[...]
Elle se lève.
Son corps dans le clair obscur de mon studio est comme une ombre fugitive.
Sensuelle, elle ondule en s'éloignant du lit.
Ses courbes sont divines.
Féline et lascive.
Le balancement de ses hanches de droite à gauche me donne chaud.
Ses fesses, si douces, aux formes rondes me font tourner la tête.
Je reste bientôt seul dans le lit.
Plus un bruit.
Ai-je rêvé ? Fantasmé ma Muse ?
Ce n'est pas un rêve comme en atteste l'état de mon lit, en bataille... la présence de son odeur sur l'oreiller... celle de son porte-jarretelles sur le sol.
Mon fantasme d'adolescent parcourt ma cuisine.
Cette femme qui a été à l'origine de tellement de mes caresses, de mes films érotiques rêvés est chez moi... nue...
Et je sens encore sur moi les traces de ses doigts comme des lignes de fusion sur mon corps.
L'écart d'âge me remplit de honte autant que de désirs impudiques.
Elle rentre de nouveau dans la chambre.
Souriante, ses yeux étincellent. Splendides.
Une partie de son visage dans l'ombre, l'autre dans la lumière.
Telle une déesse à deux visages, l'un sage et l'autre coquin.
Sa lourde poitrine aux auréoles larges se tend orgueilleusement.
Elle apporte deux verres remplis d'un alcool léger, faisant se balancer avec lenteur ses deux globes pâles.
Ses tétons longs et durs se découpent par le jeu des bougies qui continuent de briller dans la pièce voisine.
Sa voix est douce.
- Bébé, j'avais besoin d'une pause.
Son sourire me désarme, ses yeux m'envoutent.
- Vous êtes merveilleuse. Dis-je en prenant mon verre entre ses doigts délicats.
- Ha comme j'aime lorsque tu me vouvoies. C'est si mignon.
Elle s'allonge sur le côté.
Son sein droit vient reposer sur le gauche, sa cuisse se courbe pour masquer son intimité.
- C'est normal...
- Parce que j'ai l'âge de ta mère presque ?
Je rougis.
- Parce que je vous dois le respect.
Elle pose sa main sur mon torse, trace des arabesques autour de mes tétons.
Son ongle suit les contours de mes muscles.
- Et moi... j'ai envie que tu me manques complètement de respect.
Me dit elle en plongeant ses yeux dans les miens.
Sa main s'empare de mon sexe avec un geste coulé, une douceur qui m'arrache un souffle et fait bondir mon cœur dans ma poitrine.
Son pouce et son index prennent la base de ma tige pour la faire monter et descendre lentement alors que le reste de ses doigts flatte mes bourses.
- J'ai envie que tu sois comme avec les femmes qui peuvent passer ici, mais qu'en plus tu livres libre court à tes envies. Toutes tes envies. Même les plus...
cochonnes.
Je rougis inconsidérément.
Ma verge se tend à une vitesse incroyable.
- J'ai envie de ta longue tige fine...
Elle me masturbe doucement.
- J'ai envie de t'entendre gémir... et me dire des choses très crues...
Je pousse un soupir de plaisir alors qu'elle agite mon manche avec une dextérité folle.
Sa main totalement dans l'ombre je ne peux voir, me contentant de la sentir me malaxer les bourses une après l'autre, agiter mon membre tel un hochet.
Elle se penche et ses seins lourds frottent sur mon manche.
- Ca te plait ça... hein ?
Je gémis faiblement un "oui" comme elle continue de se caresser et de ma flatter de sa poitrine opulente ainsi que de sa main habile.
Son sourire... elle se mord la lèvre inférieure... puis se baisse tout en me regardant.
Bientôt je ne peux plus voir que l'or de ses cheveux qui brille à la lueur faible des flammes vacillantes.
Son souffle sur ma verge est un contraste à la chaleur qui m'habite.
Elle me lèche lentement, m'embrasse le sexe avant de laper mon méat d'où sourd une goutte qu'elle déguste sans demander son reste.
Le bout de son muscle agite mon petit trou fendu et fait le tour de mon gland.
Je bande tel un âne.
Ma main caresse sa chevelure.
Mon autre main se saisit d'un de ses seins.
Je le pétris doucement, m'attarde sur le téton dur.
Elle m'engloutit, me suce de plus en plus profondément à chaque fois que son visage descend.
De plus en plus loin dans sa bouche gourmande qu'elle maintient serrée, langue s'enroulant autour de mon sceptre dressé.
Elle se redresse après quelques succions sonores.
Sa main droite me palpe les bourses.
- Ha mon salaud... tu es si long que tu me fais baver.
Elle passe sa langue sur ses lèvres puis m'enjambe.
Maintenant toujours mon sexe d'une main, elle le pose sur le sien.
Assise sur moi, elle se cambre.
Sa poitrine en avant, se balance dans un mouvement hypnotique.
Son ventre creusé pour m'accueillir dans un gémissement.
Ses cuisses souples autour de mes hanches.
Elle entame une danse lascive, mon pieu enfourné en elle.
Les contractions de sa vulve me masse de l'intérieur.
Sa main gauche se pose sur son sein qu'elle malaxe.
- Haa... Oui... Haaa... comme ça oui....
Elle se fait plaisir, son bas ventre frotte durement sur moi, totalement enfoncé en elle.
- Hooo... tu me butes dans le fond du vagin ! Elle est... haa ! Si... longue !
Son corps de liane ondule, s'agite de plus en plus vite sur moi.
Je presse son sein.
Elle pousse un petit cri.
- Tu me pinces... ça fait mal... continue.
Entre mes doigts je fais rouler son téton si dur.
Surpris de sa demande.
Elle se cambre, grimace... de douleur et de plaisir.
Mes deux mains triturent maintenant ses mamelons, enivré par ses grognements.
Un peu durement, elle n'en gémit que de plus belle.
Je soulève ses gros seins, uniquement tenus par les bouts qui dardent, rouge de désirs.
D'un claquement je donne une pichenette dans la tétine.
- Hooo... vilain... ouiiiii....
Je la malmène et elle se coule sur moi avec de plus en plus de frénésie.
- Je vais jouir...
Son corps semble en transe.
J'ai le sexe aspiré, avalé, engloutit par son corps en feu.
Elle pousse un grand cri, puis un autre...
- Haa ! Oui !
J'ai soudain une vision extatique de cette femme qui est ma muse, mon égérie.
Cabrée, cambrée, offerte.
Elle s'abandonne à son plaisir en une succession de mouvements saccadés.
Sur mes boules coulent le miel de son orchidée intime.
Elle penche son visage, son corps s'affaisse mollement.
Elle feule comme une chatte en chaleur.
Mes cuisses sont chaudes de son jus qui me marbre.
Puis le temps se fige.
Elle reste statufiée, seulement agitée d'infimes ondulations.
Toujours assise sur moi, lorsqu'elle ré ouvre les yeux, c'est pour me sourire.
- J'aime ta queue... et j'en ai encore envie.
Elle se tourne alors, pose ses mains sur le bout du lit.
Son visage passe de la lueur orangée à l'ombre totale.
Seule sa voix résonne dans la pièce.
Son fessier se dandine devant moi.
A 4 pattes elle offre sa croupe.
- Manque moi de respect mon bébé !
A suivre...