[...]
Au son de l'eau qui cesse de couler je sais que ta douche est finie.
Tu es depuis quelques temps dans la salle de bain.
Tu te remets de tes émotions et de la partie de jambes en l'air que tu viens d'avoir avec May.
Lorsque tu me rejoins, je t'observe avec attention.
Sous le satin rouge de ton kimono, ondulent tes seins de façon sensuelle.
Au rythme de tes pas leur mouvement de balancier me ravi.
Tes cuisses d'ivoire à peine recouvertes par le bas très court me font entrevoir la naissance de ton fessier
somptueux.
Tes cheveux sont humides de ta douche et ils te confèrent une allure presque féline, en faisant ressortir l'éclat de tes
yeux.
Tu arbores ton collier avec détachement autant que fierté.
La fragrance de ton parfum te précède.
Elle m'enivre et me submerge.
- Je suis à votre disposition Monsieur.
Me dis-tu en te plaçant devant l'entrée de mon bureau, droite, les mains dans le dos.
Immobile dans la porte tu attends.
Je te dévore des yeux, en m'arrêtant sur tes formes ostensiblement.
Je sais que cela te gène autant que cela t'excite et je ne m'en prive pas.
J'observe la naissance de tes mamelles et les renflements de leurs formes, le tissu légèrement tendu à la hauteur de tes
tétons.
La peau de tes cuisses à l'image de la soie qui te pare.
Tu patientes. Tes yeux se baissent lorsque j'arrive à tes côtés.
Tu as pris le temps de me détailler à ton tour et tu sais que j'ai envie de toi, à la grosseur qui déforme la serviette
de bain nouée autour de ma taille.
- Tu as été vilaine. Te dis-je simplement.
Ta poitrine se soulève sous le feu de l'excitation soudaine.
- Oui Monsieur, très vilaine.
Je laisse la phrase en suspens.
Tournant autour de toi je te vois respirer de plus en plus fort, fermant tes yeux pour te calmer.
Il est évident que tu mouilles déjà car je vois tes cuisses s'impatienter.
- Tu vas être punie.
Je joins le geste à la parole et je dénoue ta ceinture avec lenteur.
Le satin crisse et dans l'écartement de l'étoffe se dévoile la vallée de tes seins, la plaine de ton ventre et le gouffre
de ton sexe.
Mes doigts font glisser ton unique vêtement sur tes épaules.
Tu te laisses mettre à nue, la respiration de plus en plus forte.
Je t'admire sans me lasser du volume généreux de tes mamelles dont les bouts sont raides et rouges.
La cambrure de tes reins rehausse ton cul majestueux à la texture plus douce que la soie.
Le grain délicat de ton dos, la fraicheur de tes cuisses, la fragilité de tes épaules... et cette nuque au port altier décorée
de ta soumission.
Tout ton corps me transporte vers le plaisir.
- Qu'étais-tu donc tout à l'heure ?
Ta réponse est immédiate.
- Une chienne, votre chienne.
- Alors comporte-toi comme telle.
Ton corps vibre. Tu frémis et tes muscles jouent alors que tu te penches.
Doucement tu te places à quatre pattes. Ta poitrine soumise à cette dure épreuve de se retrouver pendus vers le sol.
Tu te cambres pour te rendre encore plus désirable comme s'il eut été possible que ce soit le cas.
Ma main caresse ton dos.
- Raconte-moi pendant que je t'attache.
Ton regard est brillant, tu réprimes un sourire à l'évocation de la punition qui point.
Je glisse à tes poignets un petit collier.
- J'étais sa garce.
Le cuir se serre.
"Elle m'a fait la lécher..."
Tes chevilles subissent le même sort.
"... et j'ai aimé ça..."
Ma main glisse entre tes cuisses pour te faire t'écarter.
"... j'ai bouffé son sexe... et son petit trou..."
Je palpe ta motte humide. Un de mes doigts glisse entre tes lèvres tièdes.
"... nous avons frotté nos sexes l'un contre l'autre... jusqu'à sentir nos mouilles..."
Je m'introduis dans ta fente. Chaude et trempée. Tu gémis.
"... elle m'a doigtée... et je léchais ses doigts..."
Avec lenteur je remonte entre ton sexe et ton interdit. Tu tends tes fesses vers moi.
"... sur mon visage et dans ma bouche elle a atteint l'orgasme... sa cyprine sur moi...elle m'a jouis sur le visage..."
Mon index presse ton petit trou qui doucement se détend sous les cercles incessants. Tu hâlettes un petit peu.
"... j'en voulais encore..."
J'approche ma bouche de ton entrée et je crache entre tes fesses pour venir te lubrifier l'anus avec mon doigt. Tu
geins.
"... elle m'a introduit des gods..."
Je m'enfonce dans ton arrière-train tout en continuant de caresser la surface de ton sexe.
"... on les a léché... sucé... ils avaient nos gouts..."
Je dilate ton orifice qui s'écarte de plus en plus. Quelques contractions et soupirs me prouvent que tu apprécies.
"... puis elle m'a défoncée... partout..."
