[...]soumise

Elle se lève.
Son corps dans le clair obscur de mon studio est comme une ombre fugitive.
Sensuelle, elle ondule en s'éloignant du lit.
Ses courbes sont divines.
Féline et lascive.
Le balancement de ses hanches de droite à gauche me donne chaud.
Ses fesses, si douces, aux formes rondes me font tourner la tête.
Je reste bientôt seul dans le lit.
Plus un bruit.
Ai-je rêvé ? Fantasmé ma Muse ?
Ce n'est pas un rêve comme en atteste l'état de mon lit, en bataille... la présence de son odeur sur l'oreiller... celle de son porte-jarretelles sur le sol.

Mon fantasme d'adolescent parcourt ma cuisine.
Cette femme qui a été à l'origine de tellement de mes caresses, de mes films érotiques rêvés est chez moi... nue...
Et je sens encore sur moi les traces de ses doigts comme des lignes de fusion sur mon corps.
L'écart d'âge me remplit de honte autant que de désirs impudiques.

Elle rentre de nouveau dans la chambre.
Souriante, ses yeux étincellent. Splendides.
Une partie de son visage dans l'ombre, l'autre dans la lumière.
Telle une déesse à deux visages, l'un sage et l'autre coquin.
Sa lourde poitrine aux auréoles larges se tend orgueilleusement.
Elle apporte deux verres remplis d'un alcool léger, faisant se balancer avec lenteur ses deux globes pâles.
Ses tétons longs et durs se découpent par le jeu des bougies qui continuent de briller dans la pièce voisine.
Sa voix est douce.
- Bébé, j'avais besoin d'une pause.
Son sourire me désarme, ses yeux m'envoutent.
- Vous êtes merveilleuse. Dis-je en prenant mon verre entre ses doigts délicats.
- Ha comme j'aime lorsque tu me vouvoies. C'est si mignon.
Elle s'allonge sur le côté.
Son sein droit vient reposer sur le gauche, sa cuisse se courbe pour masquer son intimité.
- C'est normal...
- Parce que j'ai l'âge de ta mère presque ?
Je rougis.
- Parce que je vous dois le respect.
Elle pose sa main sur mon torse, trace des arabesques autour de mes tétons.
Son ongle suit les contours de mes muscles.
- Et moi... j'ai envie que tu me manques complètement de respect.
Me dit elle en plongeant ses yeux dans les miens.
Sa main s'empare de mon sexe avec un geste coulé, une douceur qui m'arrache un souffle et fait bondir mon cœur dans ma poitrine.
Son pouce et son index prennent la base de ma tige pour la faire monter et descendre lentement alors que le reste de ses doigts flatte mes bourses.
- J'ai envie que tu sois comme avec les femmes qui peuvent passer ici, mais qu'en plus tu livres libre court à tes envies. Toutes tes envies. Même les plus... cochonnes.
Je rougis inconsidérément.
Ma verge se tend à une vitesse incroyable.
- J'ai envie de ta longue tige fine...
Elle me masturbe doucement.
- J'ai envie de t'entendre gémir... et me dire des choses très crues...
Je pousse un soupir de plaisir alors qu'elle agite mon manche avec une dextérité folle.
Sa main totalement dans l'ombre je ne peux voir, me contentant de la sentir me malaxer les bourses une après l'autre, agiter mon membre tel un hochet.
Elle se penche et ses seins lourds frottent sur mon manche.
- Ca te plait ça... hein ?
Je gémis faiblement un "oui" comme elle continue de se caresser et de ma flatter de sa poitrine opulente ainsi que de sa main habile.
Son sourire... elle se mord la lèvre inférieure... puis se baisse tout en me regardant.
Bientôt je ne peux plus voir que l'or de ses cheveux qui brille à la lueur faible des flammes vacillantes.
Son souffle sur ma verge est un contraste à la chaleur qui m'habite.
Elle me lèche lentement, m'embrasse le sexe avant de laper mon méat d'où sourd une goutte qu'elle déguste sans demander son reste.
Le bout de son muscle agite mon petit trou fendu et fait le tour de mon gland.
Je bande tel un âne.
Ma main caresse sa chevelure.
Mon autre main se saisit d'un de ses seins.
Je le pétris doucement, m'attarde sur le téton dur.
Elle m'engloutit, me suce de plus en plus profondément à chaque fois que son visage descend.
De plus en plus loin dans sa bouche gourmande qu'elle maintient serrée, langue s'enroulant autour de mon sceptre dressé.
Elle se redresse après quelques succions sonores.
Sa main droite me palpe les bourses.
- Ha mon salaud... tu es si long que tu me fais baver.
Elle passe sa langue sur ses lèvres puis m'enjambe.
Maintenant toujours mon sexe d'une main, elle le pose sur le sien.
Assise sur moi, elle se cambre.
Sa poitrine en avant, se balance dans un mouvement hypnotique.
Son ventre creusé pour m'accueillir dans un gémissement.
Ses cuisses souples autour de mes hanches.
Elle entame une danse lascive, mon pieu enfourné en elle.
Les contractions de sa vulve me masse de l'intérieur.
Sa main gauche se pose sur son sein qu'elle malaxe.
- Haa... Oui... Haaa... comme ça oui....
Elle se fait plaisir, son bas ventre frotte durement sur moi, totalement enfoncé en elle.
- Hooo... tu me butes dans le fond du vagin ! Elle est... haa ! Si... longue !
Son corps de liane ondule, s'agite de plus en plus vite sur moi.
Je presse son sein.
Elle pousse un petit cri.
- Tu me pinces... ça fait mal... continue.
Entre mes doigts je fais rouler son téton si dur.
Surpris de sa demande.
Elle se cambre, grimace... de douleur et de plaisir.
Mes deux mains triturent maintenant ses mamelons, enivré par ses grognements.
Un peu durement, elle n'en gémit que de plus belle.
Je soulève ses gros seins, uniquement tenus par les bouts qui dardent, rouge de désirs.
D'un claquement je donne une pichenette dans la tétine.
- Hooo... vilain... ouiiiii....
Je la malmène et elle se coule sur moi avec de plus en plus de frénésie.
- Je vais jouir...
Son corps semble en transe.
J'ai le sexe aspiré, avalé, engloutit par son corps en feu.
Elle pousse un grand cri, puis un autre...
- Haa ! Oui !
J'ai soudain une vision extatique de cette femme qui est ma muse, mon égérie.
Cabrée, cambrée, offerte.
Elle s'abandonne à son plaisir en une succession de mouvements saccadés.
Sur mes boules coulent le miel de son orchidée intime.
Elle penche son visage, son corps s'affaisse mollement.
Elle feule comme une chatte en chaleur.
Mes cuisses sont chaudes de son jus qui me marbre.
Puis le temps se fige.
Elle reste statufiée, seulement agitée d'infimes ondulations.
Toujours assise sur moi, lorsqu'elle ré ouvre les yeux, c'est pour me sourire.
- J'aime ta queue... et j'en ai encore envie.
Elle se tourne alors, pose ses mains sur le bout du lit.
Son visage passe de la lueur orangée à l'ombre totale.
Seule sa voix résonne dans la pièce.
Son fessier se dandine devant moi.
A 4 pattes elle offre sa croupe.
- Manque moi de respect mon bébé !

