[…]

Lorsque je m’éveille, tu pénètres dans la chambre.

Tu ouvres le volet et restes à regarder dehors durant un instant.

Si un de mes voisins est à sa fenêtre je ne doute pas qu’il a du avoir la même réaction que moi en te découvrant.

Tu portes tes bas, accrochés aux portes jarretelles de ton bustier noir. Aucune trace de soutien-gorge. Tes seins sont soutenus par ce simple corsage lacé. Le string est ouvert sur l’arrière et ne protège que le devant de ton sexe, dévoilant la vallée de ton cul de façon ostensible.

C'est ta somptueuse paire de fesses qui m'accueille donc au réveil.

Tu tires le rideau ce qui redonne un peu d'intimité dans la clarté matinale.

-         Je vous apporte votre café Monsieur.

Et tu arrives avec un plateau. Café, tartine, beurre et confiture.

-         J’espère qu’il y a tout. Dis-tu. Et, s’il vous manque quelque chose, je suis à votre entière disposition.

Je ne doute pas une seule seconde de la véracité de cette dernière proposition.

Je laisse alors glisser ma cuillère au sol.

Tu te tournes et te penches pour la ramasser, offrant à ma portée tes douces rondeurs nues et l’ouverture de ton sexe à l'orée dévoilée.

Je pose une main sur ces globes encadrés par le porte-jarretelle qui me font bander.

Tu restes penchée, offerte aux caresses délicates.

Je glisse un doigt sur ta fente. Tu es trempée.

Je le retire. Tu te relèves lentement.

-         Votre cuillère Monsieur.

Je contemple mon doigt qui laisse voir ta mouillance.

-         Voulez-vous que je vous nettoie ?

J’acquiesce et tu portes aussitôt le doigt à ta bouche pour l'engloutir doucement sans me quitter des yeux.

Puis, tu l’essuies avec une petite serviette en papier, dans un sourire.

Tu sors de la pièce en roulant des hanches, cambrée pour tendre ta poitrine.

-         Si Monsieur a besoin de moi.

Je prends mon café avec une trique monumentale et l’envie de te revoir dans ce rôle que tu me composes à merveille dans cette matinée avancée.

Je toussote et tu apparais dans l’encadrement de la porte.

Tu t’empares du plateau.

Ton regard se pose sur la bosse que forme mon sexe sous le drap.

-         Je vais prendre ma douche, dis-je, tu viendras me rejoindre je te prie.

-         Bien Monsieur.

Tu attends que je me lève pour partir. Je sais bien ce que tu veux voir.

Et je ne le cache pas.

Au garde à vous, mon membre est fièrement tendu vers le haut. Il surplombe mes deux bourses pleines de mon envie de te saisir et de se vider en toi.

Mais je passe devant toi sans te jeter un regard.

La tête basse tes yeux ne lâchent mon engin que pour mater, sans aucune discrétion, mes fesses dodues.

 

Tu me rejoins toujours dans cette tenue qui me rend dingue. Je suis dans la douche. De dos.

Mon érection n'a pas cessé depuis que je t'ai vu ainsi parée.

-         Frotte-moi le dos s’il te plait.

Tu prends la boule de lavage et tu entreprends de t’acquitter de ta tâche. Tu le fais avec une telle douceur que je me détends sous les cercles que tu opères dans mon dos.

Je n’ai pas vu le moment où tu es passée au seul contact de tes mains, sans transition autre que le frôlement agréable.

Tu me masses sous les filets d’eau tiède.

Les épaules, le dos, les reins…

Tes mains prennent mes hanches et glissent sur mes fesses.

Tu malaxes les muscles et d’une main tu viens masser l’arrête de ma colonne vertébrale.

Avec une infinie délicatesse tu parviens, sans que je m’en rende compte, à glisser un doigt sur mon œil.

Je te sens alors hésitante.

