[...]

 

Il venait de poser sa main sur mon genou et remontait vers ma cuisse.

Assise je m'étais relevée d'un bond, droite, j'avais jeté un regard à mon homme assis en face de moi.

Il avait fait des yeux ronds et était resté sans voix devant le geste sans gène de notre invité.

Mon Maitre, cet inconnu pour lui, avait désormais sa main sous ma jupe et approchait de mon entre cuisse.

Sa voix m'enflamma.

- Je pense qu'il y a moyen de se mettre d'accord... et de se donner raison.

Face à moi, l'homme qui partage ma vie.

A côté de moi, celui qui m'éduque en secret à la soumission.

Pas un seul mot ne semble vouloir sortir de ma gorge, étranglée entre l'émotion, le désir fou extatique de satisfaire mon Maitre et mon fantasme, et la honte de me faire caresser les fesses telle une chose.

L'absence de réaction de l'homme de la maison, incite Monsieur à aller plus loin.

Il palpe mon fessier sans aucune retenue, malaxant mes rondeurs sous le tissu.

- Une belle paire de fesses.

Le rouge me monte aux joues, ma voix est comme un appel au désespoir.

- Tu le laisses me... toucher... ?

Il hésite, incrédule, et se retient devant le gris des yeux de l'homme qui me flatte.

- Vu la bosse qui déforme son pantalon je pense même que cela lui plait. Lance la voix suave derrière moi.

Dans son fauteuil il se recale, comme pris en faute.

Mon homme est pris d'une érection qu'il ne peut cacher alors que je me fais ploter le fessier.

J'en suis abasourdie tout autant que flattée et je ne peux m’empêcher d’ouvrir un peu mes cuisses sous le feu de l’excitation.

Je ferme les yeux alors que l'index vient se placer sur ma culotte et qu'il me frotte l'entre jambe.

- Il n'est pas le seul à qui cela plait... elle mouille.

Les manigances se poursuivent, du bout des doigts.

Je ne peux m'empêcher d'onduler malgré moi, peu à peu envahie par le plaisir coupable et démultiplié  de me faire caresser devant mon homme qui me détaille avec un regard fou.

- Défais ton chemisier, que je vois si tes seins sont aussi beaux que je m'en souviens.

La voix est pleine, chaude, assurée. Elle me parvient comme dans un état second…

Lentement, presque mécaniquement, mes mains ouvrent mes boutons et dévoilent ma poitrine engoncée dans mon soutien-gorge qui se lève au rythme de ma respiration trop forte.

J'échange un regard avec l'homme spectateur en face de moi... je suis sa femme, mais il me laisse faire, il laisse l'autre mâle me saisir entre ses griffes. Et mon plaisir monte encore d'un cran.

- Enlève ta jupe.

Le ton est sans appel.

Implacable.

Il sait qu'il a gagné et qu'il va me posséder sans être dérangé par mon homme, résigné, abattu et le regard quelque peu pervers.

Je dégrafe ma jupe que je fais tomber au sol.

Simplement vêtue de mon string je m'efforce de rester digne malgré les soulèvements de ma poitrine qui témoignent de mon émotion.

Ses mains se placent sur mes hanches et il me fait s'asseoir sur ses genoux.

Je résiste un peu à ces mains qui me placent au-dessus de lui, dans une position éloquente sans pouvoir cependant m’y refuser.

Je me retrouve les cuisses écartées, à califourchon sur lui.

En écartant légèrement ses jambes, de ses genoux dans l’intérieur de mes cuisses, il me force à m'écarter un peu plus et m'offrir à leurs regards.

Un nouvel échange de regards. Il fuit mes yeux, éberlué de voir sa femme accepter de se faire ainsi diriger, excité peut-être tout autant que moi.

Les mains passent sur mes épaules, sur mes bras. Je frissonne.

Je sens ma motte bomber le tissu du string et je devine quelques gouttes qui le souillent déjà.

La bretelle droite descend sur ma peau bientôt suivit de la gauche.

Mon harnais ne tient plus que par la pression de mes seins sur le tissu et le téton saillant à l'extrême.

