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Il est là. Il sonne. Un vertige m’envahit. Il est devant ma porte.

Je lui ouvre sans prendre garde à ma tenue.

Je n’ai pas eu le temps de me changer.

Il me salue et me sourit.

Il contemple mes formes.

Ma poitrine généreuse sous mon tee-shirt étroit, mes cuisses fuselées dont la petite culotte bleue échancrée laisse apparaitre une bonne partie de mes fesses.

Mes joues rosissent de confusion.

-         Je n’ai pas eu le temps de finir de me préparer, Monsieur… Il ne me laisse pas finir ma phrase et m’attire à lui.

Il m’embrasse. Je lui rends son baiser. Je me sens emportée par un tourbillon d’émotions.

Si longtemps que je ne l’ai pas vu, trop longtemps qu’il ne m’a pas touché.

Mes mains dans sa nuque je le garde pour moi.

Il me presse contre lui en refermant la porte.

Notre étreinte se calme après de longues minutes passionnelles.

-         Je suis heureux de vous revoir en si bonne forme ma chère.

Ses mains passent de mes épaules à mes seins dont les tétons dardent sous le tissu.

Comme par magie il comprend mon envie et, de ses mains de mâle, me malaxe lentement.

J’en ferme les yeux. L’excitation me prend. Lorsque je les ré-ouvre c’est pour le découvrir qu’il a ôté mon tee-shirt et que chacune de mes mamelles se trouve pétrie, mes bouts tirés, rapprochés puis éloignées l’une de l’autre par ses gestes fermes.

Je sens mon jus poindre entre mes cuisses et s’apprêter à couler sous ses caresses.

Il pose sa bouche sur mes bouts de sein. J’ai envie qu’il me tête mais je me retiens de lui en faire la demande.

Il me suce doucement et sa bouche irradie ma poitrine d’un plaisir intense.

Il déboutonne sa chemise devant moi.

Je découvre son torse, son ventre, ses épaules où les ombres de ses muscles m’attirent comme la lumière attire les papillons.

Il fait glisser sa ceinture dont la boucle de métal étincelle. Entre les passants, la pièce de cuir me donne des envies de force. Je suis troublée par mes pensées indécentes.

Il fait claquer cette lanière dans sa paume et je sors de mon rêve.

Il ne sourit pas, il me regarde. Dans ses yeux le feu brule. Il allume dans mon bas ventre le foyer d’un incendie qui me dévore. Ma vulve se contracte et je ne peux m’empêcher de passer d’une jambe sur l’autre.

Il fait glisser son pantalon au sol. Dans son boxer noir je vois palpiter son sexe qui se réveille.

Il le descend lentement et je profite de ce moment où l’homme se met à nu.

Je regarde sans me lasser, la taille vigoureuse de la bête qu’il offre à ma vue.

Surplombant ses deux bourses qui me semblent bien pleines, son sexe s’étire et se réveille, gonfle et se gorge de sang.

Il grandit, il devient large. Le gland turgescent, lisse, m’apparait.

Je veux le prendre en bouche. Je le sens déjà avancer dans ma bouche et me forcer à ouvrir largement mes lèvres à peine maquillées.

Il atteint une grosseur qui m’effraie un petit peu et je me demande comment cet engin va réussir à me pénétrer, à nouveau.

Mais j’en ai envie et je suis prête. Mouillée. Excitée comme une pucelle.

Il joue avec sa ceinture et en passe la boucle sur mes pointes.

La fraicheur les raidis. Il passe sur mon ventre et jusqu’à mon sexe.

Imperceptiblement j’ai écarté les cuisses et la boucle vient danser sur mon sexe en frôlant le tissu.

Mon clitoris me fait mal, mes lèvres me brulent sous le désir d’être assouvie.

Il fait alors glisser le cuir entre mes jambes.

La ceinture remonte dans la raie de mes fesses.

Le cuir vient enserrer mon slip et il me soulève légèrement.

Le frottement rude me fait pousser un petit cri.

La pression écrase mon sexe et me force à écarter les fesses pour lui permettre de poursuivre son geste de balancier.

Il prend son temps pour me soumettre à cette torture érotique qui me fait suinter.