Devant mon absence de réaction tu poursuis ce massage d’un genre nouveau. Doux, de la pulpe du doigt, sur mon intimité.

Je m’efforce de ne pas te montrer à quel point ces pressions que tu exerces ont accélérés les battements de mon cœur.

Je me retourne avec vigueur pour faire cesser tes actions.

Tu es à genoux, les mains mouillées, dans cette tenue si affriolante.

Tes yeux à quelques centimètres de ma virilité dont le gland montre a quel point tu as pu m’exciter.

Tu m’embouches sans effort, sans préalable, répondant à ton envie.

Une main sous mes bourses, l’autre en masturbation et ta bouche qui suce avec voracité.

Je te laisse agir quelques instants avant que ne m’échappe un petit soupir de plaisir.

-         Je ne t’ai pas demandé de me pomper.

Tu sors mon sexe d’entre tes lèvres sans cesser de me caresser.

-         Excusez-moi Monsieur, l’envie…

-         Mais tu suces comme une reine.

-         Merci Monsieur.

-         On voit que...

-         J’adore ça Monsieur. Sentir une verge dans ma bouche est un plaisir, la votre un cadeau.

-         Charmante… Continue encore un peu.

Tes yeux se ferment et tu m’avales profondément.

Je sens tes lèvres se serrer autour de ma verge, ta langue venir me presser et toute ta bouche s’adonner au plaisir de la coulisse. Je pose ma main sur tes cheveux pour t’accompagner dans tes mouvements. Je suis en feu. Ta bouche est une source de plaisir sans fin.

Je te repousse doucement.

Mon sexe est luisant de ta salive.

Tu m’essuies avec douceur.

-         Oui… charmante.

-         Et toute à vous, Monsieur.

-         On va voir ça…

-         Vous pouvez tout me demander.

-         Rejoins-moi dans la chambre.

 

Lorsque tu me rejoins, je suis assis et je t’invite à entrer dans la chambre assombrie.

-         Déshabille-toi avec la même idée en tête que tu avais lorsque tu m'as taillé cette pipe il y a deux minutes.

Après un moment d’hésitation tu acceptes ce jeu du strip et te prêtes au jeu avec une joie qui se lit sur ton visage.

Tu prends des positions de plus en plus osées. Tu offres à mon œil implacable tes courbes et tes formes que tu dévoiles au fur et à mesure de ton effeuillage.

Ici un sein que tu soutiens, là ton sexe que tu caches ou ta cambrure qui offre une vue imprenable sur l’orée de ta vulve humide.

Tu es nue à l’exception de ton collier. Docile et souriante, tu te frottes au montant de bois dans une danse érotique et terriblement sensuelle.

-         Caresse tes seins.

Tu joues avec. Chaque mamelle autour du montant, masturbation irréelle d’un pieu gigantesque que tu lèches sans me lâcher du regard.

Tu t’assois sur un petit meuble, les cuisses de plus en plus écartées.

Tu irrites tes tétons tendus, en essayant d’y passer le bout de langue.

Je suis dans un état où ma main ne peut s’empêcher de prendre mon engin et de me caresser.

-         Amuses-toi avec ton bouton.

Tes doigts obéissent à mes ordres et s’emparent de ta fente qu’ils écartent pour te permettre de libérer ton clitoris puis tendrement titiller ta perle rougie du désir qui t’habite.

Je t’encourage à poursuivre.

Ma main droite s’affaire à me masturber.

Ton visage est tendu dans le plaisir.

-         Allez, montre-toi à moi, offre-toi.

Tu te redresses et lentement te tournes.

Tu te cambres. Tes reins se creusent et j’observe ton cul magnifique.

Un doigt vient d’ailleurs s’emparer de ton intimité.

Après quelques secondes tu l’enfonces en toi.

De ton autre main tu parviens à forcer ton fruit juteux.

-         Alors comme ça tu aimes être prise dans tous les trous ?

Tu murmures un « oui » plaintif, « avec vous ».

