Partager l'article ! Prètée - 2: [...] Je fais le tour de la pièce principale du petit apparteme ...
Je fais le tour de la pièce principale du petit appartement.
Quelques cadres aux images abstraites, une télévision haut de gamme, dans un décor moderne de bon gout.
Trois autres portes fermées m'empêchent de voir ce qu'elles peuvent contenir.
Derrière l'une d'entre elle j'entends bientôt l'eau couler.
Je devine alors l'existence d'une salle de bain qui communique avec la chambre.
Un roman traine à côté du canapé. Policier de gare.
Humm... c'est bon non ?
Je reconnais la voix de May suivi d'un petit pouffement étouffé que j'attribue à Eve.
Elles sont sous la douche et j'imagine leurs deux corps ruisselants et si proches que leurs pointes de seins doivent se toucher.
Attiré par le bouton saillant de la chaine musicale, j’allume l’engin qui distille des tubes creux et éphémères qui vont accompagner ma lecture.
Ho... oui... Hummm.
Je découvre le crime du roman et pendant quelques minutes je suis les péripéties du héros au rythme des gloussements qui émanent de la salle de bain.
Lorsque l'eau cesse de couler je sais qu'elles pénètrent alors dans la chambre.
Viens-là... c'est ça, oui... comme ça... ho oui...
Milles images défilent devant mes yeux.
Tu aimes hein ?... humm oui ! Oh !... Hann ! Encore !
Leurs positions s'enchainent dans mon esprit mis en éveil par la simple audition de leurs gémissements de plaisir parfois étouffés et quasi inaudibles.
Que font-elles ? Je crève d'envie de rentrer dans la chambre les observer.
Je me retiens. J'ai prêté Eve et je ne peux revenir en arrière.
Elles m'excitent rien qu'à les entendre et mon sexe est en émoi dans mon pantalon trop étroit.
Je suis distrait de l'histoire à chaque fois que je les perçois et il me faut quelques instants pour me reconnecter sur l'enquête absurde de mon livre.
C'est dans cet état que je découvre soudain la présence d'une intruse dans la pièce.
Je ne l'ai pas entendu entrer, absorbé dans mes pensées lubriques et romanesques.
- Qui êtes-vous ? Me fait-elle interloquée et apeurée.
- Un ami de May.
Le gémissement sans équivoque qui provient de la chambre lui fait hausser le sourcil tout autant qu'il la rassure quelque peu sur la présence de la propriétaire des lieux.
- May est présente ? Sa voix trahit un soupçon de gène.
- Pour être présente, elle l'est.
Haaa ouiiii !
- Qui est avec elle ?
- Et qui êtes-vous ?
- Sa co-locatrice.
- Quant aux gémissements… ce sont ceux de… mon amie.
Vas-y ...plus profond... Tu en veux petite garce ! Hooo ! Ouiii !!
L’intonation puissante de May lui fait monter le rouge aux joues.
Elle avance dans la pièce, ouvre une pièce jusqu'alors close. Une autre chambre dans laquelle elle pose son sac de sport.
- Et que fait votre amie là ?
- Elle s'envoit en l'air.
Elle rit doucement.
Oui ! Oui ! Oui ! Ouiiii !
- Je devais rentrer plus tard mais mon cour a été annulé, je comprends mieux son envie de me voir partir tout à l'heure.
Elle détache ses cheveux qui retombent sur sa tenue de sport.
Elle n'est pas mise à son avantage dans cet accoutrement et elle doit s'y sentir mal alors que je ne peux m'empêcher de détailler les formes et contours qui sont cachés sous l’horrible tenue.
- Je reviens... excusez-moi. Dit-elle en s'enfermant dans sa chambre.
Son arrivé est inattendue et il me vient quelques questions sur la sexualité de cette nouvelle venue que j'ai tout à coup très envie de poser
Est-ce le fait de lire un policier ? Ou plus simplement l'excitation issue des souffles et des quelques phrases qui me parviennent...
Comme ça tu vas... Non ! Hoo ! Noon... Humm... Oui !!
Elle sort dans une tenue plus classique, chemisier et pantalon de flanelle.
Elle se sert un verre, m'en propose un, je découvre alors la cuisine.
- C'est donc votre amie ?
Comme ça oui ! Continue ! Hann !! Haaaaaouiii !
- Oui, je l'ai prèté.
C'est bon ! Tu es bonne ! Allez ! Encore !
- Et ça vous excite ?
Hooo ! Ouii ! Garce ! Bouffe-moi !
- Cela nous excite. Pas vous ?
Son regard s'étincelle, elle plonge son nez dans le jus de fruit avant de l'avaler d'un trait.
Le rythme des halètements diminue et je me plais à imaginer les délices qu'elles se font à quelques mètres de nous.
