[...]

 

Nous regardions cette femme se faire trousser, sans un bruit pour ne pas nous faire découvrir.

Nous étions deux voyeurs complices.

L'homme relève sa robe lentement.

Il descend une petite culotte noire qui bientôt glisse au sol sur les chevilles de la femme.

Pendant ce temps, les gestes un peu brusques, elle réussi à défaire son pantalon.

Il s'éloigne pour libérer ses jambes, elle fait de même avec son petit slip.

- Je la connais, murmures-tu. C'est une collègue !

- Elle ne semble pas s'ennuyer ta collègue.

- Je ne l'imaginais pas comme ça.

Elle extraie le sexe de l'homme et le regarde, bien en main elle commence à le caresser.

- Et lui, tu le connais ?

- C'est un stagiaire. Il a une belle bite. Murmures-tu proche de mon oreille.

L’homme se laisse faire.

Face à cette femme dont la jupe relevée laisse apparaitre ses formes les plus intimes, il ne fait pas un mouvement.

C’est elle qui le masturbe lentement.

Elle le regarde des yeux jusqu’au sexe sans cesser de le caresser.

Il pose alors ses mains sur son chemisier et le déboutonne avec une lenteur extrême. Nous entendons le souffle de la femme qui s’accélère.

Elle ne porte pas de soutien gorge et ses petits seins nous apparaissent soudainement.

-         Ses seins sont tendus. Te dis-je.

-         Ils sont petits, me réponds-tu.

-         Ses mamelons sont jolis. Elle darde.

Elle lui intime l’ordre de venir lui sucer les seins et il obéit avec vélocité.

Nous pouvons voir ses jambes se croiser et s’agiter alors qu’il a en sa bouche, le mamelon excité.

-         Il bande, me dis-tu, comme toi…

Il est vrai que tu sens contre ta cuisse la dureté de mon membre.

Tu te frottes doucement alors à moi sans faire de bruit.

Dans la pénombre de notre cachette, tels deux espions, nus, nous observons ce couple faire l’amour et cela ne fait que faire croitre notre excitation.

-         Elle te plait sa queue ? Te glisse-je alors que mon vit se colle à ta cuisse.

-         Elle est pas mal, oui…

-         Tu l’aimerais bien en stagiaire ?

Tu marques un temps d’arrêt pendant lequel je te sens rougir.

-         Je préfère le regarder faire.

Elle l’empoigne par les cheveux et le force à descendre vers son sexe.

Il se retrouve bientôt à genoux et tout en écartant les cuisses, elle lui ordonne de la lécher.

-         C’est une "maitresse" ta collègue.

Du bout de la langue il lèche son sexe qu’elle écarte de ses doigts manucurés.

-         Elle n’est pas mal.

-         Tu la baiserais ?

-         Autant que tu te ferais le petit jeune.

Tu m’embrasses la joue et je sens ton fruit s’ouvrir le long de ma tige.

La femme se tourne et se cambre pour mettre son séant à la hauteur de son visage.

« Lèche-moi l'oignon... ta langue bien partout...Ouii... comme ça... petit lèche-cul ! »

Tes mains se crispent sur mes hanches. Tu m'attires à toi.

-         Prends-moi pendant qu’on les observe. Me murmures-tu. J'ai envie de baise.

Je m’enfonce doucement en toi, dans la chaleur incomparable de ta vulve lubrifiée.

Très lentement je vais et je viens dans ton ventre alors qu'elle se retourne et lui fait face.

Elle le gifle et lui demande de la prendre d’un « baise-moi bien... et tu seras récompensé » sonore.

Ordre qu’il exécute tout en la prenant dans ses bras. Ses petits seins pressés contre son torse, il enfile son membre dans son sexe désormais ruisselant.

-         C’est une vraie salope, me susurres-tu entre deux petits gémissements. Elle profite de son statut... hoo... doucement tu vas me faire crier.

-         Il n’a pas l’air de s’en plaindre… Serais-tu jalouse ?

-         Humm... non. Il a un beau sexe mais... oui... profond comme ça... il ne me plait pas... je le trouve... haa, c'est bon... je le trouve laid.

-         Elle aussi, mais j’aime son cul.

-         Tu l'enfilerais je suis sur... hummm...

-  Elle en prendrait plein les fesses oui.

- J'aimerais bien la voir se faire... ho oui !... Han... tu crois qu’elle va lui demander de…

Tu n’as pas le temps de finir ta phrase qu’elle se tourne pour se faire prendre par derrière.

Il s’accroche à ses hanches et vient se positionner entre ses fesses. Elle se cambre et il se fait plus pressant, obéissant et tendu.

« Prends-moi le cul petit salaud » lui déclare t-elle.

Je te sens te trémousser, tes ongles s’enfoncent dans mon dos. Je donne un léger coup de reins qui te fait te cabrer légèrement.

Collé à toi je te murmure le plus doucement possible :

-         Je le vois, ça t’excite.

Tu me réponds par l’affirmative dans un gloussement.

Tu ne perds pas une miette de la scène qui se déroule sous nos yeux.

Elle écarte ses fesses d’une main.

Il se présente à l’entrée de sa rondelle.

«  Si tu veux un bon rapport, tu as un intérêt à bien me ramoner le fion. »

Tu ouvres de grands yeux et il te faut quelques instants pour te reprendre.

-         Je ne la voyais pas comme ça du tout, me dis-tu, effarée.

Le jeune homme s’affaire, avec vigueur il la sodomise contre le mur alors qu’elle se met à geindre.