Deux de mes doigts s'enfoncent brutalement dans ton sexe. Tu cries alors que tes deux trous sont remplis.
"... c'était bon... d'être une garce..."
Je m'agite en ton intimité et tu ondules ton bassin.
"... salie de son jus et du mien..."
Mes gestes s'unissent pour forcer tes entrées.
"... d'être la salope de mon Maitre..."
Mes doigts se pressent comme une pince sur la fine paroi qui sépare ton anus de ta vulve.
"... prêtée... hummm... gouinée... ho !... humiliée..."
Lentement je m'extraie après quelques assauts qui te font perdre le fil de ton récit au profit d'onomatopées qui me signalent
la proximité de ta jouissance.
L'arrêt de masturbation empêche ton orgasme de se réaliser alors que tu le désires ardemment.
Ceci est déjà une punition.
Dans mes mains les fils de soie sont des laisses.
J'attache une laisse à chacune de tes extrémités, tes poignets, tes chevilles...
Tu souffles, encore dans le feu du plaisir, lèvre mordue, les yeux fermés.
Tu es envahie par tes émotions.
Sur ton sexe je viens présenter un god que tu acceptes sans effort.
Il glisse dans ton intérieur et tu découvres ses petites aspérités qui multiplient tes sensations intimes.
Tu n'as pas le temps de gémir que ta bouche se fige, ouverte, alors que l'autre bout du sexe artificiel ouvre ton œillet pour
venir t'enfiler.
J'accroche les laisses à cette double bite qui est fichée en toi.
Je t'explique ta punition tout en attachant deux autres laisses dans des entrelacs complexes.
La première passe tout le long de ton dos. La seconde entre tes seins.
Chacun de tes membres est accroché à un des gods. Ta nuque à celui qui est planté dans tes fesses, l'anneau de ta glotte
à celui qui est rivé dans ton sexe.
Je sers les liens et te voila étrangement harnachée de cuir noir.
Tu découvres que le moindre de tes mouvements fait onduler les deux ersatz de membre.
Je flatte ton visage.
- Tu vas être punie par ce que tu as fait.
Je m'éloigne pour venir m'asseoir à quelques mètres de toi, confortablement dans mon fauteuil.
Tu relèves la tête et ton sexe se trouve instantanément malmené.
Tu bouges ton poignet et le balancier emporte ton anus.
- Viens là.
Tu sais que le chemin qui va te mener à moi sera long et source de plaisir.
Le moindre de tes mouvements se répercute dans ton ventre en fusion.
Tu progresses lentement.
Chaque centimètre pour me rejoindre te fait te défoncer tes deux trous.
Tes parois sont stimulées à chaque mouvement, même le plus imperceptible.
Tu n'as pas fait 2 pas que tu t'arrêtes déjà pour reprendre ton souffle.
Tes pointes de seins sont tendues vers le sol comme les pointes de crayons.
- Allez... viens.
Tu gémis. Je devine sans les voir, les deux gods qui vont et viennent.
Yeux clos et grimace entre la douleur et le plaisir intense, tu veux me rejoindre, tes orifices dussent-ils en souffrir... et
toi en crier de plaisir.
- Ma belle chienne...
Tu me regardes et tu pousses un râle de bonheur, ton sexe subit ta pression.
Ton avancée est lente, elle se fait au son de tes murmures impossibles à réprimer, de plus en plus forts et synonymes d'une
montée dans l'échelle du plaisir à chaque mouvement.
Ta position et tes gestes sont d'un érotisme torride.
Sur ton front, je vois quelques gouttes de sueur perler.
- Ma superbe salope...
Tu grimaces à chaque oscillation, grimace d'un plaisir encore inconnu jusqu'alors.
A mi-chemin tu sembles vouloir te mettre debout mais tes liens t'en empêchent et ton ventre s'en trouve labouré.
Tu avances, inlassablement, forée et excitée.
- Ma petite garce, lesbienne...
Tu trouves un rythme qui te convient.
A chaque geste tu alternes entre ta chatte et ton cul qui tour à tour se font malmener.
Tes yeux sont plantés dans les miens.
Tes gémissements deviennent des cris, plaintifs puis profonds de sensualité.
- Ma délicieuse petite pute.
Tu te figes à moins d'un mètre de moi.
La bouche grande ouverte dans un cri muet.
Je peux voir tes bras flageoler.
Tu jouis en silence.
Longuement. Lentement.
Tu relâches ton visage vers le bas mais ton cul te fait relever la tête et ton sexe se serre alors autour de l'intrus qui te
défonce.
L'orgasme premier est suivi instantanément par un second qui te submerge comme une lame de fond.
Je me penche pour être à ta hauteur.
Je sens ton souffle court, l'odeur de ton corps mêlée à celle de ton sexe... je bande et mon sexe me fait mal.
- Plus près. Obéis vilaine.
Tu reprends ton avancée.
Cette fois tu ne retiens plus tes cris qui se font de plus en plus forts à chaque percée que tu t'infliges.
Il t'a fallu plus de 10 mn pour venir jusqu'à moi, défoncée de partout à chaque mouvement.
Ton visage trahis un effort et une fatigue sexuelle intense.