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Ce jour là Elisabeth était habillée de façon très sensuelle.rousse
Un chemisier en dentelle ouvragé, sans soutien-gorge, ce qui permettait à ses seins opulents de se balancer et à mon regard de distinguer les mamelons roses et larges qui embellissaient encore plus cette tenue féminine en diable.
Une jupe assez courte, noire, stricte, qui mettait en valeur ses fesses splendides et dévoilait les liserés de ses bas.
Ses cheveux roux en chignon serrés, ses lunettes d'écailles... son regard ! Ce regard qui m'avait conquit dès que je l'avais vu.
Ma "maitresse " était diaboliquement splendide.
Depuis quelques mois j'étais hébergé chez elle.
Irlandaise, parlant le français, j'avais fait des progrès énormes avec mon ainée... et pas uniquement dans le domaine de la langue anglo-saxonne.

Elle posa son regard sur moi et me dit :
"A parti d'aujourd'hui je ne veux plus que tu te caresses".
Elle lança cette phrase comme cela, sans avant propos.
Je me surpris à rougir en la regardant.
Elle me fit un sourire.
Elle était ma maitresse, j'ai baissé les yeux.

Je lui ai obéit.
Les premiers jours furent assez faciles à tenir.
Je lisais, je pensais à autre chose.
Mais le 7e jour, alors que je l'entendis gémir dans la chambre à côté, j'eu du mal à me retenir.
Son lit grinçait et ses petits soupirs m'évoquait combien son corps me manquait.
Elle se faisait plaisir et ne s'en cachait pas.
C'était une torture pour moi, mais je devais tenir mes mains et faire ce qu'elle m'avait ordonné de faire : m'abstenir.

