ses doigts dans ma grotte ruisselante, j'en grogne.

Enfin il me perce !

Rapidement un troisième doigt s'adjoint aux autres pour entamer de m'élargir la chatte.

Dans mon sexe il fait aller ses doigts, larges ou resserrés, ils me parcourent et s'enfoncent, jusqu'à me provoquer des spasmes légers, prémices de la jouissance.

Il se retire alors, sentant mon orgasme proche, pour faire redescendre la tension.

- Non... encore...

Son pouce vient caresser mon œillet.

- Ho...

La pression de son doigt s'accentue sur ma rondelle qui ne tarde pas à se contracter sous ces caresses osées.

- Hum... non... pas là...

Je le supplie de m'épargner par le recto. Mais j’en crève d’envie.

Soudain je pense à ma rentrée chez moi. S'il me prend par derrière je risque d'avoir de plus grandes difficultés à cacher et justifier mon retard.

Il n'en a cure et sa salive vient s'ajouter à son pouce.

Mon petit orifice s'entre-ouvre déjà.

Et dire que je n'aimais pas cela...

- Humm... oui... Monsieur... doigtez-moi le cul... oui...

Je ne me reconnais à peine.

L'envie de me faire sodomiser me gonfle soudain de plaisirs que je sais indécents.

Il place sa tige entre mes fesses et se frotte, ersatz de masturbation qui irrite mon entrée sombre.

Contre mon petit trou il vient poser son gland.

Il va me prendre par derrière... je frémis, entre l'envie et le refus.

Chaud il se presse contre moi.

Les mots me manquent, je soupire, je susurre.

- Enculez-moi...

Entre mes fesses je sens la large tige qui monte et descend en alternance avec ses pressions affolantes.

Je m'agrippe au bord du bureau.

- Oui... mettez-la moi dans le cul... dans mon gros cul… de… haaaa….

Je ne peux finir m’a phrase.

Il ne dit rien, je l'entends presque sourire de plaisir à ses mots qui m'échappent.

Quand son gland vient m'ouvrir le fondement je crie sans retenue.

Large, il s'introduit dans mon conduit rectal, écartant mes parois et s'installant sans bouger dans mon interdit.

La douleur est là.

Bientôt remplacée par le plaisir.

Immobile, il me maintient ainsi, plantée.

Je sais sa large hampe dépasser de mon corps simplement outragé par son gland lisse et turgescent.

Mon bas ventre force à aller à sa rencontre mais il m'en empêche.

Il savoure ce moment où je suis à sa merci.

- S'il vous plait Monsieur... percez-moi.... je n'en peux plus...

Ses mains glissent au creux de mes hanches et viennent me saisir fortement.

D'un coup lent il m'empale.

Son gland disparait dans mon anus et je sens son large manche m'embrocher.

Un nouveau râle sort de ma gorge. Un lent et profond gémissement animal m'échappe.

Lorsqu'il se recule pour mieux me forcer, le cercle de mon œillet s'extirpe vers l'extérieur et me provoque des sensations puissantes.

Je perds pied, ses assauts se font plus proches, plus loin en moi.

Mon arrière-train ne m'obéit plus, je m'agite pour lui permettre de se faire déflorer.

Je suis assaillie par les émotions, entre la douleur et le plaisir, entre la honte et le bonheur.

Sa main s'abat sur ma fesse droite pour me fesser à chaque élan.

- Ha ouiii ! Fessez-moi ! Comme une salope...

Je me laisse aller à mes désirs.

Primitive, sexuelle, je quitte mon rôle sage pour donner libre cours à mes envies et mes fantasmes.

Sous les coups de butoirs de mon Maitre, il me semble que je flotte, transportée, soumise à ses envies libératrices de mes plaisirs.

- Je suis à vous... prenez-moi... humm... ho c'est bon !

Il relève une de mes cuisses pour s'enfoncer un peu plus en moi.

Son sexe ramone mes parois intimes.

Lorsqu'il s'empare de ma deuxième cuisse, je me retrouve dans une position particulièrement osée.

A plat ventre sur le bureau, le cul en l'air, la jupe retroussée et les jambes maintenues écartées, mes yeux roulent sous le feu du désir, la pression sanguine vient faire battre mes tempes.

Humiliée, ravie.

- Haan Oui !!

Il extraie son sexe pour se réinstaller dans ma fente.

Je sens monter l'orgasme en moi.

Il s'empare de mes deux trous, l'un après l'autre, sans discontinuer, défonçant mes orifices tout en claquant mes rondeurs.

Ses mains viennent faire glisser mon chemisier par dessus ma tête.

