Partager l'article ! Nue sous le regard - 1: [...] Il venait de poser sa main sur mon genou et remontait vers ma cuisse. ...
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Il venait de poser sa main sur mon genou et remontait vers ma cuisse.
Assise je m'étais relevée d'un bond, droite, j'avais jeté un regard à mon homme assis en face de moi.
Il avait fait des yeux ronds et était resté sans voix devant le geste sans gène de notre invité.
Mon Maitre, cet inconnu pour lui, avait désormais sa main sous ma jupe et approchait de mon entre cuisse.
Sa voix m'enflamma.
- Je pense qu'il y a moyen de se mettre d'accord... et de se donner raison.
Face à moi, l'homme qui partage ma vie.
A côté de moi, celui qui m'éduque en secret à la soumission.
Pas un seul mot ne semble vouloir sortir de ma gorge, étranglée entre l'émotion, le désir fou extatique de satisfaire mon Maitre et mon fantasme, et la honte de me faire caresser les fesses telle une chose.
L'absence de réaction de l'homme de la maison, incite Monsieur à aller plus loin.
Il palpe mon fessier sans aucune retenue, malaxant mes rondeurs sous le tissu.
- Une belle paire de fesses.
Le rouge me monte aux joues, ma voix est comme un appel au désespoir.
- Tu le laisses me... toucher... ?
Il hésite, incrédule, et se retient devant le gris des yeux de l'homme qui me flatte.
- Vu la bosse qui déforme son pantalon je pense même que cela lui plait. Lance la voix suave derrière moi.
Dans son fauteuil il se recale, comme pris en faute.
Mon homme est pris d'une érection qu'il ne peut cacher alors que je me fais ploter le fessier.
J'en suis abasourdie tout autant que flattée et je ne peux m’empêcher d’ouvrir un peu mes cuisses sous le feu de l’excitation.
Je ferme les yeux alors que l'index vient se placer sur ma culotte et qu'il me frotte l'entre jambe.
- Il n'est pas le seul à qui cela plait... elle mouille.
Les manigances se poursuivent, du bout des doigts.
Je ne peux m'empêcher d'onduler malgré moi, peu à peu envahie par le plaisir coupable et démultiplié de me faire caresser devant mon homme qui me détaille avec un regard fou.
- Défais ton chemisier, que je vois si tes seins sont aussi beaux que je m'en souviens.
La voix est pleine, chaude, assurée. Elle me parvient comme dans un état second…
Lentement, presque mécaniquement, mes mains ouvrent mes boutons et dévoilent ma poitrine engoncée dans mon soutien-gorge qui se lève au rythme de ma respiration trop forte.
J'échange un regard avec l'homme spectateur en face de moi... je suis sa femme, mais il me laisse faire, il laisse l'autre mâle me saisir entre ses griffes. Et mon plaisir monte encore d'un cran.
- Enlève ta jupe.
Le ton est sans appel.
Implacable.
Il sait qu'il a gagné et qu'il va me posséder sans être dérangé par mon homme, résigné, abattu et le regard quelque peu pervers.
Je dégrafe ma jupe que je fais tomber au sol.
Simplement vêtue de mon string je m'efforce de rester digne malgré les soulèvements de ma poitrine qui témoignent de mon émotion.
Ses mains se placent sur mes hanches et il me fait s'asseoir sur ses genoux.
Je résiste un peu à ces mains qui me placent au-dessus de lui, dans une position éloquente sans pouvoir cependant m’y refuser.
Je me retrouve les cuisses écartées, à califourchon sur lui.
En écartant légèrement ses jambes, de ses genoux dans l’intérieur de mes cuisses, il me force à m'écarter un peu plus et m'offrir à leurs regards.
Un nouvel échange de regards. Il fuit mes yeux, éberlué de voir sa femme accepter de se faire ainsi diriger, excité peut-être tout autant que moi.
Les mains passent sur mes épaules, sur mes bras. Je frissonne.
Je sens ma motte bomber le tissu du string et je devine quelques gouttes qui le souillent déjà.
La bretelle droite descend sur ma peau bientôt suivit de la gauche.
Mon harnais ne tient plus que par la pression de mes seins sur le tissu et le téton saillant à l'extrême.
Une main vient s'emparer d'un de mes seins et le presse par-dessus le coton.
- Défais tout. M’impose t-il.
Je passe mes mains dans mon dos et je dégrafe l’attache.
Instantanément mes seins se tendent.
Je fais glisser par terre le tissu et mes seins s’offrent à nu, mon soutien-gorge n'est plus qu'un souvenir.
- Belle paire de seins.
Il me caresse avec dextérité.
Il soupèse ma poitrine alors que je me redresse, fière.
- J'aime les gros seins.
Ses mains me palpent sans retenue.
- Il ne doit pas s'ennuyer ton mec avec une poitrine aussi orgueilleuse.
Je sens le changement imperceptible de sa voix, de son langage... et je rougis.
