Partager l'article ! Dans l'Intimité.: [...] Nous entrons dans ma chambre, mon lieu le plus intime. Je le suis, ma main dans la sien ...
Nous entrons dans ma chambre, mon lieu le plus intime.
Je le suis, ma main dans la sienne.
Nos doigts se mêlent, mes mains cherchent son cou, son cul.
Je caresse son muscle fessier, ferme, je le saisi et lorsque je relâche ma pression c'est pour effleurer ses boules du bout des doigts.
Il me plaque au mur et m'embrasse langoureusement.
Nos langues se cajolent, s'enroulent.
Je le presse contre moi pour sentir la vigueur de son attribut.
Il tient mes mains et écarte mes bras.
Je forme une croix contre le mur et il se frotte contre moi.
Peu m'importe la rudesse du mur derrière moi, seul m'importe son sexe qui colle à ma motte en feu.
Je gémis, incapable de retenir mon plaisir qui monte.
Il pose ses dents sur mon cou, je suis envahie de sensations électriques.
Brusquement il m'emporte avec lui et nous nous affalons sur le lit.
Il est sur moi, sans lâcher ma bouche.
J'ouvre mes cuisses et c'est sa masculinité que je sens se frotter sur mon sexe humide.
Sans effort il vient se planter dans mon entrecuisse.
Lorsqu'il me pénètre je sens le bout de son sexe écarter mes nymphes.
Le gland se fraie un passage, m'arrachant quelques soupirs étouffés dans sa bouche.
Son pieu me force, il coulisse en moi, large et lent.
Je veux engloutir son sexe en moi aussi ouvre-je largement mes cuisses pour lui permettre de me prendre comme il le désire.
Sous l'envie je tends mon bassin et sa large hampe de chair m'écarte irrémédiablement.
Je geins sans plus me soucier du lieu.
Il me viole dans la chambre nuptiale et la chaleur de l'interdit me fait planter mes ongles dans son dos.
Je gémis, je me trémousse, mon plaisir croît et je brule d'envie.
Il s'enfonce et je le veux encore plus loin.
Comme une réponse à mon désir tacite, il me donne un coup de reins qui me transperce et m'arrache un cri qui résonne à mes oreilles.
Il vient de s'installer entièrement en moi.
Mes mains agrippent ses fesses et suivent les mouvements.
Il recule dans mon étui de femme pour s'y enfoncer de nouveau, plus loin, et me procurer ce plaisir si intense qu'il sait être en son pouvoir.
Je me surprends à ne plus contrôler mes paroles et lui demander de me prendre encore... et encore...
Les assauts se font avec intensité.
Il n'a de cesse de m'embrasser, dans le cou, sur le front.
Lorsqu'il prend ma bouche c'est pour couvrir mon cri de plaisir.
Il s'est redressé et son sexe vient de s'enfoncer encore plus profondément.
Il me laboure ainsi pendant de délicieuses minutes, avant de ralentir et m'observer jouir.
L'orgasme me fait couler autour de son vit planté dans mon ventre.
Sans retenue je suis accrochée à lui, mon Maitre, qui me possède sur mes draps.
Je suis ruisselante de transpiration, haletante d'envie et de désir.
Il regarde ma chambre. Sur un cintre une chemise d'homme qui n'est pas à lui.
Cela semble l'amuser.
Je profite de ce répit pour oser me tourner.
J'en ai envie.
Dans ma chambre, en travers du lit, je veux qu'il me prenne dans cette posture que jamais je n'ai pratiquée ici.
Ses mains écartent mes cuisses.
Je lui offre ma croupe, à quatre pattes, telle une chienne lubrique.
Mes pensées me font rougir... il peut me prendre comme il veut, me baiser à sa manière, et même posséder mon cul s'il le veut, je suis à lui, chaude et...soumise.
Mais au lieu de sentir son membre dur, c'est sa langue qui vient me laper.
Je ne peux réprimer un "Ho oui" alors qu'il m'entreprend avec attention.
Sa langue vient en alternance de sa bouche.
Il dépose un baiser sur mon sexe, il me lèche, redépose un baiser à nouveau, puis je sens sa langue s'insinuer et entrer dans ma vulve.
Il embrasse mon sexe comme s'il était ma bouche.
C'est un supplice délicieux.
Ses doigts m'écartent et il plaque sa bouche à ma féminité pour me dévorer avec passion.
Je pousse des petits gémissements que je ne cherche plus à retenir.
Si cette chambre a des oreilles elle entend ce qu'elle n'a jamais encore entendu, si elle a des yeux elle devrait les bander de peur d'être outrée.
Il m'explore.
Je dois couler dans sa bouche.
Un souffle rauque m'échappe lorsqu'il s'empare de mon clitoris pour l'extraire avec sa langue.
Il le saisi dans ses lèvres et me tête.
J'ai envie de hurler mon plaisir tant les arcs électriques se succèdent dans mon bas ventre, entièrement possédée par les orgasmes en cascades qui me paralysent dans des gémissements honteux mais délicieux.