Le bas de mon dos nu s'offre à son regard, le visage caché... je me sens utilisée telle une poupée, un jouet, son jouet.

Mes seins frottent sur le bois alors que ses coups de reins sont forts et sauvages.

Mon sexe coule, mon anus est offert, je m'agite comme une chienne en rut autour du pal qui me déchire.

Je crie doucement à chaque enculade, grognant ensuite lorsqu'il s'enfonce dans ma motte.

- Baisez-moi par tous les trous... je suis votre salope...

Je prends un plaisir croissant.

- Carrez-moi votre grosse queue dans le cul.

Il ne semble pas prêter attention à mes mots qui augmentent ma tension.

- Baisez-moi la chatte ! Comme une chienne !

Ses mains viennent écarter mes fesses et son vit s'enfonce sans effort dans mon fion largement ouvert.

- Haaa ! Ouiiii ! Enculez-moi comme une trainée ! Je veux encore ! Etre une salope ! Votre garce… votre pute !

Je crie. Incapable de me retenir.

Il affermit  sa prise de mes reins et je reçois une volée de coups de queue dans un rythme inouïe, j’ai le cul en feu, il me défonce à grands coups de bite.

Ses coups de reins me décalent sur le bureau, quelques objets chutent sous la violence de ses assauts.

Je me fais bourrer sans ménagement.

Je feule de jouissance. Mots inarticulés.

J'adore ça.

Ma cyprine s'écoule dans un long orgasme alors qu'une voix inconnue se fait entendre.

- Mais... que faites-vous là ?

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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[...]

 

Il est tard.

La plupart du personnel est déjà parti.

Je l'ai vu passer tout à l'heure devant mon bureau sans oser y entrer.

J'ai pu détailler sa tenue.

Ses escarpins noirs qui ont claqués sur le sol, les talons qui rehaussaient le galbe de ses mollets et lui donnaient une cambrure de reins parfaite.

La jupe noire stricte surplombée d'un chemisier ocre aux boutons rouges foncés qu'encadrait une veste de tailleur sombre lui conférait cette allure hautaine qui lui valait sa réputation d'intouchable.

Ses cheveux et son maquillage léger mis en valeur par des lunettes ornées d'arabesques qui ne parvinrent pas à cacher le coup d'œil qu'elle lança dans la pièce et le rougissement léger de ses joues lorsqu'elle me vit l'observer passer.

Elle ondula alors imperceptiblement plus des hanches, sachant que je ne manquerais pas de la voir déambuler jusqu'au dernier instant.

Le message qu'elle reçut alors était simple. Je la convoquerais dans mon bureau à l'heure que je jugerais idéale.

Sa réponse fut limpide : "Oui Monsieur", à l'image de sa condition acceptée de soumise.

 

J'hésite encore à la faire venir et me lance dans un nouveau dossier.

Je sais qu'elle va devoir s'excuser auprès de son homme et lui mentir pour justifier sa présence tardive.

Je sais aussi que ceci ne manque pas de la mettre en condition.

Lorsqu'une dizaine de minutes plus tard je lui intime l'ordre de venir, il n'y a plus âme qui vive à l'étage.

Seul la lumière froide de l'ampoule éclaire le bureau et inonde le couloir.

Je l'entends arriver aux claquements délicieux de ses pas empressés.

Elle est dans l'embrasure de la porte, droite, ne s'autorisant pas à entrer.

Je ne lui accorde pas un regard pour la laisser peu à peu se balancer d'une jambe sur l'autre.

- Entrez et refermez je vous prie.

Elle pénètre dans la pièce et referme la porte.

Le ton et l'ordre alors que plus personne n'est présent fixent les règles du jeu.

Elle va se retrouver dans sa situation préférée, celle qui l'emmène au bord de l'extase intellectuelle et corporelle.

- Vous n'avez pas le dossier ?

J'arbore l'air le plus cassant qu'il m'est permis d'avoir.

Elle bredouille une négation, entre l'incompréhension d'un réel document et le plaisir peu dissimulé d'une situation factice.

- Vous n'êtes pas bonne à grand chose, décidemment.

Je plante mon regard dans le sien.

Elle le baisse après que j'ai pu admirer l'éclat de désir qui couve dans ses yeux magnifiques.

- Partez.

Elle reste interdite puis doucement tourne les talons.

- Et tachez de me retrouver cela au plus vite, je vous attends.

Elle murmure un "bien Monsieur" tout en se faufilant dans le couloir obscur.

Quelques minutes plus tard elle m'informe avoir retrouvé les documents, assurant qu'elle se tient à mon entière disposition.

J'apprécie ce clin d'œil et je la fais languir encore un petit peu avant de la convoquer à nouveau.