Les jours passaient et elle prenait un malin plaisir à se vêtir très court, voir très peu.
Ses nuisettes transparentes, sa robe de chambre ouverte étaient autant de supplices qui me rendaient ivres de désir.
Elle vérifiait même jusqu'à l'état de mon drap, me gratifiant d'un "Goood baby..." alors qu'il restait immaculé, ses seins s'agitant voluptueusement à moins de 3à cm de moi.

Le 10e jour elle lança un film érotique, m'obligeant à la regarder à côté d'elle.
Je sentais mes bourses gonfler, ma verge était tendue à l'extrême.
Elle me regardait sans un sourire.
De ses yeux étonnamment clairs, brillants, splendides.
Ma volonté devait être plus forte.
Je résistais à l'envie de me lever, d'envoyer son ordre se faire voir et lui sauter dessus.
Mais sa prestance me faisait rester à ma place.
J'étais son "servant" et cela me plaisait, je ne voulais pas mécontenter Elisabeth, alors je résistais, bougeant dans le canapé pour tenter de trouver une place où ma verge me ferait moins mal.

Chaque jour elle me tentait.
Lorsqu'elle se caressa sur le canapé, pendant que je faisais à manger, j'eu des difficultés à me retenir.
J'ai cru que mon sexe allait exploser et que mon sperme allait jaillir sans que je n'y puisse y faire quoi que ce soit.
Je voyais ses doigts aller et venir dans sa toison courte, étroite, rousse et luisante.
Elle avait sorti un sein... majestueux, ample, elle en effleurait le bout du téton tout en le malaxant.
Ses gémissements étaient d'odieuses tentations.
Mes bourses me faisaient mal.
Mon sexe était un pic en fusion.
Je coulais malgré moi.
Elle poussa un lent ronronnement de jouissance et je du sérer les dents pour ne pas la suivre dans cette petite mort à mon tour.
Je ne parvenais plus à débander.

A ma troisième semaine d'abstinence, chaque pensée était tournée vers le sexe.
Je ne pouvais plus penser à autre chose.
Ceci parasitait ma vie quotidienne, m'empêchait d'avoir les idées claires.
Je me retournais sur chaque fessier, imaginais mes mains, ma bouche sur chaque morceaux de peau que je voyais passer.
Et ma Maitresse en profitait.
Elle me donna un tablier.
"Ce sera désormais l'unique vêtement que tu porteras chez moi".
Noué dans le cou et autour de la taille, il ne couvrait que mon ventre et mon sexe, de face, car de dos mes fesses et mon appareil génital était à l'air libre.

Il me semblait que mes couilles pesaient une tonne chacune.
Autour de mes cuisses irradiaient des douleurs de désirs.
Elle passait parfois sa main sur mes fesses, effleurant du bout de ses ongles manucurés la peau lisse de mes boules glabres.
Je me stoppais alors aussitôt, écartant mes jambes sans même pouvoir les garder serrer... et espérant qu'elle me masturbe jusqu'à me libérer de cet ordre démoniaque.

Peu à peu, à la fin du mois, une forme de plaisir naquit et enfla.
L'abstinence, la retenue alors qu'elle me soumettait à d'ignobles tentations, me procurait une sorte d'extase.
J'appréciais la douleur.
Ma verge pulsait au gré de mes pensées, toutes tournées vers les plaisirs et l'absence.
Mes bourses étaient lourdes et lorsque je les rasais, je ne pouvais m'empêcher de serrer les dents.
Elisabeth me regardait et avait un léger sourire.
Elle ne me parlait pas, jamais, de mon abstinence. Limitant ses allusions à des caresses sur ma croupe et mes bourses ainsi qu'à l'inspection de mon lit et de mes dessous.
Lorsqu'elle trouvait une tâche... elle se contentait de me dire : "un jour de plus".
Et les jours passaient.