Ses paumes viennent me presser les tétons avant de les faire rouler puis les tirer entre ses doigts.
- Des belles auréoles... Tes tétons dardent sous l'excitation, tu aimes lorsqu'on te caresse les bouts. N'est-ce pas ?
Je hasarde un "oui" timide.
Ma voix me résonne aux oreilles, méconnaissable.
- Tournes-toi que je les vois de plus près.
Je m'exécute, les genoux autour des ses jambes, les bras sur le dossier du fauteuil.
- C'est bien. Laisse pendre tes mamelles.
Ses mains viennent me pétrir et exciter mes tétines.
Un à un il presse mes seins vers mes bouts raidis, l'un après l'autre, comme... j'en ferme les yeux à nouveau.
- Elle aime ça... se faire traire.
Je me cabre sous les paroles, insultée, surprise qu'il dise ce que je pensais.
- Donne-moi ton pie à téter.
Je plante mon regard dans le bleu acier, hésitante, avant de saisir mon globe droit et de lui offrir, à portée de sa bouche.
Il me lèche doucement sans me lâcher du regard avant d'aspirer ma pointe et de me téter avec passion.
Sous sa langue je sens mon mamelon aller et venir de droite à gauche avant de se faire aspirer puis relâcher inlassablement.
Je me fais téter et je ne peux réprimer mes ondulations qu'il accompagne d'une main.
Il lèche encore quelques instants mon sein qui irradie de tension.
Je lui donne l'autre.
- C'est qu'elle veut encore que je lui traie les mamelles devant son mec.
Je grogne alors qu'il pose ses dents et tire sur mon bout douloureux avant de m'avaler pour une nouvelle séance de succions.
Un gémissement m'échappe.
La présence de ses mains sur mon bassin devient plus insistante.
Il lâche mon téton luisant de sa salive, érigé au centre de mon auréole.
Je me laisse faire, pivoter, pour me retrouver assise sur lui, dos contre son torse.
Je le sens enlever sa chemise derrière moi.
- Dis donc, ton mec il prend plaisir à te voir te faire sucer les seins.
Devant moi, en effet, il se caresse au travers de son pantalon, sans un mot, subjugué.
Les mains descendent sous mes cuisses et me soulèvent.
Je suis bientôt dans une position particulièrement indécente les jambes écartées, penchée en avant face à mon homme qui n’en croit pas ses yeux.
- Donne-moi ton string.
Je le fais glisser.
A peine ai-je enlevé le tissu sali qu'il m'oblige à écarter en grand le compas de mes jambes en me plaquant à lui.
Les genoux relevés sur ma poitrine, les cuisses largement ouvertes.
Mon sexe humide et la vallée de mes fesses à portée de leur vue.
Je lui tends ma culotte.
Il renifle mon string.
J’ai l’impression d’être prise en faute comme une élève dissipée.
- Il sent la moule.
Sa voix est dure. Je ne peux rien répondre, sans voix.
- Ca te fait mouiller de te donner à un autre que ton mec devant lui... alors tu n'as pas finis.
Mon homme ne dit rien. Il me regarde.
- Pour mon travail je pense que j'ai au moins mérité 3 ou 4 passes avec toi.
Sa pression s'affermit sur moi.
Je réagis instantanément à ses derniers mots.
Rouge de honte, choquée... excitée.
- Ne me dis pas que tu n'as pas compris, petite catin.
Sa main vient saisir la mienne et la place sur mon sexe.
Il me force à me caresser, détendant immédiatement mon envie de résister.
Après quelques appuis sur mes doigts qui me compriment la fente, c'est alors moi qui prends le relai des manigances comme ses doigts s'éloignent.
- Voilà... caresse-toi devant nous. Plus fort. Allez. Je sais que tu dois aimer te branler, catin.
Je découvre mon clitoris de son capuchon de chair pour le stimuler dans tous les sens.
"Catin"... son mot est fort... je me livre à son désir...
Mes doigts ouvrent mes lèvres et lentement je me fouille, sans retenue, devant mon homme alors que Monsieur me présente ses doigts trempés de mon suc.
Je pose ma langue à la découverte de mon jus pour le recueillir par petites touches.
- Catin… le mot te va bien. N’est-ce pas ?
Je bredouille un faible « oui » presque inaudible qu’il me fait répéter plus fort.
Mon affirmation me fait un choc.
Et ma main s’agite plus vite, plus fort, ma langue passe avec obscénité sur mes doigts salis avec l’envie de les rendre fous de désir tous les deux…
- Continue de lécher ta mouille. On va voir si tu sais lécher autre chose.
Le bruit caractéristique de son pantalon qui s'ouvre accélère mes battements cardiaques et soulève ma poitrine généreuse.
Je me place à genoux devant lui sans qu'il n'ait à me forcer.
- Regardez-la s'agenouiller... elle a compris sa place.
Il me sourit d'un air entendu, la joie qu'il a de me soumettre devant mon homme éclaire son visage.
Je suis aux anges...
A suivre…