[...]

 

Nous arrivons devant un petit immeuble après une petite demi-heure de route.

Il n'a pas voulu me dire le but de notre trajet.

Dans le miroir central de la voiture je cerne mes yeux de noir et pose un peu de rouge sur ma bouche.

Un peu de parfum pour masquer l'odeur de sexe qui flotte autour de moi après cette partie sur le parking.

Honteuse, et anxieuse je monte les escaliers.

Lorsque la sonnette retentit, je glisse un regard vers lui, calme et souriant.

Il m'embrasse doucement et je découvre l'habitant du logement.

May me sourit largement.

May… cette femme qui m’initia aux plaisirs féminins, celle qui habite mes fantasmes depuis quelques temps.

Il vient de me conduire chez elle.

Elle est vêtue d'une salopette de jean et un débardeur sans manche.

Instantanément mon ventre s'enflamme malgré moi.

Mes joues deviennent rouges.

Sous son débardeur il est clair qu'elle ne possède rien.

Nous pouvons voir la naissance de ses petits seins et sa peau hâlée.

Elle clos la porte et s'approche de moi.

- Je vous attendais un peu plus tôt... enfin... surtout toi. Me dit-elle en flattant ma joue du dos de sa main.

Mon Maitre lui sert la main fraternellement.

Ils ont arrangés ce rendez-vous et j'en suis le jouet.

- Elle a donné de sa personne, d'où le retard.

Elle rit. Clair et cristallin.

Ses yeux sombres me fixent.

Elle approche sa bouche de la mienne.

- Je suis ravie que tu sois ici, chez moi.

Je sens son parfum et la fragrance ample me perturbe.

Sa voix est un murmure.

Elle pose ses lèvres sur mon cou, puis sur mes lèvres.

Tétanisée j'entrouvre doucement la bouche pour bientôt sentir sa langue venir m'envahir.

Je m'hasarde à lui rendre la pareille pour finir scellées dans un baiser langoureux où nos muscles se cherchent, se prennent et où nos bouches ne font plus qu’une.

C'est doux, c'est bon. Je m’y abandonne emplie d’un plaisir déconcertant.

J'embrasse pour la première fois une femme et mon clitoris se gorge de sang sous le désir.

Ses doigts glissent sur ma nuque et dans mes cheveux.

Elle vient saisir une de mes fesses.

-          Tu as un sacré beau cul. Me sussurre-t-elle à l'oreille en me mordillant le lobe.

Ses paroles crues et la sensation de ses dents m'excitent encore plus.

La voix mâle de mon Maitre nous interrompt.

Il nous regarde, visiblement content de lui.

- Je te la prête. Je vais attendre et vous entendre.

- Comme convenu. Poursuit May d’un air entendu.

Elle prend ma main dans la sienne.

Fine et douce je me laisse guider au travers de la pièce, comme dans un rêve.

Elle m'emmène vers sa chambre puis s'adresse à mon mentor.

- Viens, je vais te faire voir les jouets avec lesquels je vais m'amuser avec elle.

Il nous suit. Je suis rassuré et excitée de sa présence.

Il me veut gouine et offerte, je vais lui donner ce qu'il souhaite.

Sa chambre est spacieuse et lumineuse.

Sur le lit et sur le petit bureau trônent divers godemichés de toutes tailles et toutes formes.

- Elle va couiner, tu vas adorer.

Il rit de bon cœur, heureux par avance de la partie de sexe qui se profile entre moi, sa soumise, et celle qui va ma posséder pour un moment.

- Je filme, je te donnerais ça après le montage.

Il acquiesce. Je veux dire « non » mais son regard magnétique sur moi m’en empêche.

Je suis à lui et il est inutile de le cacher, j’adore ça.

Leur plan machiavélique est infaillible.

Je m'empourpre.

- Oui, petite garce. Me dit-elle, tendrement, en pressant au travers du tissu un de mes seins dont les bouts sont tendus. Je vais nous filmer, pour pouvoir m'exciter après coup, et vous donner l'occasion de te revoir quand vous ne serez plus là.

Sa petite insulte m'enflamme et le jeu commence.