Une main vient s'emparer d'un de mes seins et le presse par-dessus le coton.

- Défais  tout. M’impose t-il.

Je passe mes mains dans mon dos et je dégrafe l’attache.

Instantanément mes seins se tendent.

Je fais glisser par terre le tissu et mes seins s’offrent à nu, mon soutien-gorge n'est plus qu'un souvenir.

- Belle paire de seins.

Il me caresse avec dextérité.

Il soupèse ma poitrine alors que je me redresse, fière.

- J'aime les gros seins.

Ses mains me palpent sans retenue.

- Il ne doit pas s'ennuyer ton mec avec une poitrine aussi orgueilleuse.

Je sens le changement imperceptible de sa voix, de son langage... et je rougis.

Ses paumes viennent me presser les tétons avant de les faire rouler puis les tirer entre ses doigts.

- Des belles auréoles... Tes tétons dardent sous l'excitation,  tu aimes lorsqu'on te caresse les bouts. N'est-ce pas ?

Je hasarde un "oui" timide.

Ma voix me résonne aux oreilles, méconnaissable.

- Tournes-toi que je les vois de plus près.

Je m'exécute, les genoux autour des ses jambes, les bras sur le dossier du fauteuil.

- C'est bien. Laisse pendre tes mamelles.

Ses mains viennent me pétrir et exciter mes tétines.

Un à un il presse mes seins vers mes bouts raidis, l'un après l'autre, comme... j'en ferme les yeux à nouveau.

- Elle aime ça... se faire traire.

Je me cabre sous les paroles, insultée, surprise qu'il dise ce que je pensais.

- Donne-moi ton pie à téter.

Je plante mon regard dans le bleu acier, hésitante, avant de saisir mon globe droit et de lui offrir, à portée de sa bouche.

Il me lèche doucement sans me lâcher du regard avant d'aspirer ma pointe et de me téter avec passion.

Sous sa langue je sens mon mamelon aller et venir de droite à gauche avant de se faire aspirer puis relâcher inlassablement.

Je me fais téter et je ne peux réprimer mes ondulations qu'il accompagne d'une main.

Il lèche encore quelques instants mon sein qui irradie de tension.

Je lui donne l'autre.

- C'est qu'elle veut encore que je lui traie les mamelles devant son mec.

Je grogne alors qu'il pose ses dents et tire sur mon bout douloureux avant de m'avaler pour une nouvelle séance de succions.

Un gémissement m'échappe.

La présence de ses mains sur mon bassin devient plus insistante.

Il lâche mon téton luisant de sa salive, érigé au centre de mon auréole.

Je me laisse faire, pivoter, pour me retrouver assise sur lui, dos contre son torse.

Je le sens enlever sa chemise derrière moi.

- Dis donc, ton mec il prend plaisir à te voir te faire sucer les seins.

Devant moi, en effet, il se caresse au travers de son pantalon, sans un mot, subjugué.

Les mains descendent sous mes cuisses et me soulèvent.

Je suis bientôt dans une position particulièrement indécente les jambes écartées, penchée en avant face à mon homme qui n’en croit pas ses yeux.

- Donne-moi ton string.

Je le fais glisser.

A peine ai-je enlevé le tissu sali qu'il m'oblige à écarter en grand le compas de mes jambes en me plaquant à lui.

Les genoux relevés sur ma poitrine, les cuisses largement ouvertes.

Mon sexe humide et la vallée de mes fesses à portée de leur vue.

Je lui tends ma culotte.

Il renifle mon string.

J’ai l’impression d’être prise en faute comme une élève dissipée.

- Il sent la moule.

Sa voix est dure. Je ne peux rien répondre, sans voix.

- Ca te fait mouiller de te donner à un autre que ton mec devant lui... alors tu n'as pas finis.

Mon homme ne dit rien. Il me regarde.

- Pour mon travail je pense que j'ai au moins mérité 3 ou 4 passes avec toi.

Sa pression s'affermit sur moi.

Je réagis instantanément à ses derniers mots.