-         Approche, j’ai encore envie que tu me suces… comme une chienne.

Tu viens sur le lit et tu me prends à pleine bouche, excitée par mes paroles et par mes gestes.

Ton sexe vient se placer au dessus de moi et je lui donne un petit coup de langue.

Tu me réponds à l’identique.

J’excite ta perle du bout de ma langue.

Tu fais de même sur mon méat.

Large et lente, ma langue parcours toute la surface de ton sexe trempé.

Alors sur ma queue tu passes la tienne avec douceur.

D’une main je viens te masturber alors que ma langue se fraie un passage en toi.

Tes doigts agiles viennent me branler pendant que ta bouche s’ouvre autour du vit palpitant.

Je te dévore de plus en plus fortement, ma bouche toute entière dédiée à ta chatte qui ruisselle dans ma gorge.

Tu me pompes goulument, tes mains palpant mes couilles sans une seconde d’arrêt.

D’un doigt je viens me glisser dans tes fesses.

Tu fais de même dans les miennes.

A ce jeu de l’écho tu ne sembles pas vouloir flancher avant moi.

Je caresse alors ta rondelle de mon doigt. Je presse, je cercle, je m’éloigne pour revenir t’exciter.

Tu agis de même avec mon orifice.

Je te sens gémir. Je me laisse alors à mon tour soupirer tant tes gestes me procurent des sensations intenses.

Mes lèvres aspirent ton clitoris pour le téter. J’ai son gout dans ma bouche, j’ai ton jus qui s’écoule sur ma langue, je le sens glisser entre mes lèvres…

Tes lèvres ont aspirées mon gland et tu me têtes à ton tour, excitant du bout de la langue mon méat suintant.

J’enfonce un doigt entre tes fesses, il s’introduit sans effort dans ton anus dilaté.

Je ressens alors dans mon intimité ton intrusion qui m’arrache un cri.

Je te doigte avec beaucoup de délicatesse.

Tu ne te fais pas prier pour m’imposer le même plaisir.

Au bord de l’excitation je donne quelques coups de reins qui propulsent mon pieu dans le fond de ta bouche.

Tu m’écrases de ton sexe pour le plaquer sur ma bouche.

Tu me sens venir autant que je te sens te contracter.

Ton suc coule sur ma langue, je l’avale.

Je me répands en toi, ta bouche pleine de mon foutre, tu continues de sucer comme je continue de te lécher, doigtés tous les deux, images inversées d’un miroir de bordel.

Mes joues sont souillées de ta cyprine.

Ta gorge ingurgite mon épais liquide.

Nous nous relevons lentement.

Nos lèvres se touchent.

-         Suis-je au goût de Monsieur ?

-         Tu es… parfaite.

-         Je suis assez chienne pour vous ?

-         Je n’en ai pas fini avec toi…

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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mask.JPG[…]

Dans mon rêve, la femme nue qui me caresse est masquée.

Un masque vénitien. Noir. Dans l’embrasure d’une porte, loin du tumulte des musiciens et de la foule qui s’amuse dans ce palais d’un autre siècle, ses longs doigts blancs s’occupent de moi d’une manière délicate qui m’arrache un soupir.

Et qui me réveille.

Je reprends contact avec la réalité.

Encore émoustillé par la teneur de mon rêve érotique je sens mon sexe en pleine érection.

Le plaisir se poursuis.

Je comprends alors pourquoi.

Dans le tout petit matin, j’aperçois une forme qui bombe les draps, entre mes cuisses.

Suis-je resté dans le monde onirique du carnaval ?

La pression qui s’exerce sur les pourtours de mon sexe, cette chaleur qui l’entoure…

De mes mains je fais glisser le drap.

Une tête est posée entre mes cuisses relevées.

De bas en haut elle engloutie mon membre sans un seul arrêt avec une lenteur extrême.