- Je vais attendre dans le salon. Achève-t-il avant de me jeter un dernier regard plein d'envie.

Je sais qu'il est aussi excité que moi à l'idée de ce qui va se passer maintenant.

Il ferme la porte et mon cou subit la morsure enivrante de cette femme qui me veut.

Elle pose sa main sur mon sexe.

J’ai honte d’être trempée, folle d’envie.

Elle saisit ma main et la dans mon entre-jambe.

Elle m'impose un strip-tease dans lequel je me caresse devant elle.

Je me dénude lentement, délivrant mes seins généreux qui me font mal tant ils sont tendus.

Mes fesses se dénudent et je lui offre, dans un soupir, le plaisir de me voir écarter les cuisses pour révéler ma fente glabre.

Ils me veulent ainsi…

Je vais les satisfaire.

Elle va m'avoir.

Il va m'entendre.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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[...]
 
Il se dirige vers un parking ombragé.
A l'écart et vide, quelques frissons me parcourent l'échine.
Je me trémousse dans mon jean serré.
Cela fait longtemps que je n'ai pas eu un rendez-vous sur un parking.
Et encore jamais en plein jour.
Le moteur s'éteint et un bref instant ou le temps suspend son cour empli l'auto.
Pas âme qui vive autour de nous.
Des arbres, un petit ruisseau, un table de campeurs en bois, et le vague murmure de la ville au loin.
Le bruit de sa braguette qui s'ouvre déchire le calme silence.
Il me regarde sans un mot.
J'avance ma main vers cette ouverture et je sens sous mes doigts la chaleur de son sexe qui tend son boxer.
Mes yeux ont du mal à se fixer sur son visage impénétrable.
Dans un sourire il vient cueillir ma nuque pour m'attirer vers lui.
Mon visage se rapproche de son entre jambe.
J'extraie son membre et le décallote.
Il est à mon gout, gros, large, tendu et gorgé de sang.
Au creux de mes reins perle une goutte de mon envie.
Sa veine est gonflée et sous ma langue je perçois la douceur de son gland.
Je lèche doucement la tête lisse.
Ma langue glisse sous le chapeau pour venir descendre sur toute la longueur du vit, manche ardent qui me remplis d'envies indécentes.
Je tente de me frayer un passage jusqu'à la base afin de pouvoir m'enrouler autour de ses boules.
Il me facilite l'accès.
Son sexe frotte contre ma joue.
Je gobe un de ses testicules et le tire.
Il gémit. J'aime.
A l'aide de ma langue je fais aller et venir sa bourse glabre dans ma bouche.
Je l'aspire. Sa main caresse ma nuque. Ca m'excite.
Je m'empare de l'autre bourse et lui je lui fais subir le même sort, lentement, gouluement.
Je le regarde.
- C'est bon quand je vous tête les boules ?
Il me sourit.
Ma main le masturbe sur toute sa longueur.
- J'adore sucer.
Il me dirige vers son pieu dressé.
J'ouvre grand ma bouche pour engloutir son gland.
Gros, je viens exciter du bout de ma langue son méat duquel perle une petite goutte de plaisir.
Je la fais rouler et je le sens s'agiter sous l'effet brulant que je lui procure.
Les lèvres serrées je descend lentement le long de son large glaive.
Il palpite.
Avec une extrème lenteur je parviens presqu'à la base.
Je remonte en le prenant entre mes lèvres, de côté, afin de lui faire subir diverses sensations.
Je l'entends haleter sous mes pratiques.
Je réitère ce manège pendant plusieurs minutes à mon plus grand plaisir... et le sien...jusqu'à m'attarder sur le bout de sa queue.
