plume.jpg[…]

Le voyage de retour se fait sans un son.

Je coupe la musique. Même elle m’insupporte.

Je revois les ondulations du tissu sur tes bas quand tu es entrée dans ta voiture, ton sourire triste et le signe de ta main.

A côté de moi le siège est vide. Il me rappelle lorsque tu as accepté de soulever ta jupe pour t’asseoir à même le siège alors que tu n’avais déjà plus de culotte. Tu commençais l’éducation à ta soumission, les cuisses écartées.

Un lien fort s’est construit qui nous unit.

Et sans son Elève le Maitre n’est rien. Seul.

Le trajet, le parking.

 

L’ascenseur. D'autres personnes avec moi mais tu n'es pas là. Puis je remarque alors mon jeune voisin que tu as excité tout à l’heure pendant que je te prenais sur le balcon. Il me regarde d’un œil en coin, les clés de sa voiture en main, il a du accompagner sa mère qui me salue. Je lui fais un sourire qu’elle me rend. Brune, les cheveux sur les épaules, des formes séduisantes je n’arrive cependant pas à penser à autre chose qu’à tes hanches que j’ai tenu fermement dans ce même endroit confiné.

Ton étroitesse alors que je t'enfilais...

Le couloir est long et je me souviens de ton déhanché lorsque tu le parcourais. Le jeune voyeur cherche à t’apercevoir lorsque j’ouvre la porte... il va en rêver cette nuit. Moi aussi.

 

Les tabourets de bar sont encore tournés l’un vers l’autre. La cravache posée sur le comptoir. Je sens grossir mon sexe à ces souvenirs.

Je pose ma main sur la surface de bois de la table. Je remets en place le plateau central qui est encore décalé depuis que je t’ai possédé à cet endroit, sur la table, sauvagement.

Je range la tige de cuir. Elle a ton odeur sur elle. Je me surprends à la respirer. Ton sexe l'a imprégné. Mon manche réagit à ce charme.

Je parcoure mon univers d'un regard circulaire.

Les chaises de bistrot où je te fis du pied, le prie-Dieu sur lequel tu laissais à mon regard tout loisir de contempler ton abricot.

Je bande à ces souvenirs.

 

Je refais le lit de « ta » chambre, celle où la première nuit tu as été soumise à un supplice délicieux. L’odeur de tes jouissances, présentent, m’enivrent. Je range le godemichet qui te perça et je referme la porte.

Ma main ne peut s'empêcher de flatter la bosse qui déforme mon pantalon.

 

Autre chambre, autre lit, autres souvenirs. Les liens de soie encore attachés aux montants de bois. Je te revois ainsi entravée, soumise à mes assauts. Tes cris de plaisir résonnent encore entre ces murs. Des traces de ta jouissance encore visibles sur l’un des montants me rappellent à quel point mon plaisir fut intense lorsque je t’ai chevauchée pendant que tu téléphonais.

Mes doigts glissent sur la protubérance et je masse ma tige au travers le pantalon. Ta bouche et tes yeux ancrés dans mes souvenirs.

Tes paroles qui m'excitent.

Je range le bustier et les quelques effets dont tu t’es parée ce matin même. Mon sexe sent encore autour de lui la pression de tes lèvres. J’aurais envie de te voir à genoux, suceuse goulue et gourmande comme tu t'es révélée. J’ai encore dans mes couilles la sensation de tes mains qui me palpe. Je te remplace... sans te remplacer.

Le Plug est là. Je la place dans son coffret. Il retrouvera sa vraie place, dans ton anus, prochainement.

Je me déshabille.

Uniquement vêtu de mon peignoir.

J'ai envie de ton cul. Ton cul que tu m’as offert. Ce plaisir intense que j’ai pris à le lécher et à te sodomiser, faisant reculer ton tabou vers une source de désir où tu écartais toi-même tes fesses pour que je m’y enfonce plus au fond. Je t'entends encore passer du "non" au "oui". Je revois ton regard plus clair après t'être fait défoncée par derrière et le plaisir que tu prenais à m'y inviter de nouveau.

Ma main s'est emparée de ma queue qu'elle agite doucement quelques instants.

 

Je ferme le volet roulant de mon bureau où je t’ai laissée seule après avoir caressé tes seins orgueilleux. Tes tétons que j’ai fait rouler, je les veux encore entre mes doigts, dans mes mains, dans ma bouche. L’envie de les sucer et de te téter me fait m'astiquer plus vite.

A l’heure qu’il est tu es peut-être avec lui. Peut-être même est-ce lui qui profite de tes mamelons.

