Partager l'article ! Café au Lit.: [...] Il est là, allongé à côté de moi, nu. Je détaille son corps. Ses bras musculeux qui save ...
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Il est là, allongé à côté de moi, nu.
Je détaille son corps.
Ses bras musculeux qui savent m'étreindre, son torse sur lequel je passe mes mains, les doigts jouant dans sa pilosité, ses hanches, ses jambes... et... je m'attarde sur son sexe.
Tel un serpent il repose doucement sur ses bourses en attendant la chaleur qui le fera se dresser.
Je suis comme hypnotisée par ce cylindre alanguie dont le bout lisse et rose me fascine.
Je n'ai qu'une envie, qu'il me pénètre et me force. Mes pensées deviennent salaces et j'aimerais qu'il me possède sans ménagement, crûment. Mes pensées me surprennent et je remémore les quelques mots que j'ai lancé tout à l'heure, quand il me chevauchait.
- Tout à l'heure j'ai pu dire...
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que d'un doigt sur mes lèvres il me fait faire silence.
- Pour l'instant seul ton plaisir compte... et le mien... tu peux t'exprimer, sans tabou. Me répond-il.
Ma main cherche son sexe.
Lentement je le prends dans mes doigts.
Il palpite dans la paume de ma main.
Je le caresse avec douceur, il grossit.
L'envie de le sucer me traverse l'esprit.
Ne pouvant détacher mes yeux de son membre qui commence à se tendre, j'entame une lente masturbation.
J'aime le sentir grossir dans ma main et le voir devenir large, se tendre à m'en desserrer les doigts.
Je le branle avec une extrême lenteur, sa verge se dresse fièrement.
La veine saillante palpite et mes doigts pressent vers le haut, son gland rougi d'envie.
Je vois ses yeux se fermer alors que mon indexe passe effleurer le méat dont perle une goutte de plaisir.
Je l'étale sur la surface tendue de son gros gland pourpre.
Sous la pulpe de mon doigt je le sens frémir, je presse et éprouve la souplesse de sa peau.
Je me rapproche de lui.
Il bande. Sa queue est large dans ma petite main, j'en ai envie.
Il ne dit rien alors que je m'approche de lui.
Il se laisse faire comme que je viens le frotter sur mon clitoris.
Le bout de mes doigts caresse ses bourses et la pince de mon pouce et mon index le masturbe contre mon bouton qui s'enfle.
Il se hisse sur ses coudes et me surplombe.
Tout en m'embrassant il vient poser son gland sur ma vulve.
Il s'enfonce avec lenteur, je l'aide sans en avoir besoin tellement je suis lubrifiée.
Il me pénètre et je sens mon sexe s'écarter sous la largeur du sien.
Je pousse un soupir de plaisir.
- Parle-moi... ose. Son ordre murmuré me fait chavirer.
Je lance mes reins à sa rencontre.
La lance de chair m'ouvre et je gémis de plaisir.
- J'aime avoir votre gros sexe au fond de moi... ma voix est fébrile.
Il s'enfonce dans ma plaie de plaisir.
- J'ai envie de me faire labourer... sans ménagement.... de me faire bourrer... hum... baisez-moi !
Le ton de ma voix s'éraille alors que ses assauts se font plus profonds.
Je m'attends à des phrases crues mais ce sont des mots sensuels, doux, agréables, qu'il me susurre alors qu'il me force un peu plus à chaque coup de reins.
Avec assurance il s'installe dans mon bas ventre en feu.
Son glaive de chair me perce.
Mes parois s'écartent alors qu'il me prend de plus en plus fort.
Les coups de reins deviennent plus longs et plus rapides.
Il m'entraine dans un rythme croissant.
Ses mains saisissent mes hanches et me soulèvent.
Dans un coup prolongé il m'enfourne ses derniers centimètres et je pousse un cri muet, bouche grande ouverte, aux portes du plaisir.
Il redouble de vigueur et les vas et vient sont de véritables coups de butoirs, il me défonce sans se soucier d'autre chose que de me baiser.
Je vois mes seins aller en tous sens et son visage devenir plus animal.
Presque bestial il me retourne.
Il va me prendre en levrette. "Ouiii..." je ne peux finir mon exclamation que dans un " hannn" sonore alors qu'il me perce avec violence et force, défonçant mon sexe dans un élan féroce qui me déchire en deux !
Ses cuisses viennent frapper mes fesses.
Ses couilles claquent contre ma vulve ruisselante de mouille.
Il me chevauche, je suis sa pouliche, sa femelle, remplie de son sexe.
Je crie, passant outre toute réserve, je hurle mon bonheur.
Mes bras ne tiennent pas la cadence qu'il m'impose et je finis la tête presque hors du lit, en subissant ses assauts incessants.