Je le suce comme on le ferait d'une délicieuse sucette ronde.
C'est un plaisir incroyable que je prends à posséder dans ma bouche son engin et à le pratiquer avec une obscénité lente.
Il m'observe faire.
D'une main je saisi sa base.
- Vous voulez que je vous branle dans ma bouche ?
Sans attendre sa réponse je m'exécute.
Ma main agite son sexe contre ma langue, bouche grande ouverte.
Je suis dans un état d'excitation rare.
Mon sexe coule contre la couture de mon jean.
Et ces phrases que je lui dit... elles me dépassent et me font vibrer.
Je me lance en rougissant.
- Baisez ma bouche de salope.
Il ne se fait pas prier pour me saisir et me forcer à l'emboucher.
Au rythme de ses coups de reins imperceptible, génés par l'étroitesse de l'habitacle il me fait descendre loin sur sa queue.
Je me place à genoux sur le siège passager.
- Baisse ton jean. Me dit-il alors que je le pompe avec délice.
Je perds l'appui de mes mains et son vit m'embroche jusqu'au fond de la gorge.
Avec difficulté je dénude mes fesses.
Je me sais alors visible d'un éventuel observateur et l'excitation m'envahit encore plus.
Mon cul se balance devant la vitre passager.
Il ne cesse de me bourrer la bouche.
Je salive et mes lèvres se meurtrissent de cette gorge profonde qu'il me fait subir.
Ses mains enserrent mon visage et je suis son jouet, sa soumise.
Je jouis soudainement.
Il n'en a cure et continue à baiser ma bouche vigoureusement comme je tremble sous l'effet de la brusque secousse qui m'a parcourue.
La vitre se baisse. D'une seule main il me plaque sur son sexe.
- Vous cherchez quelque chose ? L'entends-je dire vers l'extérieur.
Une voix lui répond. Une voix d'homme.
- Je me demandais si vous aviez besoin d'aide.
- Du tout. Répond-il.
La voix est celle d'un passant... Je veux me redresser, remettre mon jean en place, me cacher !
Je m'affole.
Il me maintient.
- Continue de me sucer. Ne bouge pas.
La voix se rapproche.
- Visiblement vous n'avez pas besoin d'aide.
L'inconnu a alors un petit rire pervers qui me révulse.
- Je me fais juste pomper le dard par une salope.
L'adorable salaud.
Sa réplique dans cette situation, il le sait, me trouble au plus haut point.
- Elle sait y faire.
Il apprécie de me faire oeuvrer ainsi devant un autre que je ne vois pas.
Je l'engloutis.
Je bave autour de son pieu qui me défonce la bouche en tout sens.
Je vais le rendre fier de moi.
- C'est une bonne suceuse.
Je poursuis ma fellation avec gourmandise.
La vitre passager s'ouvre et je sens une brise fraiche se poser sur mes fesses et mon sexe en feu.
- Elle a un beau cul.
Toujours cette petite voix qui m'agace.
Je le pompe avec plus d'insistance comme pour l'avaler et faire disparaitre son pieu.
- Un beau bijou aussi.
Il admire le cristal qui est planté dans mon étroitesse.
Je suis sur qu'il doit bander dans son froc.
- Il faut un beau cristal pour un si bel écrin, non ?
Il vient de lui clouer le bec et j'en suis heureuse.
Il se dresse et son membre bute dans mes joues.
J'ai l'impression d'être distendue de la bouche.
- Ca lui plait le plug ?
Sa voix montre son souffle plus court.
Cet inconnu déplaisant ne doit pas en revenir.
Cela m'amuse presque.
- Elle reste excitée et comme ça son cul est toujours près à se faire sodomiser.
Il parle de moi crument et mon sexe réagit instinctivement.
Il s'en apperçoit derrière moi.
- On dirait qu'elle mouille.