Les lèvres se plissent légèrement lorsque ta bouche, serrée, descend puis remonte le long de ma raideur.

Je te laisse faire, je profite de ce moment avec bonheur, à peine éveillé.

Ta bouche vient s’attarder sur mon gland.

Loin des mouvements réguliers, tu lui appliques des pressions à son embase. Tu l’aspires, le relâches puis, parfois, viens jouer avec mon méat ou, d’autres fois, appuis ta langue sur ce petit orifice.

Ta main soutient mon pieu.

Tes doigts jouent avec mes boules.

Tu les fais rouler dans ta main, me malaxant sans cesser de me maintenir dressé vers le ciel.

Je peux enfin voir ton visage.

Tu me souris.

Tes lèvres sont roses d’avoir déjà beaucoup sucées.

Je te rends ton sourire.

Je ne suis qu’excitation, tendu et heureux.

Ta langue passe sur le casque de mon soldat au garde à vous.

Elle est large et sans me lâcher du regard tu me lèches comme on lècherait une glace.

Le bout de ta langue vient exciter les replis, passe de la surface lisse et tendu aux pourtours sensibles.

Tu penches légèrement ton visage pour embrasser de la largeur de ta langue, toute la hampe de ma virilité.

Très lentement tu remontes par diverses faces, de sa base à son pic, ce qui m’arrache quelques soupirs de bien-être.

Le bout de ta langue vient exciter ma source. Je perle.

Tes lèvres s’ouvrent et tu penches la tête pour me saisir sans m’emboucher. Tu te saisis de ma verge qui coulisse entre ta bouche.

Délicate et attentionnée, de ta main tu viens faire rouler la goutte de plaisir qui est venu perler.

Je me sens bouillir.

La pression que tu exerces, l’excitation que tu imposes à mon sexe, me font gémir.

Tu ouvres la bouche et ce sont mes monts auxquels tu as décidé maintenant de t’en prendre.

Un à un tu les gobes.

Je les sens entourés d’une chaleur humide, remués par ton muscle, aspirés, dégustés.

Je ne tiens qu’avec difficulté à ne pas vouloir te toucher à mon tour, mais je profite de ce moment qui ne m’est que dédié.

Une de mes mains vient de se poser sur tes doigts qui tiennent ma queue et je t’impose le rythme de ma masturbation.

La bouche emplie de mes couilles, tu joues avec mon manche, ta petite main serrée par la mienne.

Tu lâches ma main, t’éloignes de quelques centimètres et me regardes faire.

Devant toi je m’applique à me branler avec douceur. Pourtant l’envie est forte d’aller plus vite, plus fort, plus loin.

Lorsque tu me prends à nouveau en bouche, je sais que tu as eu la même idée car tes gestes sont plus gourmands, plus vigoureux.

C’est de plus en plus profondément que tu enfonces ma verge dans ta bouche.

Ta main vient me saisir et tu me poses sur le haut de ton crâne.

Mais ce n’est pas pour me laisser inerte que tu es venue me placer ainsi, la pression de ta main souhaite que je te force à m’emboucher plus loin.

Je m’exécute, imposant à ta bouche d’aller profondément à la recherche de la base de ma hampe.

Je te force donc à m’avaler, je te sens hoqueter lorsque je frôle les parois de ta gorge.

De la salive coule sur mes couilles.

Tes murmures sont étouffés par la prise que je t’applique.

Mes reins se soulèvent pour venir écraser tes lèvres sur la base de mon pubis.

Tu me rends ivre de sexe.

Mon autre main vient te saisir et j’utilise ta bouche comme un trou dans lequel je me soulage.

Tu ne me tiens plus, uniquement attentive à essayer de garder ta bouche serrée autour de ma queue qui te ramone les joues jusqu’à la glotte.

Avec difficulté tu parviens à résister à l’envie d’ouvrir la bouche un tout petit peu plus à chaque fois que je t’enfonce jusqu’à la garde.