Elle invita, pour fêter mon mois sans sexe, un ami à elle.
Je cru devenir fou.
Elle avait mis de longs gants noirs en soie qui lui remontaient jusqu'aux coudes, un bustier qui laissait entrevoir la vallée de ses seins et la transparence de ses auréoles au travers de la dentelle ajourée. Sa jupe, courte, fendue, ne masquait pas ses porte-jarretelles. Des bas coutures, noirs, disparaissaient dans des bottes de cuir qui lui remontaient jusqu'aux genoux.
Sensuelle.
Désirable.
J'étais dans tous mes états à la simple vue de ma Maitresse dans cette tenue.
Mon sexe était tendu, bandé à la limite du tolérable.
"Ce n'est pas pour toi". Me dit-elle en me renvoyant dans ma chambre alors que son amant sonnait.
La douleur qui enserrait mes bourses comme un étau était la plus forte que j'avais connu.
Le long de mes cuisses, autour de mon entrejambe, jusque dans mon dos, j'irradiais de sensibilité à la limite du supportable.
Je m'enfermais donc dans ma chambre.
Je les entendais rire, parler puis murmurer avant de soupirer.
Juste dans la pièce voisine.
A quelques mètres de moi.
Je l'imaginais, elle, ma Maitresse... en train de prendre son plaisir sous les assauts de cet homme.
Je visualisais son corps, les courbes de ses formes voluptueuses.
Tantale ne vivait pas pire que moi.
Un charognard sournois aux gémissements cristallins venait dépecer mes chairs intimes sans une once de remords.
Elle l'invitait, de sa voix qui me ravissait, à la prendre encore... et encore.
Je restait sur mon lit, les yeux rivés sur le plafond.
Le sexe tendu à l'extrême.
Il leur fallu une heure...
Une heure durant laquelle je cru exploser.
Une heure pour que leurs couinements s'estompent puis cessent.
Une trop longue heure où chaque seconde me semblait une minute.
Lorsqu'enfin le silence s'installa je n'en pouvais plus.
La porte, les murmures...
Le verrou de l'entrée.
Il partit.
Et Elisabeth entra dans ma chambre.
Elle était nue, totalement nue.
Son corps avança sensuellement vers mon lit, elle enjamba mon visage et vint plaquer son sexe à ma bouche.
Elle sentait le stupre.
J'étais à la limite de l'écœurement mais elle se frottait.
Son abricot encore souillé de son amant, ruisselant de ses humeurs de femme.
"Lèche-moi baby... suck... hooo oui... suck me !"
Ses gros seins lourds se balancaient au dessus de moi.
Ma langue titillait le bouton totalement sorti de son logement.
Je fourrais mon muscle dans son vagin dégoulinant.
Je la sentis se raidir.
"Hooo ouiii.... toi tu sais y faire !  N'avale rien... garde tout en bouche !"
Elle se cambra et pendant de longs instants son suc gicla dans ma bouche grande ouverte ou seule ma langue s'agitait.
Elle m'en faisait mal tellement je l'avais utilisé pour lécher et exciter son sexe.
Mon sexe lui... était aussi dur que de l'acier et mes bourses semblaient être de plomb.
Elle s'amollit doucement et resta quelques instants encore à onduler sur ma bouche avant de se redresser.
"Ouvre la bouche".
Son ton ne souffrait d'aucun retard.
J'obéissais.
Elle admirait son jus dans le calice de ma bouche.
"Tu peux avaler... mon jus... et celui de mon amant".
Je prenais conscience de son regard et de ce qu'elle me faisait faire... et j'adorais.
Je dégustais les deux sirops.
Elle flatta ma colonne de chair.
"Tu es bien mieux pourvu que lui. Patiente sweety".