Rouge de honte, choquée... excitée.

- Ne me dis pas que tu n'as pas compris, petite catin.

Sa main vient saisir la mienne et la place sur mon sexe.

Il me force à me caresser, détendant immédiatement mon envie de résister.

Après quelques appuis sur mes doigts qui me compriment la fente, c'est alors moi qui prends le relai des manigances comme ses doigts s'éloignent.

- Voilà... caresse-toi devant nous. Plus fort. Allez. Je sais que tu dois aimer te branler, catin.

Je découvre mon clitoris de son capuchon de chair pour le stimuler dans tous les sens.

"Catin"... son mot est fort... je me livre à son désir...

Mes doigts ouvrent mes lèvres et lentement je me fouille, sans retenue, devant mon homme alors que Monsieur me présente ses doigts trempés de mon suc.

Je pose ma langue à la découverte de mon jus pour le recueillir par petites touches.

- Catin… le mot te va bien. N’est-ce pas ?

Je bredouille un faible « oui » presque inaudible qu’il me fait répéter plus fort.

Mon affirmation me fait un choc.

Et ma main s’agite plus vite, plus fort, ma langue passe avec obscénité sur mes doigts salis avec l’envie de les rendre fous de désir tous les deux…

- Continue de lécher ta mouille. On va voir si tu sais lécher autre chose.

Le bruit caractéristique de son pantalon qui s'ouvre accélère mes battements cardiaques et soulève ma poitrine généreuse.

Je me place à genoux devant lui sans qu'il n'ait à me forcer.

- Regardez-la s'agenouiller... elle a compris sa place.

Il me sourit d'un air entendu, la joie qu'il a de me soumettre devant mon homme éclaire son visage.

Je suis aux anges...

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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[...]

 

Je le vois dans ses yeux, ce mélange d'excitation et d'angoisse qui rend ma venue encore plus savoureuse.

Je coule mon regard dans son chemisier écru dont le décolleté laisse deviner un soutien-gorge brun.

Son escarpin claque sur le sol lorsqu'elle fait un pas en arrière pour m'inviter à entrer.

Ses jambes ombrées de nylon disparaissent sous une jupe à mi cuisses, stricte mais légère.

Ma main se tend pour serrer celle de son homme.

Il n'a pas été sans remarquer que je la détaillais mais ne fait aucun commentaire.

Je le suis jusque dans le salon.

Dans une tenue décontractée il dénote d'avec elle qui a rehaussée son charme avec un maquillage léger.

Les détails sont infimes mais elle n'est pas comme à l'habitude.

Un peu plus de khôl, un rouge à lèvres un peu plus carmin, un bouton en moins au chemisier, une mèche de cheveux un peu folle devant son front... autant de petits indices qui me ravissent.

Je prends place dans le canapé. hp8zj5bt.jpg

Elle se place à ma gauche, il s'installe à ma droite et je sors les deux dossiers.

Ils se trémoussent sur leurs sièges soudain rattrapés par la réalité qui fut la leur il y a quelques semaines lorsqu'elle décida de réaliser des photos de charme, ici même.

Le premier dossier s'ouvre sur des clichés en noir et blanc.

La sensualité se dégage de ses positions.

Les clairs-obscurs et les contre-jours mettent en valeur ses formes.

Ses courbes apparaissent un peu plus au fil du reportage.

Ici c'est un sein au téton pointé qui offre la perspective de son cou jusqu'à sa bouche entrouverte, là ce sont ses fesses qui nous dévoilent l'orée de son intimité, drapée dans une soie fine et transparente.

Je les sens s'agiter autour de moi.

Les mots leurs viennent doucement.

Ils apprécient et constatent que l'idée, si elle était surprenante, a donné de jolis résultats.

Je m'empresse d'ajouter que le modèle est des plus sensuels.

Imperceptiblement elle se redresse, flattée.

Il sourit, ravi à son tour.

Je leur confie la première pochette et l'ensemble des images avant de leur présenter quelques grands formats.

Elle y apparait dans toute sa sensualité.