Je t’entends souffler et souffrir de joie sous l’effort et la douleur que j’impose à tes lèvres pulpeuses.

A la limite de l'écœurement tu sembles apprécier ce supplice dans le regard libidineux que tu me lances.

Je me place alors assis sur le bord du lit.

Tu glisses hors du lit.

A genoux devant moi tu retrouves tes esprits.

Ta bouche est rouge, tes lèvres purpurines.

Tu plonges ton regard dans le mien.

Brillant, le feu du désir s’y consume.

Tu respires fortement, essoufflée.

Je caresse ta joue.

Tu saisis ma main pour la coller à ta peau. Tu es douce, chaude, en sueur.

Et n’y tenant plus tu te penches à nouveau sur le métier pour y accomplir ton ouvrage.

Tu viens lécher la veine saillante de mon sexe luisant de ta salive.

Goulument tu viens pomper comme une femelle avide.

Affamée, tu sembles ne pas vouloir cesser de me prendre dans cette position.

Durant plusieurs minutes je te regarde faire, la base tenue par tes doigts agiles, enfournée à pleine bouche.

Tu me suces sans aucune décence et j’adore cela autant que toi sans nul doute.

Ton souffle et le bruit de ta bouche sur moi m’excitent au plus haut point.

Je me laisse aller, gémissant, je sens mon corps se trémousser et onduler sous tes gestes appliqués.

La presque totalité de ma verge disparue dans ta bouche, ta langue me masse sans discontinuer tout au long de tes succions.

Je sens monter en moi le plaisir et mon vit se met à vibrer, s’agiter de soubresauts.

Tu extraies alors mon manche de ta bouche et c’est ta main qui m’astique fortement.

Tu me regardes, l’œil lubrique.

J’explose dans un cri.

Mon liquide se répand.

La première giclée vient s’écraser entre mes mamelons.

La seconde sur mon ventre.

La troisième sur mon nombril.

Tu n’en perds pas une miette, hypnotisée par mon éjaculation.

Puis je coule entre tes doigts qui ne cessent de me caresser.

Tu lâches ma bite encore grosse et portes tes doigts recouvert de mon liquide à tes lèvres.

Du bout de la langue tu lèches le foutre qui est venu te salir.

Je m’allonge, exténué.

Tes mains viennent me caresser le corps, répandant sur ma peau le jus poisseux de ma jouissance.

Tu le fais glisser sur mes tétines tendues.

Tu me masses avec comme onguent, mon suc, que tu fais rouler sous tes doigts, sous tes paumes, comme s’il fut des plus précieux.

Arrivée à mon cou, je sens mon odeur mélangée à ton parfum.

Tu t’allonges sur moi pour me masser de ton corps.

Ta poitrine pressée sur mon torse, tes bouts durs se frottent.

De mes doigts je les saisi et je te palpe.

Tu te cambres pour m’offrir tes seins lourds.

Je m’amuse avec eux, à les maltraiter avec douceur.

Je tire sur tes mamelons, je les fais rouler, je les presse entre mes doigts alors que mes paumes se rejoignent sur un seul de tes seins.

Tu es si excitée que ce simple fait pourrait te faire jouir.

Alors c’est sans vergogne que je m’emploie à te faire grimper les échelons du plaisir en branlant tes pointes.

Tu pousses quelques petits gémissements.

Ton bas ventre se frotte sur ma bosse qui n’arrive plus à dégrossir.

Je sens ton orifice venir se contracter contre moi.

Tu me regardes toujours avec ce même feu qui couve en toi.

Tu passes sur mes lèvres le bout de ton index et l’invite à pénétrer ma bouche.

Je t’autorise ce geste et tes yeux s’ouvrent en grand lorsque tu me vois aspirer ton doigt oint de mon suc.

J’y passe ma langue.

Je me goute.

Tes yeux sont clos.

J’excite tes globes, offerts.

Je viens les chercher de ma bouche.