La 40e jour ma pénitence pris fin.
La semaine qui précéda cette libération elle ne me fit aucun cadeau.
Ma Maitresse laissait son corps se dévoiler à mes yeux.
Chaque soir elle se caressait de façon à me rendre fou.
Lorsque nous mangions, elle passait ses mains sur mes bourses ou mes fesses avant de flatter ma verge et, sans un mot, me donner une petite fessée.
Et, malgré cela, je parvins à ne pas me caresser.
Ce soir là elle posa soudain sa tête sur ma cuisse.
Sa main glissa entre mes jambes qui s'ouvrirent instantanément.
"Tu as une belle queue". Me dit-elle.
Le bout de ses doigts frais effleuraient mes boules si dures et si chaudes que je cru que j'allais éjaculer avant même qu'elle n'achève sa phrase.
"Merci Maitresse".
Elle passa son pouce et son index autour de la base de ma verge.
Dans un mouvement lent, elle entama un masturbation douce.
Je me cambrais pour résister, imaginant là un supplice encore plus pervers.
Son autre main caressait mon torse.
Elle ouvrit la bouche pour tirer la langue et lécher le bout de mon sexe.
Mon gland était turgescent, pourpre, lisse et tendu comme s'il allait éclater.
Elle lapa la goutte de bonheur qui ne tarda pas à faire son apparition en sortant de mon méat.
Sans lâcher mon piston elle me fit me positionner sur le bord du canapé.
Son doigt se fit inquisiteur.
Elle me masturbait tout en me doigtant.
Je sentais mon œillet sombre s'ouvrir sans effort.
"Tu vas jouir ?"
Je fermais les yeux pour tenter de garder mon calme.
"Je... non Maitresse..."
Elle tourna son doigt dans mon anus avant d'y insérer son médius à côté de son index.
"Tu vas jouir en te faisant doigter le cul..."
je sentais ma sève monter.
Sa main se posa entièrement sur ma colonne.
Elle me branlait plus généreusement.
"Tu es à moi..." me dit-elle en plongeant ses doigts en mon intimité et en m'astiquant la tige.
"Ta bouche... ta queue... ton cul... tout est à moi".
Je poussais des gémissements.
"Haa oui hoo oui Maitresse... je vous appartiens".
Elle relâcha la pression dans mon fondement alors que ma verge pulsait dans sa main.
Elle avait préparé à l'avance son coup et, lorsque je poussais un râle, giclant pour la première fois depuis 40 jours, ma semence fut recueillit dans une sorte de large tube de verre.
Mon jus, presque jaune, crémeux, remplit en abondance le tube.
Mes couilles étaient en feu et il me semblait ne jamais pouvoir m'arrêter de jouir.
Je criais...
Et mon foutre lui dégoulinait maintenant sur les doigts.
Elle me branlait plus vite, plus fort.
J'avais rempli l'éprouvette et elle continuait pourtant à me donner du plaisir.
Un plaisir mélangé à la douleur d'une si longue attente.
Je m'affalais sur le canapé.
Elle lécha le tube avant de le refermer.
"Liqueur d'abstinence". Me dit-elle dans un sourire en bouchant le tube.
"On en fait des crèmes délicieuses selon les recettes de grands-mères".
J'étais las, totalement fourbu.
Je ne pouvais pas refermer mes cuisses.
Mes bourses me lançaient.
Mon sexe pendait sans pouvoir rétrécir.
"Va te laver. Maintenant que ta peine à prit fin, j'ai grande envie de ta belle bite d'âne".
Ses yeux étincellaient.
Elle passa sa langue sur ses lèvres.

La nuit fut longue... elle était insatiable... et j'étais totalement en rut.
Une si longue abstinence venait de décupler mes envies...
Et achever ma soumission à ma Maitresse.

 

Jusqu'à la fin de mon séjour dans ce pays vert, je l'ai servi sans aucune retenue.

 

Fin.

Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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BonbonLui.
Ses cheveux sont si doux, si fins.
 
Elle est dans une position qui me trouble au plus haut point.
 
Je remonte sa mèche de cheveux...
 
Combien de fois l'ai-je imaginée ainsi... mais agenouillée devant moi. 
 
J'en ai le cœur qui bat la chamade.
 
Je cale sa mèche derrière son oreille.
 
Plus rien n'existe autour de nous.
 
Il me semble être seul dans un rêve.
 
Ma main descend lentement, comme au ralenti... je ne me contrôle plus...
 
Elle glisse sur son chemisier.
 
J'ai le regard perdu dans le sien.
 
Je sens son cœur... la tension qui habite son chemisier.
 
Ma main s'empare de son sein à pleine paume.
 
Je le presse sans parvenir à empêcher mon geste.
 
Sa fermeté... sa molle résistance... la chaleur qui en émane malgré le tissu du chemisier.
 
Je suis fou d'avoir osé un tel geste.
 
Elle va ma gifler...
 
Mais ce serait la plus belle des claques.
 
Je le masse en délicatesse, comme un objet précieux si longtemps désiré.
 
Je retire soudain ma main.
 
La reprise de contact avec la réalité est difficile, comme un choc.
 
Je la regarde.
 
"Excusez-moi... je... excusez-moi madame". fais je balbutiant.
 
Ses bras ecartés, sa poitrine en avant... et son regard...
 
Je me rends compte que mon attitude a été déplacée.
 
Et que mon sexe déforme mon pantalon de façon incongrue.
 