-         Monsieur, ma cyprine va durcir votre ceinture. Halète-je dans un moment de répit.

-         Parce que tu es mouillée ? Me dit-il d’un ton faussement surpris.

Je geins sous la caresse du cuir alors que mon sexe s’est ouvert.

-         Enlève ta culotte. Le ton est sans appel.

Je ne peux qu’obéir.

Je me baisse tout en sentant son regard se poser sur ma croupe qui se dénude et se dévoile.

Il laisse échapper un petit grognement que je sais admiratif.

Ma culotte est trempée, je la jette au sol.

-         Ramasse. M’ordonne t-il.

Je m’exécute. Nue, je me penche pour qu'il puisse regarder mes fesses, je ramasse et lui tends mon dessous trempé.

Il approche son visage du tissu qui couvrait mon sexe.

-         Elle sent n’est-ce pas ?

-         Oui Monsieur.

-         Que sent-elle ?

-         Mon sexe Monsieur, bredouille-je.

-         Non…. Elle sent autre chose.

-         Heu… mon plaisir ?

-         Non.

Je ne sais pas quoi répondre. Son regard acier ne cille pas et je le trouve alors adorablement sévère.

Il prend alors mon poignet pour me faire humer la pièce de tissu ruisselante de cyprine.

-         Elle sent la chienne. Me murmure t-il.

Force est de constater que sa saisie de ma main et l’odeur de ma culotte m’excite.

 Goût-la ! M’impose t-il.

Je reste un instant indécise.

-         Obéis.

-         Oui Monsieur.

Alors j’entre-ouvre ma bouche pour venir toucher le tissu du bout de la langue.

Sur le coton une nappe épaisse de ma mouille s’est répandue.

Salée. Ma langue vient par deux fois y gouter sous son regard inquisiteur, dur.

-         Alors ? Est-ce bien de la semence de chienne ?

-         Oui Monsieur. Hasarde-je.

-         Alors suce-la.

Je rougis. Honteuse. Et je prends ma culotte en bouche, lentement.

Le gout de mon sexe envahit mon palais alors que je tête mon dessous.

Il me regarde faire, satisfait de me contraindre à avaler ma cyprine, mêlée à ma salive.

Sa main se pose sur mon épaule et, alors qu’il fait le tour de mon corps, glisse le long de mon échine. Le bout de ses ongles me griffe. J’en ferme les yeux.

Je tête, je suce, comme prise de folie à ce gout et son regard.

Ses yeux pétillent. Son sexe est tendu. Son gland pourpre surmonte son pylône de chair.

-         Assez, me susurre t-il à l’oreille.

J’extraie de ma bouche le tissu sans forme.

Sur ma langue persiste le gout âpre et salé de mon sexe.

Il tourne autour de moi en contemplant sans aucune retenue mes seins, mes hanches, mon sexe et mes fesses.

-         Qu’es-tu donc ?

La question me surprend.

-         Une chienne. Réponds-je en baissant les yeux.

Sa main s’abat sur mes fesses.

La réponse n’était pas celle attendue et je ne peux m’empêcher de pousser un petit cri de surprise.

-         A genoux. Je vais te dresser.

Prise au dépourvue je résiste et le toise. Qu’ai-je fait pour qu’il se montre si dur avec moi ?

-         Tu me défies ? Très bien.

A ces mots il s’empare de ma nuque et me force à venir au sol. Lentement, sans me faire mal, il m’oblige à satisfaire sa demande.

Sa rudesse provoque en moi une montée de désir. Je voudrais qu’il me viole sur place. Alors je résiste un peu plus. Mes pensées se télescopent, toutes plus pernicieuses les unes que les autres.

Ma joue posée sur le tapis, les fesses relevées, il écarte mes jambes et je sens la brulure du cuir barrer mes fesses alors qu’il vient de me fesser d’un coup de ceinture. J’en avais envie… il le savait. Mon sexe se contracte, je sens mon clitoris gonfler.

-         Alors ? Qu’es-tu ?

Sa voix est calme, sensuelle derrière son apparent détachement.

-         Je suis une chienne.

Il frappe à nouveau. Son geste est dosé. Juste assez fort pour me faire pousser ce cri entre douleur et plaisir.