Les courbes de ses seins généreux saisis dans ses mains dont les mamelons seuls retiennent la lumière et la couleur douce, confèrent à l'image un érotisme indéniable.

Au fil des clichés elle nous dévoile peu à peu son corps sous les moindres contours.

Je décide de faire une pause avant de sortir la deuxième partie de photos.

Celles qui dépassent la suggestion cachée et vont montrer cette femme sous un autre visage, celui qui l'a habité lorsqu'elle s'est offerte à l'objectif autant qu'à son homme, sous mes yeux.

Elle se lève pour chercher quelques petits fours alors qu'il sort des coupes et débouche un champagne frais.

Réinstallés à mes côtés, un peu plus mal à l'aise que tout à l'heure, je dévoile la première image... puis la seconde... les égrenant sans commentaire.

Je perçois leur émoi.

Ils vident leurs verres afin de compenser leur fébrilité.

Les respirations se font plus rapides.

Elle, parfois gênée, détourne le regard doucement.

Elle rougit lorsque je lui souris.

Il parvient à exprimer qu'il n'en revient pas qu'elle soit aussi sensuelle.

Je corrige par un "sexuelle" qui la fait s’empourprer.

Il est comme hypnotisé par une femme qu’il semble découvrir pour la première fois.

Deux grands formats noirs et blancs retiennent leur attention.

Elle, cambrée, le dos en courbe parfaite, ses bras masquant le début de ses seins, laissant apparaitre leur opulence et les pointes tendues, le cou relevé, la bouche ouverte dans un cri muet, des mains d'hommes sur ses hauts de cuisses indiquant sans aucune ambigüité qu'il la prend en levrette.

Il souffle, estomaqué.

Elle se fige, terriblement gênée.

Puis la seconde, le membre masculin disparu dans la bouche féminine, les joues creuses, son regard vers l'objectif. Seuls ces yeux de femme dans le plaisir sont nets. On y perçoit le feu de l'envie, le plaisir de plaire, le gout du sexe.

Il s'affale dans le canapé, vidant son verre d'un coup.

Elle se trémousse, honteuse.

Le silence s'installe, uniquement troublé par les bruissements des cliches que je réinstalle dans leurs pochettes.

Je pousse l'ensemble sur la table.

Il leur appartient.

Son homme prend la parole. Visiblement surpris mais content de si jolis rendus.

Elle sourit, les pommettes rougies.

Nous la flattons sur ses dispositions et son rôle de modèle superbe.

Nous discutons quelque peu technique et une certaine sérénité se réinstalle.

Elle propose d'aller chercher d'autres petites choses.

Je l'observe, son fessier engoncé dans sa jupe, ses escarpins qui relèvent ses mollets, j'admire son déhanché.

Ses paroles me surprennent.

Il ne l'aurait pas cru capable de cela.

Nous échangeons sur sa plastique et le plaisir que j'ai pris à les saisir...

Elle l'a surpris. Il ne l'imaginait pas pouvoir être si sensuelle.

Je le détrompe, l'assurant qu'elle dégage un érotisme puissant, près à parier qu'elle doit être extrêmement engageante.

Il sourit, me narrant à mots couverts qu'elle est pourtant très prude.

La connivence s'installe dans cette joute entre mâles.

Je joue l’étonné, ce que j’ai vu ne me laissant pas imaginer qu’elle puisse être réservée.

Il me certifie qu’elle est une femme sage sous-entendant que d’autres le sont moins… dans sa fierté de mâle qui laisse planer le doute de nombreuses conquêtes.

Je sirote, dubitatif.

Son sourire est celui de l’homme qui sait, qui connaît sa femme mieux que quiconque.

Il est près à parier son âme, tant il l'a connait.

Nous l'entendons œuvrer dans une pièce adjacente, n'osant pas revenir, prise par sa timidité.

Puis, elle revient, souriante.

Combien me doit-il pour cette séance ?

La question me prend de court et je m'offusque.

C'est un plaisir que j'ai partagé avec eux.

Il la prend à témoin pour insister sur un paiement.