- Bon bouquin. Me fait-elle changeant de discussion sans transition.
Notre discussion prend alors un ton surréaliste lorsqu'elle s'assoit à l'autre bout du canapé pour parler du roman autant que de la télé.
Nous sommes deux compagnons d'un lieu, discutant de tout et de rien, alors que les couinements du lit et les souffles sensuels se font à nouveau plus présents.
- Vous êtes co-locatrice... ou sa petite amie ? Lance-je alors sans préliminaire.
Ses oreilles s'empourprent un petit peu.
- Simplement co-locatrice.
- Donc pas jalouse.
- Pas précisément non.
Là ! Tu vas aimer... tourne-toi ! Très bien… écarte.
Elle reprend la parole d'un ton un peu plus fort, comme si elle voulait se faire remarquer des deux femmes, sans le faire réellement.
- Même s'il est parfois ardu de l'entendre ainsi alors que d'autre n'ont rien !
Nous rions doucement devant la situation cocasse.
Je détaille ses formes sous le chemisier. Des seins qui me semblent attirants et des hanches auxquelles il me plairait bien de m’agripper soudainement.
- 90 B et tanga, me dit-elle soudain.
Je lui souris.
- C'était ce que vous vous demandiez non ?
- Oui, entre autre. Vous êtes perspicace. J'aurais dit 95B.
Un silence. Elle pose son verre, vide.
- May a le même regard que vous parfois.
Sa voix n’est qu’un murmure.
- Et comment lui répondez-vous en ce cas ?
Ho comme ça oui... Plus loin oui ! Ho Garce ! Oui !!!
Elle tend sa main jusque sur mon entre jambe et palpe ma bosse en guise de réponse.
J'étends à mon tour le bras et viens me placer entre ses cuisses.
- 3 mois que je n'ai pas de petit ami alors...
Ouiii ouiiii ouiiii ! Hummm
- Et Eve ne suffit plus ?
- Je préfère les mecs...
Elle glisse ses doigts tout autour de mon appareil, jaugeant l'engin à pleine main.
- Surtout quand il y a un joli paquet comme ça.
Bouffe ! oui ! Lèche-moi encore !!
- Votre dernière fois ?
- Ce matin, avec mes doigts.
- Et avec Eve ?
- Il y a deux jours. Elle m'a léchée jusqu'à l'orgasme.
- Et vous ?
Hummm Haaa ! Ha ! Hummm....
- J'aurais préférée une bonne bite.
Au travers le fin tissu je sens sa fente humide que je presse sous mes doigts.
Le cri qui émane de la chambre, mélange de douleur et de plaisir, nous arrête instantanément.
Elle se lève et disparait dans la cuisine.
Je la rejoins.
De dos elle est occupée à ouvrir un paquet de gâteaux.
- Vous-êtes troublée ?
- Comment ne pas l'être. Mais je ne ferais rien si votre amie est là.
Je pose mes mains sur ses hanches.
- C'est ma soumise.
- C'est alors différent ? Hoquette-t-elle dans un soupir.
Les gémissements nous parviennent plus diffus.
Je m'installe contre elle, ma main droite s'empare de sa main et l'emmène sur son sexe.
- C'était comme cela ce matin ?
Elle tend ses fesses vers ma bosse qu'elle plaque contre elle tout en entamant des caresses sur son sexe caché.
Mes mains suivent ses doigts experts pour s'éclipser et déboutonner son pantalon.
Elle ne cesse pas ses manigances et c'est les cuisses nues qu'elle se retrouve bientôt dans sa cuisine.
Je fais descendre le tanga noir qui me dévoile son cul et l'orée de sa vulve sur laquelle ses doigts s'agitent.
J'écarte doucement ses jambes pour reprendre avec elle sa masturbation.
Ma main gauche prend sa place. Elle gémit doucement.
Je fais parvenir près de ses lèvres ses doigts salis de son jus.
Elle les lèche.
- J'ai envie...
Je la retourne et tout en m'asseyant elle s'approche de moi pour ôter mon pantalon.
Mon membre surgit et elle s'en empare avec avidité.
Il disparait dans sa bouche.
Elle me suce quelques secondes avant de venir y placer un préservatif et se placer au-dessus de moi.
- Je suis étroite. Va doucement.
Je soutiens ses hanches.
Elle pose ses mains sur mes épaules et mon gland glisse sur sa motte trempée.
- Empale-toi à ta vitesse.
Le bout de mon sexe disparait dans la chaleur moite de son intérieur.
Elle mord sa lèvre inférieure.
A chaque progression vers le bas elle grimace, ses lèvres s'écartant pour me faire entrer en elle.
Avec délicatesse j'ouvre son chemisier et libère ses seins.
Ma bouche vient les téter l'un après l'autre.
Petites noisettes au gout de miel.