Ma veine palpite entre mes doigts.

 

La porte se referme et je range encore le canapé. Là où c’est une femme qui te dépucela de tes envies lesbiennes. Je vous entends encore gémir et jouir toutes les deux devant moi. Je me remémore la cabine d’essayage dans laquelle elle t’a découverte, gorge profonde, avalant tout mon suc dans un sourire. Mon vit au fond de ta gorge.

Admirable suceuse.

Je suis si excité que mon pieu me fait mal.

Ce canapé...

Je m'y installe et mes cuisses s'écartent.

Des traces de vos jouissances sont encore visibles.

Je me laisse aller à me libérer.

Lentement il coulisse entre mes doigts.

Mon autre main palpe mes couilles pour les faire rouler.

D'un doigt je viens titiller le méat qui perle aussitôt.

J'étale la goutte sur la surface de mon gland lisse.

La brulure est délicieuse.

Ce premier suc oint bien vite les pourtours moins lisses.

Et ma main reprend ses gestes de bas en haut.

Je coulisse entre mes doigts en pensant à tes doigts.

Ma main refait le chemin de ta main autour de ma verge.

Je me branle sans retenue en t'imaginant à mes côtés, soumise et haletante.

Mes couilles subissent un sort aussi enviable, malaxées entre mes cuisses largement écartées.

D'un doigt je viens irriter mon petit orifice comme tu le fis.

Je ne peux m'empêcher de pousser un petit soupir de plaisir.

Je sens entre mes doigts palpiter ma queue.

Sous l'effet de ma masturbation le plaisir vient et je me libère dans quelques saccades qui salissent mon peignoir et mon torse.

Je reste ainsi, assouvi, écarté, le sexe pantelant sur mes bourses.

Souriant.

Résonnent encore tes mots en moi "Je suis à vous".

Une idée déjà en tête je ferme les yeux quelques instants.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[…]

Il me lance quelques regards vers lui pour observer mes seins pendre, ma croupe se relever à chaque avancée.

Je me sens bouillir du feu de l’envie.

A quatre pattes il me fait avancer, tenue en laisse.

Dans son pantalon trop étroit je vois son désir déformer le tissu.

J'ose aventurer mes yeux sur lui.

Je souris, mon esprit est en ébullition, il me domine, son regard acier me perce, magnétique, implacable et ardent.

Jouer la chienne me plait au plus haut point.

Il me retourne un sourire et continue de me contempler.

Mes fesses et Mes cuisses qui se frôlent, mes seins qui ballottent et le rendent fou de désir.

Nous arrivons dans la chambre.

Il lâche la laisse et je m’immobilise sur le tapis, le dos droit et le regard brillant, mélange d'excitation et de honte.

Je suis au bord de l'extase.

A genoux devant lui, il tourne autour de moi, la laisse pend entre mes seins.

J'ai tellement envie qu'il me promène encore, qu'il joue avec moi que j'en oublie ma dignité pour mon plus grand plaisir.

-         Ca t’a plu d’exciter mon voisin ?

-         Oui Monsieur.

Mes fesses posées sur mes talons ont pour effet d’écarter légèrement ma raie et mon sexe.

Il matte et je m'ouvre légèrement pour le rendre ivre de mon corps.

-         Pourquoi lui avoir envoyé un baiser ? Sa voix se fait plus dure.

-         Je pensais que cela vous ferait plaisir de savoir que je jouais aussi à l’exciter.

Il s'est muni de la cravache qu'il fait jouer entre ses doigts.

Le silence s’installe alors que le bout de cuir me frôle par endroits et fait glisser à terre sa chemise d'homme qui me recouvrait encore partiellement.

Je me tiens droite, fière, le torse désormais totalement nu, les mains posées sur mes cuisses.

-         Est-ce la façon que je t’ai demandé d’observer lorsque tu es assise en ma présence? Sa voix est sévère.

-          Non Monsieur.

A ces mots je relève ma jupe au dessus de mes hanches pour libérer mes fesses et m’accroupir.

J'écarte les cuisses et je libère mon sexe, offert à son regard.

La cravache vient explorer mon entre cuisses.

Elle passe sur mes lèvres humides.

Repasse et, plus fermement appuyée, s’immisce dans ma féminité.

Je ne peux m'empêcher de me cambrer, en proie à mes envies.

-         Il t’excitait ? Le ton doux de cette question tranche avec l’ambiance qui s’était installée.

Je lève les yeux vers lui.

Je me sais pétiller de malice et de désir.