Je refuse une nouvelle fois, un petit sourire en coin.

Il lui sourit.

Elle s’installe sur les coussins, près de moi.

"Il y a peut-être..." commence-je...

Ma main se pose sur sa cuisse et remonte sous sa jupe, lentement.

Elle se fige.

Il ouvre de grands yeux.

"... un moyen de nous mettre d'accord."

Ma main disparait sous la jupe, glissant sur le nylon de ses bas.

Il vient de comprendre que j'ai accepté le pari... et la rétribution.

 

A suivre...

 

 

Photo : issu du blog http://croissantdelune.centerblog.net

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[...]

Durant toute une semaine j'avais réfléchis, discuté avec Monsieur.

Il devait venir chez moi, à la maison, me faire voir, à moi et mon homme, les photos de charme qu'il avait faite de nous.

Les clichés étaient à notre disposition.

Peu à peu, au fil de nos échanges, je me suis vue passer par diverses étapes de réflexion.

Il y eu le refus de partager ses images avec mon homme... qui m'avait avoué avoir une amante.

J'avais aussi pensé que ces images auraient contribué à redonner de la force à notre cohésion quelque peu fendillée.

Il y avait également eu l'envie de me venger en m'exhibant.

Mais je venais de révéler la possibilité de réaliser un de mes fantasmes... Et c'est ce qui agitait mes journées et mes nuits.

Monsieur semblait particulièrement satisfait et je devinais qu'il m'avait emmenée là où il le désirait, alors que j'en avais l'apparente décision.

J'allais me montrer gentille avec lui, devant mon homme, très gentille... et j'étais excitée... très excitée.

En moi se bousculaient deux concepts qui occupaient autant de place l'un que l'autre.

D'un côté j'avais cette image où mon homme me regardait me faire caresser par un autre, je le voulais jaloux et me désirant.

De l'autre côté j'étais celle que mon Maitre voulait, je le rendais fier et je donnais libre cours à ma sensualité.

J'allais dévoiler à ma vie sage mon côté sauvage.

A cette simple évocation je perlais déjà.

Mais, à mesure que la date approchait, puis l'heure, j'étais de plus en plus anxieuse.

Une nouvelle fois la honte s'emparait de moi pour se mélanger à l'envie sexuelle.

Je savais que je n'arrêterais pas mon implacable mentor et je ne le voulais surtout pas, je ne le pouvais pas, j'étais dans un état second.

Ce mélange détonnant de sentiments qui se télescopent me déconcertaient.

Nous y étions, mardi... ce soir il allait sonner à notre porte.

Ce soir il allait me toucher. Et je ne serais pas seule.

Dans l'après-midi je n'avais pas tenue, mes doigts avaient glissés entre mes cuisses.

Je croyais calmer le feu qui brulait en moi, mais c'était sans compter sur la force de mes envies qui avaient alors emplies mon esprit d'une multitudes de gestes, de paroles, d'images qui n'avaient fait que renforcer le brasier.

 

Devant moi, mon reflet dans le miroir me renvoie l'image de mes yeux brillants.

Quelle tenue porter ?

Des dessous noirs en dentelle.

Le soutien-gorge enveloppait ma poitrine et le petit string découpait mes hanches de façon sexy.

Un chemisier crème, échancré, qui laissait apparente la vallée de mes seins.

Mes bas disparaissaient sous une jupe droite noire, légère, à mi-cuisses.

Sage, classique, un brin de sensualité.

Lorsque la sonnette retentit un éclair me transperce.

L'envie...

Je dois réguler mes battements de cœur pour descendre l'escalier et me redonner une contenance.

Il approche dans l'allée.

Mon homme me regarde. Il me sourit.

- Et bien ! Tu t'es mise en beauté.

Le compliment me touche.

Dans son ensemble sportswear, il est nettement plus décontracté que moi.

Je pose mes lèvres sur sa bouche.

- Toi, tu es toujours beau. Allons accueillir notre preneur d'images.

La porte s'ouvre sur le regard acier et je rougis.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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