«  Plus vite petit con… plus vite ».

-         Elle mérite à être connue, te dis-je, tout en m’enfonçant en toi un peu plus loin.

-         Plus vite… me dis-tu dans un sourire.

Mais je continue de te pénétrer sans changer d’allure.

Il a de la ressource et il parvient à lui arracher quelques cris qui enflent alors qu’elle atteint l’orgasme. Ses mains se saisissent de celles de son amant et elle le maintient en elle alors que nous voyons son corps agité de soubresauts. Son visage vers le sol elle a les yeux clos et la bouche largement ouverte. Un cri muet s’échappe dans un soupir pendant un temps qui semble infini. Elle vient de jouir devant nos yeux.

Le stagiaire sort son sexe de l’anus de cette femme qui ne bouge plus pendant encore quelques secondes.

Lorsqu’elle se retourne pour lui faire face, elle le saisi et le branle sans un mot.

« Continue comme ça et tu auras une excellente note », lui dit-elle tout en le branlant.

Il sourit et lui répond simplement « merci ».

Elle le laisse alors, son sexe énorme dressé vers le ciel et elle commence à se rhabiller.

Il semble savoir ce qu’elle veut car il ne bouge pas, nu, telle une statue grecque dans son plus simple appareil, un beau javelot entre les jambes.

Elle s’apprête et, lorsqu’elle a retrouvé son apparence naturelle, elle hoche la tête en le regardant.

« Branle-toi petit con. Montre-moi comme je te fais jouir. »

Et il obéit, sa main s’empare de son sexe et commence à se masturber.

Tu te tortilles à cette seule vue et je sens ton sexe se contracter autour du mien.

Tu n’as d’yeux que pour cet homme dont ta collègue fait ce qu’elle veut.

Son gland rouge disparait parfois sous la peau alors qu’il fait remonter sa main, mais bien vite il est à nouveau visible lorsqu’il fait coulisser vers le bas son geste avec délicatesse.

-         Le spectacle te plait ? Te demande-je.

-         Humm… Oui… et toi ?

-         J’adore. Mais je préférais lorsqu’elle était active également. Dommage qu’elle ne l’ait pas sucé.

-         Oui. Dommage. Ca m’aurait plus de voir ça.

Sous nos regards indiscrets l’homme s’agite. Elle le regarde faire, les yeux étincelants, profitant de ce spectacle qu’il lui offre. Il se tend et gémit faiblement.

Elle passe sa main sous son sexe. Il baisse son engin et en pose le gland dans sa paume.

Puis, bien vite il éjacule par saccade, remplissant sa main de la femme de son jus onctueux.

Il se vide ainsi dans un gémissement.

Elle le regarde et lui sourit, carnassier.

« A genoux et avale ton foutre ».

Il se met au sol et vient lécher et aspirer dans la main de se maitresse, l’épais liquide blanchâtre qu’il vient d’éjaculer.

Tu te raidies.

-         Quelle salope...

Ce sont les seuls mots que tu trouves à murmurer.

-         Je ne pourrais plus la regarder de la même façon désormais, poursuis-tu en te trémoussant sous mon sexe.

Elle l’embrasse sur la joue et il se rhabille.

Elle ouvre la porte et ils s’en vont, laissant la lumière allumée.

- Il a tout léché...

- Gourmande jalouse…

- Hummm... oui....

Tes mains se font plus pressantes autour de mes hanches.

-         Prenez-moi Monsieur, ça m’a excité.

Mes assauts se font plus forts pour répondre à ton désir que je sens grandir.

- Tu aimes mater.

- Oui. Tu souffles la réponse dans une grimace de plaisir.

- Moi aussi…

Ton sexe se trouve agité de pressions et de contractions.

-         Je vais venir chez toi.

-         Ho oui… ta voix n’est plus qu’un soupir.

Mon coup de reins vient de m’enfoncer jusqu’à la garde et tu en as relevé la tête sous l’impact.

-         Je veux te voir avec ton homme.

-         Haaa… ouii….

Tu râles ta réponse alors que je te chevauche désormais comme un hussard.

-         Nous allons trouver une excuse mais je veux te voir baiser. Je veux te voir te faire défoncer par ton mec.

- Oh oui... vous me verrez... baisée... chevauchée...

Tu te cambres soudainement alors que je te prends sans ménagement et tu pousses un grognement de plaisir. L’orgasme vient de te parcourir. Je te rejoins alors dans un élan ultime.

Accrochés l’un à l’autre, naufragés sur les rives de la sensualité, la jouissance nous laisse coi.

Lentement le temps reprend ses droits et notre tenue s’améliore, nos vêtements réapparaissent.

-         Tu viendras faire des photos de moi ? me dis-tu dans un sourire en coin.

Je te souris largement.

-         Des photos de charme bien sur.

-         Oui. Ainsi tu pourras profiter du spectacle que t’offre ta soumise.

Nous reprenons le chemin de la surface. Ta main vient prendre la mienne.

Je t’arrête dans la montée et t’embrasse.

Tu frémis à l’idée que quelqu’un puisse nous voir mais t’abandonnes finalement à mon baiser.

Lorsque le hall se profile nous nous éloignons et, comme deux enfants qui auraient fait une bêtise, nous sortons sans se regarder, à quelques instants d’intervalle, non sans avoir regardé si la voie était libre.

Tu te retournes vers moi, au bout du couloir et je peux lire sur tes lèvres « Je le ferais pour vous, Maitre ».

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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