-         Une salope. Dis-je aussitôt, espérant un nouvel assaut qui va me satisfaire autant que lui.

Je crie encore sous la lanière comme ma perle s'extraie d'entre mes lèvres. Il ne peut que voir que mon plaisir s'accroit.

Je ne me retiens pas pour gémir de bonheur. Je me laisse aller.

-         Je suis une pute, Monsieur.

Le coup arrive sur l’intérieur de ma cuisse, plus doucement il me brule.

J’halète en essayant de freiner mon orgasme qui monte. Je suinte. Ma vulve se contracte.

-         Je suis... votre.

En lieu et place du cuir, c’est sa main qui s’empare de mes fesses meurtries.

Il caresse mes globes blancs que je tends vers lui.

-         Je suis votre salope. Votre chienne. Votre trainée.

Il malaxe mon postérieur et comme en réponse à mes réponses, me claque doucement pour m’inciter à parler.

Je sens la ceinture venir autour de mon cou.

Il m’attache.

Je frôle l'orgasme.

Je sens que je vais jouir.

-         Je suis à vous Monsieur. Vous êtes mon Maitre. Je suis votre soumise, votre chose… entièrement à vous. Je…

Je ne peux pas finir ma phrase car, alors que sa main vient écarter mes fesses et qu’un de ses doigts vient assouplir ma rondelle, je ne peux m’empêcher de prendre mon pied.

Il le voit et me laisse gémir dans cette position de complète soumission, cul en l'air, pendant les longues secondes durant lesquelles je jouis devant lui.

Je sais qu’il regarde mon jus couler sur mes cuisses ouvertes pendant que mes gémissements le rendent heureux.

Alors je me cambre pour devenir la plus indécente possible, perverse, offerte et assouvie.

J'aime qu'il me savoure dans cette vision de mon sexe qui suinte de mon jus.

Il me fait jouir comme je n'ai jamais jouis.

J'aime être sa salope, son élève...

Je lève les yeux vers lui.

Il me sourit.

- Lève-toi, nous sortons.

 

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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enferbleu.jpg[…]

 

Je n’avais plus de nouvelle de lui depuis quelques jours.

J’étais inquiète car je me demandais s’il n’avait pas trouvé une autre élève et m’avait abandonnée.

Alors, anxieuse, je regardais dans mes mails une nouvelle fois, guettant le moindre signe.

Je me prépare...

Le simple fait de lancer l’ordinateur, et de savoir qu’il peut m’avoir écrit et je sens déjà le désir palpiter dans le creux de mon ventre.

Rien. Hélas.

Alors je lis les anciens messages.

Ses mots qui me flattent et ses quelques ordres qu’il me fait exécuter me rappellent ces souvenirs de jouissance si intenses.

Je sais ce qui va se passer et je poursuis la lecture. Un observateur pourrait voir mon sourire discret.

Ma main se pose sur ma cuisse pour en relever, au fil de mes lectures, le tissu jusqu’à ma taille.

Je n’ai sur moi qu’un petit top rose, une robe noire légère et transparente.

Aucun dessous. Le frottement du tissu sur mon corps, sur mes pointes de sein, sur mes hanches, m'excite plus que son inexistence.

D’une main c’est mon sein que je flatte pour très vite sentir sous mes doigts mon mamelon s’ériger.

Je fais glisser le tissu qui recouvre mes globes et, tout en continuant de lire, je caresse ma poitrine à pleines mains.

Je m’aperçois que j’ai écartée les cuisses par réflexe, comme il me l’ordonne, lui, mon Maitre.

Le reflet flou de l’écran me renvoi l’image de mes beaux seins dardés vers l’avant.

L’image de ces deux superbes formes pleines que je presse.

Mes tétons sont sensibles et lorsque je les fais rouler sous ma paume de main, je ne peux réprimer un petit gémissement.

Je me fais rougir toute seule.

Il va me rendre folle. Même en son absence il me fait mouiller et lorsque je m’excite c’est lui qui me possède.

Tirés en tous sens, mes tétons durcissent et je joue avec eux en les titillant du bout des doigts.

Mes jambes s’agitent et je cherche à me frotter au siège.