Je suce par réflexe, attentive aux paroles que s'échangent mon Maitre et ce badaud.
- Ecarte les cuisses que monsieur puisse voir si tu es trempée.
J'obéis en gémissant.
Je sens son regard détailler mon sexe et mes fesses.
- Elle a la chatte bien mouillée.
Il dit vrai.
Je ruisselle d'excitation.
- On peut toucher ?
Les larmes me montent aux yeux... mais ma croupe se cambre...
Attirance et répulsion.
- Seulement du bout des doigts.
La réponse cingle comme une cravache.
Je suis sa chienne et il autorise un homme à me faire une caresse.
Et je tends mon arrière-train vers la main inconnue qui flatte mon cul, appeurée et pleine d'envie.
Telle une forcenée je le suce comme jamais.
Les coups de queue qu'il me donne me font saliver et j'aspire autant que je le peux.
Avec une délicatesse que je n'aurais pas soupçonnée, l'inconnu presse ma motte entre trois doigts.
Il glisse dans ma fente et il parvient sans mal à titiller ma perle gonflée de désir.
Un doigt dans mon antre, les deux autres pressent mes lèvres.
Il me caresse avec douceur.
Je ralentis mes suscion, la bouche rougie.
Je lâche un petit cri quand il m'enfile deux doigts dans la chatte.
Je suis tellement lubrifiée qu'il me force sans effort.
A l'intérieur de ma vulve il entame un massage interne qui me fait pousser vers lui et l'introduire plus loin dans mon sexe offert.
Je gémis, le sexe de mon maitre sortit de ma bouche.
Il me caresse les cheveux et mon front, moite.
- Elle aime ça dites-donc. Commente l'inconnu sans cesser de me masturber profondément.
Je geins de plus en plus fort et je perçois la montée fébrile de l'orgasme.
Un nouvel orgasme, pénétrée par une main inconnue et la bite de mon Maitre en pleine bouche.
Je plonge vers son sexe.
Ma bouche peine à se serrer sous l'effet de l'effort continu qu'il ma fait subir à le sucer et le plaisir qui monte en moi.
- Elle adore ça, en bonne salope.
Sa veine palpite, son pieu se contracte.
Ma vulve lui répond.
Les doigts me fouillent.
Sa tige se tend.
J'aspire et je pompe comme une folle.
Il me pistonne la chatte avec ses doigts.
Il lâche son jet dans le fond de ma gorge.
Je jouis.
J'avale par gorgée l'épais liquide qu'il me déverse dans la bouche.
Les doigts font dans mon sexe souillé, un bruit similaire à des pas dans un marécage.
Il me maintient autour de sa queue.
Ses couilles se vident.
Je le déguste.
Mon arrière -train ondule jusqu'à la fin de ma jouissance.
Les doigts s'extraient pour me laisser ouverte à la vue de l'inconnu.
Il relâche la pression mais je lèche maintenant pour le nettoyer.
La vitre se referme.
Les pas s'éloignent.
Mon cul à la vitre se calme.
Je redresse mon visage.
J'ai mal.
Mes lèvres sont douloureuses.
Mon sexe est en feu.
Je ne parviens qu'avec peine à fermer ma bouche au gout de foutre.
J'essuie mon menton dégoulinant de ma salive et de son sperme.
Je me réajuste.
Il vient m'embrasser.
Nos langues se mèlent et s'enroulent.
Il renferme son membre assouvi.
- Tu es vraiment parfaite. Me dit-il.
Je lui souris.
- J'ai adorée, réponds-je.
Du dos de ses doigts il flatte ma joue.
- Je suis assez pute pour vous ?
- Tu aimes, c'est visible.
- J'adore.
Je deviens une assoiffée de sexe et avec lui je me sens femme, libre, belle.
- Alors tu vas apprécier la suite de ton éducation, et de notre sortie...
Au creux de mes reins déjà l'étincelle de l'excitation se refait sentir... affolée.
 