Je te tète, je les lèche, je les lave de ma semence.

Tu oscilles sur mon bas ventre et je te vois jouir sur moi dans un concert de soupirs agrémentés de petits cris.

Je suis souillé de ta cyprine qui ruisselle sur moi. Tu te frottes encore, inassouvie.

D’une main tu saisi le manche en te rejetant en arrière et tu te l’enfiles dans la vulve d'un coup de reins.

Mon sexe à peine ragaillardi, déjà se remet à te labourer.

Tu t’empales de tout ton poids.

Lubrifiée comme tu l’es tu n’as aucune difficulté à me grimper dessus et à t’asseoir sur ma verge.

Tu restes ainsi, haletante, les yeux fermés. Sans un geste. Ton ventre fouaillé par ma verge brulante.

Je me contracte dans ton intérieur.

Tu me réponds par des contractions de ton vagin.

Nous laissons nos muscles agir ainsi, ballet intérieur de nos sens enflammés.

Lorsque tu ouvres les yeux. Je vois ton regard devenir plus clair.

Je caresse tes fesses si douces.

Les sensations sont à leur paroxysme.

Tu coules à nouveau sur moi, jouissant une deuxième fois, coup sur coup.

Sans un mouvement de reins.

Tu t'effondres sur moi.

Mais mon pieu lui, n'a pas encore fini de te posséder.

Et c'est avec puissance que je m'avance en toi.

Tel un pantin tu subis mes pénétrations.

J'écarte tes cuisses, mes mains à pleines fesses, je remonte tes genoux au dessus de mes épaules.

Te voici assise sur ma queue.

Tes bras en arrière se sont saisis de mes chevilles.

A chaque fois que j'écarte tes cuisses, tu t'enfonces autour de ma grosseur en criant.

Lentement je te fais monter et descendre sur la coulisse de chair.

Tu m'accompagnes et m'encourages à aller plus vite de quelques gémissements.

Je vois dans tes yeux se raviver l'étincelle du désir.

C'est alors de ton propre fait que tu te prends à te trémousser.

Ma verge te fourre.

Ta chatte s'ouvre et s'offre.

Au fond de toi je me plais à parcourir la voie de ton sexe, une main sur un sein, l'autre branlant ton clitoris.

Ta bouche s'ouvre, muette, tu te cambres.

Je te force avec mes ultimes ressources.

Je me sens lâcher mon jus dans ton ventre, en un ultime élan ultime, aux limites de mes forces matinales.

Tu t'es empalée au plus profond et, la tête rejetée en arrière, tu pousses un râle rauque qui s'unit au mien.

Mes doigts se retrouvent inondés de nos deux jouissances chaudes.

Tu t'allonges lentement en arrière.

Nos cuisses écartées, nos sexes l'un dans l'autre, tels le roi et la dame d'un jeu de cartes, opposés, unis, un couple de cœur.

Après quelques instants dans cette position tu reviens vers moi pour te lover près de mon épaule.

Il ne nous faut que quelques instants pour retomber dans un sommeil profond.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[…]

Je n’ai pas éteint les chandelles !

Cette pensée me réveille.

Il fait encore nuit.

Tu es allongée à côté de moi.

Ton souffle est profond.

Le drap recouvre ton corps jusqu’à tes reins.

Je me lève pour ces maudites bougies auxquelles je n’ai pas pensé.

Elles, elles ne m’ont pas attendu pour se consumer, et je n’ai plus qu’à retourner me coucher.

Seule la clarté d’un radio réveil teinte de rouge les voilages qui entourent le lit et nimbent tes reliefs.

Ta poitrine dévoilée à mon regard, tes mamelons qui accrochent les parcelles électriques, ton visage serein.

Je m'attarde à te regarder.

Des images passent devant mes yeux. 

Tu y es si sensuelle.

Des mots résonnent à mes oreilles.

Qui font monter en moi l’envie d’en voir plus.