J’aperçois mon sexe qui luit.

Je mouille.

Des bouffées de chaleur empourprent mon visage.

De mon sein à mon ventre, ma main droite glisse et vient frôler le peu de pilosité qu’il m’autorise à avoir.

Je calle mes jambes derrière les pieds de la chaise pour me maintenir dans cette position qu’il affectionne.

Il pourrait m’attacher s’il était là.

Une vague d’excitation déferle sur moi.

Il m'attacherait pour me maintenir à sa merci. Cette simple évocation me gorge d'envie.

Avec douceur je viens caresser les pourtours de mon sexe non sans laisser échapper quelques soupirs.

Au fur et à mesure que mes caresses deviennent plus appuyées, mes gémissements gagnent en intensité.

Je perds le fil du récit pour retrouver celui des images.

Ma perle de bonheur vient se placer sous le bout de mon index.

Je la fais rouler lentement.

Comme j’aimerais avoir sa langue à me dévorer…

J’écarte mes lèvres pour pouvoir masturber avec plus de force mon clitoris qui se gorge de sang.

Mon bouton devient dur et si sensible que je rejette mon visage en arrière et cambre mon bassin vers l'avant à la recherche de mes doigts.

Entre la pression et l’effleurement je maitrise mon plaisir comme nul autre ne sait le faire… à part Lui…

Quand il me bouffe… quand il me prend… lorsqu'il me possède.

Je me fais bientôt gagner un état de demi-conscience où seul mon plaisir compte.

Ma main gauche s’occupe de mes seins alors que, de ma main droite, je me branle devant les mots de mon Maitre.

Je me surprends à murmurer quelques mots crus. Je sais qu’il aime cela et je lui fais ce plaisir, autant qu’à moi.

Ils ont pour effet de rendre mon sexe complètement trempé.

Je suis en chaleur, comme une chienne. Sa chienne…

J’introduis un de mes doigts et c’est un délice alors que de me doigter de la sorte.

Deux de mes doigts s’enfoncent en moi pour m’élargir.

Mes nymphes s’écartent pour me laisser faire.

Ce bruit aquatique lorsque je me branle… lorsqu’il me branle… Je devine sa bouche qui va venir entre mes cuisses… sa langue qui va venir titiller ma perle… et mon cul.

Ho mon cul… j’y hasarde un doigt.

Seule, non, je n’y arrive pas… mais lorsque c’est le sien, lorsqu’il m’introduit par derrière après m’avoir léché…

Comme je le voudrais là, dans mon petit œillet étroit, à me baiser par le cul comme sa catin.

Je sens les soubresauts de la jouissance venir.

Je le voudrais tant derrière moi à me bouffer la chatte puis sentir sa queue me transpercer.

Mon corps se cabre.

Mes pieds, coincés, me font mal et ce mal accroit mon plaisir.

Il me rend folle de désir.

Je m’attarde sur mon sexe, j’accélère.

De mes doigts je fais aller en tous sens l’objet luisant de mon plaisir.

Je vois alors apparaitre l’icône d’un message.

Il va attendre… Non !  C’est Lui. Je ne dois pas le faire attendre.

Je dois lâcher mon mamelon pour ouvrir.

Mais mes doigts sont toujours dans mon intimité à s'agiter.

Je veux lire son message, deux doigts dans mon sexe, au bord de l’orgasme.

Il me dit qu’il arrive me chercher, que je dois être prête et sensuelle.

Il m’embrasse.

Je ferme les yeux.

Je joui.

Autour de mes doigts coulent ma cyprine odorante.

Je me fouille en douceur tout en relisant.

Alanguie sur ma chaise, les cuisses écartées, je sais que je n’ai que quelques minutes pour me préparer.

Je serais prête Monsieur. Toute à vous.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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[...]

 

La petite cabane du jardin public n'est pas fermée à clé.

Les quelques personnes qui flânent ne nous voient pas entrer et refermer la porte doucement derrière nous.

Un dernier regard vers l’extérieur avant de refermer discrètement la porte et laisser à nos yeux le temps de s’habituer à la pénombre.

Tu es appuyée sur le chambranle de la porte. Radieuse dans ta tenue légère.