-         Il est mignon.

La cravache vient claquer sur mes fesses.

Je pousse un petit cri. Le coup m’a surprise.

-         Je suis désolé Monsieur… je croyais que… je ne le ferais plus.

Il s’approche de mon visage, son souffle dans mon cou.

Ma fesse me fait mal mais je me surprends à en vouloir encore.

Il défait ma jupe d'un geste brusque...

Je me retrouve entièrement nue, accroupie, avec pour simple ornement la laisse de cuir.

-         Tu m’as excité avec ton attitude de petite trainée.

Ses mains s’emparent de la laisse et tourne autour de mon bras gauche qui se retrouve bientôt emprisonné.

Il m’aide à me relever pour me placer sur le bord du lit.

Ma respiration s’accélère sous l’excitation.

-         Tu m’as fais bander à te laisser faire sous son regard.

Il accroche le mousqueton à une barre haute de la tête de lit de façon à maintenir mon bras pris au piège et m'imposer de bomber le torse.

Je gémis. L'odeur de mon sexe me parvient. Je dois couler.

-         Je me doutais bien que tu allais prendre ton pied sous les yeux de ce petit voyeur… je te découvre sous un jour qui me plait. Tu me donnes sans cesse envie de te prendre comme tu le mérites.

Il saisit un lien de soie rouge et entreprend de lier mes chevilles à chaque montant du lit.

Je suis entravée dans mes mouvements, prisonnière d'une toile qui me maintient étendue sur le lit, nue, cuisses ouvertes.

Mes jambes ne peuvent se resserrer au plus près que d’une quarantaine de centimètres.

Sa main se place sur mon sexe sans plus attendre.

Il  lui est offert et sans aucune résistance j'écarte les cuisses pour lui enjoindre de le fouiller.

Mes gémissements me surprennent, sans retenues, de plus en plus forts.

Ses doigts caressent ma fente de manière appuyée.

-         Tu as mouillée sous son regard.

-         Sous vos gestes Monsieur.

-         Mentirais-tu ?

Ses doigts me pénètrent.

Mon vagin emplie de ses mouvements, je ne cesse de me cabrer sous sa masturbation forte.

Mon soupir se mêle au son aquatique que mon sexe produit alors que ses deux doigts le forcent.

-         Sa présence m’a fait de l’effet. Avoue-je, heureuse d'avouer ce fantasme.

Ses doigts se retirent avant de s'enfoncer plus avant, plus nombreux, et m'arracher un cri.

Son autre main m'assène une fessée qui me fait rouler des yeux.

-         J’ai aimé qu’il me regarde.

Je continue de tout lui dire, de me livrer.

Enfoncés en moi, ses doigts font des cercles larges et je livre mes secrets de femme à cette torture sensuelle qui me mène vers le plaisir.

La main s’abat avec vigueur pour la seconde fessée.

-         J'aurais voulu qu’il me matte à genoux...

Ma voix me semble si étrangère, et pourtant si familière, que mes aveux me saisissent.

Il poursuit ses allers et venus dans mon bas ventre.

Le soupir qu'il m'arrache m'empêche de finir ma phrase.

Ma fesse rougie sous l’impact de sa main.

Je le regarde, la flamme du désir brille au fond de mes pupilles.

"...Suçant telle une trainée".

Mon corps se cabre à la fin de ma phrase, mes hanches se tendent, ma main libre se crispe sur le drap, mes chevilles liées m’empêchent de me tenir comme je le souhaite et cela me procure des sensations plus intenses.

-         Oui, j'aurais voulu qu’il me voit vous sucer comme une folle, comme une chienne, à genoux.

Je râle de plaisir, excitée par mes dires et ses introductions constantes.

Un doigt de plus se fraie un passage, le quatrième, large, qui écartèle ma fente lubrifiée et béante.

Je pousse quelques petits cris étouffés.

-         Mais Monsieur, c’est vous que je voulais en moi.

Il continue plus doucement ses manigances.

Et sa main cesse de me fesser.

Mes lèvres enserrent ses doigts entre lesquels je sens couler ma cyprine odorante.

Il retire ses doigts et mon sexe s’offre à ses yeux, béant, ruisselant.

Il vient se placer à califourchon sur moi.

Je lorgne son sexe tendu qui a marbré le tissu de sa souillure.

Il place ses doigts devant ma bouche.

Je vais obéir, en bonne chienne que je suis.

Sans un mot je les lèches, comme une récompense après la punition.

Lentement je passe ma langue sur ses doigts pour recueillir mon jus.