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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[...] 

Après un début de journée calme, nous nous retrouvons sur le canapé pour siroter un café.

Elle a revêtue une de mes chemises qu'elle n'a que peu boutonnée.

Ses jambes douces et pâles… ses seins généreux… ses hanches ondulantes… sa bouche délicieuse…

Simplement vêtue de cet effet, chaque pas qu'elle fait dans la pièce soulève un vent de volupté.

Nonchalamment ma main caresse son cou.

Sa peau chaude et lisse est douce sous mes doigts.

Elle penche légèrement son visage de côté pour dégager sa nuque et éloigner de ma main son fin collier de cuir qui lui rappelle sa condition.

Au hasard de mes caresses ma main vient glisser sur le tissu qui recouvre ses seins.

Sur la rondeur ferme je laisse errer le bout de mes doigts.

Je rencontre son téton et je décide de revenir par moment sur cette aspérité qui ne fait que se tendre un peu plus à chaque fois que je la frôle.

Chaque passage est une nouvelle découverte.

Son bout se durcit.

Mes doigts le font vibrer lorsqu'ils le forcent à se plier pour ensuite le libérer.

Je joue ainsi avec elle quelques longues minutes en élargissant mes explorations à chaque minute.

La forme rebondie de sa mamelle se retrouve bientôt complètement palpée par le bout de mes doigts.

Dans le creux de ma main, entre mon pouce et mon index, je viens serrer le mamelon orgueilleux.

Il roule comme mes doigts se frottent l'un à l'autre.

Sa poitrine se soulève et sa respiration s'accélère.

Je le tire doucement pour le relâcher dans un ersatz de succion manuelle.

Son bout est dur comme une pointe de crayon, il s'élargit pour être à l'image de ses gros seins, Impérial.

Je devine sous le coton l'auréole qui rougit du désir qui enfle.

Je sais que son pourtour se rosi à chaque étreinte que je lui fais subir.

Serrée entre le bout de mes doigts je tire sa tétine lentement vers le haut dans de doux va et vient.

Sa bouche s'est entre-ouverte, ses yeux se sont clos, elle soupire quelques "humm" qui m'invitent à poursuivre mes agissements.

Ses hanches se soulèvent et ondulent irrésistiblement attirés par ce mime de coït qu'elle ne peut empêcher.

Langoureusement son corps se tord sous les caresses que j'exerce sur sa splendide mamelle.

Lorsque je cesse et que je la libère de mes pressions, elle reste sous l'influence de l'excitation, le bassin cambré, les cuisses s'écartant de plus en plus.

Je l'abandonne ainsi pour préparer la suite de cette journée.

 

Quelques courtes minutes plus tard je la retrouve.

Assise sur le fauteuil, seule, les yeux fermés.

Elle a ouvert les boutons de la chemise pour libérer sa poitrine qui lui fait mal à force d'être excitée.

Elle palpe les formes généreuses de sa poitrine, soupesant un sein, irritant le téton, pétrissant la douce rotondité.

Ses cuisses sont largement ouvertes, le tissu est remonté sur ses hanches.

Ses doigts appuient sur la motte glabre.

Entre ses doigts, ses lèvres s'écartent pour apparaitre au grand jour, luisantes d'envie.

Elle se caresse en solitaire, les yeux clos, le visage serein.

Je l'observe faire.

Mon sexe est tendu devant ses attitudes sensuelles et son corps sublime.

Le calme de l'après-midi seulement troublé par sa respiration profonde et passionnée.

Du bout de ses doigts elle fait rouler son clitoris dans son foyer humide.

Ses mains alternent, ses doigts salis caressent le téton alors qu'elle enfonce son médius dans son vagin pour se doigter avec une extrême lenteur.

Elle porte son doigt à ses lèvres, le suce pour en recueillir sa liqueur avant de lui faire reprendre l'excitation de ses pointes arrogantes.

Elle est avec elle-même, perdue dans sa lubricité intime.

Dans un souffle elle murmure un "Monsieur", et son doigt s'enfonce en elle avec plus de rythme.

Je tousse légèrement et elle s'arrête soudain.

En ouvrant les yeux elle rougie et balbutie quelques excuses incompréhensibles qui me ravissent.

Je lui tends ses vêtements, "Nous sortons".

Elle s'habille en silence comme prise en faute avant de se confondre en explications.

Elle avait oubliée mon absence et se masturbait en pensant à moi.

Je décide de l'ignorer et elle se tait, confuse.

Lorsqu'elle marche à mes côtés je peux voir que son jean moulant presse son sexe encore excité et qu'elle ondule du bassin pour faire durer ce moment de plaisir.

Sous son petit haut échancré, sa paire de seins ballotte au gré des pas, ses bouts vigoureusement apparents.

Deux mamelles voluptueuses sans harnais.

Ce n'est qu'une fois assise sur le siège passager que je l'excuse de sa conduite.

Elle sourit mais son sourire disparait lorsque je lui impose de descendre son jean au-dessus de ses genoux pour continuer ses caresses, pendant que nous roulons.