Le sentiment de risque et d'intrusion là où nous ne devons pas être accroit encore notre excitation.

Je m'approche de toi et te cueille par la taille.

Tes yeux brillent sous l’influence croissante du désir dans ton bas ventre.

Nous nous embrassons avec fougue.

Tes lèvres ont ce gout si particulier qui attise le brasier de ma verge.

Tes mans glissent de mon dos à mes fesses pour me presser contre toi.

Tu me veux collé à toi, serré. Ton "je te veux", laché dans un murmure, me ravi.

Sur ta jupe j'écrase mon pubis.

Tu te frottes instantanément à la bosse déjà bien visible.

Lentement ton corps excite mes sens.

Mes mains s'emparent de ta poitrine. Je sens au travers le tissu se dresser la pointe de tes seins.

Je contemple ton corps dont je ne distingue que les formes.

- J'apprécie réellement ce petit look "bourgeoise-pincée".

- La bourgeoise qui se fait prendre par le palefrenier ?

- Ou le marquis exerçant son droit de cuissage sur la servante...

- Hum oui... prenez-moi comme une souillon Monsieur. Me lances-tu dans un sourire.

Je te retourne avec violence pour te placer dos à moi. Tu émets un cri de surprise.

La soudaineté du geste te prend au dépourvu mais tu ne peux résister à l'envie qui te brule et tu te cambres aussitôt en position offerte, le fessier tendu vers moi.

Les mains sur le petit établi encombré, tu peux admirer le paysage par la lucarne mais tes yeux sont clos et tes lèvres se pincent de désir.

- Tu me disais être mouillée... voyons voir si cela est un mensonge.

Ma main vient remonter ta jupe droite et se plaquer sur ton sexe.

Ta croupe tendue vers moi est une offrande merveilleuse.

Je caresse ton sexe qui s'ouvre, sans effort comme une fleur délicate, une orchidée rose, splendide.

Je glisse un doigt entre tes lèvres et tu étouffes un gémissement lorsque mes doigts t'écartent pour t'enfoncer.

Mon médius glisse en toi et te fouille sans ménagement.

Avec fermeté tu te retrouves accoudée et cambrée.

Je remonte ta jupe tout en continuant de te masturber de façon presque brutale.

Tu geins sous la rudesse des caresses. Ton vagin se contracte à chacune de mes intrusions.

Le tissu recouvre désormais ta taille et je peux admirer à loisir la blancheur pâle de tes fesses.

Là, entre tes cuisses écartées, ma main s'agite.

Elle va et vient dans ton intimité, sans arrêt, te forçant à t'allonger sur le bois, irritant tes seins, augmentant ton excitation.

Ma main claque sur ta fesse droite qui rougit aussitôt comme tu émets un "Ho" de surpris autant que de plaisir.

- Tu n'es pas mouillée... tu es complètement trempée.

Je te fesse doucement sans cesser de te fouiller fermement de deux doigts.

Peu à peu tes gémissements deviennent de plus en plus forts, rapides, comme mes gestes deviennent plus rudes.

Tu entends le bruit caractéristique que fait ma ceinture qui se détache et mon pantalon lorsqu’il s’ouvre.

Tu rejettes la tête en arrière et tu plonges ton regard dans le mien.

La bouche entre-ouverte je vois ta langue passer sur tes lèvres dans une mimique sensuelle presque obscène.

Mes doigts te forcent et tu te mords la lèvre inférieure dans une attitude de défi.

Je n’ai qu’une envie : te chevaucher et t’entendre gémir de plaisir.

Mon vit palpite entre mes doigts comme je l’approche de ton sexe ouvert.

Tu tends ta croupe vers moi.

Tu ne peux plus retenir ton envie de te faire prendre.

Je saisi tes cheveux, tire ta tête en arrière et présente mon gland lisse contre ta chatte ouverte.

Accoudée sur la table, offerte, tu te trémousses.

-         Prenez-moi Monsieur, prenez-moi comme un hussard… je suis à vous.

Tu n’as pas le temps de finir cette phrase que mon sexe s’enfonce dans le tien.

Autour de mon gland frottent les parois chaudes et lubrifiées de ton vagin.