 
 
 
 
Elle.
Ses bouts de doigts qui frôlent ma joue pour ajuster ma mèche de cheveu derrière mon oreille m'électrisent.Je suis tétanisée, la bouche ouverte et suffoquant lorsque sa main prend possession de mon sein à pleine main
Mon téton durci, il réagit à cette pression sensuelle au creux de sa paume
Sa main sur ma poitrine, ma bouche qui forme un rond, ma respiration qui s'accélère
Mon regard ne lâche pas le sien.
A l'instant où il retire sa main, je prends conscience de ce moment hors norme, de cette audace caresse
Il a tout juste le temps de balbutier des excuses à son geste que je lui administre la plus belle claque sur sa joue gauche
Son visage se tourne sous la force, ma main à ma bouche, je m'excuse de la violence de mon geste, je regrette
Mes doigts me picotent, j'y  suis allée un peu fort
Partagée entre le plaisir de sa caresse et son sans gêne.
Il est pas très convenable de se laisser ainsi tripoter par un homme, et pourtant se fut d'un délice ...
J'ai envie de plus, mon autre sein réclame aussi son du, le buste en avant
"excusez moi ... je .. je ne voulais pas si fort ... vous m'avez surprise"
Rouge de honte, rouge de sentir le désir monter à mon cou, mes tétons pointent
Mon regard suppliant plongés dans le sien
Je crois déceler une étincelle dans ses magnifiques yeux bleus
Une image de sa main empoignant ma chatte à travers le tissus de ma jupe me traverse l'esprit
J'approche ma main de sa joue gauche, j'effleure sa joue rosie,
"excusez ..."
Mon corps en avant, j'avance de quelques centimètres vers le sien ...
 
 
 
 
 
Lui.
Loin de m'avoir refroidit, sa claque vient de m'échauffer les sens.
 
Sa poitrine, arrogante, vers moi, m'hypnotise.
 
 Ses yeux verts pailletés d’or semblent en demander encore.
 
Sa bouche formant une moue me le reproche.
 
Elle se mord doucement la lèvre inférieure de ses dents blanches…
 
Ho… sa bouche… mon sexe palpite…
 
Je baisse le regard, ne pouvant plus soutenir le sien.
 
Elle est si… intense… si loin de ma vie…
 
Je tombe sur la vallée de ses seins, délicieusement cachée dans son chemisier légèrement froissé par mon geste.
 
Ses pointes sont érigées, son chemisier et son soutien-gorge de qualité ne parviennent pas à cacher le signe de son émoi.
 
Entre mes jambes mon membre me fait mal tant il est à l’étroit dans mon jean.
 
Je regrette ma condition… mon travail…
 
Je voudrais tant être comme les hommes qui partagent son quotidien… son existence… peut-être même son lit.
 
Je bande comme rarement.
 
J’avance ma main de quelques centimètres vers son ventre.
 
Je la vois respirer, sa poitrine remonter à chaque inspiration.
 
J’ai envie d’insolence.
 
Elle m’a giflée.
 
Peut-être pourrait-elle me fesser ?
 
Je recule mon bras.
 
Intimidé.
 
Du bout des doigts je lui tends ma carte de visite.
 
  
Elle.
Je prends sa carte sans quitter son regard ... encore sous l'émotion de sa main si proche de mon ventre.
J'ai retenu ma respiration, mais il ne m'a pas effleurée, tout juste frôlée
Il mériterait une correction pour ce geste non abouti, pour ce supplice qu'il m'inflige, je le veux
Je baisse mes yeux sur la carte de visite et prononce son prénom à haute voix
Ma main tremble, mon regard se fige un instant sur son bassin, son sexe que je devine palpitant sous son pantalon.
 
Je n'ose lui demander, il est tellement à l'opposé des hommes de mon entourage professionnel, très sûr d'eux, et lui ... tellement intimidé.
Intimidé mais il a osé me caresser le sein.
Il ne manque pas d'air tout de même.
Il s'est excusé ..
Etrange cet homme
Perdue dans mes pensées le concernant, partagée entre l'envie de me glisser entre ses bras, sentir ses cuisses contre les miennes, frottant sur mon sexe, et la honte de l'avoir giflée ...
Il est resté silencieux
Mes sens sont en alerte, sa carte de visite entre mes doigts, j'ose et je souffle un ..
"je passerais, ce soir ... en rentrant?"
Ses yeux me fixent
Je veux lire un oui, j'ai une envie animale de cet homme
L'ascenseur arrive à son étage dans le brouhaha de l'armoire métallique, la voix forte du déménageur rompt notre entrevue... trop courte mais qui restera dans mes souvenirs à vie.
Nos chemins se séparent.
La porte se referme sur lui et son regard de braise.
Peut-être... à suivre...
Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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