Tu es entre mes genoux et j'écarte ma serviette.
Tu t'immobilises, ruisselante de sueur.
Devant tes yeux, à quelques centimètres, ma queue se dresse fièrement.
Ta récompense.
La fin de ta punition.
Tu tends la langue mais il te faut encore approcher et faire onduler les pieux nervurés dans tes conduits intimes.
La vue de ma verge te redonne des forces et tu parviens à la toucher du bout de la langue, puis des lèvres, pour enfin poser
ta bouche sur ma peau distendue, après t'être empalée toute seule, encore plus.
Ton supplice n'est pas fini car lorsque tu me suces, tes hochements de tête font aller et venir les gods qui te pistonnent
sans ménagement.
Tous les trous désormais occupés, te voila remplie et comblée.
Dans ta bouche tu fais coulisser mon pieu brulant.
Le pylône disparait et réapparait entre tes lèvres gourmandes.
Tu salives tant le plaisir te possède.
Prise d'une frénésie tu m'avales la queue avec vigueur, lâchant parfois un cri ou un gémissement quand un god se presse au
plus profond.
Tu es une bonne suceuse et je me laisse faire par ta bouche experte.
Mon gland se fait téter et tu sais que tu feras cesser ton délicieux supplice lorsque je t'aurais inondé de mon foutre.
Alors tu prends ton temps...
Pour mon plus grand plaisir.
Je vois tes fesses, ouvertes par l'engin, accrochées à tes poignets et à ton cou.
Elles se tendent vers le haut et ondulent de cette façon que je connais.
Tu prends ton pied... je t'accompagne dans un grognement.
Ta bouche largement ouverte par ton orgasme, tu ne peux que recevoir mes jets épais au fond de ta gorge.
Par gorgée tu avales péniblement, perturbée par ta jouissance.
Nous restons ainsi, immobiles, ma queue dans ta bouche.
Je te laisse un peu ainsi, la bouche ouverte.
Je sors mon gros vit d'entre tes lèvres.
Tu ne peux plus bouger.
Je t'admire.
Avec délicatesse mes mains détachent tes poignets, puis ton cou.
Tu t'effondres au sol... seul ton fessier reste en l'air, percé d'une arachnéenne toile de cuir.
J'ôte les mandrins de tes orifices béants.
Ils ruissellent de tes liquides.
Tes cuisses sont marbrées.
Tu hâlettes au sol, de ta bouche suinte un léger filet blanchâtre.
Tu as cette position qui m'a enchantée après que tu te sois fait prendre par cette femme, et mon sexe se gorge
instantanément.
Je le pointe entre tes fesses.
Ton trou du cul est largement offert comme un puits délicieux, une porte ouverte pour l'enculade.
Tu murmures un "non".
Je n'en n'ai cure et je t'embroche.
Tu es largement ouverte et je peux te sodomiser sans effort.
Tu t'agrippes au sol, en vain.
Je te bourre fortement.
Tu pousses un gémissement plus rauque.
D'un coup de reins je te prends pour faire venir taper mes cuisses sur les tiennes.
Tu cries : "Oui !!".
Mes couilles viennent frapper contre ton sexe trempé.
Je t'encule avec force.
Ton petit trou subit les outrages de mon membre plus large que le god.
Tu pousses vers moi... le visage défait par le plaisir honteux que tu prends à te faire baiser par le cul, à même le
sol.
Je te ramone comme un hussard.
Tu subis avec délice, tes mains viennent écarter tes fesses.
- Ha oui ! ... Dans mon fion ! ... Défonce-moi le cul... mon gros cul de salope !
Je souris à ta demande et je poursuis cette séance de baise sauvage.
Le glaive dans ton écrin serré, je te fouille par le fondement.
- Encule-moi ! Hahh ! Déchire-la ta salope ! Hooo !
J'accélère.
- Baise-moi comme une trainée !
Mon gland frotte contre les parois de ton anus et je m'y installe avant de revenir en arrière pour t'embrocher à
nouveau.
- Viole-moi !
Mes mains sur tes hanches, je saisis tes épaules pour te prendre avec force.
Je pèse de tout mon corps sur ton cul et ma queue s'emmanche en toi jusqu'à te faire hurler.
Nous ne pensons plus qu'à nous même, moi t'enculant pour sentir ton petit cul serré autour de mon vit, toi hurlante de plaisir
de te faire défoncée comme jamais.
Je jute dans ton trou, mon gémissement inaudible dans les cris rauques que tu pousses sans discontinuer.
Mon foutre se répand dans l'intérieur de tes fesses.
La pression de ton anus sur ma queue me mène à la jouissance ultime.
Les mouvements de pistons font sourdre le suc autour de ma tige.
Je coule sur ta chatte qui s'écarte et se contracte alors que tu jouis bruyamment.
Tes cuisses sont salies, tes orifices ruinés.
Je te malmène encore un peu et nous tombons, exténués.
Nos corps se soulèvent simplement par nos respirations.
Tu caresses ma joue.
- Tu es pardonnée. Te dis-je doucement.
Tes yeux se ferment, ton sourire s'élargit.
A suivre...