Je m’enfonce rapidement et profondément.

Chaque va et vient te perce un peu plus.

Tes petits cris deviennent plus rauques.

J’accélère cette pénétration en levrette pour te saisir par les hanches et venir appliquer mes bourses sur le pourtour de tes lèvres, dans un assaut animal.

Tu cries. Je me recule et te force d’une seule traite.

Entre tes lèvres écartelées par la grosseur de mon pieu, je viens limer au plus profond de toi.

Mes couilles buttent enfin contre tes fesses alors que ton vagin subit mes outrages.

Incapable d’articuler, tu ne peux plus émettre que de longs soupirs et quelques onomatopées qui m’excitent encore plus.

J’entame alors de te bourrer sans ménagement.

Mes coups de reins deviennent plus violents.

Ma verge s’enfonce dans ton ventre.

Je coulisse à l’intérieur de ta chatte brulante.

Tes fesses qui rebondissent à chacune de mes pénétrations, tes seins qui ballottent sous ton chemisier, tes yeux fermés sous les assauts, ta bouche grande ouverte qui devient muette… tes mains crispées sur le bois comme je te baise sans me soucier d’autre chose que mon plaisir… tu es sous mes coups de reins la pouliche que je chevauche tel l’étalon.

Je perçois ton plaisir atteindre un pic.

Mes gestes se font plus longs et plus pénétrants. Je ne laisse pas à ton sexe un instant de répit. Il subit le supplice du pal.

Tu ouvres la bouche pour laisser exploser un cri de jouissance.

Tu viens d’atteindre l’orgasme et d’une main tu m’incites à ne pas m’arrêter afin que ton plaisir se prolonge.

Ton sexe se contracte autour du mien comme tu libères le jus de ta jouissance qui bientôt ruissèle sur mes couilles.

-         Je n’en n’ai pas fini avec toi. Te dis-je en continuant de te baiser.

Tu te laisses prendre et, en te cambrant un peu, je profite du spectacle de ton cul qui m’excite.

Tel un séisme monte en moi les premières secousses de mon propre orgasme.

-         Monsieur, quelqu’un vient !

Par la fenêtre s’avance un des employés. Il vient certainement dans ce local.

Tu t’agites, anxieuse de te faire surprendre, le cul à l’air, en train de te faire sauter, prise en levrette comme une chienne.

Mais je ne peux m’arrêter et je poursuis mes violents coups de queue dans ton sexe béant.

-         Ho Monsieur… s’il vous plait…

Ta voix devient presque plaintive mais je ne m’en occupe pas et je continue de te baiser alors que nous le voyons approcher.

Il n’est plus qu’à quelques dizaines de mètres lorsqu’il se fait héler par un passant.

C’est l’instant où je me libère en toi.

Arc électrique qui me transperce de part en part, mon pylône dévide le jus de mes couilles dans ton vagin qui soudain se trouve pris de contraction.

Tu viens de jouir une deuxième fois alors que mon sexe crache ses jets dans le creux de ton intimité.

Nous restons ainsi, immobiles, encastrés, à observer la discussion qui se tient dehors.

La peau douce de tes fesses sous mes mains disparait alors que tu fais redescendre ta jupe.

Je reboutonne mon pantalon rapidement.

Il approche.

Nous sortons.

Il nous hèle.

Nous pressons le pas.

Tout en te hâtant tu réajustes ton chemisier.

Il a du deviner ce que nous faisions car il commence à nous poursuivre.

Je prends ta main et t’entraine au plus vite hors du parc.

De l’autre côté de la rue, il nous admoneste de quelques bons mots « pervers », « vicieux »…

Alors nous éclatons de rire comme deux adolescents qui auraient réussis à passer au travers des mailles du filet.

Le retour se fait avec ta tête sur mon épaule.

Nous prenons le temps de marcher.

L’air a soudain des fragrances douces et les couleurs sont plus nettes.

L’après coït nous invite au calme et à la sérénité.

-         Tu es une parfaite petite souillon, te dis-je en un clin d’œil.

-         Et vous un superbe Marquis, me réponds-tu, souriante. Vous savez à quel point j’aime vous obéir… et être salie.

-         A ce propos…

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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