-         Vous me rendez folle Monsieur.

Je lui souris, incapable de résister et lui mentir.

J'aime lorsqu'il me domine.

J'aime être sa petite chienne soumise... sa salope.

Son bas ventre appui sur le renflement de mon sexe.

Je me frotte imperceptiblement pour exciter mon clitoris à l’aide de sa grosseur.

Il me laisse faire.

C’est alors que je le vois sortir de sa poche mon téléphone.

Il compose un numéro.

Je ne cesse de me frotter à lui.

Va t-il me baiser en téléphonant à quelqu'un ? Humm... cela ne me déplairait pas...

Il me le tend.

De mon unique main libre je m'en saisi sans savoir pourquoi.

Il fait descendre son pantalon.

Devant moi, son sexe dressé, tendu, dont le gland lisse montre une couleur pourpre qui m’enchante, me fait oublier l'aperçu que j'ai jeté au numéro qu'il vient de composer.

-         C’est ton homme. Tu vas lui parler pendant que je vais te prendre. Après le regard d’un homme, tu auras sa voix.

Je sursaute. Incrédule.

Mes joues rougissent.

Il n'oserait pas me sauter alors que je suis au téléphone avec...

La voix grésille… « Allo » ?

Maintenue écartelée d’un bras je ne peux m’opposer à son introduction simultanée avec le décrochement du combiné.

Sa verge vient se placer sur mon orifice largement ouvert et s'y enfonce sans effort.

J'éprouve quelques difficultés à répondre au téléphone alors qu'il me plante son sexe dans la chatte.

-         Chéri ? Hésite-je d'une voix tremblante.

Il s'enfonce en moi silencieusement sans me lâcher du regard.

Ma bouche se crispe.

Les larmes me montent aux yeux.

Le salaud.

Je n'entends pas ce qu'il me dit, l'esprit embrumé, incapable de me concentrer.

-         Je suis chez une amie. Bredouille-je pour couper court à la discussion.

Son sexe retourne en arrière pour s’avancer à nouveau.

Les parois de mon vagin sont soumises à ses allers et retours longs et pénétrant.

J'avale avec difficulté ma salive.

-         Je suis essoufflée… oui… c’est que…

L'effroyable salaud. Il entame alors de plus vigoureuses pénétrations. Ses coups de reins viennent me labourer lentement.

Je souffle doucement pour garder une certaine contenance.

-         On vient de sortir la chienne et…

Son sexe vient me forcer profondément.

Enfoncé jusqu'à la garde dans ma motte ruisselante.

J'ouvre grand la bouche, aucun son ne s’en échappe.

Il se recule à l’intérieur de mon ventre.

Je me ressaisis.

-         … elle est très excitée… alors j’ai eu du mal à la contenir…

Il saisit mes cuisses pour se permettre de me bourrer à loisir.

Sa queue maintient mes lèvres écartées et pilonne mon entre jambe avec délice.

L'adorable salaud ! Me baiser ainsi me rend folle.

-         oui… elle est vilaine…très... Ho !

Mon cri me surprend, je rougis. Il me sourit et sa main vient caresser mon clitoris sorti de sa réserve.

-         … non rien… La chienne encore…

J'ai trouvé là une parade qui semble fonctionner.

Il semble apprécier autant que moi de faire passer sur le compte d'un improbable animal, mes fantasmes les plus insensés.

Je vois dans son regard que je l'excite à mon instar.

Il s'allonge sur moi, son corps puissant sur mes seins lourds.

Sans bruit sa bouche vient lécher le lobe de mon oreille pendant qu'il continue de me percer le ventre.

Il me murmure quelques mots crus que mon homme n'entend pas.

-         Elle excite les mâles... oui… en tortillant du cul.

Sa queue me perce.

Ses mains me pétrissent et je suis sa chose.

-         C'est une vraie salope.

Je bafouille quelques excuses devant l'ampleur de mon vocabulaire.

Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, excitée comme rarement par cette situation hors du commun.

Son sexe enfoncé jusqu’à la garde, Je coule de jouissance autour de son manche.

-         Oui… je serais à la gare… oui… A tout à l’heure.

Il me saisit l'appareil des mains pour raccrocher.

Il se hisse à la force des bras sans cesser de parcourir mon bas ventre, comme un hussard.

-         Salaud !

Mon insulte a pour effet d'augmenter la cadence de ses coups de mandrins.

Je gémis de plaisir un peu plus à chaque coup de reins.