Je tortille mes hanches pour rapprocher encore plus mon sexe de sa bouche, comme s'il eut été possible d'être plus proche.
Lorsqu'il lâche ma perle je me rends compte de ce que je suis en train de dire et je me fais rougir.
M'a t-il entendu lui demander de me lécher la chatte ?
Il n'en dit mot et continue son exploration, désormais remonté entre mes fesses que j'ai écartée avec mes mains.
Dans un geste que je voulais audacieux, je lui offre mon interdit.
Le bout de sa langue passe sur ma rondelle.
Je ne peux m'empêcher de me mordre la lèvre inférieure alors qu'il m'entreprend avec agilité.
Mon cul... mon œillet... je lui offre sans hésitation.
Il joue avec mon petit trou qui se contracte et se relâche au fur et à mesure de ses coups de langue.
La sensation de son muscle sur mon petit orifice me porte aux portes de l'orgasme.
Jamais je n'aurais cru pouvoir me faire dévorer le fondement en ce lieu.
J'ai envie, dans cette position de soumise, qu'il me lèche le cul avant de s'y insérer.
Il s'introduit du bout de la langue puis redescend vers mon sexe qu'il mange comme je lui lance quelques "bouffe-moi".
Il ne se fait pas prier pour passer de mon sexe à mon anus et lécher les deux entrées.
Sa langue large passe entre mes lèvres trempée avant de s'insérer, étroite et raide, dans mon conduit anal.
Ce jeu m'excite de plus en plus et je tremble sous les sensations.
De ses mains il écarte ma rosette et sa langue s'enfonce et se retire sans cesse.
Il baise mon cul avec sa langue.
Je glousse de bonheur et ose lui demander de me prendre par le cul.
Mes mots claquent dans l'air saturé de fragrances de sexe "Enculez-moi Monsieur... S'il vous plait".
Le bout chaud se positionne devant mon étroitesse.
D'une main il se guide en moi.
Lorsqu'il pousse sa queue en moi je crois défaillir.
Mon anus s'ouvre, pris de contractions, il se fait forcer et la douleur qui me fait grimacer s'éteint dans un gémissement de plaisir.
Centimètre par centimètre il avance avant de reculer et de me percer à nouveau toujours plus loin, fouillant mon conduit anal sous mes encouragements sourds.
Je sens son torse sur mon dos, sa bouche embrasse ma nuque.
J'offre mon cou à ses baisers alors que son membre dur m'embroche par l'arrière.
Il me susurre de poursuivre mes demandes, qu'il aime ma vulgarité.
J'oscille mes hanches en réponses.
Il s'immobilise et me tient par les épaules.
Je m'efforce de me faire coulisser autour du manche.
A chaque élan je sens ses couilles se rapprocher de mes fesses.
Je m'aperçois crier et pousser des soupirs sonores.
Alors il me saisi par les hanches et ses assauts sont impétueux, féroces, violents.
Il me laboure le cul sans ménagement.
"Ha ouiiii ! Encule-moi ! Ouiii comme ça... baise moi ! Hummm... Ho ouii... dans mon cul !! "
Sa main claque sur ma fesse et son sexe ne me laisse pas un instant de répit.
Large il me ramone l'intérieur alors que je ne peux plus articuler, seulement posséder par le plaisir de me faire mettre à 4 pattes, comme une chienne, dans l'intimité de ma chambre, par mon amant, mon ami, mon Maitre.
Je ne peux me retenir et, la tête sur le bord du lit, le cul en l'air, lorsque son pieu s'avance jusqu'à faire claquer ses boules sur mon vagin, je jouis une nouvelle fois dans un long murmure alors qu'il ne cesse daller et venir dans mon cul.
Il sort son membre, mon petit trou reste dilaté, ouvert, et je sens son souffle.
Je frémis.
Ses lèvres s'agitent sur mon clitoris gonflé alors qu'il aspire ma mouille et l'avale.
Il nettoie avec lenteur mon sexe assouvi.
Je reste un peu ainsi, incapable de bouger, affalée sur le lit.
Ses mains flattent ma croupe.
Il caresse mes fesses qui lui sont offertes.
Il remonte sur mon dos jusqu'à ma nuque puis fait chemin inverse.
Ses mains de mâle sur ma peau brulante de femme.
Lorsqu'il fait courir ses doigts sur mes cuisses et qu'il en enlève mes bas, je hasarde un regard vers lui.
Il me sourit et vient s'allonger à côté de moi. Ses lèvres ont le gout de mon sexe.
Nous nous embrassons avec passion.
- Ton homme n'a pas bon gout pour les chemises, me dit-il.
Je reprends pied avec l'endroit.
Gênée.
- Mais il a un gout parfait pour les femmes.
Je rougis.
Nos lèvres se prennent.
Nos bouches se pressent.
Dans mon ventre l'envie nait à nouveau.
A suivre...