Ses cuisses sont serrées et sa main disparait entre les chairs blanches pour s'agiter dans son entre cuisses.

Du coin de l'œil je m'aperçois qu'elle y prend un plaisir insolite.

Lorsque je lui fais glisser son pantalon aux chevilles elle écarte instantanément ses cuisses pour favoriser sa masturbation.

Nous roulons ainsi, moi, concentré sur l'itinéraire, elle, excitée et les doigts insérés dans le compas de ses jambes.

Lorsqu'à un feu je me place à côté d'un scooter, elle cherche à se cacher.

Mais ma réponse est ferme, elle doit continuer.

Afin de la rassurer je clos les portes de l'intérieur.

Le casque se tourne et je devine les yeux écarquillés derrière la visière.

Elle l'a vu et elle perd sa retenue.

Son majeur s'enfonce avec l'index alors que son pouce excite sa perle durcit.

Le feu n'en finit pas d'être rouge.

Rouge comme ses joues, comme son bonbon qu'elle offre au spectacle de l'homme en scooter dans une lente masturbation.

Le départ lui fait pousser un soupir.

Nous laissons loin derrière nous l'heureux profiteur et sur le boulevard de ceinture  j'avise un camion pour me mettre à sa hauteur.

Son regard trouve le mien.

Nos sourires complices s'échangent et elle poursuit l'acte de sa masturbation, à portée de vue du conducteur qui surplombe et peut ainsi profiter pleinement du spectacle qu'elle lui offre.

Elle agite sa main avec méthode et délicatesse, ouvre son sexe pour faire rouler entre ses doigts son bonbon et s'enfoncer deux puis trois doigts dans sa fente trempée.

Je double alors, et, remerciement ou reconnaissance, j'hérite d'un appel de phares ainsi que d'un salut de la main.

- Il a bien profité, tu l'as rendu heureux.

Elle se pelotonne dans le siège pour poursuivre avec plus d'intimité sa lubrique activité.

Les yeux mi-clos elle est aux portes du plaisir.

Ses gestes s'accélèrent, deviennent brusques.

Je la stoppe quelques instants avant la secousse ultime.

Ses yeux sont plus clairs, au fond de ses pupilles brulent les braises ardentes de l'envie.

Je lui tends un god.

Elle sourit et le prend.

Dans sa bouche elle le place afin de l'humidifier.

Simulacre de chibre beige, elle le suce quelques secondes comme s'il était vrai, pour venir le placer entre ses cuisses.

Tenu fermement dans sa main droite, elle s'applique à le faire entrer dans son sexe.

Sa main gauche écarte ses lèvres pour lui faciliter l'intromission.

Peu à peu je vois disparaitre les centimètres de la bite artificielle dans son vagin trempé.

Un nouveau feu et les deux motards n'en perdent pas une miette.

- Fais un sourire pendant qu'il te matte, lui dis-je.

Surprise, elle sourit dans une grimace, le pieu s'enfonçant presque intégralement dans son ventre.

- Fais-le aller et venir, ils veulent voir comment tu te forces.

Elle ne se fait pas prier pour entamer un long va et vient.

Les visières des motards se lèvent pour apprécier la masturbation qu'il leur ait donné d'observer.

Sa cyprine fait luire le manche qu'elle extrait puis entre sans cesse dans son intimité qui n'en est pas une.

Sa respiration devient saccadée, forte.

Elle gémit.

Je démarre, escorté par les motos qui nous laissent bientôt dans une roue arrière.

Sa bouche s'ouvre grand pour laisser s'échapper un cri qui se confond dans les rugissements des turbines.

L'artefact enfoncé en elle, elle jouit sans retenue, ses doigts sur sa perle.

Lentement elle sort le god ruisselant de sa fente écartée avant de s'essuyer.

- Lèche-le.

Sans une hésitation, avec un large sourire, elle passe sa langue pour recueillir son jus.

Elle nettoie consciencieusement puis remonte son jean.

J'avise un parking à l'écart, sous les arbres, que je sais inusité dans le week-end.

J'y dirige l'auto.

- A mon tour.

Elle rougit, ses yeux me dévorent.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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