Ses mains se sont agrippées à chacune de mes fesses. Plantés dans ma raie ses doigts me forcent à garder le sexe grand ouvert.

-         Haaa ! Adorable salaud !

- Tu as été parfaite. Le coup de la chienne en chaleur... somptueux.

Je suis emportée par le tourbillon de mes sensations, mon corps se trémousse en tout sens malgré les entraves.

- Tu es comme elle... tu aimes offrir ton cul aux regards.

Sa voix est douce.

Chaque syllabe est ponctuée d'un balancement de ses reins.

Mes yeux sont clos. Je m'abandonne au plaisir.

- Qu'est-ce que tu veux de ton "adorable salaud" de Maitre ?

Mon regard roule, mon visage se tend, les désirs me submergent.

Les paroles me viennent sans effort, naturellement.

-   Baise-moi !! Défonce-moi comme une salope !

Je me sens soudainement plus libre et je crie.

Il répond à ma demande avec lenteur. Chaque centimètre parcouru en moi m’arrache un cri. D’avant en arrière il se fait plaisir à me prendre sans pudeur.

Je me fais l'effet d'une trainée, défoncée, baisée pour le plaisir de l'homme qui la souille.

Je lâche prise et me laisse aller à ses coups de queue.

Ce ne sont que râles et soupirs.

Mon orifice concentre son attention et il lime en moi avec délice, sans discontinuer.

Sa verge me défonce, elle m’écartèle, ses doigts écartent mes lèvres pour se saisir de mon clitoris qu'il branle pour m’arracher un son de plaisir animal.

Maintenue prisonnière je subis ses assauts avec soumission, délice, uniquement sensible à nos envies de sexe.

Je me sens venir et il redouble de coups de reins.

Mes yeux sont clos, ma bouche n’est qu’une ouverture par laquelle j'expulse mes cris de plaisir.

Il saisit mes fesses pour pouvoir me prendre dans une position particulièrement pénétrante et humiliante qui ne m'en apporte que plus de sensations.

Maintenue, prise, défoncée, ma chatte se contracte parfois autour de son large manche.

Ses couilles viennent buter contre mes lèvres.

Il me force sans ménagement.

Chaque coup de queue m’arrache un râle.

Jamais je ne me suis faite baisée de cette manière.

Ma jouissance atteint son paroxysme et mon visage se crispe, je laisse échapper un son profond sans pour autant pouvoir resserrer mon entre cuisses qu'il continue à défoncer.

Je me cambre sous le choc de la petite mort qui m'envahit.

Mais il poursuit mes entrées en moi pour prolonger mon orgasme.

Ecartelée je suis offerte à sa vigueur.

Insatiable il ne cesse de me parcourir.

Sa main saisie mes cheveux et il les tire en arrière pour asseoir son emprise sur moi, comme s'il lui eut encore été nécessaire de me montrer à quelle point je dois lui être soumise.

Il me baise alors que je n'en peux plus.

Je suis sa chose, le trou dans lequel il vient s'assouvir. Et j'aime ça.

Ses doigts viennent alors assouplir ma rondelle tout en poursuivant le labourage systématique de ma motte dilatée.

Je murmure quelques négations dont il n'a cure et qui font place à un gémissement de contentement comme mon conduit rectal se trouve soudain enfoncé et doigté.

Sa queue se fraie un passage dans mon vagin trempé et je sens la fine paroi de mon bas ventre, vibrer aux allers et venues simultanées de son doigt et de son pieu.

Mes gloussements sont sans équivoque.

Je le veux dans mon cul.

Je jouis pour la seconde fois, coup sur coup.

Il se retire de mon interdit alors qu'en feu il souhaite être encore titillé.

Je saisis sa main et l'y replace.

Je parviens à susurrer que je veux le sentir dans mon cul.

Il ne se fait pas prier pour m'enfoncer son pouce dans l'anus et se laisser aller à l'orgasme en même temps que je feule le mien.

Entre ses doigts posés sur mes deux rondeurs, coule ma cyprine bientôt rejointe par son jus.

Il explose au fond de mon vagin, le liquide chaud se répand et courre entre mes parois et son membre.

Je jouis bruyamment.

Il s'effondre sur moi pour continuer de me pilonner jusqu’à son ultime soupir.

Mes cuisses, le lit, mon sexe… nous sommes souillés de nos sucs.

Immobiles quelques minutes, emboités l’un dans l’autre.

Son sexe ne veut pas débander.

Je reste autour de lui.

Il cherche ma bouche et m'offre le baiser d’amants assouvis.

Un long baiser entrecoupé de mots plus doux et de sourires.