Toquant discrètement à ma porte je lui fais signe d'entrer et de venir près de moi.

Elle tient le dossier contre sa poitrine.

Faisant pivoter mon fauteuil je la détaille sans le moindre scrupule.

Ses jambes gainées de nylon qui disparaissent sous sa jupe, le tailleur et ses lunettes lui confèrent une posture de délicieuse sainte nitouche.

Sous l'excitation qui est la sienne, le dossier ondule au gré des inspirations fortes que marquent les soulèvements de sa poitrine.

- Et bien ?

Elle me tend le dossier.

- La faute est la mienne Monsieur, me dit-elle doucement.

Je le prends et le pose nonchalamment sur un coin du bureau.

- Il est trop tard désormais, votre erreur me cause des désagréments.

Son visage penché vers le sol elle s'excuse à nouveau.

- Vous étiez pressée de partir ?

- Oui. Mon homme m'attend.

- Et moi ? Je n'ai pas attendu ?

Elle ne dit rien.

Je garde quelques instants de silence.

Sous son chemisier ses seins se gonflent un peu plus en proie à l'excitation.

- Prévenez-le que vous serez en retard parce que vous avez fait une bêtise. Dis-je en lui tendant le téléphone.

Elle obéit et en quelques mots lui signale qu'une erreur l'oblige à rester un peu plus tard, qu'il ne doit pas s'inquiéter. Elle l'embrasse sans effusion.

- Comment puis-je m'excuser Monsieur ? Demande t-elle en raccrochant.

Je repousse mon fauteuil pour mieux la contempler.

Droite, les mains devant son bas ventre, elle se tient le plus immobile possible.

Du bout du pied je soulève le bas de sa jupe jusqu'à dévoiler un genou.

- Monsieur... je suis une femme qui n'est pas comme ceci.

Je poursuis la remontée de la jupe pour découvrir le second genou et la cuisse où se dévoile le haut du bas nylon.

- Je suis avec mon homme une femme honorable et très calme.

Je laisse retomber le tissu.

- Que m'importe de savoir que tu ne couches que d'une façon avec ton homme ? Parce que c'est cela n'est-ce pas ? Le samedi, dans le noir et si possible rapidement ?

Elle rougit.

C'est son attitude habituelle, et se l'entendre dire la désarçonne.

- Oui Monsieur.

- Suis-je lui ?

- Non Monsieur.

- Alors comment vas-tu te faire pardonner ?

- Je ne sais pas Monsieur.

Je perçois la tension monter en elle au balancement de ses hanches qu'elle ne peut empêcher.

D'un geste sec je lui indique le dessous du bureau.

Empourprée elle s'y faufile délicatement sans dire un mot.

Les cuisses serrées elle s'agenouille puis penche son dos, je ne perds pas une miette de son décolté qui s'offre à ma vue.

- Tu vas ainsi comprendre que j'aime être obéit avec rapidité.

Je referme l'espace exigue qui est désormais le sien en me rapprochant du plan de travail.

Je la sais à l'étroit et lorsque j'écarte mes jambes, elles rencontrent son corps pour s'ouvrir.

Elle pose alors ses mains sur moi pour s'équilibrer, accroupie sous le bureau.

- C'est la place des punies. Lui dis-je.

- Je m'excuse Monsieur.

- Je n'ai pas bien entendu.

- Je suis désolé... je n'ai pas été bonne.

- Continue.

A sa voix fébrile je la sens emplie d'une forte excitation.

- Je mérite d'être sanctionnée... et punie.

Je la laisse ainsi sans lui accorder d'intérêt.

Ses mouvements de malaise ajoutent encore à son extase.

- J'aurais du te placer là lorsqu'il y avait encore du monde... tu l'aurais mérité.

- Oui. Je demande votre pardon.

Je recule doucement le fauteuil.

Sous le bureau, accroupie, les cuisses écartées pour se maintenir, je plonge mon regard dans son entre cuisse nu et si délicat.

Ses seins lourds forcent sur les pans de son chemisier et me donne une vision généreuse de la vallée de ses seins.

- Ton mari te punie parfois ?

- Non Monsieur.

- Tu le mérites pourtant ? N'est-ce pas ?

- Oui... souvent.

- Pour tes pratiques sexuelles avec lui ?

- Ho non... avec... d'autres. Avec lui je suis prude. 

Ses pommettes sont roses et je ne peux m'empêcher de sourire aux souvenirs sous-jacents qu'elle m'évoque alors.

- Je me doutais que tu étais une cochonne malgré tes allures.

Elle ne dit plus rien, attentive.

Je laisse monter son envie sans cesser de la scruter dans le moindre détail.