Je ne sens plus mon corps et je râle de plaisir.
La jouissance arrive... fulgurante.
Je suis un pantin dans ses bras et c'est la moitié de mon corps hors du lit qu'il continu de me posséder.
Il ne me semble pas me souvenir d'une séance de sexe aussi violente.
Je grogne. Je jouie. Je suis à lui.
Mon orgasme se prolonge alors qu'il continue de me bourrer sauvagement.
Je n'en peux plus mais il me défonce comme un mâle dominant sait le faire, comme le Maître le doit sur sa soumise.
Il extraie soudainement sa queue et la pose entre mes fesses.
J'exulte et j'attends qu'il répande sa semence sur moi en une ultime récompense.
Je sens alors son liquide s'étaler sur mon dos.
Sa première giclée m'atteint entre les omoplates.
Chaudes, les deux suivantes nappent bientôt mon dos enfiévré d'un jus que je devine épais.
Il coule et me salis les flancs, je prends soudain un plaisir insolite à être souillée et ainsi possédée.
Je le rejoins, à bout de force il s'est allongé sur le lit.
Il me fait venir sur lui.
De ses mains il m'attire dans une position qui m'excite.
Je viens plaquer mon sexe sur sa bouche.
Assise sur son visage je me frotte.
Je me sens comme une chienne en chaleur. J'ai envie de sexe.
Sa bouche s'ouvre et c'est toute ma chatte trempée qu'il dévore à nouveau.
Je m'écrase sur lui et je le devine, avalant ma mouille, je le sens sucer mon clitoris, lécher avec avidité l'intégralité de ma féminité.
De ses lèvres, de sa langue, il m'explore en tout sens alors que je me cabre pour qu'il prenne également possession de mon petit orifice.
Son jus coule de son dos jusqu'entre mes fesses.
Il doit l'avoir en bouche et cette idée me rend folle.
Je me caresse d'une main, je sens sa langue entrer profondément en moi "Oh oui bouffe moi la chatte ! Humm !".
J'ose me montrer vulgaire et mon excitation s'accroit encore.
Accrochée à la tête du lit, mon corps ondule.
Je livre mon sexe à sa bouche affamée.
Je livre mon corps à sa langue experte.
Lorsque je m'éloigne de lui, je vois son visage.
Il luit, trempé de nos fluides.
Sous son menton coule ma cyprine.
Des coins de sa bouche sourd un filet nos jus d'amour.
Je me tourne pour venir flatter son vit qui repose sur sa cuisse.
Du bout de la langue je le flatte.
Il me lape alors que je prends dans ma bouche son sexe qui grossit au fur et à mesure que je le suce.
Quelle délicieuse sensation que de sentir croitre en moi son pieu de chair alors qu'il me lèche avec lenteur.
Je m'amuse à passer son sexe sur mon visage avant de le ré-engloutir.
Son gout, son odeur, où je perçois ma part de plaisir, me réjouissent.
Il a sa langue loin en moi, large, il joue en moi et je coule alors dans un dernier soubresaut de jouissance.
Je reste ainsi, la bouche grande ouverte autour de son sexe, haletante, je jouis en poussant des gémissements atténués par la présence de sa grosseur sur ma langue.
Il m'allonge alors sur le lit et vient au dessus de moi.
J'ouvre ma bouche, il me force.
A la limite de l'écœurement il prend ma bouche et me baise comme s'il eut été question de mon sexe.
Il utilise ma bouche pour venir se vider.
Je subis les coups de reins où son pubis vient s'écraser contre mes lèvres.
Lorsqu'il remplit ma bouche de son foutre je suis surprise par la quantité que je ne peux endiguer.
J'avale et je laisse ma gorge se faire envahir par son sirop d'homme.
Le liquide coule en moi. Je déglutis, sage.
A la commissure de mes lèvres je perle de blancheur.
Je le nettoie avec application sa liqueur.
Il s'allonge à mes côtés.
Nous sommes repus.
Lorsque je lui ferais un café, seulement vêtue de la chemise de mon homme, il viendra me câliner, passant ses mains sur mon corps, attentif à mes désirs.
Après un moment de silence, tous deux attablés à savourer l'instant, il recommencera à me faire l'amour dans cette chambre désormais lieu d'infidélité.
Avec beaucoup de tendresse il attendra que je m'endorme à ses côtés avant de repartir sans un bruit.
Au matin lorsque je m'éveillerais, il ne restera de son passage que le souvenir de douces jouissances et, dans les draps froissés, les traces de nos ébats que, rouge de honte autant que de plaisir, je mettrai à nettoyer.
Sur la table mon Maitre m'a laissé un message : A suivre...