Lentement je fais descendre le drap le long de tes hanches, puis le long de tes cuisses jusqu’à te faire apparaitre, entièrement nue avec pour seul habit ton fin collier.

Tu es endormie et je peux profiter de ton corps sans que tu ne le saches.

Mon désir croit. Je sens mon sexe se tendre. J’ai envie de te toucher, de te sentir.

Mes doigts te frôlent lentement.

Ton visage est calme, apaisé par le sommeil.

Dans ton cou je viens placer mon nez et ma bouche. Ton odeur m’enivre.

Mes mains glissent le long d’un sein. J’ose venir toucher son bout qui ne réagit pas.

Je continue de le faire rouler.

Il commence à se tendre.

Tu bouges légèrement.

J’en ai envie. Ma bouche vient le lécher. Très délicatement, du bout de ma langue, je sens ses aspérités, sa souplesse.

Dans ton sommeil ton téton se durcit, sans t’éveiller, je le prends alors pour une succion délicate.

Lorsque je le libère de mes lèvres il pointe vers le plafond, luisant, ton auréole rose démontre la tension qui habite tes seins.

Avec d’infinies précautions j’entreprends alors de m’approcher de tes reins.

Ma main vient se poser sur le haut de ta cuisse puis lentement entame quelques cercles pour descendre vers la fesse que tu me tends.

Tu te tournes.

Je me recule.

Tu te trouves sur le dos.

Tu soupires et le rythme régulier de ta respiration revient aussitôt.

Ce corps !

Devant moi, à portée de mes mains, je le désire.

Mes doigts viennent caresser le bas de ton ventre. Sur ta petite touffe je glisse jusqu’au haut de ta fente que je parcours délicatement jusqu'en bas.

Je bande à en avoir mal alors d'’une main je commence à me caresser.

Avec délicatesse je me décalotte, puis je fais glisser dans ma main la peau de mon membre sur toute sa hauteur. Je sens la pression à mes oreilles envahir mon esprit.

Tout en me masturbant, j’entrouvre doucement tes lèvres.

Tu es humide.

Je porte mon doigt à ma bouche pour te goûter.

La saveur de tes cuisses coule dans ma gorge. Nectar divin.

Je m’y réintroduis.

Tu t’agites quelque peu. Je cesse mes mouvements, immobile, tu te figes à ton tour, toujours endormie.

Je remonte millimètre par millimètre la gorge de ton sexe.

Le bout de mon doigt écarte ta motte sur son passage.

Et je viens dévoiler ton bouton, telle une perle gorgée de sang.

Dans son nid, il réagit à mes doigts qui le titillent avec une infinie précaution. Je ne veux pas t’éveiller.

Je le vois gonfler.

Mes doigts le caressent en tous sens; avec application et lenteur.

Tu souffles et tes cuisses s’agitent.

Peut-être fais-tu un rêve érotique…

Cela m’excite encore plus.

Dans ma main mon engin palpite à n’en plus pouvoir.

Je suis en train de m'astiquer, un doigt dans ton sexe, et j'y prends un bien fou.

J’écarte tes cuisses et je viens me placer entre elles.

A genoux je te domine et je peux t’admirer.

Je glisse ma main sous ton sexe qui ne s’est pas refermé totalement sous mes caresses.

Je suis à l’entrée de tes fesses.

Du bout du doigt je remonte de ton œil à ta perle.

Tu ouvres légèrement la bouche pour soupirer.

Je décide alors de te prendre dans ton sommeil.

Je vais forcer ton chemin, faire rejoindre la réalité au rêve que tu fais.

Je m’allonge sur toi, mes coudes en appui. Nos sexes se touchent.

D’une main je viens placer ma virilité face à ton orifice.

Lisse et large, mon gland se fraie un passage, il ouvre sans mal ton abricot mouillé.

Je m’enfonce en toi.

Avec une extrême lenteur je fais glisser mon pieu dans ton bas ventre excité.