Il m'a prise comme je l'espérais dans mes fantasmes les plus indécents.

Je me sens comblée... enfin femme… fière d’être sa soumise..

 

Nous savons que le week-end vient de prendre fin…

Tu vas devoir le rejoindre.

Je vais t’y emmener.

Nous restons ainsi emmêlés pour profiter de chaque instant.

Tu prends une douche, fais le tour de tes petites affaires puis nous nous habillons sans un mot.

Tu ôtes ton collier avec lenteur, à regret.

Je viens effacer de mon pouce une larme qui coule sur ta joue.

Je le pose sur la petite table.

-         Il t’attend.

Tu me souris.

-         Merci… Monsieur.

Je t’embrasse.

La voiture s’élance sans un mot.

Chacun perdu dans ses pensées.

Tu retrouves ton auto.

Un dernier regard, un dernier sourire.

- Je suis à vous. Me dis-tu avant de cacher tes larmes.

Je te vois disparaitre au bout de la rue.

Le film de ces deux jours me revient.

Que de chemin parcouru et de plaisir découvert.

Il nous appartient désormais de poursuivre notre relation dans d’autres conditions.

Mais je sais que demain, je te retrouve au travail… Et que tu n'as pas fini de gémir.

 

A suivre…

 

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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[…]

Je t’aperçois sur le balcon.

Simplement vêtue de ma chemise qui recouvre ta jupe sombre tu regardes le décor urbain.

Accoudée à la balustrade tu as placé tes lunettes de soleil sur tes yeux, ton visage tourné vers la lumière qui crée des reflets dorés dans ta chevelure.

Je viens m’installer à côté de toi.

Quelques commentaires sur le parc un peu à droite, l’angle de la rue dont l’immeuble fraichement bâti tranche avec la vieille maison bourgeoise, et les voitures, peu nombreuses en ce début d’après-midi du dimanche.

Je pose ma main sur ta taille, tu te laisses aller contre moi.

Un baiser sur ton front auquel tu réponds par un sourire.

Ma main glisse sur ta jupe et s’aventure à caresser tes fesses au travers du tissu.

Tu ne dis rien et me laisses faire.

Sous mes caresses se dessinent en braille les courbes de tes rondeurs et la vallée qui les traverse.

A la lisière de ta jupe le contact de ta peau me ravi.

Je te sens onduler légèrement sous l’effet ainsi produit.

Sans mouvement brusque ma main se faufile sous ta jupe.

Tu n’as rien au dessous.

Après t’avoir flatté de mes doigts, je redescends sur tes cuisses dont la douceur satinée me rend fou.

En moi grandi le désir tout autant que mon membre.

Je me place derrière toi, collé à ton fessier qui se tend vers moi.

Mes mains saisissent tes hanches et je mime un coït presque immobile accompagné de baisers dans le cou.

Tu réponds à mes avances en te cambrant légèrement, ton séant se pressant sur ma virilité.

Ton parfum me saisi et me transporte.

-         Des gens pourraient nous voir. Me dis-tu doucement.

Je ne cesse pas de te maintenir.

Bien au contraire j’affirme ma prise et je me colle encore plus près de toi.

-         Comme l’homme d’en face qui parfois utilise ses jumelles pour regarder chez les autres ? Réponds-je.

Tu regardes l’immeuble, sans trouver l’homme.

-         Ou comme les passants, 4 étages plus bas ?

-         Ils ont une mauvaise vue ceux-là.

Mes mains font rouler ta jupe vers le haut très lentement pour révéler ta croupe magnifique.

-         Alors que moi, ma vue est splendide.

Je m’écarte pour observer ton fessier qui se découvre peu à peu.

La base de tes rondeurs blanches puis lentement, au fur et à mesure que le tissus se transforme en un rouleau noir, l’intégralité de la raie de tes fesses, le renflement de ton sexe.

Tu tends vers moi ta féminité en écartant légèrement les cuisses, dévoilant l’orée de ton sexe glabre.

Je me plaque à toi.

Ma verge, dure, douloureuse, se frotte à toi au travers de mon pantalon de toile.

-         J’apprécie aussi, me dis-tu.

-         Il y a aussi mon jeune voisin qui joue les voyeurs, parfois.

Tu te trémousses un peu plus sur ma grosseur.

Mes mains viennent se placer sur tes seins.

Le tissu de la chemise laisse apparaitre les proéminences que font tes tétons excités.

Je les caresse sans me soucier d’éventuels passants qui lèveraient le nez.