- Et une sacrée cochonne qui ne porte pas de culotte.

- Je suis soumise, Monsieur.

Je déboutonne lentement ma braguette.

Dans mon boxer mon vit grossit à sa vue.

J'extraie mon sexe dont je décalotte le gland.

Ses yeux brillent devant la grosseur du membre qu'elle convoite.

- Tu aimes ?

La flamme dans sa prunelle illustre sa réponse.

- J'adore sucer.

- Ton mari doit aimer.

- Lui je ne le suce pas... je préfère d'autres queues.

- Tu es plus qu'une simple cochonne...

- Je suis une vraie salope.

J'approche mon bas ventre de son visage.

- Alors montre-moi ce que tu sais faire pour te faire pardonner.

Ses lèvres approchent de mon pieu en feu.

Elle l'embrasse du bout des lèvres, avec douceur, de bas en haut, frôlant la base du gourdin pour venir déposer quelques baisers sur le haut de mes bourses.

Je la bloque sous le bureau et reprend un dossier, incapable cependant d'un quelconque effort mental comme sa langue remonte ma tige de bas en haut.

Elle s'agite sur mon gland et titille avec une perfection incroyable le méat et le pourtour fragile du haut de mon sexe.

Longuement elle lèche cette glace de chair avec application.

Sous ses caresses je ne peux qu'onduler du bassin.

Elle se décide alors à m'emboucher.

Ses lèvres glissent autour de mon pic pour aspirer avec gourmandise le gland turgescent.

Elle me pompe de plus en plus fortement et je ne peux réprimer un grognement de plaisir.

Libérant sa pression elle glisse autour de la tige pour venir m'engloutir peu à peu.

A chaque retour en arrière correspond une pénétration plus longue qui enfonce mon sexe de plus en plus loin dans sa bouche.

Elle y prend plaisir et, en bonne suceuse, sait le faire sentir.

Ses mouvements se font désormais de plus en plus rapides, longs, toujours sans l'aide de ses mains.

Elle passe de la gourmandise à la goinfrerie, avalant mon sexe au plus loin.

Sans cesser un seul moment de pomper, d'aspirer et de sucer cette queue qui lui remplie la bouche et vient frotter contre les parois de ses joues, elle pousse quelques gémissements qui me prouvent qu'elle en retire un plaisir non feint.

Elle aime la pipe, c'est une réalité.

Je décide de la brusquer un peu.

- C'est cela que tu appelles sucer comme une salope ?

Elle sait que je n'en pense pas un mot mais elle se prend à redoubler d'entrain.

Sa bouche vorace m'avale et elle se force à venir buter contre sa gorge.

Il n'en faut pas plus pour qu'elle s'agite et devienne folle de mon mandrin jusqu'à en faire couler sa salive sur mes couilles tellement elle suce.

Telle une furie elle tourne la tête autour du pieu qui lui meurtrit la bouche pour assurer sa pression et alternativement m'engloutir totalement ou ne pomper que mon gland.

Mes mains se crispent sur le bureau.

Ce qu'elle me pratique frôle le délire. Jamais elle n'a sucé ainsi.

J'entends son corps heurter les parois du bureau sans qu'elle ne s'en soucie, affairée autour de ma bite en feu.

Quelques coups de reins de ma part lui arrachent quelques hoquets sans la faire cesser son ouvrage.

Elle me libère soudain pour recommencer à me lécher de façon indécente.

Sous le bureau, hors de mon regard, elle laisse libre cours à sa perversité pour m'offrir la plus sublime des pipes qu'il soit.

Au fond de moi monte les fébriles tremblements de l'orgasme.

Je glisse ma main sous le bureau pour lui replonger mon sexe entre ses lèvres.

Elle obtempère et suce, sa langue assurant la pression sur mon frein pour prolonger mon plaisir, enivrée par nos plaisirs mutuels.

Lorsque je décharge mon suc, elle ne tressaille pas à la secousse qui vient d'exploser dans sa gorge.

Sa bouche remplie, elle avale par gorgée l'intégralité de mon foutre épais.

Lentement elle me nettoie, usant de sa langue et de ses lèvres pour finir comme elle a commencée, par de délicates attentions.

Je la libère de son logis étroit.

Elle reste à genoux à côté de moi.

Son visage est tiré, ses lèvres marquées d'avoir sucées aussi longtemps.

Elle halète.

- Vous ai-je satisfait Monsieur ?

- Tu es excusée.

- Vous savez, j'ai jouis moi aussi.

- Montre-moi cela, que je vérifie.

Elle se lève péniblement et se tourne, les coudes appuyés sur le bureau.

Je soulève doucement sa jupe.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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