Ses cuisses frottent contre les miennes alors que je m’enfonce dans son étroit sexe.
Elle entame le va et vient qu'elle désirait, lentement, progressivement.
- Prends mes fesses pour m'aider.
Je cueille alors chaque globe dans mes mains.
Douces, je les écarte et d'un petit coup de rein, je lui arrache un petit gémissement comme mon pieu vient de la forcer un peu plus profondément.
Elle s'agite de plus en plus vite sur mon mandrin durci, excité par les soupirs de ses trois femmes.
Elle gémis à son tour, au rythme des cris qui nous parviennent des pièces d’à côté.
Cette chorale de femmes en chaleur me surexcite et mon sexe n’en fini pas de grossir. Je me sens près à les posséder les unes après les autres.
- Prends-moi sauvagement. Supplie-t-elle.
Je la place sur la table.
Quelques objets tombent.
Je saisis ses poignets et mon sexe vient se fourrer entre ses cuisses largement écartées.
Elle est souple et je peux m'installer entre le compas grand ouvert de ses jambes.
Je la bourre de plus ne plus vite.
Ses petits seins bougent au rythme de mes coups de reins de plus en plus forts.
- Oui ! Espèce de... Sauvage !
Je la perce de plus en plus profondément sans ménagement.
Mon pieu glisse sens cesse entre ses lèvres trempées.
Je la retourne alors pour la mettre à plat ventre sur la table.
- Hoo !
- Tu as un beau cul.
- Oui et il... Ahhhh !
Elle n'a pas le temps de finir sa phrase que ma queue s'est fichée dans sa petite chatte.
- Hum... Laboure-moi ! oui... HOo !
Je m'exécute, tout en glissant un doigt sur l'oeillet sombre de son anus.
Comme un piston je la défonce et elle approche de l'orgasme.
- Et il ? Demande-je.
Elle râle pour réussir à terminer sa phrase ;
- Et… hummm… il aime …être… haa !....rempli… lui aussi… hooo..
Les mains accrochées au bord de la table elle subit mes assauts, coup de butoirs où mon sexe file au fond de son antre pour revenir encore et encore.
Je la doigte soudain et elle grogne de plaisir.
De la pulpe du doigt je palpe l'intérieur de son cul qu'elle agite comme je la baise comme un hussard.
- Je vais jouir...
Ses deux orifices se font ouvrir et entre la fine paroi qui sépare son anus de sa vulvle, je perçois la vigueur de ma tige contre mon doigt.
Je presse cet endroit, provoquant sur son scrotum un éclair de sensation qui la déclenche.
Autour de mes bourses je sens sa cyprine couler et me salir.
Mes hanches en rythme, j'accompagne son orgasme qui précède le mien que de quelques secondes.
Je me tends comme un arc électrique alors que les jets que j'expulse emplissent le latex.
Nous restons ainsi pendant un court laps de temps, avant de nous écarter l'un de l'autre.
Ses yeux sont plus clairs, son sourire plus large.
Elle dépose un baiser sur mes lèvres.
- C'était très bon.
- Oui...
Elle s'enferme alors dans sa chambre sans autre forme de procès, me lançant un simple sourir comme la porte se referme en silance.
Je remets mes vêtements et garde précieusement mon liquide blanchâtre, emprisonné dans la poche transparente.
Il n'y a plus de bruit dans l'appartement.
Je reprends mon roman. Page 32.
Je n'en lirais pas une page de plus, car May me rejoint.
Vêtue d'une simple serviette, les cheveux ébouriffés, elle m'invite à te découvrir dans la chambre.
Tu es sur le lit, a plat ventre.
Tes splendides fesses dressées vers le ciel comme une offrande mystique un calice.
Ton anus est largement ouvert.
Il ne se referme pas encore, tant elle a du te sodomiser.
Ton sexe est ruisselant et tes cuisses, comme les draps, sont tachés de vos jus.
Autour de toi quelques gods luisent.
Tu tourne lentement la tête vers moi.
- Monsieur... murmures-tu dans un sourire.
Ton rimmel a coulé.
Ton rouge à lèvre a disparu et les traces sur ton menton montrent à quel point tu as du lui dévorer la chatte.
Je caresse tes cheveux.
Monte alors dans mon ventre l'envie de t'enculer à mon tour mais je réfrène ce désir pour venir me pencher près de toi.
- Habille-toi... tu mérites d'être très sévèrement punie.
Tu ronronnes et me glisses un "oui... j'étais très vilaine", qui en dit long sur tes attentes.
Quelques minutes plus tard nous quittons May, ravie.
Sa co-locatrice n'est pas réapparue.
Ne serait le paquet de mon foutre enfermé dans le latex, j'aurais eu l'impression de rêver.
Tu me souris dans la voiture.
Le rêve perdure...
A suivre...