Entre mes mouvements je te sens t’abandonner au plaisir.

Mes doigts viennent frotter le tissu qui irrite tes mamelons, accroissant le plaisir.

Du bout de la langue je viens titiller le lobe de ton oreille que je mordille avant de te murmurer quelques mots.

-         Ne bouge pas… et regarde discrètement sur ta droite.

Je te vois lentement tourner la tête, imperceptiblement pour découvrir que mon voisin, justement, est en train de fumer une cigarette à son balcon.

S’il tourne la tête, il nous voit.

La séparation entre les deux appartements fait qu’il ne peut voir que ton buste jusqu’à tes hanches et mes mains, mais la position est suffisamment éloquente pour qu’il imagine avec juste raison ce que nous sommes en train de faire.

Tu te raidis.

Je me frotte à toi un peu plus. Tu es entre mes bras, plaquée à la balustrade.

Tu as compris que sa présence ne me gène pas bien au contraire et que je ne te laisserais pas battre en retraite.

Je déboutonne le haut de ton encolure.

Tu détournes le visage, entre l'envie de quitter le balcon et le fantasme de te laisser caresser à la vue d'un autre homme.

Mes mains s’insinuent sous la chemise pour s’emparer, qui main droite de ton sein gauche, qui main gauche de ton sein droit.

Tu tentes de t’esquiver sans en avoir la réelle intention et je n’ai aucun mal à te retenir.

Sans protection tes seins lourds sont désormais entre mes mains.

Je sens la peau qui palpite, chaude, tendue, ronde.

-         Il nous regarde, me murmures-tu anxieuse.

-         C’est possible.

Je saisi l’un de tes tétons pour le faire rouler entre mes doigts.

Tu réprimes un petit gémissement lorsque je fais subir le même sort à ton autre sein.

Ma bouche proche de ton oreille je te glisse qu’il doit avoir un faible pour toi car il semble passer bien longtemps à attendre que son tabac se consume, ponctuant ses mots en tirant doucement les tétines qui dardent désormais avec autant de raideur que mon sexe contre tes fesses.

Je pince avec délicatesse chaque pointe de tes mamelles ce qui te provoque de profonds soupirs éloquents sur ton excitation.

-         Il est jeune, rétorques-tu.

-         Oui, 19 ou 20 ans… je ne sais pas, il vient d’arriver avec sa mère.

Je fais glisser un pan de la chemise et ton sein droit se libère.

Nu, il est offert au regard de tous et je vois que notre ami voyeur ne s’en prive pas.

-         Il me semble qu’il apprécie beaucoup ta sensualité.

Tu te contractes mais ne dis rien, tu accentues même ta cambrure en redressant ton buste.

Ta poitrine se dresse vers le haut à l’instar de ta croupe que tu m’offres

-         Je vais lui donner matière à s’exciter, te glisse-je dans un baiser près de l’oreille.

Tu gémis doucement.

Ma main soupèse ta mamelle, mes doigts cerclent autour du renflement pointé vers le ciel, je titille ton petit bout rougi.

Mon autre main entreprend de déboutonner l’intégralité du tissu et de faire apparaitre ta poitrine nue.

Tu pousses ton sexe vers le mien, visiblement excitée par l’idée.

Ta main vient chercher la bosse de mon pantalon.

Tu la caresses, tu la palpes, alors que ta poitrine se trouve libérée.

D’un coup d’œil je peux voir qu’il n’en perd pas une miette.

Tu libères habilement la hampe de chair lisse qui palpite dans ta main.

C’est à pleine main que tu prends mon sexe dur, allant de mes bourses à mon gland sans aucune retenue.

Tu me décalottes d’une main, tellement la bandaison est prononcée.

Tu joues avec comme d’un hochet, excitée et gémissante.

Je me laisse faire à cette masturbation que tu me procures de façon vigoureuse.

Mes boules roulent entre tes doigts, puis c’est le pieu que tu saisis pour pratiquer tes mouvements de bas en haut.

Je te vois couler un regard discret derrière la fumée de tes lunettes à notre ami qui profite du spectacle que nous lui offrons.

Il ne peut y avoir de doute à ce que tu manigances sous son champ de vision.

Ta main me positionne devant l’entrée de ton sexe humide.

Le bout de mon sexe te découvre trempée.

-         Tu es affolante.

-         Je suis affolée.

-         Excitée par la situation.

-         Toute mouillée…

-         Prête à te faire prendre.

-         Envie de me faire mettre votre queue pendant qu’il matte.