Ta chaleur m’entoure.

Je m’installe en toi et je ne bouge plus.

Je suis au comble de mon excitation.

Je sens ton souffle s’accélérer.

Le mouvement de retour semble t’éveiller.

Alors je m’avance à nouveau pour faire progresser mon vit dans ta chatte offerte.

Tu poses tes mains sur mes hanches pour m’inviter à poursuivre.

A peine éveillée. Les yeux clos. Tu gémis.

Avec le même rythme lent je vais et je viens, élargissant ton sexe trempé lorsque mon gland écarte l’ouverture de ta vulve à chaque passage, t'arrachant un souffle sensuel.

Je m’allonge entièrement sur toi. Ma peau en contact avec ta peau.

J'écrase tes seins de mon poids.

Je t’embrasse dans le cou.

Tu me murmures à l’oreille, mi amusée mi désireuse, « c’est un viol ? ».

Je ne réponds rien d'autre qu'une poussée virile de me pieu dans ton ventre.

" Je faisais un rêve érotique..." poursuis-tu.

Je ponctue ta phrase d'un assaut plus vif, qui te coupe le souffle.

Puis d'un autre qui t'enfourne encore plus profondément et qui te fais te cambrer.

Tu pousses un cri au troisième coup alors que je suis enfoncé en toi jusqu'à la garde.

Mes boules sont plaquées à ton sexe.

Ton corps est tendu comme un arc, ta poitrine dressée vers le ciel, ton sexe ouvert et poussé contre le mien.

« Humm… violez-moi encore », ce seront tes seuls mots.

Tu tends ta croupe vers l'avant à la rencontre de mon pieu que tu désires.

Je n'ai plus qu'une seule envie, t'entendre jouir, alors je continue avec plus d’allure de fouiller ton bas-ventre.

Je te laisse faire quelques mouvements par lesquels tu te cabres pour venir t'empaler autour de mon sexe gonflé.

Puis je m’arc-boute et t'enfourche en de longs vas et vient.

Je n’ai de cesse de limer en toi jusqu’à ce que je sente la jouissance arriver.

Tu ne m’autorises pas à sortir de ton antre, tes mains agrippées à mes hanches, les ongles plantés dans mes fesses, gémissante et langoureuse.

Je devine ton désir et je poursuis, écartant tes parois. J’entreprends d’onduler pour forcer ton sexe à s’écarter.

Tu ouvres la bouche. Je m’en empare pour étouffer ton gémissement ultime.

Nos langues se cherchent et s'enroulent.

Mon pieu explose en toi.

Mon jus se répand dans les méandres de ton sexe en feu.

Je râle de plaisir au son de tes gémissements.

Tes mains me demandent encore plus de force.

Tu vas bientôt me rejoindre, complice, amante, affolée, terriblement séduisante.

Tel un animal je te possède sauvagement, sans retenue.

Je te donne des coups de reins, puissants, tu ne peux m’embrasser, ton corps est secoué par la force de ces coups de pistons qui te chahutent.

Tu ouvres la bouche, muette, paralysée par l’éclair de plaisir qui te traverse.

Longuement je te sens atteindre le plaisir, sans que mon membre ne te laisse un instant de répit.

Nos sucs se mêlent et luisent sur ma chair autant que sur tes lèvres.

Nos langues se trouvent à nouveau.

Notre baiser est doux.

Je t’observe. Tu fermes les yeux.

Je te recouvre du drap jusqu’aux hanches et je pose mes lèvres sur ton front en écartant une mèche cuivrée des reflets électriques.

Ta respiration redevient lente.

Assouvie.

Ma queue dodeline sur mes bourses.

Je ferme aussi les yeux.

Ta main se pose sur mon sexe, la mienne sur un de tes seins.

Et dans la lueur rouge du radio réveil Morphée nous ouvre les bras à nouveau.

 

A suivre…

 

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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