Un coup de rein et je te pénètre sans effort tant tu es lubrifiée.

Avec douceur je m’insinue en toi.

Tu geins en fermant les yeux.

Fermement agrippé à tes seins j’entame une série de vas et viens qui enfoncent toujours un peu plus profondément mon glaive dans ta fente chaude.

Une de tes mains sur mes hanches m’accompagne dans mon élan alors que l’autre te retient à la balustrade.

Ta bouche grande ouverte laisse filer quelques gémissements muets.

Mes assauts deviennent plus forts et plus rapides.

Tu laisses échapper un petit cri à chaque fois que mon pubis vient buter contre tes fesses, mon glaive fouaillant ton ventre sans vergogne.

Avec lenteur je ralentis les mouvements pour me retirer au bout de quelques instants.

Du coin de l’œil je peux voir le regard hagard de notre voisin comme je me penche pour embrasser ta nuque.

Je te retourne doucement et tu me fais face.

Ton buste penché vers l’arrière repose sur la balustrade avec l’aide de tes coudes.

La chemise repose à mi épaules, découvrant à tous les regards ton cou orné du fin collier ainsi que tes tétons sur lesquels le soleil vient accrocher ses rayons.

Ton bassin me cherche.

La jupe n’a pas encore recouvert toute les parties de tes cuisses en se déroulant. Ton sexe m’est encore visible, pudiquement recouvert d’un bout de tissu.

Mes mains glissent sur ta poitrine orgueilleuse.

Elle se soulève sous le coup de l’excitation qui grandi en toi.

Je te vois observer, protégée par tes lunettes, la présence du jeune homme qui scrute cette  scène digne du meilleur film qu’il ait vu.

Je fais glisser mon pantalon au sol et tu me souris lorsque tu aperçois l’objet de ta convoitise.

Mon vit dressé au dessus de mes bourses.

Excité, tendu par l’effet de ton corps, luisant de t’avoir forcé.

Tu poses une main sur ton sein et tu te caresses d’une façon si sensuelle que je ne peux résister à l’envie de me rapprocher.

-         Force moi, je la veux au fond.

Ta voix est suffisamment audible pour qu’il entende tes paroles.

-          Fourre-moi ta grosse bite dans la chatte. Baise-moi.

Je sais que tes paroles sont destinée à m’exciter autant qu’à le rendre fou.

Cependant tu en rougis, ébahie par le flux des désirs qui se déversent en toi.

Mes mains relèvent ta jupe pour te saisir et avec vigueur je t’embroche contre le balcon.

Nos échanges se limitent à quelques mots « prends », « oui », « baise-moi », « encore », « tu aimes ça » au fil des coups de butoir que je t’assène sans discontinuer.

Ton sexe est chaud et je te sens ruisseler sur mes couilles que je m’efforce, à chaque fois que je t’enfile, de venir faire buter sur tes lèvres grandes ouvertes.

Tes seins se pressent contre les miens.

Je remonte ta cuisse droite pour mieux t'enfiler.

Mon sexe s'enfonce jusqu'à la garde dans ta fente.

Je sens ton corps s’abandonner au plaisir dans un gémissement plus fort.

Les coups de pilons font balloter tes seins.

Autour de mon pieu coule ta jouissance

-         Je jouiiis… laisses-tu échapper faiblement.-

Tes doigts se fichent dans mon dos, je reste un peu en toi, ton vagin se contracte autour de ma tige épaisse, mes reins te soulèvent à chaque aller qui t’arrache un ahanement court.

Nos corps se séparent.

Tu ressembles à une poupée décoiffée, tes yeux plus clairs n’ont pas perdu leur éclat et ton sourire illumine le paysage.

Tu coules un œil vers mon sexe qui n’a pas eu ce qu’il voulait.

Je sors de ma poche la fine laisse que je viens accrocher à ton collier.

Je pose mes lèvres sur les tiennes.

Tu ouvres la bouche en quête d’un baiser, je pose ma langue sur la tienne et nous jouons de nos bouts de langues l'un avec l'autre.

-         A genoux, dis-je assez fort.

Tu tournes lentement le visage vers mon voisin qui en est bouche bée.

-         Oui… comme une chienne. Lances-tu en accompagnant cette simple phrase d’un baiser que tu lui envoies.

Tu t’exécutes sous son regard effaré, disparaissant à sa vue, pour te retrouver à la hauteur de mon sexe.

Je m’éloigne de toi, la laisse se tend.

-         Viens.

C’est à quatre pattes que tu me suis jusque dans la chambre.

 

A suivre…

 

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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